Journal d'un noob!

Note : 0

le 29.07.2014 par Kangouwou56

182 réponses / Dernière par Kangouwou56 le 04.02.2015, 23h37

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
Verrouillé
Comment ca des textes?! Raaaah! Je ne fais que ca! Sapristi! Insultateur!

Aujourd'hui était un grand jour.
Réveil le matin pour l'assistante sociale. Niquel. Je vais ensuite manger du couscous. Et je vais en cours. UE Libre sur l'Europe et la conquête du monde. J'étais crevé mais j'ai adoré.
Puis direction la résidence. Aujourd'hui, élections au conseil de la résidence. Un peu de propagande, puis je fonce à la salle de muscu. J'y vais en jogging, tee shirt, une bouteille d'eau et une serviette coca-cola.
20 minute de velo, 15 minute de muscu et 15 minute de velo. Ca m'a vanné.
Je rentre, et je croise l'Espagnole, celle avec laquelle j'étais censé avoir un rencard. Reporté à demain car elle avait un dossier à rendre cet aprem. Agréable conversation, et des yeux!

Un ami me propose d'aller voir Annabelle. J'y vais avec lui et une amie commune. Blonde.
J'ai flippé putain. Franchement, j'étais effrayé. Mais j'ai adoré les sensations. Pfffiou.

On va ensuite manger dans la chambre de mon ami. Notre copine a des problèmes de coeur, c'est avec gentillesse que je l'aide à s'y retrouver là dedans. Je suis un mec en or, oui.

Dis moi Littleboy, quel genre de texte te fais plaisir.

Autrement, j'ai commencé un roman.
Petit extrait.
La fête battait son plein. Je fermai mes paupières. Le brouhaha des discussions couvrait la musique, je sentais sur ma langue la saveur de la bière blonde, il y avait dans l'air des senteurs de pizza. Il faisait suffisamment chaud et la pièce était assez grande pour que l'on soit tous à l'aise.
Je rouvre mes yeux, me sentant observé. C'est Caitlin, ma meilleur amie. Toujours là pour booster les troupes. En tant que hôte de la soirée, c'est en effet son devoir de veiller au bon maintien de l'ambiance.
«Dis moi pas que tu dors ! » s'exclama-t-elle, un léger sourire aux lèvres. De belles lèvres, en plus. J'aime bien ne pas répondre. Un regard suffit en général à communiquer, quand on est paresseux. Malgré tout, je hocha la tête. Il était tard, vers 4 heures. A cette heure là, je dors, normalement. Ici, chez Caitlin, rien n'est normal. La musique provient d'une tablette, il n'y a pas de télé, le chauffage provient de la cheminée.
Hihihi.
Je sais, c'est nul.
Mais j'aime bien écrire. Vous l'avez sans doute compris.

Petit récapitulatif de moitié de mois niveau séduction.
J'ai un rencard quasi-sur demain soir, une partenaire d'exposé magnifique que je vais voir demain, j'ai failli avoir quelque chose avec une blonde canon, et je vais peut-être, jeudi, finir ca.

Niveau relationnel...
J'ai été élu au conseil de résidence. J'ai donc un siège là bas. Ma popularité continue de croître. Les gens commencent à me connaître. A deux reprises à la BU on est venu me faire la bise sans que je reconnaisse les gens. Cela fait plaisir.

Malgré tout, j'ai une boule au ventre quand je pense à Océane et Clara qui font des truc sans me prévenir. Je comprend leur raison, mais cela m'attriste...

Je vais regarder Dexter. Comme tous les soir.
Et Walking Dead continue.

Avec la musculation, mon investissent dans la vie étudiante, je me construit ce qu'on appelle un "lifestyle". Du moins, j'ouvre mes horizons et fais des activités qui m'aident à me construire.

Je ne sais pas qu'est-ce que je peux faire d'autre.
On verra.
J'ai mangé une pizza avec la blonde.
Elle a 22 ans et est mariée.
J'ai plein d'amis!
Une des espagnoles, Paula, m'a saisit dans ses bras et fait un calin. Amour, drague, amitié, qu'en sais-je, je m'en branle. Ca m'a fait plaisir.
Il y a eut rendez vous entre les quatre élus de la résidence. On a préparé plein de projets, et on a fait connaissance.
Superbe! :-)

Par exemple, la mise en place de poubelles à bouchons pour les recycler. La mise en place de parcelles de jardin, pour avoir de la menthe par exemple. Ou encore faire des marathons TV le week-end.

