{…UFO} Director's Cut

Note : 69

le 16.03.2012 par Mr.Smooth

205 réponses / Dernière par Mr.Smooth le 20.08.2015, 21h02

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
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La flemme et la faim

Il est souvent malaisé d'expliquer l'envie d'écrire. Je m'étais promis de dépoussièrer une Neme fois ce machin mais je dois avouer que sitôt promis, des choses ont menées à d'autres et l'oubli et la sainte flemme sont très rapidement descendues me convaincre d'en faire du que nenni.

J'ai passé une soirée intéressante. Il y a avais là un monsieur brillant qui affirmait non sans un effet pince sans rire, que pour écrire, il fallait avoir faim. Vivre en bohème. La frustration est aborée dans nos discours mais est souvent l'un des plus puissants ressorts de la créativité; entres autres.
Hemingway pourrait vous en parlez. Il pourrait vous en parler à tel point que s'en étant rendu compte, il a éparpillé le contenu de son crâne à coup chevrotine XXL C'est une belle mort. Une mort de bonhomme.
Quand Hemingway n'a plus eu faim, il a arrêté d'écrire. Il a arrêté tout court en fait.

Bon. Sur FTS, quand un type arrête d'avoir faim, il arrête d'écrire. Cellar Door n'écrit plus sur son journal depuis qu'il a réglé ce qu'il pensait être un problème avec les filles, et j'ai fait pareil.
Alors quoi, pour écrire il faudrait être malheureux? Une peine de coeur ou les roubingolles coincées dans une meule?
Découvrons le ensemble, à la limite. Je suis un mec désormais heureux. Et je n'ai absolument rien de coincé dans des meules ou quoi que ce soit, par ailleurs.


Je me souviens avoir écrit sur un passage arraché de ce journal (l'épisode d'Albertine dont je n'ai au demeurant jamais raconté la triste fin) qu'écrire sur le bonheur étaint chiant. Que je n'écrirais jamais sur le vague contentement de la vie car ça n'interessais personne.
Je pense avoir eu tort.
Je vais essayer de me faire mentir.

Quand j'écrivais ce morceau arraché de mon journal, c'était quelques heures avant de sombrer définitivement dans le bordel que je m'étais crée avec la fameuse Albertine. J'étais sur les hauts de Cala Rossa en Corse du Sud, dans une maison au luxe insolent.
J'étais encore terriblement et fatalement romantique, et j'annonçais avec un demi recul et une semie ironie, à ma mère et ses amis chez lesquels nous étions là invités , que j'allais "me faire calciner ce qui me restait de coeur". J'avais annoncé ça en riant, comme si j'allais chercher le pain.

J'étais revenu perforé. Je ne dormais pas. Il était 4h du matin et une douleur blanche, baroque et continue s'était répandue dans mon crâne. Mon esprit vibrait.
Je me souvient. C'était ridicule.
J'insultais les étoiles, l'univers.
J'aurais tué l'immobilisme du cosmos.
J'échouais. J'étais échoué dans ma conception du monde. J'échouais une année de droit. J'échouais dans mon progrès et mes illusions. J'échouais sur un transat au bord d'une piscine d'une maison au sommet de Cala Rossa et la beauté de la nuit me narguait (les égocentrés en action)

Etrange impression que de revenir sur les abords de cette piscine sur le même meuble qui avait supporté ma chute mentale. (ou ma mise en scène si je devais appliquer mon propre recul sur cet épisode) Le temps passe, mais la mémoire est un amas buissonnant et protéiforme, et il y a des lieux ou des sourires qui sont aussi long que des années.

Je me suis alors souvenu que j'avais encore faim. Et que je voulais écrire.
Il y avait donc ce soir un monsieur brillant et des petits fours. Ce soir comme tout les soirs depuis plus d'un an je suis calme et heureux.
Je dois avouer que la nuit n'en était pas moins belle.
C'est une erreur de penser qu'il faut souffrir pour vivre des choses profondes ou chouettes.

