À nouveau départ, nouveau journal.
Des mois s’étaient écoulés depuis ma dernière mise à jour.
L’envie de tourner la page se faisait ressentir.
Quelle page ?
Celle de la Belgique.
De ce premier journal, m'y rattachant.
Fin 2015/début 2016, je m’étais donné l’objectif de voyager le plus longtemps possible. Au moins sur cette année.
Mars 2016 commençait le Grand Tour.
Je suis toujours à l’étranger.
Des expériences diverses et intéressantes.
Je ne vais pas revenir dessus avec ce premier message.
Seulement me concentrer sur le présent. Avec des partages opportuns par moments.
J’estime avoir accompli cet objectif, même en étant revenu 2 ou 3 mois en Belgique entre temps.
Il est temps d’écrire la suite du livre.
456 pounds et 811 km plus loin...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] La suite, vite ! le 17.12.16, 23h22 par Jsh
456 pounds.
Est-il possible de commencer une nouvelle vie avec 456 pounds ?
J’allais bientôt découvrir la réponse, non sans difficultés.
Partie I : la santé
Un rapport sur le plus important, la santé :
Quelques jours avant le départ prévu d’octobre 2016, j’ai été atteint d’une faiblesse.
Le lendemain d’une soirée à boire et fumer.
Une pâleur digne d’un cachet d’aspirine, des vertiges, des cernes de zombies, une fatigue permanente, quelques douleurs localisées, un mental défaillant, et j’en passe...
Cela faisait longtemps que je n’avais plus subi une telle attaque.
Dans le doute, j’ai effectué des examens approfondis du cœur (papa étant décédé de ça).
Rien à signaler à ce niveau.
Et c’était bien ainsi.
Il m’aura fallu deux semaines pour retrouver un état plus ou moins normal.
Puis, avec l’expérience de ce premier mois à Edinburgh, je constate parfois un retour d’une fatigue et cernes, et surtout d’un mental plus faible. Mais à courte durée.
J’entreprends donc des changements plus profonds :
- Je fais plus attention à la nutrition (des efforts à faire).
- Plus de clopes et d’alcool (ou rarement pour ce dernier).
- Achat d’un livre sur l’anxiété.
Intéressant, très loin du « je vais guérir votre anxiété ». L’auteur parle d’équilibre, en sachant que l’anxiété fera toujours partie de notre vie pour les atteints et que c’est okay. Qu’on peut vivre de belles choses avec, une fois qu’on apprend à trouver la balance.
Chose que je sais et ai acceptée depuis longtemps, étant un connaisseur du milieu depuis mon enfance et ayant déjà réussi à atteindre ce point, sans ne m’être jamais renseigné.
Pour le coup, j’avais une envie d’approfondir le sujet et d'apprendre à mieux me cerner.
Des points à prendre en compte.
Mais ne vous méprenez pas.
J’ai choisi cette nouvelle vie, car désireux de me trouver. Et je sais que c’est ma voie. Je porte mes couilles pour suivre celle-ci, en acceptant les hauts et les bas de ma vie.
Je suis, et resterai à vie un gars qui avance, même dans mes difficultés.
Car, je compte vivre !
Et en profiter autant que possible.
Partie II : Motherfucking départ !
Putain, ouais, une nouvelle vie avec 456 pounds, c’est possible !
Bon, faut avoir de grosses couilles pour quitter son pays avec si peu et atterrir en terre -pas vraiment, mais quand même- inconnue.
J’ai passé quelques nuits dans des shelters (abris pour SDF) et ai mangé dans des organisations sociales. J’en ai rencontré des gars chelous, au regard à te faire chier dessus.
C’est fou tout ce qu’ils font pour aider dans cette ville !
Ça n’a pas toujours été simple, mais ça en valait le coup.
Après ça, je sais que je pourrais à peu près survivre n'importe où, avec peu d'argent.
Et me faire plaisir à voyager.
J’ai trouvé 3 jobs, en 3 semaines.
En Belgique, après 2 ans, rien.
Le dernier job me convient, pour l’instant.
Une façon d’augmenter mon capital départ et de pouvoir assurer la vie en auberge quelque temps.
Les filles, le cul, la vie, les projets
.
Est-il possible de commencer une nouvelle vie avec 456 pounds ?
J’allais bientôt découvrir la réponse, non sans difficultés.
Partie I : la santé
Un rapport sur le plus important, la santé :
Quelques jours avant le départ prévu d’octobre 2016, j’ai été atteint d’une faiblesse.
Le lendemain d’une soirée à boire et fumer.
Une pâleur digne d’un cachet d’aspirine, des vertiges, des cernes de zombies, une fatigue permanente, quelques douleurs localisées, un mental défaillant, et j’en passe...
Cela faisait longtemps que je n’avais plus subi une telle attaque.
Dans le doute, j’ai effectué des examens approfondis du cœur (papa étant décédé de ça).
Rien à signaler à ce niveau.
J’ai donc repoussé d’un mois mon départ, en novembre.Il ne me restait que 2 éléments suspectés :
- Diabète, en me basant sur ma dernière analyse sanguine de juin 2015
- Crises d’anxiété (vu mon passif, lisez le premier journal)
Et c’était bien ainsi.
Il m’aura fallu deux semaines pour retrouver un état plus ou moins normal.
Puis, avec l’expérience de ce premier mois à Edinburgh, je constate parfois un retour d’une fatigue et cernes, et surtout d’un mental plus faible. Mais à courte durée.
J’entreprends donc des changements plus profonds :
- Je fais plus attention à la nutrition (des efforts à faire).
- Plus de clopes et d’alcool (ou rarement pour ce dernier).