Retour vers minuit, je fonce dans la chambre d'une fille, Anne, rencontrée il y a une semaine. Je lui avait dit que je passerai picoler avec elle. J'entre, elle est là avec un mec, son voisin, devant un film.

On parle une heure, lui et moi parlons avec beaucoup d'allusions. J'ai adoré. Beaucoup de tension sexuelle, c'était exquis. Cela fait plaisir.
On se quitte, je retourne dans ma chambre et voit à travers ma fenêtre de la lumière dans la chambre d'une fille en face, Annaïs. Je lui dit donc que j'arrive et je me lance à travers les ténèbres. J'arrive en bas du bâtiment, le gardien est là. Je lui demande gentiment s'il peut m'ouvrir la porte. Il me dit non, que la politesse, nanana...
La particularité du gardien de nuit, c'est que quoi que tu fasses, il trouvera une raison pour te faire ressentir sa haine.
Je lui explique calmement qu'il devrait manifester plus de respect envers nous autres les résidents, que je mène ma vie comme je l'entend, que c'est moi et mon hôte qui déterminons ce qu'est la "politesse", des arguments choc.
Ouais mais non, il reste de marbre.
Dépité, je m'en vais, Annaïs m'ayant annoncé qu'elle allait se coucher.

Pour la première fois de ma vie, j'ai tenu tête à quelqu'un d'autre que mes parents. Cela peut paraître puéril, mais pour moi c'est un grand pas en avant dans mon devenir adulte. C'est à dire que j'ai continué jusqu'au bout, je n'ai pas abandonné mes idées, j'ai assumé jusqu'à la fin ce que je pense, notamment en lui donnant mon numéro de chambre. Alors que d'habitudes, je dit "Amen" à ce que disent les adultes, et à fortiori les "bien placés". Certes, je ne suis pas rentré dans la résidence, mais au fond, c'est moi qui ait gagné.

Petite anecdote pour finir. L'an dernier, deux indiens avaient mis beaucoup de produit à vaporiser anti-insectes. L'un d'eux a allumé une clope. La chambre a explosé, littéralement. Les deux ont eut de graves brûlures, l'un d'eux, dont le prognostic vital a été engagé, a été déplacé à Nantes.
Comme quoi, c'est actif en résidence!

J'ai réfléchit à certaines choses, sur moi-même, le bonheur, les filles.

J'ai savouré ce moment passé au bar, avec mes trois confrêres, j'étais à fond dedans, je ne regardais pas les filles du bar. J'ai vraiment été heureux, lors de ce verre.
J'ai aussi savouré ce moment passé à parler de sodomie avec la fille et son voisin.
De même, j'ai savouré le fait de partir la tête haute après cette joute verbale avec le gardien.

Au final, c'est des petits comportements qui contribuent au bonheur. Des petits plaisir, des petites chose par ci par là. Le calin de Paula, revoir une fille que j'ai pas vu depuis longtemps, un DBK...
Vivons nous pour être heureux? Oui, clairement, je vis pour être heureux. C'est pour cela que je suis partit en histoire. Pour faire un métier qui me passionnerait, plutôt que faire des études longues qui me plaisent pas pour un travail qui me passionerait pas, uniquement pour de l'argent.
Je profite, à présent. En me masturbant, en mangeant du chocolat, en voyant des gens.

Je suis, à cette heure là, dans une période de contentement, d'happiness.

Mais je sais qu'il y aura des heures sombres, où je douterai de moi, où je me sentirai mal, nauséeux.

"Mais vous savez, on peut trouver le bonheur même dans les moments les plus sombres... Il suffit de se souvenir d'allumer la lumière."

L'auteur de cette citation est un génie. Dumbledore. Et par là J.K.Rowling.

Allumer la lumière. Les ténèbres étant la tristesse, la lumière est par opposition le bonheur.
Allumer le bonheur. Le provoquer, l'entraîner.
Allumer le bonheur. Il faut donc éteindre le malheur. J'en déduis qu'il faut se distancer des ténèbres, de ce qui nous entraîne dans les ténèbres, de tout ce qui est triste et attristant.
Allumer le bonheur. Il faut se rapprocher de la lumière, et de tout ce qui est lumineux. Se rapprocher des choses, des gens joyeux, souriant, des activités qui donnent le sourire, qui stimulent les circuits du plaisir du cerveau.

En relisant ce que je viens d'écrire, j'ai l'impression d'être considérablement ivre.

