salut , voila j'ai une question tout simple mais tellement vague , c'est quoi pour vous la base d'une relation?
je me pose la question car je suis toujours tombée sur des hommes avec qui l'attirance physique était énorme mais la conversation et les délires ect très limités et pire je me sentais timide avec .
Et puis il y'a celui avec qui tout est parfait, vraiment je ne suis en aucun cas timide avec ,je m'éclate même avec , je peux être moi même ! miracle! le problème est : je ne me vois pas coucher avec , y'a de l'attirance certes mais je ne vois pas au delà ,et lui a peu près la même chose .
Du coup je me demandais ce qu'était la vrai base d'une relation solide
la base d'une relation?
vaste sujet... la complicité? (en tout cas pour moi)
Normalement quand il y a les 2, l'attirance et la complicité, on ne se pose pas la question de la relation, on fonce - C'est peut être ça la bonne base?
Tu fréquentais ces hommes pendant combien de temps??
De mon côté quand je suis vraiment vraiment intéressée par quelqu'un, il y a en général d'une part et d'autre cette phase de timidité. Elle part avec le temps.
Soit il est plus timide que moi et je fais en sorte de le mettre à l'aise, c'est moi qui guide la relation vers les moments funs et la légèreté et l'autre fini par me rejoindre dans cette complicité, en perdant ses barrières, sa timidité.
Soit c'est moi qui suis timide mais je sais que ça passe avec le temps et la complicité, et en essayant d'être soi-même et pas de tout faire pour "avoir l'air".
C'est aussi parfois, malheureusement, signe que je suis mal à l'aise dans cette relation parce que je sens que l'autre n'est pas assez intéressé. Et à ce moment quand je fais en sorte d'être moi-même, comme je suis avec mes amis, l'autre s'éloigne ou trouve matière à disons, rompre.
Mais sinon la plupart du temps c'est juste une phase à passer. Je me rappelle d'un ex qui m'avait dit "mais tu es super discrète, timide, pas sûre de toi etc" et j'avais pas su quoi répondre. Ma coloc m'a dit, "eh bien tu lui réponds, ne t'inquiète pas pour moi je suis bien dans mes baskets je sais qui je suis". Ca montrait que je m'affirmais, elle m'a inspiré. J'ai réussi à caser ça au moment où ça venait et après ça on était bien, et on a eu une relation super fun, fusionnelle, de complicité, folle, de rires, etc.
C'est le début! C'est normal. La dynamique n'est pas fixée. On tâtonne on cherche si c'est l'autre ou soi-même qui va prendre le contrôle, etc. Au final dans les relations saines et sérieuses, le contrôle va de l'un à l'autre, un coup l'un est plus "sûr de lui" et va en profiter pour pousser la relation vers le haut, un coup c'est l'autre.
C'est quand l'autre pousse la relation vers le bas alors qu'il est plus confiant que toi, qu'il faut se poser des questions. Quand on est pas pareil, pas soi-même auprès de son partenaire que avec ses amis et que ça n'évolue pas, que c'est pas bon signe.
De mon côté quand je suis vraiment vraiment intéressée par quelqu'un, il y a en général d'une part et d'autre cette phase de timidité. Elle part avec le temps.
Soit il est plus timide que moi et je fais en sorte de le mettre à l'aise, c'est moi qui guide la relation vers les moments funs et la légèreté et l'autre fini par me rejoindre dans cette complicité, en perdant ses barrières, sa timidité.
Soit c'est moi qui suis timide mais je sais que ça passe avec le temps et la complicité, et en essayant d'être soi-même et pas de tout faire pour "avoir l'air".
C'est aussi parfois, malheureusement, signe que je suis mal à l'aise dans cette relation parce que je sens que l'autre n'est pas assez intéressé. Et à ce moment quand je fais en sorte d'être moi-même, comme je suis avec mes amis, l'autre s'éloigne ou trouve matière à disons, rompre.