- Achat d’un livre sur l’anxiété.
Intéressant, très loin du « je vais guérir votre anxiété ». L’auteur parle d’équilibre, en sachant que l’anxiété fera toujours partie de notre vie pour les atteints et que c’est okay. Qu’on peut vivre de belles choses avec, une fois qu’on apprend à trouver la balance.
Chose que je sais et ai acceptée depuis longtemps, étant un connaisseur du milieu depuis mon enfance et ayant déjà réussi à atteindre ce point, sans ne m’être jamais renseigné.
Pour le coup, j’avais une envie d’approfondir le sujet et d'apprendre à mieux me cerner.
Des points à prendre en compte.
Mais ne vous méprenez pas.
J’ai choisi cette nouvelle vie, car désireux de me trouver. Et je sais que c’est ma voie. Je porte mes couilles pour suivre celle-ci, en acceptant les hauts et les bas de ma vie.
Je suis, et resterai à vie un gars qui avance, même dans mes difficultés.
Car, je compte vivre !
Et en profiter autant que possible.
Partie II : Motherfucking départ !
Putain, ouais, une nouvelle vie avec 456 pounds, c’est possible !
Bon, faut avoir de grosses couilles pour quitter son pays avec si peu et atterrir en terre -pas vraiment, mais quand même- inconnue.
J’ai passé quelques nuits dans des shelters (abris pour SDF) et ai mangé dans des organisations sociales. J’en ai rencontré des gars chelous, au regard à te faire chier dessus.
C’est fou tout ce qu’ils font pour aider dans cette ville !
Ça n’a pas toujours été simple, mais ça en valait le coup.
Après ça, je sais que je pourrais à peu près survivre n'importe où, avec peu d'argent.
Et me faire plaisir à voyager.
J’ai trouvé 3 jobs, en 3 semaines.
En Belgique, après 2 ans, rien.
Le dernier job me convient, pour l’instant.
Une façon d’augmenter mon capital départ et de pouvoir assurer la vie en auberge quelque temps.
Après cette introduction pour vous situer, on va passer au plus intéressant :Ici, c’est facile pour trouver un job.
C’est un excellent point de chute si vous avez besoin de trouver du boulot et que vous avez peu de moyens. La masse migratoire d’Espagnols, Italiens, Polonais et diverses origines est juste énorme… !
Les filles, le cul, la vie, les projets

Chapitre O : la vie en auberge
L’auberge, c’est cool.
On y fait des rencontres.
Chaque jour sa surprise.
C’est comme un kinder. On le savoure, ce chocolat fondant dans la bouche, tout en prenant un malin plaisir à s’imaginer ce que contient l’œuf. On le secoue pour en mesurer sa teneur, on le colle à l’oreille afin de découvrir s’il sera simple de le monter. Et on finit par craquer et mettre une plombe à l’ouvrir, tellement l’ouverture pourrie et l’excitation sont présentes !
Je ne vous parle pas de certains réveils, avec un taux de testo en hausse et son lot de petites fesses en shorty, en train de se dandiner devant vous. Quelques sourires coquins, une fille qui vous parle de bon matin, en prenant le malin soin de se changer devant vous, laissant se dévoiler de magnifiques courbes.
Miam.
**** L’Italienne, Cr ****
Elle, c’est mon amie.
Une vraie Italienne, théâtrale, même malade.
Ou lorsque nous avons aidé une femme, attendant les secours, en racontant l’histoire de la statue de Bologne, me désignant d’un geste, et avec le regard de cette femme alcoolisée, se tournant vers moi, s’exclamant « oooooh ».
J’étais plié.
Bon, ça ne me dérangerait pas de finir au lit avec, et c’est parfois ambigu, mais elle sait me mettre une distance, malgré nos échanges de câlins et discussions profondes.
Puis, à me relire, le « déplairait pas » sonne plus comme un besoin.
Et c’est bien comme ça, car avoir des amies, c’est important.
J’ai besoin de ça dans cette nouvelle vie
.
Nous avons chacun nos projets et nous avons les capacités d’aider l’un l’autre, à tous niveaux.
Elle a un parcours similaire sur les crises d’anxiétés et sur sa capacité à s’adapter.
Tout comme moi, elle s’en sert comme une force.
C’est donc une valeur sûre et on verra l'évolution de cette amitié.
**** L’Ecossaise, Sh ****
C’est une nouvelle expérience.
Dans un registre que je ne connais pas encore et souhaiterais explorer.
Elle a 35 ans, elle est belle et possède une vision de la vie intéressante.
Elle ne recherche pas une relation sérieuse.
Non plus un « fuck buddy », comme elle le dit.
Elle se laisse juste vivre l’instant présent et veut essayer un tas de nouvelles expériences. Rencontrer des gens, parler, s’amuser… agir en fonction de.
Elle est à fond pour le cul hardcore, le polyamour, des rolesplays gores, elle ne se limite pas à un âge ou un physique (en respectant une norme sociale tout de même…)
Une vraie femme, le genre qui assume pleinement ses désirs.
Imaginez-vous :
Un simple contact Tinder.
Une proposition de rencontre.
Ca tombe à l’eau. Elle finit par me recontacter deux semaines après.
Cette fois, la rencontre se fait.
Le lieu de rendez-vous est assez discret. Elle m'invite à monter dans sa voiture par SMS.
Je ne la connais pas, je ne sais pas où on va, mais j'en ai rien à foutre.
Je monte.
Le contact passe bien.
On a des délires et des discussions intéressantes.
On finit par beaucoup parler de cul.
Elle dit réellement ce qu’elle pense.
Pour vous donner l’exemple :
On se pose des questions sur le cul. Il y a de plus en plus de contacts physiques.
