L'Empire du Zèbre.

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le 23.08.2015 par Le Zebre

13 réponses / Dernière par Le Zebre le 03.05.2016, 10h46

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
Quand j’y repense, on aurait du rester .
Pas grave, vous avez pris les numéros/FB?
Non ! J'avoue que, en mode reprise, je me fous un peu des résultats. Je me relance dans le bain.
Mais maintenant je me suis suffisament relancé pour me concentrer sur la conclusion. Hier encore, super soirée NPU (je vais la raconter) , j'ai progressé sur l'insistance ! mais je vais toujours pas pour le close. Prochain objectif sans faute !
Yo !


Ca fait trois semaines. Il s’est passé des choses, pas assez, mais des bonnes choses. Surtout ma dernière session / journée hier, donc à trouver à la fin du post, je vous conseille de la lire :) .

Je vais essayer de faire vite, d’autant plus que les souvenirs me manquent. 4 NPU et 2 SPU à raconter. 10 pages word…. Aïe.

Jeudi 13 avril, SPU avec 2 wings qui reprennent depuis longtemps :

Je me sens assez bien en fait, mais je suis assez blazé du SPU. Je crois plus en mes approches, j’ai l’impression qu’elles ont entendu la même chose 30 000 fois, surtout vers Odéon / Saint Germain, je suis très désabusé. En plus je trouve les approches classiques complètement nulles.

On se retrouve assez tard et je reste juste une petite heure. Première approche ou mon humeur blazée du SPU ressort tout de suite. Je ratrappe la fille, je l’approche, « on s’est croisé bla bla, je t’ai juste trouvé jolie bla bla », elle est polie, elle s’arrete, pas plus d’investissement que ça. Moi-même j’ai pas vraiment envie de la draguer, de lui parler, on discute 15 secondes, j’y crois pas et d’ailleurs je lui dis « Et… bah voila c’est tout. » , elle répond « Ok.. » , et je lui dis aurevoir.
C’est ce que j’appelle être blazé du SPU.

Plus loin une fille mignonne a son sac ouvert, je me dis aller, je la rattrappe et lui parle de son sac, elle en rigole elle me remercie et que c’est normal, je lui fait « Ah oui t’as fait ça pour te faire aborder par un mec mignon , beh me voila :) ». Elle rigole, et pourtant je sais pas je m’ejecte assez vite (toujours ma faiblesse).

On continue, mes wings sont en mode reprise et demande des renseignements, à un moment ils le font à un groupe d’américaines, je rentre dans le truc et je commence à leur parler des « valley girls » (un type de meuf aux US), et ça les prend, on en parle. C’est sympa mais ça dire 30 secondes, pas beaucoup plus de motivation.

Fin de session.

Samedi 16 avril, NPU avec mon wing préferé, mon nounours.

On va au Corcorans, comme d’habitude il est assez confiant, par contre il est assez blazé ce soir là. Moi j’arrive assez excité / nerveux, mais motivé.

On se met au bar on tchatche, c’est fluide ça sort bien et fort, on se fait un peu remarquer. Deux filles viennent pas mal viennent se servir à notre niveau et puis vont s’asseoir. Elles nous ont remarqué, on se dit aller. On y va avec un opener très « on parlait de ça , on voulait un avis bla bla… » , le temps que le bullshit prenne et qu’elles fassent semblant d’y croire. Puis arrive le silence, je coupe court « Voilà mais en fait on s’en fout, vous êtes juste mignonnes on voulait vous parler. » , une répond « Ben oui on se le disait bien ! ». On fait un peu connaissance, on s’amuse un peu mais sans plus, ça dure une dizaine de minutes. On se barre, on dit à plus tard.

Apparté reflexion : je suis de plus en plus sensible au simple phénomène que les filles aussi s’échauffent en soirée (boire deux trois verres, rigoler, danser un peu), elles s’ouvrent petit à petit, ça leur prend du temps. Tout le monde fait ça d’ailleurs, c’est même la raison d’être des apéros. Du coup en l’occurrence, les filles avaient une «basse température », nous on était plus chauds, et elles nous rattrapaient assez lentement.

Et pour le coup, plus loin on voit trois filles au bar, un peu plus agées que nous, qui ont une température bien plus haute pour le coup, elles rigolent bien entre elles, elles se lachent et s’amusent. Et ….elles sont russes. C’est cadeau pour moi ( à priori). Mais j’hésite beaucoup, mon wing est moitié motivé. Finalement au bout de dix minutes on y va. Je prends celle de gauche en russe, très mignonne, mon wing prend à droite, très mignonne aussi, la moche est au milieu et elle fait pas chier, on la remercie tacitement.

