J'étouffe, mais je l'aime.
Bonjour à vous.
Je suis avec mon copain depuis environ six mois. Au début, tout allait bien, et très vite. Mais depuis deux mois environ, l'enfer s'installe pour moi.
J'oscille entre les interdictions, et les devoirs. (Oui, normalement on parle de droits, mais il ne connait pas ce mot.)
_J'ai des horaires à respecter pour chaque chose.
_Je n'ai pas le droit de chanter du tout, ou de jouer de la guitare quand je veux.
_Je n'ai pas le droit d'écouter ma musique, je dois le suivre comme un chien, faire l'amour quand IL veut, m'habiller comme-ci, comme-ça.
_Je n'ai pas le droit de voir des amis masculins. Ni même avec lui, "c'est trop risqué".
_Je dois boire ça, et manger ça.
_Prendre du poids (je n'y parviens pas).
_Faire un enfant, malgré nos pauvres situations instables (pas fini mes études, lui pas de boulots, pas de logement adéquate...) Je prends donc ma pilule en cachette car je ne veux pas élever un enfant dans de telles conditions, et puis je ne suis pas assez stable émotionnellement, et lui non plus. L'enfant souffrirait trop, mais il veut son mini-lui.
_Quand je ne veux pas faire l'amour, il me drogue (pas des joints)...
C'est un enfer, une prison.
le problème, c'est que, comme un prisonnier d'une prison carcérale, j'ai voulu ma liberté.
Comme un prisonnier carcéral, Je l'ai fait dans le dos du "chef".
Vous voyez de quoi je parle...
J'y ai pris goût. Un libertin, je l'aime, et j'aime savoir qu'il prend aussi son pied avec d'autres, tant qu'il se plait avec moi. Et puis une fille aussi, libertine aussi. Et puis ça va s'enchaîner. Des promesse de réaliser mes fantasmes, c'est beau, mais pas si raisonnable quand on est en couple (je me protège toujours).
Comme je le dis, je ne mens pas en disant que je suis fidèle, non.
Je suis fidèle à ma liberté.
Mais quel choix faire ?
_Essayer de lui expliquer qu'il en fait de trop, dans un espoir de le garder, changé, puis abandonner mes partenaires d'évasion ?
_Le quitter en attendant LA rencontre, tout en craignant sa vengeance ?
Dans la première hypothèse, j'ai peur du "changer", car pour moi, dans la plus part des cas, une personne ne se change pas. C'est juste une personnalité à affirmer, enfin c'est ce que je pense (je l'ai laissé devenir lui-même avec moi, voilà le résultat...). Donc si il change, il y a de grandes chances que ce soit provisoire...
Je suis perdue, vraiment. J'ai l'impression de dériver. Je ne sais plus qui je suis, où je vais.
Merci d'avoir pris le temps de me lire.
Je suis avec mon copain depuis environ six mois. Au début, tout allait bien, et très vite. Mais depuis deux mois environ, l'enfer s'installe pour moi.
J'oscille entre les interdictions, et les devoirs. (Oui, normalement on parle de droits, mais il ne connait pas ce mot.)
_J'ai des horaires à respecter pour chaque chose.
_Je n'ai pas le droit de chanter du tout, ou de jouer de la guitare quand je veux.
_Je n'ai pas le droit d'écouter ma musique, je dois le suivre comme un chien, faire l'amour quand IL veut, m'habiller comme-ci, comme-ça.
_Je n'ai pas le droit de voir des amis masculins. Ni même avec lui, "c'est trop risqué".
_Je dois boire ça, et manger ça.
_Prendre du poids (je n'y parviens pas).
_Faire un enfant, malgré nos pauvres situations instables (pas fini mes études, lui pas de boulots, pas de logement adéquate...) Je prends donc ma pilule en cachette car je ne veux pas élever un enfant dans de telles conditions, et puis je ne suis pas assez stable émotionnellement, et lui non plus. L'enfant souffrirait trop, mais il veut son mini-lui.
_Quand je ne veux pas faire l'amour, il me drogue (pas des joints)...
C'est un enfer, une prison.
le problème, c'est que, comme un prisonnier d'une prison carcérale, j'ai voulu ma liberté.
Comme un prisonnier carcéral, Je l'ai fait dans le dos du "chef".
Vous voyez de quoi je parle...