Bon, le lendemain elle doit se lever très tôt pour aller bosser à Glasgow.
Peut-être il y avait plus à agir, mais elle semblait vouloir aller dormir.
On finit donc par se lancer un défi :
- Okay, trouve une deuxième fille et on fera un plan à trois. J’ai jamais essayé avec deux personnes.


Avant de sortir de la voiture, je la prends vers moi et l’embrasse.
Bien sûr, tant que ce n'est pas fait...
A voir l'évolution, mais il y a beaucoup à apprendre avec elle.
Je suis en recherche d'une deuxième fille.
Et, c'est fou, avec un petit message bien préparé, sans en faire trop, j'ai potentiellement trouvé quatre filles dans mes contacts qui se disent intéressées/intriguées pour ce plan à 3.
Et celles qui répondent non me disent être flattées par cette demande...
Merde quoi, suffit juste de demander et tu obtiens
.
On se complique trop la vie parfois.
J'attends d'autres réponses.
Et la suite.
Le message :
**** La Française ****
Vous avez déjà ce texte sur le journal LFG.
C’est la raison pour laquelle je la place en dernière.
Je vais le recoller ici pour ceux qui auraient raté ce passage :
En auberge à Edinburgh (de retour, j'y travaille), une Française rentre dans mon dortoir.
On discute une dizaine de minutes.
On sympathise.
Elle s'en va prendre une douche, m'avouant plus tard qu'elle espérait ne plus me voir en revenant, car elle était intimidée et n'osait pas me parler.
Raté, j'étais encore là.
La conversation se relance une bonne demi-heure.
Elle m'excite dans sa manière d'être.
Une voix sensuelle, un joli décolleté que je regarde avec plaisir, un corps à croquer, et ce charme propre à vous, chères Françaises...
Je lui parle de mon site d'écriture.
Elle me parle de son métier d'animatrice radio (qui sait, vous l'avez peut-être déjà entendu !
).
C'était le parfait moment pour s'installer l'un à côté de l'autre et partager nos projets sur le pc.
On se rapproche.
Nos jambes s'effleurent. Nos mains se croisent.
Je finis par la lui prendre. Elle est réceptive.
On décide d'aller manger.
On passe un agréable moment.
Elle est surprise que j'en sache autant sur elle sur le peu de temps passé ensemble (j'adore analyser en profondeur la personnalité des gens sur le peu d'éléments en ma possession).
Le courant passe naturellement.
Sur le chemin du retour, on s'embrasse.
J'ai envie de passer la nuit avec elle. En train de me changer dans la pénombre de la chambre, je me demande comment en arriver là en ne passant pas pour un lourd, dans une chambre de 16...
Elle revient de la salle de bain, on s'avance l'un vers l'autre :
- On regarde un film ?
- *deux secondes de blanc, surpris de son pas*. Oui.
Si simple.
On se prend trop la tête, parfois.
Deux nuits de plaisir et de totale connexion.
Je la raccompagne au tram lors de son dernier jour.
Nous nous échangeons nos derniers mots et baisers.
- J'envie la prochaine fille que tu vas rencontrer.
Et une invitation à lui rendre visite.
Que je vais bien sûr réaliser le moment opportun
.
Je suis aussi assez proche de l’Espagnol, Ja, à un niveau délires entre mecs… en gros, comme se crée les relations entre nous en général. Je prévois de reprendre le sport avec lui (il va à la salle). Je vais attendre de reprendre un peu de contrôle sur mon mental.
---
Je passe bien sûr de nombreuses autres discussions et approches avec d'autres femmes.
Pas toujours dans un contexte de séduction.
J'y apprends beaucoup et y gagne en compétences sociales.
Même si parfois, j'ai juste envie d'être seul.
Les auberges, c'est cool.
Surtout la mienne... naaa.
La suite... c'est continuer de parler à un maximum de femmes.
Le contexte m'aide énormément.
D'améliorer mon jeu de séduction. De vivre des expériences et de continuer à coucher avec de magnifiques femmes.
Aussi, je suis sur un projet social.
Dans le sens "Free Hugs".
Pour créer du contact et du bonheur dans la vie des gens et la mienne.
J'ai ma petite idée. Un truc simple.
J'ai envie de m'investir bien plus socialement.
Et c'est en route
L’auberge, c’est cool.
On y fait des rencontres.
Chaque jour sa surprise.
C’est comme un kinder. On le savoure, ce chocolat fondant dans la bouche, tout en prenant un malin plaisir à s’imaginer ce que contient l’œuf. On le secoue pour en mesurer sa teneur, on le colle à l’oreille afin de découvrir s’il sera simple de le monter. Et on finit par craquer et mettre une plombe à l’ouvrir, tellement l’ouverture pourrie et l’excitation sont présentes !
Je ne vous parle pas de certains réveils, avec un taux de testo en hausse et son lot de petites fesses en shorty, en train de se dandiner devant vous. Quelques sourires coquins, une fille qui vous parle de bon matin, en prenant le malin soin de se changer devant vous, laissant se dévoiler de magnifiques courbes.
Miam.
**** L’Italienne, Cr ****
Elle, c’est mon amie.
Une vraie Italienne, théâtrale, même malade.
Ou lorsque nous avons aidé une femme, attendant les secours, en racontant l’histoire de la statue de Bologne, me désignant d’un geste, et avec le regard de cette femme alcoolisée, se tournant vers moi, s’exclamant « oooooh ».
J’étais plié.
Bon, ça ne me dérangerait pas de finir au lit avec, et c’est parfois ambigu, mais elle sait me mettre une distance, malgré nos échanges de câlins et discussions profondes.