De mon coté, c’est sympa on discute un peu de tout, elles sont cools, on passe vite en français parce qu’en russe je tiens pas longtemps. Mais j’ai une grosse faiblesse, j’ai pas trop de tchatche ce soir, ni d’enthousiasme et en plus j’ai un peu l’impression de faire quelque chose de mal et d’être jugé (problème récurrent). Mais de l’autre coté de la balance, j’ai beaucoup de motivation.
Ces filles là, ça devient un peu nos potes dans le bar, on ira les revoir plusieurs fois. Mais aucune m’intéresse vraiment, enfin c’est surtout que je me sens pas à la hauteur, donc je bouge pas. C’est déplorable mais en même temps je me fais aucun souci : je progresse, et ce problème partira naturellement.

Plus loin on croise d’autres sargeurs, enfin je les grille comme sargeurs en tout cas. Ils sont à coté de deux blondes, tout hésitants, je vais voir les mecs de manière cool « Les gars vous y allez ou on peut y aller ? » , le mec se vexe « Bah vas y mec, faut pas hésiter ! » . Je fais pas attention, j’y vais avec mon wing. Une a l’air telement jeune « Hey , t’as quel age ? » , elle essaie de me bloquer avec une réthorique très logique, pour faire la maline. Je la désamorce direct. Du coup elles se mettent à repondre et on parle un peu jusqu’à qu’un de leur pote vienne les « sauver » (syndrome du chevalier blanc) . Le problème c’est que ça marche sur moi, je me sens en effet comme un relou quand le mec débarque. C’est aussi un problème que j’éliminerai, chaque chose en son temps.

Plus loin je fais une approche RSD, une fille passe, je la tire par le bras pour la ramener vers moi, je lui souris. Pas assez convaincant, elle flippe, tant pis, c’est la première fois que je le fais.

Je commence à être chaud. Il y a une fille seule bien plus agée, j’y vais, ça devient tactile assez vite, je me sens très libéré, c’est fluide, je déconne. Elle kiffe pas mal, « Aller viens on va danser » me dit-elle , j’y vais mais elle me plait pas trop et en plus je suis pas à l’aise avec la danse avec une fille. Du coup on parle un peu mais ça se gâte et ça se termine vite. Je m’en fous, mon mojo monte.

Plus tard, on retrouve les deux blondes, c’est surtout mon wing qui y va, la fille recommence son jeu de rhétorique à deux balles pour desabiliser, il se fait avoir. Il kiffe pas du tout : « J’ai la haine de me faire jeter par une petite conne qui fait une école de commerce post-bac » , lui il est dans une grande école, ça m’éclate !

Je repars vers la fille que j’ai essayé d’approcher en étant physiques, je lui parle un peu, trop d’énergie, trop direct, elle répond pas. En même temps comme je le vois, elle est jeune, elle est vite impressionnée, elle sait pas comment réagir.

Par contre, ça baisse mon modjo. Et je crois que la soirée s’est arrêtée là.

Au final, j’ai fait quelques approches sans trop hésiter. Je me suis exposé. J’etais pas au top de mon modjo mais j’ai continué. C’est une soirée productive. Je vois quelques problèmes à cette soirée : persister, approcher encore plus, plus m’amuser.
J’avais au fond cette sensation d’être toxique pour les filles, alors qu’au fond, on est tellement cools avec mon pote, elles se font rarement aborder de manière aussi sympa. Il faut que je m’enfonce bien ça dans la tête. Et que j’abandonne pas aussi vite.

Mardi 19 avril, SPU avec 2 wings inconnus, puis mon wing préferé, mon nounours.

Il fait beau, je me motive assez tôt (16h30) , je retrouve deux mecs assez jeunes (20 ans), qui sont pas au top mais qui essaient et qui s’amusent beaucoup. J’aime bien ça !

Pendant deux jours, je me sentais pas très bien dans ma peau, assez de stress, de nervosité. Mais bon.
J’attaque. Il faut que je m’échauffe.

Première fille, seule, avec un pantalon très coloré. Je suis nerveux mais aller classique : « C’est très drôle ton style :) ». On en parle un peu puis de ses origines etc… 1-2 minutes. J’insiste pas, elle est pas top, je suis pas au meilleur non plus. Eject.

Deuxième fille, un groupe de deux en train de regarder un groupe de street artists. Elles partent, je les interpelle « Les filles ! », elles se retournent « Il y a un starbucks dans le coin ? » (elles ont des gobelets), « Alors oui ! tu vois tu vas la bas …. Bla bla » , sympathique. Puis mon wing rentre dedans un peu comme un porc, j’ai oublié ce qu’il a dit mais ça les a vite fait partir. De toute façon j’avais pas trop d’idée pour continuer non plus.