J'y ai pris goût. Un libertin, je l'aime, et j'aime savoir qu'il prend aussi son pied avec d'autres, tant qu'il se plait avec moi. Et puis une fille aussi, libertine aussi. Et puis ça va s'enchaîner. Des promesse de réaliser mes fantasmes, c'est beau, mais pas si raisonnable quand on est en couple (je me protège toujours).
Comme je le dis, je ne mens pas en disant que je suis fidèle, non.
Je suis fidèle à ma liberté.
Mais quel choix faire ?
_Essayer de lui expliquer qu'il en fait de trop, dans un espoir de le garder, changé, puis abandonner mes partenaires d'évasion ?
_Le quitter en attendant LA rencontre, tout en craignant sa vengeance ?
Dans la première hypothèse, j'ai peur du "changer", car pour moi, dans la plus part des cas, une personne ne se change pas. C'est juste une personnalité à affirmer, enfin c'est ce que je pense (je l'ai laissé devenir lui-même avec moi, voilà le résultat...). Donc si il change, il y a de grandes chances que ce soit provisoire...
Je suis perdue, vraiment. J'ai l'impression de dériver. Je ne sais plus qui je suis, où je vais.
Merci d'avoir pris le temps de me lire.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Fuyez, pauvres fous ! le 28.03.15, 23h19 par MaryeL
- [0] le 29.03.15, 14h46 par deparisien
- [0] Fuyez, pauvres fous ! le 03.04.15, 20h54 par TheMoineauCore
Ce mec est un malade. Et il ne changera pas.Loading a écrit : _Essayer de lui expliquer qu'il en fait de trop, dans un espoir de le garder, changé, puis abandonner mes partenaires d'évasion ?
_Le quitter en attendant LA rencontre, tout en craignant sa vengeance ?
Dans la première hypothèse, j'ai peur du "changer", car pour moi, dans la plus part des cas, une personne ne se change pas. C'est juste une personnalité à affirmer, enfin c'est ce que je pense (je l'ai laissé devenir lui-même avec moi, voilà le résultat...). Donc si il change, il y a de grandes chances que ce soit provisoire...
S'il doit y avoir un changement, il le fera de lui-même, ça ne viendra pas de toi.
Donc sérieusement quitte-le avant qu'il découvre que tu l'aies trompé et qu'il t'en colle une.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] 100% d'accord le 28.03.15, 14h25 par voucny
Je vais essayer de rester constructive et objective mais à te lire c'est juste tous mes organes qui disent "il faut qu'elle paaaarte, viiite"
Tu es jeune, tu n'es avec lui que depuis 6 mois. Qu'est ce qui te retient de partir ? La peur des représailles ? Une mauvaise estime de toi qui te fais croire que tu ne trouveras pas mieux ? Les mots de réconfort qu'il te dit après t'avoir tout interdit ? L'impression d'être importante aux yeux de quelqu'un puisqu'il met tant d'efforts à te garder ? Essaye de réfléchir à ça.
Tu te demandes si tu pourrais modifier votre relation. Pour l'avenir, je t'encourage à te demander pourquoi tu as accepté que la situation devienne ce qu'elle est. Pour aujourd'hui, est-ce que tu as déjà essayé de discuter avec lui des points que tu n'acceptes pas ? Comment ça s'est passé ?
As-tu tellement peur que tu n'oses pas ouvrir le dialogue ? Ou bien s'est-il montré menaçant, autoritaire ?
Toi même tu nous écris que tu ne crois pas à ce changement. C'est homme, qui est un adulte et donc responsable de ses actes, te fais déjà vivre un enfer. Au bout de seulement 6 mois. Il t'impose sa volonté, il nie ta personne, il dispose de ton corps (ce qui est autant gerbant qu'illégal, la loi est de ton côté sur ce coup là). Sérieusement c'est quoi la suite ? Visiblement, je m'avance peut-être, il n'y a aucune possibilité de dialogue, de communication, d'entente. Que peut-on espérer de positif dans ces conditions ? Et surtout pourquoi s'imposer si jeune une relation si merdique alors que tu as la vie devant toi ?
Tu peux avoir confiance dans la suite, des types mieux que celui là il y en a à la pelle !
Si tu as peur de sa vengeance si tu pars, tu peux te protéger :
En premier lieu en restant très très ferme sur ta décision pour diminuer au minimum les occasions qu'il reprenne de l'ascendant sur toi.