Mais je pense qu'à ce moment-là, j'ai réussit à être en contact avec moi-même, à me rendre compte de cela.

J'ai réussit à atteindre le bonheur, par moment. L'objectif est à présent d'y rester le plus longtemps possible.

Pour conclure, je dirai qu'aujourd'hui était une très belle journée. Et pas une seule fois j'ai pensé à serrer une fille. Y aurait-il un lien?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Courage le 20.10.14, 21h19 par LittleBoy
J'ai rencontré une nouvelle fille.
Et je pense qu'en faite la blonde n'est pas mariée.

Je suis returné à la muscu.
Ca fatigue, mais ca fait du bien. J'ai faim maintenant.

Ce soir, soirée. Ca va être cool. Vraiment.
Et demain soir, je pars pour le week-end à Paris avec l'UNEF.
Départ de la résidence à 21 H. On est une dizaine, dont la tunisienne lesbienne qui mange du porc, celle avec qui j'avais bu un verre.
J'ai appris qu'elle n'étais pas lesbienne,finalement.
Tandis qu'on marche, je parle avec elle. Beaucoup de contact visuel et physique de sa part, notamment sa main sur la mienne. Je suis persuadé, intimement, qu'il y a des choses à découvrir.

On arrive là bas, une baston éclate entre deux mecs étrangers, et pour éviter les emmerdes on bouge. On a perdu la tunisienne et un ami à elle, à ce moment.
Tout au long de la soirée, on a perdu/rencontré des gens. Au final, on est arrivé à trois dans un bar, pour faire un billard.
On fait un billard avec deux autres mec. Je reconnais certaines personnes, j'en reconnais pas d'autres, qui viennent me saluer. Wtf? "T'es qui, toi?"...

On rentre. Océane est partie depuis belle lurette, la tunisienne aussi, et les espagnoles introuvables durant toute la soirée.

Par contre, conversations intéressantes avec les gars.

Soirée plutôt bonne dans l'ensemble, au final.

A présent, time to dodo.
Il y a une fille que je vois de temps à autres dans la résidence, avec qui je parle souvent par Facebook et qui m'intéresse vraiment.

Mais je ne sais pas. L'inviter à boire un verre? L'inviter à la prochaine soirée?
Tant de question métaphysique. Je vais méditer.
Je suis en période de doute.
J'ai repensé à ma vie depuis que je suis là.

Et j'ai réalisé que je ne séduit personne.
Pendant une heure, j'ai regardé les guides de FTS, ADS et Kamal.
J'ai même feuilleté rapidement la Révélation de Mystery.
Mais cela m'énerve plus qu'autre chose.

Je me sens mal, dans le sens où je suis toujours puceau, alors que d'autres, tous les jeudi soir, ont des aventures.

Les pornos m'ont soulé, la branlette me casse les couilles, j'ai envie de sexe.

Et pourtant, à ce niveau là, c'est comme au lycée, malgré mon réseau.
Misère.
Il est 6 H 10.
Ce week-end. C'était de la folie. C'est parti.

Donc, ce week-end, c'était le CN de l'UNEF, à Paris 13.
Je pars de ma résidence vendredi soir à 18H. J'arrive au kébab vers 19 H, posé. Je mange, et à 20 H je retrouve une fille de l'Unef, Caroline, devant la gare.
20H30, le car est là, on s'y rassemble. On est 21 au départ de Brest.
Je me pose à côté d'un ami, je commence à parler à mes deux voisines de devant et à mes deux de derrières, des marocaines.
Au bout de quelques heures, on sort l'alcool. On commence aussi à se déplacer dans le bus, à rendre visite devant.

Plus la soirée passe, plus je suis ivre. On s'arrête à Lorient pour prendre 5 personnes, ca passe. Arrivé à Rennes, Nantes et Le Mans, j'étais bien parti. J'ai dis bonjour à tous mes "camarades" à chaque fois.

Puis à 3 H, dodo.
Réveil à 8 H, on y est. On arrive à l'Université de Paris Nord 13.
On est 800 camarades de toute la France.

On arrive dans un amphi, on se pose tous.
Et là, ca commence.

Le samedi matin, les gens se portaient volontaires pour faire des discours au micro devant nous autres. J'étais impressioné, putain, il en faut des couilles!
La plupart parlaient de l'égalité homme-femmes, de la précarité des étudiants à remédier, des élections au CROUS.
Mais certains avaient un art de parler sublime. Vraiment, ils savaient exalter les émotions, j'en avais les larmes aux yeux.
Les acclamations, applaudissements, sifflements, huées, on y avait tous les caractéristiques d'un parlement.