Puis, à me relire, le « déplairait pas » sonne plus comme un besoin.
Et c’est bien comme ça, car avoir des amies, c’est important.
J’ai besoin de ça dans cette nouvelle vie

Nous avons chacun nos projets et nous avons les capacités d’aider l’un l’autre, à tous niveaux.
Elle a un parcours similaire sur les crises d’anxiétés et sur sa capacité à s’adapter.
Tout comme moi, elle s’en sert comme une force.
C’est donc une valeur sûre et on verra l'évolution de cette amitié.
**** L’Ecossaise, Sh ****
C’est une nouvelle expérience.
Dans un registre que je ne connais pas encore et souhaiterais explorer.
Elle a 35 ans, elle est belle et possède une vision de la vie intéressante.
Elle ne recherche pas une relation sérieuse.
Non plus un « fuck buddy », comme elle le dit.
Elle se laisse juste vivre l’instant présent et veut essayer un tas de nouvelles expériences. Rencontrer des gens, parler, s’amuser… agir en fonction de.
Elle est à fond pour le cul hardcore, le polyamour, des rolesplays gores, elle ne se limite pas à un âge ou un physique (en respectant une norme sociale tout de même…)
Une vraie femme, le genre qui assume pleinement ses désirs.
Imaginez-vous :
Un simple contact Tinder.
Une proposition de rencontre.
Ca tombe à l’eau. Elle finit par me recontacter deux semaines après.
Cette fois, la rencontre se fait.
Le lieu de rendez-vous est assez discret. Elle m'invite à monter dans sa voiture par SMS.
Je ne la connais pas, je ne sais pas où on va, mais j'en ai rien à foutre.
Je monte.
Le contact passe bien.
On a des délires et des discussions intéressantes.
On finit par beaucoup parler de cul.
Elle dit réellement ce qu’elle pense.
Pour vous donner l’exemple :
Ça m’excite.« J’ai juste envie de me faire violemment culbuter. Qu’on me tire les cheveux. Qu’on m’étrangle. Pourquoi la majorité des mecs est toujours timide à le faire ? Ce serait plus simple si on disait et faisait ce que l’on souhaite, au lieu de vouloir paraître. ».
On se pose des questions sur le cul. Il y a de plus en plus de contacts physiques.
Bon, le lendemain elle doit se lever très tôt pour aller bosser à Glasgow.
Peut-être il y avait plus à agir, mais elle semblait vouloir aller dormir.
On finit donc par se lancer un défi :
- Okay, trouve une deuxième fille et on fera un plan à trois. J’ai jamais essayé avec deux personnes.


Avant de sortir de la voiture, je la prends vers moi et l’embrasse.
Bien sûr, tant que ce n'est pas fait...
A voir l'évolution, mais il y a beaucoup à apprendre avec elle.
Je suis en recherche d'une deuxième fille.
Et, c'est fou, avec un petit message bien préparé, sans en faire trop, j'ai potentiellement trouvé quatre filles dans mes contacts qui se disent intéressées/intriguées pour ce plan à 3.
Et celles qui répondent non me disent être flattées par cette demande...
Merde quoi, suffit juste de demander et tu obtiens

On se complique trop la vie parfois.
J'attends d'autres réponses.
Et la suite.
Le message :
Hey ...
A friend girl and I are looking to find another girl to experiment a threesome. Have you ever considered that ?
She is as pretty as you (she is 35).
If you are curious/interested it could be possible for you to discover that with us!
You probably are mature enough to know if you would love to try a new experience and you really are pretty ;).
**** La Française ****
Vous avez déjà ce texte sur le journal LFG.
C’est la raison pour laquelle je la place en dernière.
Je vais le recoller ici pour ceux qui auraient raté ce passage :
En auberge à Edinburgh (de retour, j'y travaille), une Française rentre dans mon dortoir.
On discute une dizaine de minutes.
On sympathise.
Elle s'en va prendre une douche, m'avouant plus tard qu'elle espérait ne plus me voir en revenant, car elle était intimidée et n'osait pas me parler.
Raté, j'étais encore là.
La conversation se relance une bonne demi-heure.
Elle m'excite dans sa manière d'être.
Une voix sensuelle, un joli décolleté que je regarde avec plaisir, un corps à croquer, et ce charme propre à vous, chères Françaises...
Je lui parle de mon site d'écriture.
Elle me parle de son métier d'animatrice radio (qui sait, vous l'avez peut-être déjà entendu !


C'était le parfait moment pour s'installer l'un à côté de l'autre et partager nos projets sur le pc.
On se rapproche.
Nos jambes s'effleurent. Nos mains se croisent.
Je finis par la lui prendre. Elle est réceptive.
On décide d'aller manger.
On passe un agréable moment.
Elle est surprise que j'en sache autant sur elle sur le peu de temps passé ensemble (j'adore analyser en profondeur la personnalité des gens sur le peu d'éléments en ma possession).
Le courant passe naturellement.
Sur le chemin du retour, on s'embrasse.
J'ai envie de passer la nuit avec elle. En train de me changer dans la pénombre de la chambre, je me demande comment en arriver là en ne passant pas pour un lourd, dans une chambre de 16...
Elle revient de la salle de bain, on s'avance l'un vers l'autre :
- On regarde un film ?
- *deux secondes de blanc, surpris de son pas*. Oui.
Si simple.
On se prend trop la tête, parfois.
Deux nuits de plaisir et de totale connexion.
Je la raccompagne au tram lors de son dernier jour.
Nous nous échangeons nos derniers mots et baisers.
- J'envie la prochaine fille que tu vas rencontrer.
Et une invitation à lui rendre visite.