Tu peux rompre par lettre ou dans un lieu public avec des amis pas loin pour être certaine que sa colère ne tombe pas sur toi.
Tu peux partir sans laisser d'adresse, et changer de téléphone si il commence à te harceler.
Si tu ne peux pas partir sans qu'il sache où tu es, as-tu des amis ou de la famille à qui tu pourrais exposer le problème et avec qui tu pourrais rester un temps pour ne pas être seule ?
A la moindre menace qu'il te fait ou harcèlement par téléphone tu peux aller déposer une main courante au commissariat. Ce n'est pas une plainte mais si la situation venait à s'empirer ça t'aidera à te protéger.
Enfin un dernier conseil que j'avais lu ici, peut-être de Blusher je sais plus : écrit ce qu'il te fait vivre et demande à une amie de te le lire à haute voix, comme si il s'agissait de son histoire. Que lui conseillerais-tu ? Quel serait ton avis ?
Tu es jeune, tu n'es avec lui que depuis 6 mois. Qu'est ce qui te retient de partir ? La peur des représailles ? Une mauvaise estime de toi qui te fais croire que tu ne trouveras pas mieux ? Les mots de réconfort qu'il te dit après t'avoir tout interdit ? L'impression d'être importante aux yeux de quelqu'un puisqu'il met tant d'efforts à te garder ? Essaye de réfléchir à ça.
Tu te demandes si tu pourrais modifier votre relation. Pour l'avenir, je t'encourage à te demander pourquoi tu as accepté que la situation devienne ce qu'elle est. Pour aujourd'hui, est-ce que tu as déjà essayé de discuter avec lui des points que tu n'acceptes pas ? Comment ça s'est passé ?
As-tu tellement peur que tu n'oses pas ouvrir le dialogue ? Ou bien s'est-il montré menaçant, autoritaire ?
Toi même tu nous écris que tu ne crois pas à ce changement. C'est homme, qui est un adulte et donc responsable de ses actes, te fais déjà vivre un enfer. Au bout de seulement 6 mois. Il t'impose sa volonté, il nie ta personne, il dispose de ton corps (ce qui est autant gerbant qu'illégal, la loi est de ton côté sur ce coup là). Sérieusement c'est quoi la suite ? Visiblement, je m'avance peut-être, il n'y a aucune possibilité de dialogue, de communication, d'entente. Que peut-on espérer de positif dans ces conditions ? Et surtout pourquoi s'imposer si jeune une relation si merdique alors que tu as la vie devant toi ?
Tu peux avoir confiance dans la suite, des types mieux que celui là il y en a à la pelle !
Si tu as peur de sa vengeance si tu pars, tu peux te protéger :
En premier lieu en restant très très ferme sur ta décision pour diminuer au minimum les occasions qu'il reprenne de l'ascendant sur toi.
Tu peux rompre par lettre ou dans un lieu public avec des amis pas loin pour être certaine que sa colère ne tombe pas sur toi.
Tu peux partir sans laisser d'adresse, et changer de téléphone si il commence à te harceler.
Si tu ne peux pas partir sans qu'il sache où tu es, as-tu des amis ou de la famille à qui tu pourrais exposer le problème et avec qui tu pourrais rester un temps pour ne pas être seule ?
A la moindre menace qu'il te fait ou harcèlement par téléphone tu peux aller déposer une main courante au commissariat. Ce n'est pas une plainte mais si la situation venait à s'empirer ça t'aidera à te protéger.
Enfin un dernier conseil que j'avais lu ici, peut-être de Blusher je sais plus : écrit ce qu'il te fait vivre et demande à une amie de te le lire à haute voix, comme si il s'agissait de son histoire. Que lui conseillerais-tu ? Quel serait ton avis ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 le 28.03.15, 14h31 par tibdeconne
- [+1] Constructif le 29.03.15, 18h53 par Semoal
Merci beaucoup à vous deux. j'avais un grand besoin d'ouvrir les yeux, la tête enfouie dans cette situation.
Le truc, c'est qu'en réalité, je suis très fragile et empathique. Je sors de trois ans et demie d'hospitalisation psy, et il le sait très bien.
Il sait que quand il me dit qu'il ne pourrait pas vivre sans moi, ça me force à me -tenez vous bien- persuader moi-même que j'ai aussi besoin de lui, et que je l'aime.