Aller, c'est reparti.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] La suite, vite ! le 15.08.15, 12h38 par amelia
Wesh Wesh intro qui sert à rien

Vous êtes vous déja relu? Moi oui. Quand je relis mon premier journal, j'y vois un mec assez chiant. Parfois je suis surpris de la patience dont les gens ont fait preuve ici, d'autant plus pour ceux qui me connaissent en vrai.
Et puis, que de passions! Que de passions pour pas des pas grands choses, et maintenant que les filles ne sont donc pas un problème c'est dommage de ne plus rien raconter.

Bon, je ne dit pas détenir la vérité absolue hein, je suis pris entre une espèce d'humilité globale devant mon minuscule et l'envie de dire ce que je pense vraiment.
Si j'écrivais tout ce que je pensais, je serais bon pour les gémonies ou la maison de repos.
Enfin bref.

Dans la série d'épisode qui suit, je vais raconter comment je me suis mis à en avoir rien à faire, et accepter le fait que j'étais devenu fort et heureux (même si ça ne se dit pas à ce qu'il paraît) Au niveau des filles, ça se traduit par un rien à foutre global et des explosions sensorielles parfois vraiment stylées
Et puis comme ça j'aurais la trace de tout ça.
Peut être qu'en me lisant dans deux ans je me trouverais un peu chiant et ridicule aussi et que j'en rierais bon coeur comme là maintenant.

On ne va respecter l'ordre chronologique. J'essaie de vous retrouver le moment ou il m'est apparu que je n'avais pas de problème avec les filles et que les bons moment suffisaient aux bons moments. Que je n'avais besoin de personne, même si la nana en face est d'une beauté assez édifiante.


Ah. Oui. C'était il y a à peine un mois et demi, dans un pince fesse mondain à Paris. J'appellerais ça de la séduction hyper sociale.
Moi, j'ai l'habitude de rencontrer les gens en dehors de leur milieux en les extirpant de tout ça, via les sites de rencontres. Alors on ce moque parfois:
"Et celle là Smooth, c'est encore du adopte haha?"
"Ouais Ouais" et vous me reverriez faire un moue d'enfant contrarié.

Mais vous savez, j'en rencontre partout des filles! Et même dans des expo dans des sex shops, avec les mères des protaganistes présentes et tout et tout.

Les pinces fesses et les bras

Les pinces fesses mondains sont une drôle d'expérience.
Pour organiser un pince fesse, il faut avoir un prétexte d'abord.
Le genre de truc qui peut sortir convenablement de la bouche de la bourgeoisie Parisienne en disant qu'elle à "A-do-ré".
Ensuite, il faut des gens avec de l'argent, les mélanger avec des artistes et des quidams qui se veulent cultivés.
Il faut alors arroser le tout à coup de coupes de champagnes (sinon les gens ne se parlent pas), et des macarons. Les macarons sont un prétexte génial pour socialiser: comment vous n'avez pas gouté à ceux à la framboise?
Ca sauve parfois des blancs incomfortables qui se créent entre les mères de 50 ans qui ont fini de parler de leur métier respectif.

Les coupes de champagne sauvent aussi d'un autre détail qui tue. . Les bras. Durant les pince fesse, on ne sait que faire de ses bras. C'est étrange cette impression d'avoir greffé à ses épaules deux extrémités balantes et inutiles. Les bras ne servent à rien durant les mondaineries, sauf a appuyer sur l'épaule de celui qui sort un blague pas trop pourrie quand on a bu du mousseux.

Ca vous arrivera aussi, ne vous moquez pas.
Imaginez vous arriver dans une expo; au dessus d'un sex shop donc, parce que ça fait encore plus genre. Vous ne connaissez que l'artiste qui expose, et votre mère qui est là, avec vous.
Dès que l'on rentre, on sait qu'on a un nombre limité de joker d'activités à utiliser: à savoir faire trois fois le tour des photos de nus (vraiment super chouettes d'ailleurs) qui sont exposées ou aller voir l'exposante (qui est overbookée).
Et puis sans abus d'ailleurs car user trop de l'option 1 vous fera passer pour un autiste esthète tournicotant, et l'option deux pour une personne autiste et collante.

