La 1ère clé est là.
A partir du moment où on regarde les femmes comme simplement des personnes, ça enlève toute idée de catégorisation foireuse et/ou méprisante.
Autres clés:
Le pardon.
Pardonner à ceux qui t'ont blessé/humilié lorsque tu étais en surpoids.
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- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Bienvenue le 17.03.15, 16h16 par voucny
- [0] Courage le 17.03.15, 19h37 par mistermint
Salut Gargantuesque et bravo pour ta recherche d'aide c'est déjà un pas vers l'amélioration.
En préambule je te dirais ce que précise bien les en-têtes du forum : ce forum ne remplace pas une thérapie, nous ne pouvons ici que discuter de nos expériences et c'est à ce titre que je te réponds
Je suis étonnée que tu présentes ton problème comme "risible" et "dérisoire". L'esprit est une matière complexe, subtile, qui peut faire beaucoup souffrir, et il n'y a rien de ridicule là dedans.
Tu dis avoir une bonne hygiène de vie, est-ce que cela inclue que tu as arrêté le mdma ? Tu dors bien ? Tu manges bien ?
Tu dis que ton mépris des femmes a commencé à s’échafauder à la lecture de Nietzsche. Bon, même si je n'ai lu que les sommaires (my bad ^^ on peut pas être partout...), on est d'accord que Nietzsche n'est pas parmi les auteurs en paix avec la gent féminine.
- Si la lecture de Nietzsche t'a influencé, ne pourrais-tu pas contrebalancer ces lectures par d'autres, asiatiques par exemple, qui présentent l'homme et la femme comme harmonieusement complémentaires, possédant leur qualité propre ? Là comme ça je n'ai pas de titre en tête mais si ça me vient je t'en donnerai.
- Ne trouverais-tu pas du répit à regarder les femmes non plus comme des femmes mais comme des personnes ? Ne serait-ce pas ainsi une bonne façon de ré apprécier leurs qualités ?
- Te faire un "hall of fame" des femmes à qui tu trouves des qualités, dans ta famille, ou dans tes lectures, ou dans le cinéma, ou ailleurs ?
- Est ce que tu revis l'histoire de ton père et tu t'empêches d'être heureux avec une femme parce que lui ne semble pas être heureux ?
- Ce mépris ne serait-il pas la cristallisation de difficultés dans la désignation d'un coupable ? La cristallisation des angoisses dont tu dis souffrir ? Est-ce que, en agissant pour apaiser ces angoisses, ce mépris ne s'apaiserait-il pas tout seul ?
D'autant qu'au fond, tu sais bien ne pas croire à ce mépris des femmes puisque tu rêves d'une relation profonde et aimante.
Voilà les premières choses qui me viennent en tête. Plutôt comique que ce soit une femme qui te réponde en premier mais d'autres avis éclairés masculins suivront surement bientôt ^^
En préambule je te dirais ce que précise bien les en-têtes du forum : ce forum ne remplace pas une thérapie, nous ne pouvons ici que discuter de nos expériences et c'est à ce titre que je te réponds

Je suis étonnée que tu présentes ton problème comme "risible" et "dérisoire". L'esprit est une matière complexe, subtile, qui peut faire beaucoup souffrir, et il n'y a rien de ridicule là dedans.
Tu dis avoir une bonne hygiène de vie, est-ce que cela inclue que tu as arrêté le mdma ? Tu dors bien ? Tu manges bien ?
Tu dis que ton mépris des femmes a commencé à s’échafauder à la lecture de Nietzsche. Bon, même si je n'ai lu que les sommaires (my bad ^^ on peut pas être partout...), on est d'accord que Nietzsche n'est pas parmi les auteurs en paix avec la gent féminine.
- Si la lecture de Nietzsche t'a influencé, ne pourrais-tu pas contrebalancer ces lectures par d'autres, asiatiques par exemple, qui présentent l'homme et la femme comme harmonieusement complémentaires, possédant leur qualité propre ? Là comme ça je n'ai pas de titre en tête mais si ça me vient je t'en donnerai.
- Ne trouverais-tu pas du répit à regarder les femmes non plus comme des femmes mais comme des personnes ? Ne serait-ce pas ainsi une bonne façon de ré apprécier leurs qualités ?
- Te faire un "hall of fame" des femmes à qui tu trouves des qualités, dans ta famille, ou dans tes lectures, ou dans le cinéma, ou ailleurs ?
- Est ce que tu revis l'histoire de ton père et tu t'empêches d'être heureux avec une femme parce que lui ne semble pas être heureux ?
- Ce mépris ne serait-il pas la cristallisation de difficultés dans la désignation d'un coupable ? La cristallisation des angoisses dont tu dis souffrir ? Est-ce que, en agissant pour apaiser ces angoisses, ce mépris ne s'apaiserait-il pas tout seul ?