Troisième fille, elle lit seule en haut d’un escalier, sans hésiter. « Salut :) ! Excuse-moi, est ce que c’est vraiment un endroit pertinent pour lire un livre ? », elle est ouverte, commence à se justifier en disant que son ami est derrière en train de téléphoner. Je lui dis que c’est bon je la taquine. Je m’intéresse à ce quelle lit (un Houellebecq) . Un sujet que je connais bien, on fluffe dessus, je la taquine encore un peu « Je croyais que c’était des livres pour jeunes hommes attardés , eh beh  ». On parle littérature russe aussi. En somme, ça se passe super bien, elle se met à me poser des questions. Puis débarque son ami avec son regard du « Espèce de dragueur relou laisse cette fille tranquille. » ( je le vois comme ça en tout cas). Elle-même se sent tout d’un coup assez genée je trouve, du style «je veux pas passer pour une fille facile devant mon pote ». Alors ça se termine très vite, c’est vachement dommage. « Bon beh c’était cool cette discussion littérature, ciao » se dit on .

Plus loin, je délire pas mal avec les mecs de Medecin sans frontières, je leur dis qu’on fait le même métier au fond. « Ah ouais tu fais quoi toi ? » , « Je suis… dragueur professionnel ;) » . Il me tcheke mort de rire. Puis son boss arrive et nous sépare. Salaud.

Quatrième fille, très jolie blonde qui flane vers Beaubourg. Je suis très à l’aise, j’attaque simple : « T’es vachement mignonne fallait que je vienne flirter ». On parle un peu d’où elle vient, de ce qu’elle fait. C’était très rapide en fait, et très très léger, discussion très fluide. Mais elle m’a parlé de son copain à un moment, elle est venue à Paris pour vivre avec lui, je sens qu’elle est vachement amoureuse et je lui dis, elle acquiesse. Pour une fois, j’ai l’impression que l’obstacle copain est vrai. Je rigole encore un peu avec elle et je la laisse. Fille très mignonne en tout cas, avec une super énergie.

Cinquième fille. Mon wing nounours me rejoint, ensemble on fait très mal. Deux filles boient des Despé assises au pied de l’hotel de ville. On y va direct, en face, droit dans nos bottes. « Les filles, les despé c’est quand on est ados, vous avez passé l’age :) » On parle bien dix minutes, elles sont réceptives même si un peu génée. Elles ont des copains apparemment, mais elles nous invitent à les rejoindre au bar ou elles vont plus tard. Petite punchline que j’ai faite que j’ai bien aimé, en me tournant vers celle qui me plait :

« Et toi aussi ton copain sera là ? »
« Euh… peut être ! pas sûr encore »
« Ben… dis-lui de pas venir :) »
« Hihihi »

On les laisse et on les rejoindra pas à la soirée. On insiste pas non plus pour closer.

Et tout d’un coup après ça, sans raison, je commence à sentir mon modjo vachement baisser. C’est bizare. Je fais un groupe de deux touristes espagnoles, elles m’ignorent royalement. Et là je suis en chute libre, je me sens misérable et complètement impuissant les 30 minutes qui ont suivi.
Bref. Je rentre.


Samedi 23 avril, NPU, grands boulevard, avec mon wing nounours :

J’ai 0 motivation 0 tchatche, très peu d’énergie, pas envie de rencontrer des gens…. Pendant une heure mon wing fait des approches, je me tiens à coté et j’en ai rien à foutre. Une fille me dit « Mais tu parles pas ? » .. « Euh.. pas ce soir. » . Bref :). Il y a des jours sans. Je rentre vite.

Jeudi 28 avril, Café Oz denfert, NPU, avec wing nounours :

Motivé ! Mais nerveux. On y va. Mon wing trouve une phrase bien d’approche bien kitch qu’on a absolument envie d’essayer. Ca se joue comme ça :

(l’air un peu inquiet ) Les filles… je parlais à mon pote, et on était en train de se dire que dans un lieu comme ça, avec cette terrasse, ce monde, et le RER juste à côté, il y a de fortes probabilités pour qu’il y ait un attentat ici… (les filles badent) , et du coup on se dit que si il nous restait 5 minutes à vivre, on aimerait bien les passer avec vous.

Ca s’assume :) . On va les essayer plus tard.

Déjà, deux mecs nous arrêtent, la trentaine, pour nous dire que nous on a l’air de vrais dragueurs et bla bla… De manière général, mon pote et moi on se fait de plus en plus remarqué partout ou on va. Ce qui me fait rire de plus en plus, c’est de voir le regard de mecs quand t’abordes la fille pas loin d’eux qu’ils mattent depuis tout à l’heure.
C’est exactement ce qu’il va se passer tout de suite.

