Mon journal/ Mes Progressions

Je sur-enchéri en disant que un des effets possible des antidépresseurs est... la dépression.

Je me méfie pas mal des psychiatres, et je rejoins totalement Buck sur la question. Je suis assez contre la plupart des solutions médicamenteuses (sauf en cas extrêmes). Au pire, si tu te sens un peu down, il y a des médecines plus douces et des 'remèdes naturels' qui sont très efficaces. Par exemple l'aromathérapie m'a vachement aidée ; ça m'est arrivé de faire une telle crise de pleurs et de nerfs qu'une amie m'a donné des huiles essentielles de géranium rosae mélangées dans un peu de miel. Il se trouve que c'est un détendant musculaire naturel. Hop, une petite discussion avec elle + ingestion du mélange, 20 minutes après je me sentais super bien et je dormais comme un bébé. J'ai re-tenté la chose sur mon mec un soir où il faisait une sacrée crise d'estime de lui et de vision du monde, resultat = insomnie. Il a refusé pendant 1h "mes remèdes de grand-mère" et 10 minutes après il dormait.

Pas besoin de medocs... franchement... la nature est bien faite, et j'ai plus confiance en le plant de thym qui pousse dans mon jardin qu'en l'industrie pharmaceutique.

Va plutot voir un psychologue qu'un psychiatre, renseigne toi sur les différentes pratiques et choisis-en un qui sera orienté vers des techniques qui te correspondent plus. Il y a des thérapies longues, brèves, therapies systemiques, il y a la psychanalyse (quoi que personnellement je déteste freud, mais jung m'intéresse..)

tiens voici un lien qui m'a l'air intéressant ;

http://www.psychomedia.qc.ca/psychother ... hotherapie

Déjà une raison de plus pour ne pas toucher ces médocs. Mais je ne pense pas que cela m'aidera, vu que les médocs traitent juste les effets physiques du stress et non psychologiques, donc intérêt 0. Et de +, je suis juste quelqu'un de faible niveau caractériel, je ne suis pas dans mes pompes en gros, je me laisse trop aller, et on me marche trop sur les pieds, c'est des problèmes de ce genre que je dois corriger, je dois apprendre à développer mon goût pour le risque, je sais que dans le fond j'aime bien les sensations fortes, donc c'est un bon point dans la vie, car c'est ceux qui prennent des risques qui gagnent pour la plupart du temps. Développer aussi ma confiance en soi, ce qui est l'aîné de mes soucis, voilà mon résumé, ah oui et la perte de poids, peut m'aider à m'aimer, mais comme tout développement personnel, ça peut prendre des jours, mois, années... Je cherche pas à être l'Alpha, mais avoir des points commun avec lui.

- Être confiant
- Aimer
- Ne jamais blesser les gens sans raison
- Avoir la tchatche avec les gens
- savoir séduire tout le monde en général
- Réussir tout ce que l'on peut entreprendre

Je pense qu'être tombé sur ce forum n'est pas un hasard, si vous ne m'aviez pas éclairé, je pense que j'aurais pu sombrer dans la phobie sociale, l'AFCisme pour la vie, surtout qu'à mon âge c'est une aubaine de discuter avec des gens qui ont un minimum d’expérience de vie. Et je souhaite avant tout progresser, comme dirait F. Hollande "Le changement, c'est maintenant !".

Problème d'affirmation de soi, les gens me font peur.

Explication :

On ressent tous une peur plus ou moins mesurée, un certain degré de peur, une montée de pression dans certaines situations. Je pense que si je veux progresser, je dois effacer toute peur en moi, je suis d'une fragilité d'esprit affligeante, cela se remarque rien qu'au premier abord, les gens prennent l'ascendant psychologique sur moi avec une telle facilité... Je ressens toujours un malaise quand quelqu'un est en conflit avec moi, une peur surpuissante me paralyse, je suis mal à l'aise au point de ne pas répliquer de peur d'être ridicule, mais le pire est que, je me mets mal à l'aise pour un rien, j'ai peur des gens, j'esquive toute embrouille, afin d'éviter d'être blessé dans les deux sens. J'ai toujours eu cette fâcheuse habitude de choisir la solution de facilité.