J'avais un peu épuisé l'option 1 (ça faisais déjà trois tours dans la petite salle en faisant bien mine de m'intéresser à tout les détails des photographies) et j'ai commencé a sentir mes bras inutiles.
Je ne bois pas d'alcool en dehors des soirées chaotiques avec Cellar ou Holden, à cause des calories et tout.(alors que je suis revenu de Marseille pesant 64 kilos pour 1m83)
Tout le monde avait des coupes à la main et je me suis senti gauche en affichant un gros sourire. J'ai commencé à parler à des mères car je me débrouille très bien avec elles.


J'ai toujours du mal à aller voir à brûle pourpoint les belles filles de mon âge car j'ai peur d'être intrussif. Je mets ça sur le compte d'un bonne éducation (de la frousse).

Alors ça parlait de Philippe d'Iribarne et des différences entre la culture améticaine et française. Madame était la mère d'une belle fille qui faisait bien ma taille avec ses talons. Elle portait des longues chaussetes noires design et montantes qui me rappellaient mon aventure avec Lolita.

Ma mère m'avait un peu cramé avec elle quelques minutes auparavant en voulant créer le contact.
Je me baladais entre les photos après avoir dit bonjour à Véro, l'artiste de l'expo (notre ancienne voisinne) et ma mère m'as parachuté dans une conversation de la sorte:

"Oh Smooth, écoutes ça! XXXX (la jolie et grande fille de mon âge) est partie vivre a Miami!!"
Elle avait dit ça en me regardant avec une énorme sourire entendu et candide, comme si c'était extraordinaire et que je devais "ab-so-lu-ment" rébondir dessus avec facilité.
Maman bordel!
Je ne savais pas quoi dire. J'ai ri, et j'ai lâché un très créatif "Ok" que la fille a mal pris à raison. Mais on s'est rabiboché plus tard.

Je parlais de mère en mère, rencontrant une autre petite très sympa quoique pas mon style du tout, que je revois après demain en Corse ici même.

Le retour des Bras qui servent à rien

A ce moment là je sentais la lourdeur de mes bras et j'avais essayé toutes les positions possibles:
-les bras croisés qui vous donnent l'air fermé
-les bras pendant qui vous donnent l'air benêt
-les mains dans les poches qui vous donnent l'air d'un touriste
-les bras dans le dos qui vous donne l'air d'un vieux colonnel
-la solution la moins pire: un bras pendu et un autre qui s'y accroche ce qui vous donne l'air d'un enfant.

J'avais beaucoup discuté et j'en avais marre, alors je me suis résigné à prendre une coupe de champagne. J'avais pu parler avec les enfants de l'exposante qui étaient arrivés J'étais chaud pour parler à un peu tout le monde, on m'avait aussi un bon lot de compliments alors bon.

Coupe de champagne à la main, j'ai vu un mec de 40 ans qui ressemblais à Vincent Cassel (un de mes modèles) à côté de gens avec qui j'avais sympathisé.
Il avait l'air à la fois fun et érudit, alors j'ai partagé avec lui ma théorie sur les bras-qui-ne-servent-à-rien en pince fesse, et de la deuxième utilité des coupes de champagnes.

Il a du trouver que j'avais de l'esprit. Monsieur était professeur de philosophie dans une Université à Milan. On a parlé Italien, du fait que la grande et jolie fille était un ex à lui (quel gout! les intellectuels stylés et esthètes sont mes idoles) et de l'ivresse.

Ce mec était fan de Proust comme moi, et on avait pu faire les gens insuportables en parlant de détails comme les erreurs de Français du Directeur de l'Hôtel de Balbec ou les discours foireux du baron de Charlus ce qui faisait de la Recherche un oeuvre éminnement drôle.