Deux filles pas mal pas loin en train de discuter, quatre groupes de mecs autour. On y va et on sort notre connerie. Une d’entre elles est vachement cool, on rigole du truc, ça fluffe bien, l’autre très silencieuse. Après il y a un problème, il y a leurs potes mecs pas loin et je trouve qu’elles la jouent un peu « On veut pas passer pour des putes. » . D’ailleurs un de leur pote devient un peu agressif « Les gars vous avez trouvé que ça comme connerie à dire ? » . Pour moi, c’est typiquement le mec jaloux qui a jamais les couilles d’aborder une fille, et qui a besoin de deverser sa frustration. D’ailleurs la fille cool me sort « Je leur parlerai de vos approches, eux ils sont complètement nuls pour ça. »

Bref, on passe à autre chose. Même connerie à un autre groupe de 4, elles comprennent à moitié il faut répeter, elles mettent des batons dans les roues. Ca passe pas, je réagis un peu agressivement betement. Ca se termine vite. Mais ce qui est drôle, c’est qu’après elles passent la soirée à nous regarder. On les calcule pas.

Je fais une blonde qui est seule et qui a une atèle. Elle nous explique le truc, elle est handballeuse de haut niveau, on fluffe cinq minutes sur le sujet. Très sympa cette fille, mais il y a tous ses potes qui vont arriver et on s’éjecte.

De manière générale, autant ce bar est très cool, autant les gens sont assez coincés je trouve. Il leur faut trois quatre verres dans le nez avant de se décoincer un peu.

On reparle à quelques mecs sympas. On adore faire ça, on sort aussi pour le plaisir, et on adore rencontrer des mecs cools aussi, et on passe du temps à leur parler quand ça arrive.

On parle à un autre groupe dont une fille je crois, et c’est tout, et on part, j’ai un examen le lendemain matin.

Vendredi 29 avril, LA journée excellente :) :

Le matin, je suis à 9h a Saint-Ouen pour passer l’IELTS ( un test d’anglais style TOEIC). Secrétaire pas mal du tout, candidate italienne trèèèès mignonne qui me fait des petits regards… Je sens que la sarge de la veille se voit.

Je passe l’oral ce jour là, je le déchire, je suis quasiment bilingue. Je sors, il y a l’italienne au bout de la cour, la secrétaire à son bureau. Je regarde à droite ; à gauche….. je sais pas quoi faire, je choisi la secrétaire. Je sentais que il y avait une ouverture quand je m’étais présenté 30 minutes plus tôt.

« J’ai fini le test. » (genre)
« Ah… et ça s’est bien passé ? »
« Oui oui.. » (et là j’ai un gros blanc) « Euh qu’est ce que je voulais dire ? Mmh …….. Mmh… qu’est ce que je voulais dire ? » , je regarde ailleurs et tout. « Bon, non bon voila, t’avais l’air adorable et je voulais t’offrir un verre un de ces quatre », je rigole.

J’ai rarement été aussi nerveux, c’est assez fou.

Elle comprend pas trop ou je veux en venir « Euh… mais là je peux pas quitter mon poste » je lui explique que c’est pour une autre fois plutôt dans la semaine. Elle me fait le regard de la fille qui cherche au fond de mes yeux qui je suis et ce que je veux. Je lui dis « C’est comme tu veux, c’est une proposition :) , comme tu veux. ». Je galère. Elle accepte, elle prend mon numéro sur un post-it, genre elle fait son travail. J’ai pas la force d’insister pour prendre le sien. Il y a des gens qui arrivent à l’accueil, je m’écarte genre mec intelligent socialement « pardon je te laisse travailler… Bonjour Monsieur :)». Puis voilà, on fluffe après sur qui elle est et tout. Puis voilà « Bon aller je te laisse travailler :), bonne journée ».

NC à 10 heures, ça fait un record à battre pour moi.

Le soir je vais à un apéro meet-up, je compte y rester une petite heure avant de rejoindre mon wing nounours. Je connais personne mais bon, je prends mes couilles à deux mains. J’approche une fille, sympa, on parle pas vraiment, c’est terminé. Un américain vient me parler, il est très sympa, je l’aime bien on parle bien. Il s’appelle Tyler et a vachement un air de Tyler dans RSD, ça me fait rire et je lui explique. On va boire un verre au bar ensemble, c’est sympa.

On se lache, je vais voir une autre fille, pas très réceptive, elle regarde sa copine se faire hypnotiser par un hypnotiseur amateur (le mec qui vient aux meets ups et qui fait ses tours en esperant emballer les filles avec). C’est un truc qui me fascine alors je les regarde vachement aussi, la meuf pas réceptive à coté je m’en fous. La fille qui se fait hypnotisée me regarde quelques fois.
Quand leur tour est terminé, je me met à parler au mec sur son hypnose, histoire de montrer à celle qui m’ignore que je suis pas là parce que je suis un requin.

On fluffe bien avec l’hypnotiseur. Puis c’est la copine hypnotisée qui vient s’intéresser à moi. On fait connaissance, ça se passe extremement bien. Je l’amène ailleurs dans le bar pour lui présenter l’américain (elle lâche sa copine par la même occasion), on discute avec d’autres gens. J’apparais vachement comme le mec sociable et à l’aise, je trouve qu’elle est contente d’être avec moi, je focalise pas trop sur elle tout en étant très sympa. Je dois partir, elle aussi. On part ensemble vers le métro. On discute de deux trois trucs, je lui propose une soirée dont on parlait plus tôt. Elle est très ouverte. Je prends son numéro.