Que je vais bien sûr réaliser le moment opportun
---I got a feeling we are gonna win
Our bodies make it perfect
And your eyes can make me swim
Then again everything seems new
I can barely hold my tongue
To say the least I'm into you
And your eyes
Are saying more than we can talk and warmer than our bedroom sport
And your thighs
Are kisses from the outside, girl that's all I need
I'll take you down the other road
To breathe in something more
I'll find it harder to ignore
The things I want you for
Je suis aussi assez proche de l’Espagnol, Ja, à un niveau délires entre mecs… en gros, comme se crée les relations entre nous en général. Je prévois de reprendre le sport avec lui (il va à la salle). Je vais attendre de reprendre un peu de contrôle sur mon mental.
---
Je passe bien sûr de nombreuses autres discussions et approches avec d'autres femmes.
Pas toujours dans un contexte de séduction.
J'y apprends beaucoup et y gagne en compétences sociales.
Même si parfois, j'ai juste envie d'être seul.
Les auberges, c'est cool.
Surtout la mienne... naaa.
La suite... c'est continuer de parler à un maximum de femmes.
Le contexte m'aide énormément.
D'améliorer mon jeu de séduction. De vivre des expériences et de continuer à coucher avec de magnifiques femmes.
Aussi, je suis sur un projet social.
Dans le sens "Free Hugs".
Pour créer du contact et du bonheur dans la vie des gens et la mienne.
J'ai ma petite idée. Un truc simple.
J'ai envie de m'investir bien plus socialement.
Et c'est en route

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Bravo le 18.12.16, 10h15 par FK
- [+2] La suite, vite ! le 18.12.16, 11h20 par Jalapeno
- [0] Yesssss! le 18.12.16, 15h05 par Finn
- [+1] Bravo le 18.12.16, 20h54 par MaryeL
- [+2] Like ! le 18.12.16, 21h33 par Acier
- [+3] LFG ! le 19.12.16, 00h17 par amelia
- [0] La suite, vite ! le 21.12.16, 09h12 par Jsh
- [+1] +1 le 22.12.16, 16h08 par Safrania95
- [0] Like ! le 26.12.16, 17h25 par DTS
C’est avec les yeux rouges et gonflés que j’écris ce poste.
Je vais tenter d’être le plus objectif possible, entre ces pleurs.
C’est un retour à la case départ -> Belgique.
J’ai l’habitude des hauts et des bas dans ma vie.
De n’avoir jamais eu une certaine stabilité.
Il n’est donc pas étonnant de zigzaguer.
Mais je me demande à quoi bon fournir ces efforts, d’avancer, si c’est pour au final, à chaque fois, retomber dans mon état initial :
à rester enfermer dans la chambre, et laisser le temps s’écouler, à ne rien faire et subir.
Le pire, c’est de toujours ressentir cet instinct de survie en moi, de ne jamais vouloir abandonner, d’avoir conscience de toute cette merde… et de me sentir bloqué.
J’avais écrit dans ce journal cette crise eue avant départ en Écosse.
Grossièrement, elle a refait surface plusieurs fois. La plus violente étant début janvier.
Dès que je sortais, j’avais toutes les crises d’anxiété liées (renseignez-vous).
Du coup, à partir de là, je ne sortais plus, sauf pour aller bosser et deux ou trois fois pour voir une amie.
Mon corps me lançait des signes violents, puisque je ne voulais pas entendre par la raison.
J’ai compris que ce n’était pas ce que je voulais, tout quitter et ne plus revenir.
J’aime les voyages, mais dans cette tentative de fuite, ce n’est pas la bonne option.
J’étais bien sûr démoralisé, car je ne comprenais plus rien.
Et je le suis toujours.
Quel intérêt de se bouger si c’est pour se prendre des crises de dépression et d’anxiété en pleine face ?
Bon, je comprends qu’il s’agit d’avoir choisi l’option de facilité, de fuir, sans réellement avoir cherché au fond de moi les vraies réponses. Mais comment faire, puisque je n’y arrive visiblement pas…
Et ce n’est pas faute d’avoir eu des bases saines et solides en Écosse dès le départ, pour reconstruire quelque chose (un job, une amie, des tas de rencontres, du sexe et du flirt…).
Merde, quand même !
---
J’ai réalisé que je n’ai plus envie de garder contact avec l’ami d’enfance. Ça fait longtemps que j’y songe, que je le sens. D’ailleurs, les contacts se font plus rares. On devait se revoir à mon retour en Belgique ce début février, mais j’ai finalement annulé, car pas l’envie. Je crois que je vais tout simplement couper les ponts.
-
Un autre ami, là, surprise, a décidé de couper les ponts avec moi.
Il m’avait hébergé les premiers jours février, pour m’aider à me relancer dans ma recherche d’une chambre en Belgique. Il est aussi en phase de burn-out / dépression. On a beaucoup parlé. C’était vraiment des discussions intimes.
Tellement intime, que c’était la première fois que je « pleurais » devant quelqu’un en parlant de mon passé. Je mets entre « », car c’était un micro-nano pleur. Ça nous a fait rire.
Et j’ai réalisé à quel point j’ai de la souffrance en moi.
C’est d’autant plus perturbant que je ne l’ai jamais vraiment senti et que je parle facilement de mon passé…
Bref, deux jours plus tard après avoir quitté son domicile, il a décidé de couper les ponts.
Au passage, en jetant dehors mes affaires qu’il gardait le temps de mon voyage (ça, ce n’était pas cool. Heureusement que j’avais très peu). Histoire d’enfoncer le clou.
