Suit a écrit :Yragael a écrit :Tout comme l'alcool ou le tabac, certains peuvent se boire leur litre de vin le soir sans en ressentir un besoin réellement impérieux à chaque fois, et certains sont alcooliques et ne peuvent pas s'en passer.
Mouais... Sauf que dans ton exemple, le mec qui boit 1L de vin tous les soirs, il en ressent peut-être pas le besoin (lol), mais il est alcoolique et sa santé ne va pas y résister bien longtemps.
De la même façon, un type qui se masturbe quatre fois par jour et a une vie sexuelle épanouie, ça doit pas courir les rues.
Je parlais surtout de l'approche de l'addiction plus que des conséquences sur la santé.
Mais mon exemple est mauvais tu as raison, ce que j'essaye de dire c'est qu'en substance et c'est prouvé scientifiquement d'ailleurs, que l'addiction est bien plus souvent du à une prédisposition physiologique qu'à l'acte addictif en lui même.
Si vous préféré il faut prendre l'exemple des joueurs de poker ou les personnes qui aiment aller dans les casinos, certains irons par plaisir réel, sauront se limiter et auront un rapport sain avec le jeu. Alors que d'autres seront dans l'addiction de l'attente de la victoire jusqu'à dilapider toutes leurs économies.
Le jeu et l'acte fondamentalement est le même, mais l'un est prédisposé à l'addiction. C'est aussi le cas pour les sports extrême le même phénomène se retrouve là aussi.
Pour toutes ces personnes l'une des méthodes qu'on trouve, reste de se trouver des activités, pour s'apporter sa dose d'endorphine par d'autres vecteurs.
Car ces prédisposition sont du à un déséquilibre hormonale, le cerveau produit plus d'adrénaline en cas de besoin, et donc plus d'endorphine pour contre balancer, et du coup l'effet physiologique de manque ce créer, et le stimulus le plus efficace que l'inconscient connait pour susciter cette production est alors reproduite autant de fois que possible, ce qui amène à un comportement d'addiction. Le truc c'est d'apprendre au cerveau à produire ces doses par des pratiques et des vecteurs différents.
Bon là je ne suis pas médecin, le mieux reste de consulter un professionnel. Au final.