Je suis trop influençable, c'est une horreur. Je ne sais plus quand c'est vraiment moi qui pense.
Il a une emprise sur moi, et j'ai besoin de force pour lui dire mes quatre vérités. J'ai surtout besoin de soutient. Quelques personnes sont au courant, par observation, et surtout car quand ils m'envoient des sms pour des nouvelles et qu'au bout de trois jour, je réponds juste "prison", ils ne règlent rien, c'est juste "largue le et viens avec moi, tu sais que je t'aime". Mais moi j'veux pas.
Pas avec le premier venu, sans réfléchir.
Je me suis trompée une fois, je ne veux pas recommencer.
Je crois que je vais faire une pause "prise de recul" après la rupture. Oui j'avais besoin ne serait-ce que de deux messages externes pour m'en rendre compte.
Le truc, c'est qu'en réalité, je suis très fragile et empathique. Je sors de trois ans et demie d'hospitalisation psy, et il le sait très bien.
Il sait que quand il me dit qu'il ne pourrait pas vivre sans moi, ça me force à me -tenez vous bien- persuader moi-même que j'ai aussi besoin de lui, et que je l'aime.
Je suis trop influençable, c'est une horreur. Je ne sais plus quand c'est vraiment moi qui pense.
Il a une emprise sur moi, et j'ai besoin de force pour lui dire mes quatre vérités. J'ai surtout besoin de soutient. Quelques personnes sont au courant, par observation, et surtout car quand ils m'envoient des sms pour des nouvelles et qu'au bout de trois jour, je réponds juste "prison", ils ne règlent rien, c'est juste "largue le et viens avec moi, tu sais que je t'aime". Mais moi j'veux pas.
Pas avec le premier venu, sans réfléchir.
Je me suis trompée une fois, je ne veux pas recommencer.
Je crois que je vais faire une pause "prise de recul" après la rupture. Oui j'avais besoin ne serait-ce que de deux messages externes pour m'en rendre compte.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 28.03.15, 15h26 par voucny
- [0] Courage le 28.03.15, 15h27 par tibdeconne
- [0] le 30.03.15, 01h03 par Blusher
Tu en es où à l'heure actuelle au niveau psy? Tu prends des médocs? Tu fais une thérapie?Loading a écrit :Merci beaucoup à vous deux. j'avais un grand besoin d'ouvrir les yeux, la tête enfouie dans cette situation.
Le truc, c'est qu'en réalité, je suis très fragile et empathique. Je sors de trois ans et demie d'hospitalisation psy, et il le sait très bien.
Bon courage à toi.
Comme tu es consciente d'être influençable, je pense que c'est bien que tu fasses cette pause "prise de recul".
Le temps de te construire, de prendre tes marques, de t'affirmer, de savoir ce que tu veux et ce que tu ne veux pas, et de t'entourer des bonnes personnes.
Tu as toujours un suivi psy maintenant ? Parce que c'est le genre de chose dont tu pourrais parler au fur et à mesure, pour t'aider à déceler les situations "qui puent" et à éviter les mauvaises personnes.
Je ne connais pas les personnes qui te disent "largue le viens avec moi, je t'aime", mais ça sent un peu les mecs en mal de copine près à jouer du "je suis pas comme lui" pour se faire bien voir.
Prends soin de toi
Comme tu es consciente d'être influençable, je pense que c'est bien que tu fasses cette pause "prise de recul".
Le temps de te construire, de prendre tes marques, de t'affirmer, de savoir ce que tu veux et ce que tu ne veux pas, et de t'entourer des bonnes personnes.
Tu as toujours un suivi psy maintenant ? Parce que c'est le genre de chose dont tu pourrais parler au fur et à mesure, pour t'aider à déceler les situations "qui puent" et à éviter les mauvaises personnes.
Je ne connais pas les personnes qui te disent "largue le viens avec moi, je t'aime", mais ça sent un peu les mecs en mal de copine près à jouer du "je suis pas comme lui" pour se faire bien voir.
Prends soin de toi
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] 100% d'accord le 28.03.15, 16h21 par tibdeconne
Oui, j'ai toujours un suivi, enfin... j'avais trois RDVs cette semaine. Je les ai tous loupés, car pas dans mon assiette, je n'ai pas réussi à "penser" à y aller. Juste à glander, sans même réellement dormir, juste errer. Je dois reprendre un RDV.