Mais comme expliqué ci-dessus, cela peut s'expliquer du fait que je n'ai jamais été pris au sérieux, une seule fois dans ma vie. J'ai toujours eu cette étiquette de "Clown" et les gens qui m'ont connu, au primaire et au collège savent comment je suis. Ils ne me voient pas comme un gars, ils me voient comme une bête de foire, un clown de service, le mec qu'ils aiment ridiculiser. Et quand je m’énerve, ils se foutent encore plus de ma gueule. Mon asociabilité, n'est pas due au hasard, je me suis toujours mis en tête, cette fameuse peur, vous savez quand vous voulez changer et que vous rencontrez des nouveaux gens, et que du jour au lendemain vous recroisez ces personnes qui vous cataloguent de clown et, vont vous ridiculiser devant vos nouveaux potes, et au final vous perdrez toute crédibilité.

Mais je ne peux qu'en prendre à moi-même, j'ai toujours été gentil, con, et faible d'esprit. Je me suis toujours caché derrière de faux personnages afin de ne pas passer pour un con, et quand je me fais démasquer je perds toute crédibilité.

J'ai aussi l'étiquette du mec gentil, qui ne sort pas de chez lui, qui n'a pas d'amis, qui passe ses journées sur l'ordi. Mais cela peut s'expliquer du fait que depuis mon enfance je ne sortait pas beaucoup de chez moi, je restait cloîtré à la maison, je ne savait pas sociabiliser avec un humain, au primaire j'étais le relou, clown, victime de service. Et au collège pareil on se foutait toujours de ma gueule.

Depuis que je suis rentré au lycée, j'ai essayé de devenir distant avec les gens, au point de devenir un timide, sociophobe (Z'avez compris !). Mais c'est à ce moment que je voulait me mettre à draguer, séduire des filles. J'ai toujours eu des préjugés sur les filles, je pensait qu'elles aimaient que les BadBoys, c'est pas entièrement faux, mais on sait pourquoi et j'ai la flemme d'expliquer pourquoi. Et donc je commençait à être aigri, je voulait plaire à tout prix, mais ironiquement j’agissais pas.

Donc résultat des courses, maintenant, je suis un associable, quand j'essaie des rencontres, je suis toujours trop gentil, et j'ai toujours cette peur d'être jugé, je m'auto-censure pour ne pas dire de la merde, je veux toujours paraître intéressant aux yeux des filles, je ne dégage aucun charme (j'ai pas dit que j'en ai pas, tout simplement que je ne sait pas le dégager), sur le plan relationnel, je suis au point mort, en gros voilà quoi. Au final les gens me démasquent tout le temps, et au final ils se foutent de ma gueule.

PS : Je mettrait ma main dans les flammes de l'enfer, que vous avez déjà connu ce genre de mec.

Tu sais "Trop gentil" ça n'existe pas chez moi.

Gentil c'est une qualité. Et une rare. Du genre de celle qui font de toi quelqu'un d'apprécié.

La faiblesse par contre ça n'en est pas une.
Faire la distinction entre les deux c'est un très beau premier pas.

C'est très très bien traité par de jolis articles sur FTS.

Oui je pense faire la distinction, mais trop "gentil" ou "Nice Guy", j'aime pas avoir cette étiquette parce que les gens ont pitié de toi, ils te respectent pas et tu parait moins "Homme".

De mon point de vue personnel, si les "Nice Guy" sont pas respectés ou peu aimés, c'est peut-être dû au fait que malgré leur soit disant "gentillesse", derrière se cache leurs vraie nature, du moins ils ne l'expriment pas, donc les gens ne savent pas qui il est réellement. Et quand sa vraie nature est dévoilée au grand jour, les gens sont généralement déçus, après ce n'est pas une généralité, mais y a pas que du faux derrière ces propos.

Mais gentil oui c'est une qualité, c'est même la force d'un homme équilibré, être respectueux, respecté, aimé, aimant, mais avant tout être vrai, ce qui fait la force d'un homme. Là oui je suis d'accord, faut être gentil, et c'est une qualité que je ne changerais pour rien au monde, et aussi la compassion, si un humain en général dispose de ces qualités, son avenir est déjà tracé. Et c'est des qualités que beaucoup de gens ont, mais malheureusement certains en font abstraction.

PS : J'ai finalement vu Psychiatre hier, et il a décidé de me prendre sous son aile, pour décortiquer mon problème et il a l'air assez qualifié, du moins il m'a reçu pendant une bonne demi-heure

OK, bon une bonne chose de faite!

C'est une belle démarche que tu entreprend, et tu as l'air d'avoir bien pris le taureau par les cornes.

Sert toi maintenant de tes avancé, de tes réussite dans un domaine, pour aller la rebalancer dans des projets qui en demandent.