-Ah, mais méfions nous des gens qui n'aiment pas Proust! avait-il lancé.
J'était plutot d'accord.
On avait bien accroché, et il m'avait demandé si j'avais vu des filles qui me plaisaient ici.
-Oui, la fille à la peau miel et aux yeux à la claudia Cardinale. Le typé Italien et ses dérivés m'ont toujours fait fondre.
Et lui répondait: -Moi il y a cette fille la bas. A la peau pâle. La paleur c'est élègant chez les filles. Mais je pense qu'elle est jeune et ses parents sont là.
-
Oh tu sais, la jeunesse. La dernière fille qui m'as fait ressentir un truc fort sensoriellement avait 16 ans et c'était il y a à peine 3 mois.

On a débatu de qui était mieux entre les parisiennes et les italiennes (lui était donc italien) et il m'as invité à sortir en boite ce soir là avec son ex qui avait mon âge et les autres.

La fille de l'exposante est ensuite venu m'inviter une deuxième fois, puis enfin l'ex grande et jolie, mais j'étais foutu de ma séance de sport. J'ai dit que je verrais.

La salle d'exposition se vidait, et la fille au corps miel était toujours là.


Et une potentielle femme de ma vie, une!

A ce moment précis, je passais à côté de Véro qui parlait a ma mère et à d'autres gens. Véro est drôle, énergique, intelligente et elle est très bien conservée (chez les blondes polonaises c'est rare)
Elle disait de ma mère "Elle, c'est ma copine yoga et art, je l'adore"
Et en me prenant "Et lui, c'est le mec brillant qui est son fils, en plus d'être beau comme un dieu".
Véronique à l'art des compliments. Sans blagues.
Une autre mère a commencé à me parler alors:
-Et donc que faites vous dans la vie? Danseur? Je me suis dit avec ma fille que vous aviez un physique de danseur, et la marche aussi.

-J'aurais pu. Mais j'ai vendu mon âme au diable. J'ai fait du droit des affaires et je suis en grande école. J'ai honte mais les finances me parlent. (Ca la fout mal moi qui devait être artiste ou designer).
Mais j'ai pris quelques cours de danse oui.

Ah mais il faut que je te présente à ma fille alors! (plaire aux mères facilite beaucoup les rencontres pour les gens qui ont peur d'être intrusifs comme moi)

On a parlé encore un peu avec tout le groupe, et sa fille est passée à côté.

"Mélissa vient que je te présente"
C'était la fille au corps miel.
Elle était vraiment super belle.
Elle avait a peu près tout ce qui me plait chez une fille physiquement:
Des mains dessinées et fines, un regard expressif et contrasté à la claudia cardinale, un beau parfum, des cheveux éclatants.
Au premier regard Mélissa m'as (tuer) plu.

J'ai vu dans ses yeux que je ne la laissais pas indifférente non plus. On a super bien accroché. Le clos du spectacle: elle était danseuse classique professionnelle.

Le mec à qui appartenait le salon d'exposition (et le sex shop donc) était vraiment très fun et cool. Il a dit un peu à la cantonnade vu qu'il ne restait qu'une grosse dizaine de personne mais en s'addressant à moi et ma mère "Vous voulez voir un truc extraordinaire?"

Il faut être idiot pour répondre non dans ce genre de cas, alors je m'étais retourné vers Melissa en lui répétant "Hé, tu veux voir un truc extraordinaire?"

Elle m'as souri et m'as suivi. On est arrivé dans une salle plus haut dans le noir. Le type a allumé un partie de la pièce, ce qui faisait que l'on apercevait des silhouettes de femmes dans la partie encore sombre.
Elles étaient immobiles.

Le type m'as fait "Ca te dérange pas? Ce sont juste les putes qui attendant là en fait".

J'ai eu un peu peur car voir des gens immobiles comme ça, j'ai tout de suite pensé que ces pauvres femmes étaient sous drogue et que le spectacle était macabre.
Le type a ri de bon coeur, allumé la salle en entier et m'as dit "Tu aurais vu ta tête!"