Petite punchline de sa part : « Mais à part pour cette soirée, on peut se voir pour … euh… pour d’autres trucs »
Moi, trop posé, genre je comprends ou tu veux en venir. « Ca marche ;) on sort ensemble un de ces quatre . »

Trèèèès fluide :) . Après là je me la pète un peu, mais en vérité j’en sais rien si elle est chaude ou pas. Peut être que c’était très amical.

Je vais rejoindre mon wing, deux numéros sympas dans la journée dans la poche sans être en mode session. Je suis très chaud, mon wing est très chaud, je sens que ça va faire mal.

Corcoran’s. On arrive, on va voir notre serveuse préferée avec qui on délire depuis trois semaines. La fille est adorable, et commence à être flatée et se poser des questions sur notre attention je pense.

Aller, on doit passer à l’action. On voit deux filles discuter, on sait pas trop comment y aller, je décide de prendre les devant et d’y aller cash. « Salut ! :) » , mon wing me suit pas, je lui fais des grands signes pour lui dire de venir. Et puis « Voilà vous voyez les mecs qui avaient pas du tout préparer leur approche, ils abordent en freestyle total ;) , comment ça va ? » . C’est ouvert direct. On parle pas mal, je gère à gauche, il gère à droite. J’aime bien ces filles elles sont plutôt cools, drôles aussi. Elles nous kiffent pas mal. Mon wing par contre est assez direct et annonce son envie de choper. Je trouve que c’est tellement trop tôt et dommage de se prendre un bash maintenant. Du coup par solidarité on s’ejecte, même la mienne m’intéressait pas vraiment. Ca a duré 10 petites minutes mais c’était cool ça aurait pu être plus long, surtout qu’il n’y avait pas grand monde dans le bar encore, et que c’était un bon echauffement.

Tant pis, on va dans le coin fumeur. On aborde une fille, elle se braque direct et nous rejette violement. Sa copine est bien plus ouverte mais bon on laisse tomber. Plus loin, mon wing va s’asseoir à la table de deux filles avec l’opener attentat, je le rejoins, on squatte légèrement leur bouffe. Ca se passe bien, les filles insistent pour qu’on leur paie un verre, elles prennent carrément leurs aises et commandent à notre place. Elles sont sympas mais un peu bourges coincés. Moi je proteste et je leur dis que je paie jamais de verre. Dix minutes plus tard, leurs copines reviennent, faut qu’on dégage des places.
Du coup, on se dit avec mon wing « Attend, on leur offre notre présence, on s’asseoit avec elles ,on se sert dans leur assiette, on paie pas les verres qu’elles croient qu’on va payer, et les filles nous demandent de rendre la place à leur copine ? Il y a plus de respect chez la gente féminine ». On a un super modjo :) .

Il y a des filles à une table qui nous regarde de loin, je leur fais un grand coucou et un sourrire, elles sont en mode « Wtf ? » . On continue notre route. On attaque un groupe d’une dizaine de personnes, légèrement wesh. Moi c’est surtout mon wing qui est dedans, moi je galère avec elles, alors je le laisse. Il se débrouille bien avec une fille, mais ses potes débarquent en mode « protection », alors que la fille kiffe trop son moment. Dommage pour elle.

Les filles à qui j’ai fait coucou passe près de nous, j’en tapote une sur l’épaule et lui fais un signe de s’approcher, elle vient très contente et sympa. Ca fluffe deux minutes, on rigole, puis elles repartent vers les toilettes. Dix minutes plus tard on est à leur table, ça fluffe, elles sont sympathiques mais pas très intéressantes, ni tellement mignonnes. Ca dure dix minutes encore.

Quelques fois, surtout quand je perds mon wing, il est assez bourré et perso ce soir, je vais revoir le premier set qu’on a fait plusieurs fois dans la soirée, j’aime bien ces filles. La je rencontre ma faiblesse aussi, tout seul dans la bar je suis bien moins confiant, j’ose pas approcher.

Je retrouve mon wing, on fait une espagnole et sa maman. Je parle pas espagnol c’est difficile, c’est surtout mon wing qui s’en occupe. Je vais reprendre un verre, je reviens plus tard. Je me place un peu dans le set et délire avec l’espagnole jeune. Très cool la fille encore, toujours bon pour l’énergie.

On va danser un peu, on revient dans le coin fumeur.