Exemple: Pour mon cas, l'energie des réussites du job servent à aller amener du positif dans mes relation de famille (qui en ont bien besoin), les succès en musique servent à aller affronter les peurs d'aborder, les succès relationnel servent à donner de l'énergie au boulot..ect.

Je pense que la satisfaction qui découle des succès doit servir à aller affronter d'autres difficulté, dont certaines se transformeront en échecs et d'autres en succès, qui te donneront l'énergie pour aller encore de l'avant.

À mon sens, la satisfaction découle de la réussite ou de la résolution (totale ou partielle) d'une situation problematique. Il faut donc, je pense, aller au devant de ces situations, parce que ce sont celles qui génèrent des vrais succès (bien garder en tête, que les statistiques, donc le nombre de tentatives jouent un rôle important dans les succès et les échecs)

Donc, la suite ! Vite!

Buck a écrit :OK, bon une bonne chose de faite!

C'est une belle démarche que tu entreprend, et tu as l'air d'avoir bien pris le taureau par les cornes.

Sert toi maintenant de tes avancé, de tes réussite dans un domaine, pour aller la rebalancer dans des projets qui en demandent.

Exemple: Pour mon cas, l'energie des réussites du job servent à aller amener du positif dans mes relation de famille (qui en ont bien besoin), les succès en musique servent à aller affronter les peurs d'aborder, les succès relationnel servent à donner de l'énergie au boulot..ect.

Je pense que la satisfaction qui découle des succès doit servir à aller affronter d'autres difficulté, dont certaines se transformeront en échecs et d'autres en succès, qui te donneront l'énergie pour aller encore de l'avant.

À mon sens, la satisfaction découle de la réussite ou de la résolution (totale ou partielle) d'une situation problematique. Il faut donc, je pense, aller au devant de ces situations, parce que ce sont celles qui génèrent des vrais succès (bien garder en tête, que les statistiques, donc le nombre de tentatives jouent un rôle important dans les succès et les échecs)

Donc, la suite ! Vite!

Amen !!

Et pour ce qui est des médocs, même le psy me l'a déconseillé, du moins, avec ce qu'il a pu voir de mon profil psychologique. Je pense que ma fréquence de post sera moins fréquente, car la quasi totalité de mes questions sont d'ordre psychologiques et mon thérapeute m'a dit que, lui il pourrait m'aider, donc d'ici les prochaines semaines, je posterai juste mes progressions et mes ressentis. J'ai du mettre ma fierté de côté avant d'aller voir un psy, donc j'espère que ça ne sera pas en vain, du moins par ce que j'ai appris. C'est toujours quand on fait quelque chose à l'encontre de nos peurs, que ça réussit le mieux, attention aux circonstances bien sûr !

Sur ce...

Tes sur la bonne voie BadGoodGuy, continue comme ça. Mais, mais, mais je constate que ta toujours pas abordé ta timide.

Lâche pas le morceau ! Tu viens d'entamer une phase ascendante, profite et continue à dire fuck à la trouille et juste-fais-le !

Il est vrai que pour ce qui est de ma timidité, j'en ai moins parlé, mais je pense que mon problème et ma timidité sont liés. Avant tout la timidité est souvent due à une faible estime de soi. Je pense que cette année doit être celle qui va bouleverser ma vie, car j'ai des changements majeurs à faire parmi cette liste :

- Soigner ma timidité
- Perdre du poids (Tout est question de mental)
- Être bon sur le plan relationnel
- Et apprendre à séduire un peu.

Je pense que le dernier point souligné n'est pas une priorité en soi, car, avant tout la séduction reste une question d'estime de soi, et de bon relationnel, et les filles le ressentent, donc je vais pas prioriser, mais bon tenter quelque chose de temps en temps n'est jamais mauvais mais comme dit l'expression "tout vient à point à qui sait attendre".

Et apprendre à positiver les choses, et être moins trouillard c'est un peu l'aîné de mes soucis comme je l'ai dit anciennement dans ce topic, faut que j'apprenne à prendre des risques, et pour en revenir au fait, c'est un travail à long terme, qui m'apportera que des bonnes choses, si travail bien fait. La vie n'est pas si longue que ça, j'en suis presque au presque au premier quart de ma vie. Tout va si vite en ce moment, que l'on ne voit plus le temps passer. Raison de plus pour me motiver, et combiné à un psy qui a l'air au premier abord qualifié, ça peut donner un bon cocktail. Donc j'ai toutes les cartes en jeu !

Sur ce...