C'était des poupées gonflables. Des poupées gonflables à genre 10.000 euros. Vraiment. Avec des os en plastique, des articulation et tout le tralala. C'était troublant de réalisme.
Méliassa a ri, et s'est posée sur une brune à 6.000 euros et moi je tatais une blonde à 9.000.
C'était vraiment vachement bien fait.

Bizarre comme endroit pour une première rencontre avec une jeune fille comme ça, mais ça me plaisais.

On est resté un peu a parler avec le mec du sex shop puis on est redescendus.

Je me suis assis et j'ai demandé à cette fille qui me plaisais beaucoup d'avoir l'obligence de m'apporter des macarons à la framboises, parce qu'il fallait les gouter. Vraiment.

Elle me les a apporté avec un sourire qui m'as fait fondre. J'y ai vu que c'était une fille bien, une fille gentille au sens premier du terme.

J'ai parlé de moi parce que je fais ça très bien, et elle avait l'air très intéressée.
J'expliquais que j'étais cynique et que je m'étais inscrit aux Apprentis d'Auteuil pour donner des cours afin faire gendre idéal mais qu'en fait je m'étais mis à adorer ça.
Elle riait beaucoup. Elle était mi juive et pensait que j'étais pareil (quart en fait).

Le temps file toujours un peu trop vite dans ces configurations.
Il était 23h45 et je tombais de fatigue. La reprise du sport. Je n'avais fait de sport depuis 1 ans " Oh, ça ce voit pas tu sais, au contraire".

-Bon, je vais devoir y aller ma chère. Je ne pense pas sortir avec les autres ce soir. Tu sort toi?
-Non, je vais rentrer aussi.
-Tu as un FB?
-Oui mais donne moi ton nom je te rajoute demain -me dit-elle.
On se sépare, je dit au revoir à sa mère et son père.

Je dit a maman sur le chemin de la voiture "Oula, celle là c'est peut être une des femmes de ma vie"

Mais ce n'était pas comme avant.
J'avais l'impression d'avoir retiré tout besoin, et ne restait que l'envie. Melissa était peut être une des femmes de ma vie, mais ce n'était pas grave, j'étais tranquille et juste content de ma soirée.


Le lendemain elle me rajoute, me dit deux mots, me suit sur instagram.
Je la contacte deux jours après de la sorte:
"J'ai vraiment aimé te parler, tu m'as bien plu. Aussi, avais-je envie de te proposer de se revoir autour d'une glace dans un avenir proche. Qu'en dit tu?"
"Oh c'est si gentil! Avec grand plaisir"

Elle me donne son numéro avec le smiley qui fait un bisous.
Je me suis dit que c'était bien parti.

Les mères, et les bâtons dans les roues


Malheuresement, je n'ai jamais revu Melissa. Le jour ou nous devions nous voir, elle est tombé malade. Ma mère organisait une sauterie ou il y avait entre autres Véro et la mère de Mélissa (qui m'as confirmé qu'elle était malade).

J'ai parlé longuemement avec la mère de cette fille qui me plaisait beaucoup. De Proust, de l'amour, des cérébraux. C'était une femme vraiment intéresante. Elle ne me trouvait que des compliments. Elle m'as confié que j'avais bien plu à sa fille aussi mais qu'elle marchais au fuis moi je te suis.
Bordel!
Véro est venue ensuite et elle a proposé en riant qu'elles devraient monter l'association des fans de Smooth. Quelle mondaine! Mais j'avais rougi discrètement.

Enfin bon. Je n'ai pas revu Melissa. Elle m'a reproposé qu'on se revoie le mardi qui suivait mais un autre truc s'est remis en travers de la route(une amie d'enfance qui rentrais d'Europe centrale) et j'ai lâché l'affaire.
Maman pense que sa mère à du lui faire la tête comme ça avec moi (Smoot par ci, Smoot par là) et que ça a du tuer le spontanné. C'est grandement possible.