Puis on se répartit en atelier. Je vais avec la fille d'hier dans l'atelier féminisme.
Bon, je connaissais déjà la plupart des choses qui y ont été dites.

On mange, c'était dégueulasse. Quiche Lorraine que l'on doit égoutter, avec du taboulé et des yaourts.

Et on y retourne.
Par contre, j'en pouvais plus. Il faisait troooooop chaud.
800 personnes, l'aprem, dans l'amphi.
Je transpirais à mort, pitaing. Dans le dos. En chemise bleue, cela se voit. Mais les gens s'en branlent.
Vers 19 H, on part manger. On marche jusqu'au métro et on force le passage. L'UNEF a ainsi obtenu la gratuité des tickets de transports de Métro pour ses adhérents. Hihihi.
On arrive à un RU dans Paris VI. Elle est grande la faculté d'à côté.

On se tasse dans le RU, je ne sais pas si on était réellement 800; toujours est-il qu'on était nombreux.

Je mange en périphérie avec les deux tunisiennes.

Après, alors que les gens dansent, je me dirige vers l'extérieur et y retrouve les Brestois.
On parle, on parle.
Minuit, on pars prendre le métro pour aller à l'hôtel F1.
On marche, j'ai chaud, je transpire encore, j'en peux plus.

Malgré tout, on finit par arriver.
Je monte dès que je peux, prend une douche et met les vêtements d'un ami, ayant oublier mes vêtements de rechange dans le bus.

Puis je prend mon livre et descend dans la salle commune.

J'y croise trois filles, dont une qui me disait quelque chose. Elle me fit comprendre qu'elle était à l'arrêt de Nantes, et qu'elle m'avait vu dans un état pas net.
Mais fichtre. Je les suis, on arrive dans une chambre, où deux filles sont posées. L'une est en petite culotte, l'autre est habillée. Je matte même pas.
Ma bienfaitrice, Romane, se rapproche de moi rapidement. Je n'ai rien fait. Elle est brune, avec des lunettes. Quand elle parle aux gens, elle parle pas à travers ses lunettes, mais plutôt comme les vieux. Sacré caractère aussi. Son pantalon descendait tout le temps, de telle sorte que je voyais son joli derrière. Elle avait aussi une paire de seins assez jolie.
Au bout d'une demi-heure, elle se tient près de moi, m'a donné deux bisous sur la joue et se serre contre mon corps. Je n'avais rien demandé tout cela.

On est congédié, on cherche où, dans l'hôtel, les jeunes font l'after.
Des gens de l'A.G.E de Grenoble nous invitent. Ils sont une vingtaine dans une petite chambre pour deux personnes.

On se pose, l'un à côté de l'autre, et l'alcool tourne. Je fais des jeux du regards avec mes voisines d'en face. J'arrive à jouer avec mes paupières et à faire un truc bizarre. Je mettrais une photo un jour.
Un des grenoblois est particulièrement émeché. C'était drôle.

A un moment, sans réfléchir, sans me prendre la tête, je la retourne et l'embrasse, d'un chaste baiser.
On se dévore une seconde plus tard.
Pendant une heure, on parle, bois, rigole tout en se caressant. J'apprend qu'elle a un copain.

Je pretexte une envie de prendre l'air. Je sors, on va en bas et on y trouve quatre arabes mangeant une pizza. On parle, ils sont pluitôt sympathiques.

Puis on remonte. On va aux toilettes, on en ressort. Je la plaque contre le mur et l'embrasse sauvagement. Des gens passent, souriant. Oui, moi aussi je souris.

A un moment, je décide de prendre les choses en main. Je la soulève, la maintient par les fesse près de ma poitrine, et on rentre dans une douche.
Elle est bien éclairée, et elle est dos au miroir.

Arrivé dedans, on recommence à s'embrasser. Je la caresse à travers les vêtements un peu partout, tandis que mes lèvres descendent le long de sa nuque. Sa tête monte vers le ciel, exposant sa tendre gorge. Tandis qu'elle met ses bras en l'air, je lui enlève son haut.
Je l'embrasse un peu partout, mes mains continuent leur progression. Je dégraphe, du premier coup, son soutien gorge. Je me met à malaxer, pétrir, lécher, dévorer ses seins, aux petits tétons. Sa poitrine est douce, ferme, chaude. J'aspire et expire. Elle en peut plus.
Elle m'enlève mon t-shirt. J'essaie d'enlever son jean mais je galère pour son bouton. Elle m'aide.
Son pantalon descend, le mien ne tarde guère à suivre. Nous voilà en calecon et string.