Petite précision, on s'est rencontrés en institut psy. Il était là pour alcool, drogues, et violence. Son psychiatre a avoué avoir peur de lui... "J'ai peur que vous vous leviez pour me frapper."
Petite précision, on s'est rencontrés en institut psy. Il était là pour alcool, drogues, et violence. Son psychiatre a avoué avoir peur de lui... "J'ai peur que vous vous leviez pour me frapper."
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- [0] OMG le 28.03.15, 16h58 par tibdeconne
- [0] Bonne idée le 28.03.15, 17h00 par Spongebob
Reprend ton suivi CMP / autre suivi mis en place. C'est le meilleur conseil qu'on puisse te donner.
Parle leur de tout ca. Y'a des chances pour qu'ils te disent des choses sur la même longueur d'onde qu'ici, mais avec les orientations adéquates : reprise rdv psychologue/psychiatre si besoin pour ttt/réorientation sur un psychologue "spécialisé" dans les relations de couple (pas forcément un rendez-vous a 2, au contraire, deja voir TOI comment ca se passe ).
Rien que parler de tout ca et de voir qu'on peut être empathique ca t'aidera à prendre le bon bout.
Appuie toi sur tes amis/famille par la suite aussi.
Et oublie pas que t'as 20 ans, t'as toute la vie devant toi (j'ai le même âge, jsuis pas crédible surement
)
Parle leur de tout ca. Y'a des chances pour qu'ils te disent des choses sur la même longueur d'onde qu'ici, mais avec les orientations adéquates : reprise rdv psychologue/psychiatre si besoin pour ttt/réorientation sur un psychologue "spécialisé" dans les relations de couple (pas forcément un rendez-vous a 2, au contraire, deja voir TOI comment ca se passe ).
Rien que parler de tout ca et de voir qu'on peut être empathique ca t'aidera à prendre le bon bout.
Appuie toi sur tes amis/famille par la suite aussi.
Et oublie pas que t'as 20 ans, t'as toute la vie devant toi (j'ai le même âge, jsuis pas crédible surement

J'ai arrêté mes médocs sur un coup de tête. J'avais plus grand chose, juste un AD, du lithium, et un anxio. J'en avais 9 de plus avant.tibdeconne a écrit :Tu en es où à l'heure actuelle au niveau psy? Tu prends des médocs? Tu fais une thérapie?
La thérapie, je voulais tester la TCC, mais pas avant... Pfiou. Ils sont surbookés. L'idéal serait une TCD, mais y'en a pas chez moi.
Alors j'ai du blabla, mais c'est moi qui mène la danse... Ma psychiatre est dépitée, je la mène à la baguette, quand à la psychologue... Bref.
J'avais pas lu la question entièrement, pardon.
Ouais, je vais voir pour la thérapie de couple. Je dois déjà faire une thérapie familiale, ma psy m'a donné un carton avec un numéro, ils font aussi les couples.SpookyBall a écrit :Reprend ton suivi CMP / autre suivi mis en place. C'est le meilleur conseil qu'on puisse te donner.
Parle leur de tout ca. Y'a des chances pour qu'ils te disent des choses sur la même longueur d'onde qu'ici, mais avec les orientations adéquates : reprise rdv psychologue/psychiatre si besoin pour ttt/réorientation sur un psychologue "spécialisé" dans les relations de couple (pas forcément un rendez-vous a 2, au contraire, deja voir TOI comment ca se passe ).
Rien que parler de tout ca et de voir qu'on peut être empathique ca t'aidera à prendre le bon bout.
Appuie toi sur tes amis/famille par la suite aussi.
Et oublie pas que t'as 20 ans, t'as toute la vie devant toi (j'ai le même âge, jsuis pas crédible surement)
Merci.

TCD kezako? Et tu habites où pour avoir que des psys surbookés ?Loading a écrit : La thérapie, je voulais tester la TCC, mais pas avant... Pfiou. Ils sont surbookés. L'idéal serait une TCD, mais y'en a pas chez moi.
Alors j'ai du blabla, mais c'est moi qui mène la danse... Ma psychiatre est dépitée, je la mène à la baguette, quand à la psychologue... Bref.
J'avais pas lu la question entièrement, pardon.