Et la le grand moment de la soirée. Je vais avoir du mal à le décrire aussi bien qu’il l’était vraiment. Deux filles, une chinoise et une autre, assises sur la terrasse. On y va à genoux pour se mettre à leur niveau. Je fais la chinoise, elle est sympa ça se passe bien mais elle regarde surtout mon wing faire sur sa copine. Sa copine, on va l’appeler Marjolaine, sur laquelle est mon wing, me plait pas mal, assez mignonne, bonne énergie, humour sympa. Je l’interpelle :

Moi « T’as des taches de rousseur »
Elle « Oui :) toi aussi ! »
Moi « Oui mais les miennes sont plus jolies que les tiennes »
Elle, outrée « Oui mais t’en as plein sur la tête, moi j’en ai juste un peu, c’est mieux. »
Moi « T’es jalouse, elles sont magnifiques. »

Je parle à mon wing dans l’oreille (« continue je t’ai coupé »)

Elle : « Hahahaha qu’est ce que tu lui as dit la ? » (elle a pas entendu, mais elle a vu le petit truc dans l’oreille elle veut forcément savoir)
Moi , 2 secondes gené d’être grillé, je lui dis cash ce que je lui ai dit.

Mon wing continue. Je sais pas pourquoi, il abandonne vite.

Il veut s’ejecter, je le suis. On veut sortir du bar pour aller dans un autre truc. Il sort, je suis censé le suivre mais j’ai un flash. Du coup il est dehors, le videur veut pas qu’il rerentre, et moi je suis resté, du coup je lui parle par la fenêtre de la terrasse, il reste dehors. Tout ça devant les yeux des deux filles. Je dis à mon wing, doucement « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? » , il m’explique qu’il a pas aimé une remarque, la fille voulait pas dire son prénom. Je lui dis « Putain… elle me plait j’ai envie d’essayer, ça te dérange ? » Evidemment ça le dérange pas, il est très cool. Je fonce.

Je reviens

« Ah bah t’es encore là ? »
Moi : « Oui » , je lui parle des taches de rousseur machin machin. Elle participe vite fait. Puis :
Elle : « Et t’es revenu pour me dire ça ? »
Moi « Non c’était pour te dire qu’on devait boire un verre la semaine prochaine. »
Elle : « Ah non mais attends, d’abord ton pote, maintenant toi, ça veut dire quoi ? »
Sa copine : « Eh, c’est pas un arrêt de bus ici ! »
Moi : « Ouais mais moi en fait je pense que j’ai ma chance. »

Je lui parle de la succeptibilité de mon pote, qu’il est un peu bourré, elle est d’accord.

Elle : « Et toi t’es succeptible ? »
Moi : « Pff, pas du tout. » (ce qui est vrai)

Elle : « Bon ben je sais pas, ça reste bizarre…. »
Silence, elles me regardent toutes les deux, avec le regard des filles qui fouillent dans mes petits yeux pour voir qui je suis, je souris genre « prends une décision meuf ».

Elle : « Mais pourquoi tu veux me revoir ? »
Moi : « Bah ecoute, t’as des taches de rousseur, j’ai des taches de rousseur, t’es drôle, je suis drôle, à un moment il faut se revoir :). »
Elle (rigole) : « Bon je sais pas… »
Moi : « Ok , donc je te plais mais il t’en faut plus. »

Je la kinote un peu tout ce temps.

Moi : « Attends regarde » je colle ma joue à la sienne et je nous tourne vers sa copine « Honnetement regarde nous, on est pas super beaux ensemble ? Tu nous imagine complètement. »

Ma cible rigole, elle aime bien ça.
Sa copine ; « Ah non pas du tout ! Ca va pas du tout ensemble » (rageuse !)
Puis encore « Regarde, elle elle est métisse toi t’es tout blanc. »

La blague. La fille est assez blanche elle-même, et ma mère est indienne.
Je lui parle de ma mère « Bah attends, je vais te montrer une photo et tu vas …. Hahaha j’allais dire tu vas fermer ta gueule. »

Je leur montre une photo de moi qui caline ma mère, elle a la peau assez foncée.

Sa copine : « Mais non c’est pas ta mère , c’est quelqu’un dans la rue ! Et puis c’est même pas toi »
Moi : « Mais t’abuses, tu peux croire que c’est pas ma mère mais tu peux quand meme pas dire que c’est pas moi. » Bon, je les convaincs que c’est moi et ma mère, elles posent des questions.

Et là j’ai un moment très solitaire, je calcule plus du tout les filles, je regarde juste la photo et je me dis en mode monologue « Putain elle est trop belle (ma mère), rah elle est trop belle…. Elle me manque trop. Et moi je suis tellement degueu à coté haha » Ma cible « Ouais ! »

C’était pas du tout pour les filles ce monologue, mais après réflexion je me dis que ça a du tellement faire d’effet ce côté attendrissant assumé ! Puis la photo elle-même est très mignonne.

Pendant tout ce temps aussi, mon wing parle à une fille et un mec sur la terrasse, par la fenêtre, il explique que je suis en train draguer et qu’il m’attend. La fille, super mignonne, m’appelle souvent « Le Zebre ! depeche toi ton pote t’attends hein ! » , je fais « ouais ouais ».