D'autant qu'au fond, tu sais bien ne pas croire à ce mépris des femmes puisque tu rêves d'une relation profonde et aimante.
Voilà les premières choses qui me viennent en tête. Plutôt comique que ce soit une femme qui te réponde en premier mais d'autres avis éclairés masculins suivront surement bientôt ^^
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Constructif le 17.03.15, 16h46 par Sathinelilly
- [+2] Post responsable le 17.03.15, 16h47 par Rickhunter
Juste comme ça, Nietchz était un grand malade avec une vie chaotique et des relations pire que pourri avec les femmes, c'était quand même un type qui se tapait des queue tous les matin derrière un arbre dans le parc du lieu ou il bossait. Je te laisse imaginé la pertinence et la frustration du personnage sur le sujet.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Absolument le 18.03.15, 01h01 par Nidwazo
voucny a écrit :Salut Gargantuesque et bravo pour ta recherche d'aide c'est déjà un pas vers l'amélioration.
En préambule je te dirais ce que précise bien les en-têtes du forum : ce forum ne remplace pas une thérapie, nous ne pouvons ici que discuter de nos expériences et c'est à ce titre que je te réponds
Je suis étonnée que tu présentes ton problème comme "risible" et "dérisoire". L'esprit est une matière complexe, subtile, qui peut faire beaucoup souffrir, et il n'y a rien de ridicule là dedans.
Tu dis avoir une bonne hygiène de vie, est-ce que cela inclue que tu as arrêté le mdma ? Tu dors bien ? Tu manges bien ?
Tu dis que ton mépris des femmes a commencé à s’échafauder à la lecture de Nietzsche. Bon, même si je n'ai lu que les sommaires (my bad ^^ on peut pas être partout...), on est d'accord que Nietzsche n'est pas parmi les auteurs en paix avec la gent féminine.
- Si la lecture de Nietzsche t'a influencé, ne pourrais-tu pas contrebalancer ces lectures par d'autres, asiatiques par exemple, qui présentent l'homme et la femme comme harmonieusement complémentaires, possédant leur qualité propre ? Là comme ça je n'ai pas de titre en tête mais si ça me vient je t'en donnerai.
- Ne trouverais-tu pas du répit à regarder les femmes non plus comme des femmes mais comme des personnes ? Ne serait-ce pas ainsi une bonne façon de ré apprécier leurs qualités ?
- Te faire un "hall of fame" des femmes à qui tu trouves des qualités, dans ta famille, ou dans tes lectures, ou dans le cinéma, ou ailleurs ?
- Est ce que tu revis l'histoire de ton père et tu t'empêches d'être heureux avec une femme parce que lui ne semble pas être heureux ?
- Ce mépris ne serait-il pas la cristallisation de difficultés dans la désignation d'un coupable ? La cristallisation des angoisses dont tu dis souffrir ? Est-ce que, en agissant pour apaiser ces angoisses, ce mépris ne s'apaiserait-il pas tout seul ?
D'autant qu'au fond, tu sais bien ne pas croire à ce mépris des femmes puisque tu rêves d'une relation profonde et aimante.
Voilà les premières choses qui me viennent en tête. Plutôt comique que ce soit une femme qui te réponde en premier mais d'autres avis éclairés masculins suivront surement bientôt ^^
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- [0] Encore le 20.03.15, 22h56 par Nicophil
La 1ère clé est là.Ne trouverais-tu pas du répit à regarder les femmes non plus comme des femmes mais comme des personnes ? Ne serait-ce pas ainsi une bonne façon de ré apprécier leurs qualités
A partir du moment où on regarde les femmes comme simplement des personnes, ça enlève toute idée de catégorisation foireuse et/ou méprisante.
Autres clés:
Le pardon.
Pardonner à ceux qui t'ont blessé/humilié lorsque tu étais en surpoids.
Le recul.
Relativiser ce que tu as ressenti à ce moment là. Peut-être étais-tu particulièrement à vif? Peut-être n'avais-tu pas de recul sur les moqueries que tu subissais?
Les enfants et adolescents sont souvent violent et sadique. Ils cherchent en fait à se rassurer en exorcisant leurs propres insécurités par la moquerie et l'humiliation des autres. Quelqu'un de positif et bien dans ses baskets ne va pas perdre son temps à se moquer des autres et leur faire du mal. C'est avant tout parce qu'ils sont eux-mêmes mal dans leur peau qu'ils font cela.
Et quand tu comprends cela, tu te dis qu'en fait les moqueries ne pouvaient avoir aucune incidence sur ta vraie valeur.
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- [+1] Absolument le 17.03.15, 18h32 par Rickhunter