Je continue avec ma bouche de révérer sa poitrine, son ventre. J'en arrive à son pubis, mes mains adroites ayant retiré le string. Mais je suis fermement repoussé. Non, elle n'aime pas les cunnilingus. Dommage.
Par contre, elle me plaque contre le mur, et descend d'un étage. Elle enlève mon calecon, et entreprend la première véritable pipe de ma vie. Je voyais sa tête, ses cheveux remonter, descendre le long de mon vis. J'aime ca, mais je ne trouve, etrangement, pas ca superbe agréable. Soit elle s'y prend mal, soit je suis insensible.
Toujours est-il que durant dix minutes, sa bouche fait des allées et venues sur Popaul. Qui est plus ou moins au garde à vous.
Puis elle me dit qu'elle a des crampes, elle arrête donc. Je ne suis pas près de jouir, cela ne m'a rien fait ressentir, ou presque.

Ayant un bon angle, je commence à la masturber. Le clitoris d'abord, puis l'intérieur. Cette fois ci, j'ai eut tout loisir d'observer son corps. Son pubis était totalement épilé, son clitoris petit, et son appareil totalement rentré, petit.
Je commence avec l'index, puis le majeur, puis le pouce, puis le majeur et le pouce. J'y vais à un rythme régulier, avec de temps à autres des a coups plus violents. Elle gémit, elle soupire, se tortille sur ma main. Je retourne à ses seins avec ma bouche.

Et là, la partie difficile arrive.

J'ai envie d'insérer mon pénis dans son vagin. Je la soulève, positionne mes mains sur ses fesses, la plaque contre le mur, et essaie de faire rentrer ma quéquette. Elle ne rentre pas. Elle bloque.

J'abandonne donc rapidement cette idée.

Je m'allonge sur le sol, lui dit de me montrer le chemin, pretextant un manque d'expérience. Cela la fit rire. Pour elle, j'étais pas un novice, apparement.
Elle s'assied sur moi, galère un peu, mais voilà, ma queue est dans sa chatte. Pour la première fois, j'ai pénétré un orifice autre que celui formé par ma main.
Elle bouge un petit peu, mais je ne sens rien, et ca "coulisse" très mal. Elle sort donc.
Je compris rapidement qu'elle ne mouillait pas, qu'il fallait lubrifier. Elle le comprit aussi.
Elle entreprend donc une deuxième fellation. J'ai bien aimé là encore. Cette fois, je voyais non seulement ses cheveux, mais aussi sa bouche, le long de mon engin.
Cela m'excitait.

On réessaye, moi sur elle. Je regarde où est le trou, parce que je ne le trouve pas à la main.
Je le retrouve, y insère un doigt avec difficulté. J'essaie ensuite d'y aller avec ma bite. Mais non. Ca bloque encore. Mon pénis ne rentre pas.
Je lui propose de la prendre en levrette. Elle se retourne et se met à quatre pattes. Je vois son anus quelque peu poilu, et j'ai du mal à distinguer son vagin. J'essaie de faire rentrer, mais ca ne passe pas.

Je lui propose donc d'aller chercher dans ma chambre du lubrifiant.
Elle accepte, je sors de la douche en calecon. Le Grenoblois bourré de l'after était à côté, entrain de vider ses tripes. Je lui souhaite bon courage et pars chercher mon sésame.

Je reviens, il est toujours là. Je rentre dans la pièce, la trouve adossée au mur, les jambes pliées. Le temps que je soit partit, elle réfléchit et abandonna l'idée de baiser sauvagement. Mon lubrifiant, snif...

Elle me proposa en revanche de me finir à la bouche. Troisième pipe de la soirée, mais au bout de cinq minute, ne ressentant toujours pas grand chose, je la stop et lui demande de me branler. Je la doigte aussi. Au bout de dix minutes, enfin, j'éjacule.

On prend une douche juste après. Sans serviette, avec le gel douche gratuit de l'hôtel.
J'ai tout loisir de la laver, la caresser, etc. Rapidement, je retrouve ma vitalité, et c'est ainsi que je plaque ma quequette bien dure contre ses fesses.

