Dimanche dernier j'ai profité du très beau temps pour aller faire un tour au Tuileries (j'y étais de 10h à 13h30 environ). En dehors des filles qui m'ont ignoré ou jeté rapidement, j'en ai abordé trois :
J'aborde la première, petite brune 25 ans avec un sac Gibert, sous les arcades de la rue de Rivoli. Approche directe "vous êtes très jolie" et perdant courage je m'éloigne. Je la retrouve 15 minutes plus tard sur une chaise dans le jardin. Je m'installe et on discute un peu. Elle est étrangère étudiante à Paris. Elle semble mal à l'aise et part faire l'ouverture du Musée d'Orsay (11 heures) sans me donner ses coordonnées.
La deuxième fait des photos en jupe plissée. 25 ans, très élégante. Je l'aborde quant elle quitte le jardin vers le bord de l'eau. Approche indirecte sur la photo et l'art. Elle semble enchantée de me parler. Elle étudie l'art en province mais elle sera de retour à Paris dans quelques semaines. Elle me quitte pour aller déjeuner mais je prends son mail et nous échangeons quelques messages dans la journée.
Un dimanche aux Tuileries
J'aborde la troisième dans l'allée centrale du jardin. Je la complimente sur sa tenue, lui demande d'où elle vient, et rapidement elle accepte un café au soleil. Elle fait 28-30 ans mais elle en a 35. Elle est designer/artiste, à Paris pour trois mois pour une sorte de stage. Elle est assez sèche dans ses réponses mais je l'intéresse assez pour qu'elle me donne sa carte avant de repartir visiter le Louvre.
Nous dînons ensemble le lendemain (kiss close devant Notre Dame) et le samedi suivant (elle dort chez moi).
Nous dînons ensemble le lendemain (kiss close devant Notre Dame) et le samedi suivant (elle dort chez moi).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Sympa :) le 26.04.15, 17h36 par Olfff
- [0] Bien joué le 26.04.15, 22h30 par Orwind
- [0] Cool le 27.04.15, 00h56 par Jokest
de retour sur ce forum 10 ans après mon dernier message (et 11 lays, environ un par an pour garder la main), pour raconter mon SDL de samedi.
Or donc j'arrive samedi soir vers 19 heures à Châtelet. J'aborde plusieurs jeunes femmes sans grand succès. Devant Beaubourg une jeune fille élégante en robe noire rentre d'un dîner. Je la complimente et on discute 10 minutes, mais elle n'est à Paris que pour un mois et ne veut pas laisser son numéro.
Un peu plus tard j'intercepte une autre, 25 ans, également en robe noire, qui rentre avec ses courses. Elle a l'air intéressée : "je vois quelqu'un mais on pourra prendre un café", et me donne son numéro. Juste après j'aborde une jeune femme de 30 ans qui descend vers la Seine. Très réactive, elle commence à me poser des questions directes et me propose de l'accompagner voir le coucher de soleil sur la Seine (il est 21 heures). Elle est à Paris pour un mois pour un stage. On discute sur le pont et je lui propose de finir la soirée chez moi. Elle accepte. On rentre en taxi et malgré une courte LMR elle finit dans mon lit ("car elle n'a pas fait l'amour depuis longtemps"). Je lui appelle un Uber vers minuit.
Or donc j'arrive samedi soir vers 19 heures à Châtelet. J'aborde plusieurs jeunes femmes sans grand succès. Devant Beaubourg une jeune fille élégante en robe noire rentre d'un dîner. Je la complimente et on discute 10 minutes, mais elle n'est à Paris que pour un mois et ne veut pas laisser son numéro.
Un peu plus tard j'intercepte une autre, 25 ans, également en robe noire, qui rentre avec ses courses. Elle a l'air intéressée : "je vois quelqu'un mais on pourra prendre un café", et me donne son numéro. Juste après j'aborde une jeune femme de 30 ans qui descend vers la Seine. Très réactive, elle commence à me poser des questions directes et me propose de l'accompagner voir le coucher de soleil sur la Seine (il est 21 heures). Elle est à Paris pour un mois pour un stage. On discute sur le pont et je lui propose de finir la soirée chez moi. Elle accepte. On rentre en taxi et malgré une courte LMR elle finit dans mon lit ("car elle n'a pas fait l'amour depuis longtemps"). Je lui appelle un Uber vers minuit.