Là, j’apprends que ma cible est réunionnaise. Je suis choqué, « T’es réunionnaise ? Arrête t’es réunionnaise ? » Je me lève, je tourne sur moi, les paumes vers le ciel genre « c’est incroyable. »

Elle : « Pourquoi ?? »

Je reviens vers elle, les mains sur ses jambes. « T’es de quelle ville ? » , j’apprends qu’elle y a jamais vécu mais que sa mère vient de là bas. Elle me redemande pourquoi, je lui dis que moi je suis réunionnais. Elle s’intéresse. Sa copine fait chier encore « Mais non t’es pas réunionnais !! » , on parle de mon père, de ma mère.

Elle : « Bon bah écoute, je veux bien te donner mon numéro, t’es réunionnais. » (genre…)

Je la NC.

Moi «Par contre il me faut ton prénom sinon ça sert à rien. » (vu qu’elle voulait pas le donner à mon wing) , elle me refait le coup du « appelle moi comme tu veux écoute »

Moi : « Ok , ce sera Marjolaine. »
Elle : « J’ai une tête de Marjolaine, c’est ça que tu dis ? »
Moi : « Marjolaine ça te va bien. »
Elle : « Ok. »

Je lui demande ou elle habite

Elle « Mais pourquoi tu veux savoir ça , ?? Le mec il veut qu’on rentre tout de suite. »
Moi « Mais non mais c’est pour arranger un rendez vous, je vais pas te faire sortir n’importe ou. »

Elle me le dit. On reparle de mes parents je sais pas pourquoi. Elle se moque de moi sur des petits trucs, au fond elle passe son temps à me tester je trouve. Je suis complètement indifférent à ses remarques.

Je lui fais un high five, « Yes je kiffe les filles qui ont confiance en elles comme ça  . »
Elle continue à me taquiner pour tester, à un moment elle s’excuse elle-même de ses remarques. Alors que je m’en fous mais bon.

Moi : « Par contre, t’as quel age ? »
Elle : « Pourquoi, c’est éliminatoire c’est ça ? »
Moi : « Oui il y a des critères. »
Elle : « Bah écoute, il te faut quel age ? »
Moi : « Pour toi… ça dépend des filles mais pour toi… il faut que t’aies plus de 22 ans. »
Elle : « Oui j’ai plus »



Puis voilà. Je lui dis que je vais rejoindre mon pote. Je me met debout, elles restent assises, serrage de main.

Moi : « A bientôt :)» , puis vers sa copine « A bientôt….. merde ton prénom ? ». Elle me fait un scandale. Puis je m’en souviens, un prénom occidental.

Moi : « Oui mais en même temps c’est pas ton vrai prénom ! » Elle se révolte, apparement ça l’est.
Moi : « Ah ok t’es Honk kongaise du coup ? »
Elle « Oui ! », elle était assez vexée en vérité.
Moi « Ah ok ok … pardon :) . »

Je leur laisse mon Perrier en cadeau (je bois pas). Et je pars. Tellement refait.

Deux petits mots sur cette interaction. Déjà, moi je regarde ça surtout comme une performance de haut niveau (pour moi en tout cas).
Ce que j’ai kiffé c’est déjà le délire d’y être allé juste après mon wing qui a échoué. Mais surtout, au fond, elles m’ont mis max de batons dans les roues jusqu’à la fin , mais j’étais juste complètement indifférent à leur bullshit. Et je pense que ma wing a vraiment kiffé ça, et d’ailleurs qu’elle fait exprès d’etre difficile pour tester les mecs. Puis voilà c’était extremement fluide, un kino pas mal géré, et juste des grosses couilles, avec la sympathie qu’il faut, l’humour qu’il faut, les regards qu’il faut, la tendresse qu’il faut, la légèreté qu’il faut. C’était très beau. Et la fille me plait vraiment.

Au fond, dans ce bar j’ai parlé à pas mal de filles, mais il y en a aucune qui m’a donné envie d’aller plus loin. Elle oui, et je l’ai convaincu. Le kiff total.

Je rejoins mon wing, on va vers le métro. Malheureusement on croise deux filles mignonnes. On les rattrappe, mon wing attaque simple.

J’arrive à un moment ou elle dit son prénom, un truc allemand.

Moi : « Mais pourquoi tes parents t’ont appelé comme ça ? », intégration parfaite dans la conversation ( c’est un truc important).
Puis je vais fluffer sa copine pour laisser le champ à mon wing. On parle un peu, je lui parle de son manteau qui a une fermeture bizarre, tellement naturellement je touche sans manteau et tout

Moi : « Putain le mec il te connait pas il te pelote déjà quoi. » Elle rigole, « c’est clair tu vas me déshabiller quoi. » Elle est pas terrible, mais je continue à l’occuper pour que mon wing soit à l’aise.