Ses raisons étaient réellement obscures. Il n’a pas voulu me les dire. Il a même tenté de me faire croire à une autre raison avant d’avouer que ce n’était pas ça la vraie raison (il prétendait que j’avais volé chez lui… what the fuck ?).
Je crois qu’il a eu peur de voir ce qu’il était en train de subir, et de voir par quoi il devra probablement passer. En sachant que j’ai une facilité à toucher les points sensibles des gens (sans aucun jugement, dans cette optique d’aide).
Bref, je n’ai pas cherché plus loin, et j’ai coupé.
C’était surtout surprenant.
-
Le plus difficile, c’est avec cette Française (sur laquelle j’ai écrit dans le précédent message).
On avait gardé contact, car c’était cool. On avait du sexe et on s’entendait super bien.
Pourquoi pas ?
On s’écrivait tous les jours, on se téléphonait régulièrement.
Longtemps.
On s’était même envoyé des lettres, comme des gamins.
Dans le même temps, on restait léger (à ne pas tomber dans l’obsession et l’idéalisation).
En gros, ça se ferait si ça se faisait. Et ça se construisait bien.
On devait se voir en janvier et février, mais plusieurs circonstances ont repoussé à Mars.
Puis, avec mon retour ici, et toutes les claques, je me suis dit que ce serait une mauvaise idée de consolider encore plus le truc en se voyant.
- Déjà, elle me connaissait en Écosse. Sociable, avec des envies, du travail, des projets.
Il faut être réaliste, quelle image aurait-elle eu du moi Belge totalement détruit ?
- Se voir, profiter de bons moments et continuer à entretenir le truc en sachant mon point actuel... Quel but ? Car, c’est là, au fond de moi. Quel intérêt si ce n’est lui offrir (et à moi aussi) plus de souffrances futures ?
- C’est totalement un problème personnel. Pourquoi l’embarquer dedans si je peux lui éviter ?
Ce serait égoïste.
Du coup, je lui ai envoyé ce message, et je l’ai supprimé :
Elle a tenté de me contacter à de multiples reprises, sans succès.
Ce n’est pas cool, mais je n’ai pas envie de justifier mon état actuel…
Et ce serait mentir de dire que ça ne me fait pas mal.
J'en ai rêvé toute la nuit. Et l'idée de lui faire mal me fait mal (surtout qu'elle a aussi eu une amie ayant coupé les ponts avec elle, sans raison, au même moment que mon ami).
Mais c'est aussi pour la/me protéger de moi-même.
Autant préserver le souvenir de cette belle rencontre au maximum.
---
Une fois de plus, je suis seul. Non seulement face à moi-même, comme on l’est tous dans le fond, mais aussi socialement.
C’est la case départ.
Le zéro absolu :
- Plus d’amis
- Pas de job
- Pas de perspective/d’envie
- Une incompréhension de ma personne
- De la douleur émotionnelle
Bref, je vais aller consulter un psychologue à partir de mars (oui, car aussi, plus une thune jusque là , je vais devoir me taper une semaine sans bouffe, mais rien à foutre haha), histoire d’avoir une main tendue, car je ne comprends plus.
Mais je sais déjà que tout viendra de moi…
J’en peux plus de cette souffrance.
Je suis un putain de lion en cage.
Je vais tenter d’être le plus objectif possible, entre ces pleurs.
C’est un retour à la case départ -> Belgique.
J’ai l’habitude des hauts et des bas dans ma vie.
De n’avoir jamais eu une certaine stabilité.
Il n’est donc pas étonnant de zigzaguer.
Mais je me demande à quoi bon fournir ces efforts, d’avancer, si c’est pour au final, à chaque fois, retomber dans mon état initial :
à rester enfermer dans la chambre, et laisser le temps s’écouler, à ne rien faire et subir.
Le pire, c’est de toujours ressentir cet instinct de survie en moi, de ne jamais vouloir abandonner, d’avoir conscience de toute cette merde… et de me sentir bloqué.
J’avais écrit dans ce journal cette crise eue avant départ en Écosse.
Grossièrement, elle a refait surface plusieurs fois. La plus violente étant début janvier.
Dès que je sortais, j’avais toutes les crises d’anxiété liées (renseignez-vous).
Du coup, à partir de là, je ne sortais plus, sauf pour aller bosser et deux ou trois fois pour voir une amie.
Mon corps me lançait des signes violents, puisque je ne voulais pas entendre par la raison.
J’ai compris que ce n’était pas ce que je voulais, tout quitter et ne plus revenir.
J’aime les voyages, mais dans cette tentative de fuite, ce n’est pas la bonne option.
J’étais bien sûr démoralisé, car je ne comprenais plus rien.
Et je le suis toujours.
Quel intérêt de se bouger si c’est pour se prendre des crises de dépression et d’anxiété en pleine face ?
Bon, je comprends qu’il s’agit d’avoir choisi l’option de facilité, de fuir, sans réellement avoir cherché au fond de moi les vraies réponses. Mais comment faire, puisque je n’y arrive visiblement pas…
Et ce n’est pas faute d’avoir eu des bases saines et solides en Écosse dès le départ, pour reconstruire quelque chose (un job, une amie, des tas de rencontres, du sexe et du flirt…).
Merde, quand même !
---
J’ai réalisé que je n’ai plus envie de garder contact avec l’ami d’enfance. Ça fait longtemps que j’y songe, que je le sens. D’ailleurs, les contacts se font plus rares. On devait se revoir à mon retour en Belgique ce début février, mais j’ai finalement annulé, car pas l’envie. Je crois que je vais tout simplement couper les ponts.
-
Un autre ami, là, surprise, a décidé de couper les ponts avec moi.