Mouillés, on va dans ma chambre. En sortant, on voit le grenoblois entrain de dormir assis. Mon ami, gay, est entrain de dormir dans la chambre. On s'installe dans le lit à côté, trempés. Constatant mon érection, elle repris ses caresses et en vint rapidement à une quatrième fellation. Toujours rien. Je me finis donc à la main, le temps pressant. Il était en effet pas loin de 6H45. Il faisait chaud.

On retourne à la douche. Les gens se réveillent, le fait de me voir en calecon et elle en string les fait sourire. On reprend une douche, ca fait du bien. Puis on retourne dans ma chambre, on s'habille et on y va.

J'ai techniquement perdu ma virginité. Avec une fille rencontrée quelques heures plus tôt. Une fille qui était pas trop mignonne, pour qui je ne ressentais rien. Mais ma première fois n'était pas top-top, je m'attendais à mieux.

Sur la route de la fac, elle me colle. M'embrasse, me calîne, m'appelle chou. Je ne sais pas trop comment réagir, je prend rapidement mes distances. Parce qu'à la lumière du jour, avec ses lunettes et sans alcool, je me rend compte qu'elle n'est pas si attirante que cela. Quand j'étais entrain de bander, elle était nue, sans lunette, avec une jolie paire de sein devant moi...

Mais là? Non. Elle est collante, elle me fait fuir. Je suis mal à l'aise en sa présence. Si bien qu'à un moment, je lui dit clairement que sur le retour je me mettrai pas à côté d'elle, prétextant qu'elle a un copain.

On arrive à l'amphi. Après avoir mis les chose au clair, mes ami(e)s, narquois, me font remarquer qu'elle tire la tronche et regarde souvent dans ma direction avec desespoir.

Je dors pendant la majeure partie de la conférence. Nuit blanche, putain...

Vers 14 H, quand c'est fini, on pars faire les courses et aller au Mac Do. C'était subliminal.

Vers 16 H, on prend le bus. Je suis tout seul avec mon oreiller. Je parle avec plusieurs nantaises et rennaises, c'était interessant. Je leur ai donné mon facebook.
A un moment, Romane revient près de moi. De fil en aiguille, je ne sais pas pourquoi, j'en suis venu à l'étreindre et à l'embrasser. Pourquoi? Parce que j'aime avoir une fille près de moi.

Puis on arrive à Nantes. Elle part. Je me met donc à essayer de dormir, c'est pas facile. J'en vient à me mettre dans l'allée, avec mon oreiller et mon plaid.

Jusque cinq heure du matin, je trouve plusieurs positions confortables pour dormir.

On arrive. On se sépare rapidement, je retourne à la résidence et m'attèle à mon journal.


Ce week-end était extra. Les voyages dans le bus étaient bien. Alcool, discussions, rigolades, jeux. Passionnant.
Les débats l'étaient aussi. Certains m'ont fait me lever et taper du pied, comme d'autres.
L'ambiance? Festive. Des chants réguliers dans l'amphi et dans le métro. Une camaraderie, entre jeunes qui partagent les même valeurs.
Séduction? J'ai mis dans ma douche et mon lit une fille, et je ne suis plus puceau.
Relationnel? Je me suis fait de nouveaux et nouvelles ami(e)s, sur Brest et dans toute la France.

C'était un excellent week-end. Je ne regrette pas mon adhésion à l'UNEF. On va bientôt commencer le tractage pour les élections de bientôt au CROUS.

A présent, je vais dormir, j'ai cours tout à l'heure.

Je ne suis plus vierge.

Adieux.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Like a boss ! le 20.10.14, 09h55 par Snow
  • [0] Like ! le 20.10.14, 10h05 par Matadsex
  • [0] Like ! le 20.10.14, 19h03 par MaryeL
  • [0] Yep le 20.10.14, 23h12 par Nyhavn
C'est bien, c'est bien. Un cap de franchi!

Par contre je vois pas où est décris le moment où vous pensez à vous protéger?...

J'ai peut-être lu trop vite....
Voila-voila.
Non, j'ai décidé de ne pas utiliser de capotes au préalable.
J'ai réfléchit et j'en ai parlé avec une de mes amies tunisiennes, et le jeu ne vaut pas la chandelle.
J'y penserai, à l'avenir. En attendant, dans le mois prochain, j'irai faire un test HIV.

C'est important de rester en vie, c'est certain...
Verrouillé