En tout on fluffe 5 minutes sur leur soirée, notre soirée.
Mon wing propose un date à sa copine et là j’interviens.

Moi : (en caressant la barbe de mon wing) « Attends écoute, j’ai jamais eu de nounours quand j’étais petit, et lui c’est vraiment mon nounours maintenant mais je suis prêt à le partager avec toi. »

Elle : « Ah ouais ?? » Elle a les yeux qui s’illuminent . « Bon bah ouais ok je te laisse mon numéro. » . Boum. J’occupe sa copine en attendant que ça finisse de conclure. On reprend notre route vers l’autre bar. Mon wing a tellement envie d’aborder tout ce qu’il se passe, mais je lui demande de se concentrer pour qu’on chope le métro pour aller dans la prochaine boite.

Dans la station de métro, on délire avec des jeunes (19-20ans) , ils sont extremement cools. On prend le métro avec eux, on continue à délirer. Mon wing est assis à coté d’une autre fille, il commence à lui parler. Les jeunes s’excitent « OH ! Tinder !!! Ca matche , ça matche !!! » , la fille est tellement génée. Mon wing est tellement mort de rire. Puis ils voient qu’ils sont relous, ils se calment et ils se mettent à faire la promo de mon wing, toujours en étant extremement drôles. « Avant de le rencontrer, tu sais, je croyais que l’humain avait des limites. » , ce genre de trucs.

Au final les jeunes sortent, on en rigole avec la fille. Elle était génée mais maintenant elle trouve ça drôle. Puis on sort aussi.

A la sortie du métro, deux meufs, encore une fois mon wing fonce. La fille qu’il attaque est tellement bourrée, elle kiffe mais elle raconte n’importe quoi. Sa copine sobre bloque beaucoup mon wing et nous dit de la laisser tranquille parce qu’elle est bourrée. On reste un peu , on rigole. Bizarrement , moi, ce genre de filles m’impressionnent, du coup j’étais pas tellement cool, pas drôle, je reste un peu à l’écart. Au final il se passe rien, on bouge.

On se fait recaler de la boite. De toute façon j’ai des examens le lendemain. On prend le métro pour rentrer.

Le métro arrive, on voit un groupe de 4 filles pas mal dans une rame, on court après la rame, on s’asseoit près d’elles. Elles parlent anglais. Je repense à mon truc de la photo avec ma mère,.

Je tapote sur l’épaule de la fille la plus proche : « Hey excuse me, do you think that’s cute ? » (en lui montrant la photo) , elle dit non. « What do you mean no ??? It’s my mother and I, look at it again. » Elle la joue très distante « it’s not bad ». Mon wing parle aux autres filles et leur explique la photo. Je regarde les filles « Yeah, I miss her a lot» ( ma mère). Deux me font “OOOoohhhh…” genre c’est mignon.

Je relance ma cible distante « Hey tell me, what’s a valley girl ? » , elle veut pas répondre, sa copine cherche à rentrer dans le jeu et tout. Mais pas grand-chose sort. Puis j’apprends qu’elles sont irlandaises alors que je croyais qu’elles étaient américaines. Elles se levent pour sortir.

Je sors « Irish are the worse » d’une manière très alpha , gros neg sexy. Elles ricanent “Yeah , so are the French !”. Puis j’explose de rire avec mon wing, ells continuent à nous regarder et à rire à travers la fenêtre.

Pendant tout ce temps, il y avait deux filles sur notre droite qui discutent . Elles ont tout vu, tout entendu. Mon wing enchaîne très vite.

« Vous parlez de boulot un vendredi soir ? » S’en suit une conversation assez sympa, elles sont ouvertes mais sans plus. Puis moi je descends et je dis aurevoir, elles aussi.

Fin de soirée. Excellente :).

Ok, je suis fatigué d’écrire, une dernière petite chose. Je vous ai dit que j’esperais que ce journal inspire du monde, amène une perception particulière. Je sais pas si c’est une réussite mais enfin bon. Je voulais aussi vous montrer un truc que je fais, qui va pas vous montrer grand-chose en réalité, à part à quel point je prends le game au sérieux :

Image


Voilà, en fait je fais des rapports de terrain après chaque session, je me note sur 5 critères et j’en fais une moyenne. J’écris aussi des remarques ce que fait de bien, ce que j’ai fait de mal, ce que je dois travailler, et d’autres petites remarques. Puis les notes produisent un graphique. Au fond, pour l’instant le graphique m’apporte peu, et il veut pas dire tellement de choses vu comme ça. Les notes sont souvent biaisées et tout est relatif. Mais je teste ça pour deux ou trois mois et je verrai si ça apporte quelque chose d’intéressant. Là il s’agit de mes 9 dernières sessions d’avril (sur 11).

Et maintenant, je vous dis à bientôt.
Mmh ça déconne peut être pour l'image désolé. Vous pouvez demander en MP
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