Il m’avait hébergé les premiers jours février, pour m’aider à me relancer dans ma recherche d’une chambre en Belgique. Il est aussi en phase de burn-out / dépression. On a beaucoup parlé. C’était vraiment des discussions intimes.
Tellement intime, que c’était la première fois que je « pleurais » devant quelqu’un en parlant de mon passé. Je mets entre « », car c’était un micro-nano pleur. Ça nous a fait rire.
Et j’ai réalisé à quel point j’ai de la souffrance en moi.
C’est d’autant plus perturbant que je ne l’ai jamais vraiment senti et que je parle facilement de mon passé…
Bref, deux jours plus tard après avoir quitté son domicile, il a décidé de couper les ponts.
Au passage, en jetant dehors mes affaires qu’il gardait le temps de mon voyage (ça, ce n’était pas cool. Heureusement que j’avais très peu). Histoire d’enfoncer le clou.
Ses raisons étaient réellement obscures. Il n’a pas voulu me les dire. Il a même tenté de me faire croire à une autre raison avant d’avouer que ce n’était pas ça la vraie raison (il prétendait que j’avais volé chez lui… what the fuck ?).
Je crois qu’il a eu peur de voir ce qu’il était en train de subir, et de voir par quoi il devra probablement passer. En sachant que j’ai une facilité à toucher les points sensibles des gens (sans aucun jugement, dans cette optique d’aide).
Bref, je n’ai pas cherché plus loin, et j’ai coupé.
C’était surtout surprenant.
-
Le plus difficile, c’est avec cette Française (sur laquelle j’ai écrit dans le précédent message).
On avait gardé contact, car c’était cool. On avait du sexe et on s’entendait super bien.
Pourquoi pas ?
On s’écrivait tous les jours, on se téléphonait régulièrement.
Longtemps.
On s’était même envoyé des lettres, comme des gamins.
Dans le même temps, on restait léger (à ne pas tomber dans l’obsession et l’idéalisation).
En gros, ça se ferait si ça se faisait. Et ça se construisait bien.
On devait se voir en janvier et février, mais plusieurs circonstances ont repoussé à Mars.
Puis, avec mon retour ici, et toutes les claques, je me suis dit que ce serait une mauvaise idée de consolider encore plus le truc en se voyant.
- Déjà, elle me connaissait en Écosse. Sociable, avec des envies, du travail, des projets.
Il faut être réaliste, quelle image aurait-elle eu du moi Belge totalement détruit ?
- Se voir, profiter de bons moments et continuer à entretenir le truc en sachant mon point actuel... Quel but ? Car, c’est là, au fond de moi. Quel intérêt si ce n’est lui offrir (et à moi aussi) plus de souffrances futures ?
- C’est totalement un problème personnel. Pourquoi l’embarquer dedans si je peux lui éviter ?
Ce serait égoïste.
Du coup, je lui ai envoyé ce message, et je l’ai supprimé :
Coucou..
Je vais tenter d’écrire au plus simple.
J’ai bien réfléchi.
Je vais mettre un terme à la « relation » avec toi, avant que ça n’aille trop loin.
Tu n’es pas en cause, sache-le. Et ce ne sont pas des mots pour te duper. C’est moi.
Je sens pour le moment que je ne suis pas dans une phase de construction saine.
À tous niveaux.
J’ai perdu beaucoup de repères, mais surtout, je ne sais plus ce que je veux. J’ai besoin de me reconstruire. Je sais que tu vas me dire que c’est lié à ce long voyage, que c’est normal.
En partie, mais c’est bien plus profond. Ce serait incompréhensible pour toi.
Et je ne peux/veux clairement pas t’embarquer là-dedans. Ce serait malsain de te faire espérer, miroiter ce dont je ne me sens pas capable d’offrir à l’heure actuelle. Parce que je ne sais déjà pas ce que j'ai à m'offrir, moi-même...
Ça me fait vraiment mal de couper, car je sais qu’avec toi ce serait super.
Sincèrement.
Mais ce serait tout autant malhonnête de ma part de se revoir, de profiter de ces beaux moments avec toi pour finir d’en arriver à ce stade. Car j’y reviendrais, parce que c’est là, au fond de moi.
Je ne veux pas jouer avec tes sentiments.
Là, on n’a pas encore vraiment construit.
Ce serait bien plus violent que cette déception, si j’attendais. Ce serait idiot et méchant…
Je ne me fais pas de soucis pour toi, t’as de quoi rencontrer des tas de personnes géniales dans ton milieu. En plus, tu réalises plein de choses comme ta dépendance affective. T’es sur la bonne voie. Tu trouveras une personne qui te correspondra. Je te le souhaite.
Pardonne-moi pour ces maux…
Je t’embrasse.
Elle a tenté de me contacter à de multiples reprises, sans succès.
Ce n’est pas cool, mais je n’ai pas envie de justifier mon état actuel…
Et ce serait mentir de dire que ça ne me fait pas mal.
J'en ai rêvé toute la nuit. Et l'idée de lui faire mal me fait mal (surtout qu'elle a aussi eu une amie ayant coupé les ponts avec elle, sans raison, au même moment que mon ami).
Mais c'est aussi pour la/me protéger de moi-même.
Autant préserver le souvenir de cette belle rencontre au maximum.
---
Une fois de plus, je suis seul. Non seulement face à moi-même, comme on l’est tous dans le fond, mais aussi socialement.
C’est la case départ.
Le zéro absolu :
- Plus d’amis
- Pas de job
- Pas de perspective/d’envie
- Une incompréhension de ma personne
- De la douleur émotionnelle
Bref, je vais aller consulter un psychologue à partir de mars (oui, car aussi, plus une thune jusque là , je vais devoir me taper une semaine sans bouffe, mais rien à foutre haha), histoire d’avoir une main tendue, car je ne comprends plus.