Mais sinon la plupart du temps c'est juste une phase à passer. Je me rappelle d'un ex qui m'avait dit "mais tu es super discrète, timide, pas sûre de toi etc" et j'avais pas su quoi répondre. Ma coloc m'a dit, "eh bien tu lui réponds, ne t'inquiète pas pour moi je suis bien dans mes baskets je sais qui je suis". Ca montrait que je m'affirmais, elle m'a inspiré. J'ai réussi à caser ça au moment où ça venait et après ça on était bien, et on a eu une relation super fun, fusionnelle, de complicité, folle, de rires, etc.
C'est le début! C'est normal. La dynamique n'est pas fixée. On tâtonne on cherche si c'est l'autre ou soi-même qui va prendre le contrôle, etc. Au final dans les relations saines et sérieuses, le contrôle va de l'un à l'autre, un coup l'un est plus "sûr de lui" et va en profiter pour pousser la relation vers le haut, un coup c'est l'autre.
C'est quand l'autre pousse la relation vers le bas alors qu'il est plus confiant que toi, qu'il faut se poser des questions. Quand on est pas pareil, pas soi-même auprès de son partenaire que avec ses amis et que ça n'évolue pas, que c'est pas bon signe.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 17.11.15, 14h08 par Waya
La base d'une relation se construit sur la confiance. Se sentir à l'aise, pas de doutes sur l'intérêt du garçon, de la fille... Ceux qui s'amusent à déclencher l'intérêt en jouant la froideur, le mâle, ils ont tout faux.
Ils ne gagneront pas la confiance de la fille au contraire. Ceux-là ne tendent pas vers une relation saine.
L'attirance et la complicité sont deux paramètres pouvant restés séparés.
2 personnes se sentent attirées l'une vers l'autre, sont complices, plaisantent, semblent à leur aise et pourtant râteau.
Elles se seront séduites sans s'assurer de leur attirance et auront mis en avant la complicité. Il y a un manque de confiance pour l'un des deux et c'est l'échec. Une bonne base qui s'effondre. Le garçon renvoie une image de pressé, de consommateur ou faut s'expliquer.
Quand il y a attirance fulgurante rien n'est acquis après. On peut s'apercevoir qu'il n'y a pas lieu d'avoir confiance et la complicité n'en était pas une, juste une impression liée à l'attirance.
3 choses au départ (s'assurer de): attirance partagée, complicité et confiance.
Ils ne gagneront pas la confiance de la fille au contraire. Ceux-là ne tendent pas vers une relation saine.
L'attirance et la complicité sont deux paramètres pouvant restés séparés.
2 personnes se sentent attirées l'une vers l'autre, sont complices, plaisantent, semblent à leur aise et pourtant râteau.
Elles se seront séduites sans s'assurer de leur attirance et auront mis en avant la complicité. Il y a un manque de confiance pour l'un des deux et c'est l'échec. Une bonne base qui s'effondre. Le garçon renvoie une image de pressé, de consommateur ou faut s'expliquer.
Quand il y a attirance fulgurante rien n'est acquis après. On peut s'apercevoir qu'il n'y a pas lieu d'avoir confiance et la complicité n'en était pas une, juste une impression liée à l'attirance.
3 choses au départ (s'assurer de): attirance partagée, complicité et confiance.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 13.11.15, 18h37 par Lindz
J'ai dejà eu ce genre de relation en fait environ 3 ans, et ce fut un echec c'était le coup de foudre direct, une attirance enorme justement, c'etait passionel ,mais on a jamais vraiment reussis a aller au delà , ça m'a fait aussi perdre ma confiance en moi.
Donc je me demandais si la base du tout n'était pas la complicité , il y'a ce gars , jme vois parfaitement être avec lui mais je me vois pas coucher avec et j'arrive pas à determiner si c'est parce que je ne l'ai pas mis dans la case "plan pour le fun' et que je vois justement plus avec, ou ai-je un probleme mental à faire des problemes la ou il n'y en pas
Donc je me demandais si la base du tout n'était pas la complicité , il y'a ce gars , jme vois parfaitement être avec lui mais je me vois pas coucher avec et j'arrive pas à determiner si c'est parce que je ne l'ai pas mis dans la case "plan pour le fun' et que je vois justement plus avec, ou ai-je un probleme mental à faire des problemes la ou il n'y en pas