Je lui ai plu, mais c'est le genre de fille très belle qui doit rencontrer des gens stylés toutes les semaines et je devais être selon elle le mec stylé de la dernière semaine de Juin. Et puis quand on est sur le groupe FB des "Danseurs modèles-photos", je suppose qu'on a un large panel de gens stylés.

Non je ne me descend pas, mais c'est juste qu'il aurait fallu qu'on se revoie après comme prévu, mais la vie est fait très à propos d'imprévus. Le sort en est jeté, ça ne me dérangeais pas.
Je rencontrerais des tas d'autres femmes de ma vie. Etre sous le charme n'empêche pas de rester léger.

De toute façon j'avais fait venir une autre fille chez moi ce jour là, et ma future ex voulais que je la rejoingne vu qu'elle était de passage à Paris.
Je pense que c'est à ce moment là que je me suis vu être pleinement et consciemment détaché.
C'était cool. Des filles qui me plaisaient j'en avais connu vraiment pas mal cette année. Des nanas de 16 ans, des ex mannequin, des fatiguées, la totale.






A bientôt, boyz and girlz.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Like ! le 15.08.15, 13h32 par amelia
  • [0] Sympa :) le 15.08.15, 16h27 par RosieRosette
  • [0] La suite, vite ! le 15.08.15, 21h39 par Lulla
  • [0] Post de qualité le 16.08.15, 02h58 par wayl
  • [0] Like a boss ! le 16.08.15, 23h17 par Serial
  • [0] Like ! le 17.08.15, 08h56 par Syd_
Cool le petit feedback.

Concernant les bras, j'ai appris à les croiser de manière "ouverte", c'est à dire qu'au lieu de les coller sous mes aisselles, mes mains soutiennent mes coudes et sont visibles. Ca donne une position semi ouverte bien pratique et tu peux facilement libérer une main pour converser.

J'ai pas trouvé de photo malheureusement.
Mais vous savez, j'en rencontre partout des filles! Et même dans des expo dans des sex shops


Image
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Lol le 17.08.15, 11h23 par Mr.Smooth
Bois les coupes de champagnes et ça réglera le souci des bras inutiles AINSI que celui de la timidité pour aborder les nanas mignonnes.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Post responsable le 20.08.15, 18h03 par tibdeconne
C'est un peu ce que j'ai fait vieux Cyril Lignac.
J'ai eu du nouveau de ce petit épisode. La fille que j'ai revu ici est un peu à fond sur moi mais c'est pas du tout du tout mon style (juste en pote de mon côté).
Pour Melissa elle avait rencontré un autre mec a cette même soirée -plus âgé et qui était parti avant que je lui parle) et elle avait aussi pris son num.

Il a eu la priorité sur moi mais ça s'est mal terminé pour elle, vu qu'àpres 2 rendez vous ils se sont plus vus.

Je lui ai plu aussi mais ce mec là était "parfait" selon elle. Bon sur le coup ça m'as un peu vexé, mais ce genre de révélations qui m'auraient fait me remettre parfaitement en question et m'y épancher des heures à coup de questions inutiles, et bien ça ne me fait rien.

La suite de mes histoires m'aurait naturellement amené à traiter de ce sujet mais je décide d'en toucher deux mots ici.
On ne sait rien des gens, c'est assez drôle.
Et la véritable avancée c'est d'arriver au point où ces retournements ne nous causent qu'un peu de surprise, parce que ça ne nous affecte peu -de par notre vécu et la myriade d'autres situations agréables que nous avons connu-

Le recul c'est le fait de nous dire que de toute façons ça ne change rien a notre agenda, ni du lendemain, ni même avec elle (l'autre fille que j'ai revu m'a d'ailleurs proposé qu'on se revoit tout les trois, maintenant qu'elle sait que j'avais flirté avec), ni même au plaisir que mon échange avec cette fille m'as procuré.
C'était pas grand chose. C'était agréable :)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Bien joué le 21.08.15, 10h48 par Cellar Door
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