Mais je sais déjà que tout viendra de moi…
J’en peux plus de cette souffrance.
Je suis un putain de lion en cage.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 17.02.17, 13h29 par Onmyoji
- [0] Courage le 17.02.17, 13h51 par Safrania95
- [0] Courage le 23.02.17, 21h23 par Jalapeno
Je comprends pas le besoin de devoir couper les ponts avec elle, si ce n'est pour te conforter dans l'impression que tu as tout perdu. Alors que là c'est volontaire. Pareil pour les amis. En partie.
Tu tournes en rond mais tu as connu autre chose. Faut pas voir la vie comme une ligne droite et l'idée d'avancer. Faut voir le chemin parcouru et la quantité de choses vécues qui dépassent de loin le simple fait d'avoir des hauts et des bas. C'est pas une mauvaise idée de se faire aider. Mais ne te juge pas mal. Tu as beaucoup fait. C'est juste compliquer de persister dans une attitude positive quand on a un gros problème au fond. Et ça prend plus qu'un voyage et une relation cool à évoluer. Dans mon expérience, je dirais qu'on met dix ans à changer vraiment vers son état serein, débarrassé de ses complexes et de certains bagzges tordus. Ça arrive pas en cliquant des doigts. Mais faut pas lâcher. Et la réponse à plus de peur et de mal être c'est de sortir pour s'exposer au positif. Pas de s'enfermer pour les laisser prendre ton cerveau d'assaut. COURAGE.
Tu tournes en rond mais tu as connu autre chose. Faut pas voir la vie comme une ligne droite et l'idée d'avancer. Faut voir le chemin parcouru et la quantité de choses vécues qui dépassent de loin le simple fait d'avoir des hauts et des bas. C'est pas une mauvaise idée de se faire aider. Mais ne te juge pas mal. Tu as beaucoup fait. C'est juste compliquer de persister dans une attitude positive quand on a un gros problème au fond. Et ça prend plus qu'un voyage et une relation cool à évoluer. Dans mon expérience, je dirais qu'on met dix ans à changer vraiment vers son état serein, débarrassé de ses complexes et de certains bagzges tordus. Ça arrive pas en cliquant des doigts. Mais faut pas lâcher. Et la réponse à plus de peur et de mal être c'est de sortir pour s'exposer au positif. Pas de s'enfermer pour les laisser prendre ton cerveau d'assaut. COURAGE.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 17.02.17, 13h52 par Safrania95
- [+1] C'est pas si simple le 17.02.17, 14h25 par Balzac
Comment construire sainement quand le fond est « pourri » ?
Okay, j’aurais pu continuer.
Mais autant instable, d’expérience, ça aurait mené à plus de douleurs inutiles.
C’est pas pour « éviter » de vivre cette expérience (en quelque sorte, oui, mais non en même temps).
C’est bel et bien parce que ces derniers mois ont été assez violents psychologiquement.
Si je subis tout ça, pourquoi entretenir jusqu’à la faire rentrer dans mes maux, puisque ça ressort réellement depuis quelques mois ? C’est pas comme si je pouvais parler de toute ma situation tranquillement, sans conséquence. Ce serait big surprise pour elle…
Et je n’ai pas envie de la faire rentrer là-dedans. Elle ne mérite pas ça.
Je suis d’accord, il y a plein de choses derrière, et je ne l’oublie pas vraiment.
Ça ne se base pas que sur un voyage et une rencontre cool. Mon autre carnet le montre, pour le peu exposé ici.
Mais force est de constater qu’à 28 ans, après des années à chercher à m’en sortir… le quotidien qui revient à ce niveau, c’est qu’il y a quelque chose de beaucoup plus profond.
Mon problème est certainement d’avoir voulu me la jouer solo, comme toujours.
De croire pouvoir tout gérer seul. Du coup, il est temps de passer chez un professionnel.
Mais je suis d’accord avec le fond de ton message.
Merci.
Edit:
Je n'ai jamais eu l'impression d'avoir perdu quoique ce soit tellement mes bases sont instables (une sorte d'habitude ancrée).
A l'inverse, j'ai toujours eu l'impression de n'avoir jamais rien gagné, malgré toutes mes expériences positives et actions.
Pour être grossier. Ce n'est pas que binaire 'perdre' - 'gagner'.
A réfléchir.
Okay, j’aurais pu continuer.
Mais autant instable, d’expérience, ça aurait mené à plus de douleurs inutiles.
C’est pas pour « éviter » de vivre cette expérience (en quelque sorte, oui, mais non en même temps).
C’est bel et bien parce que ces derniers mois ont été assez violents psychologiquement.
Si je subis tout ça, pourquoi entretenir jusqu’à la faire rentrer dans mes maux, puisque ça ressort réellement depuis quelques mois ? C’est pas comme si je pouvais parler de toute ma situation tranquillement, sans conséquence. Ce serait big surprise pour elle…
Et je n’ai pas envie de la faire rentrer là-dedans. Elle ne mérite pas ça.
Je suis d’accord, il y a plein de choses derrière, et je ne l’oublie pas vraiment.
Ça ne se base pas que sur un voyage et une rencontre cool. Mon autre carnet le montre, pour le peu exposé ici.
Mais force est de constater qu’à 28 ans, après des années à chercher à m’en sortir… le quotidien qui revient à ce niveau, c’est qu’il y a quelque chose de beaucoup plus profond.
Mon problème est certainement d’avoir voulu me la jouer solo, comme toujours.
De croire pouvoir tout gérer seul. Du coup, il est temps de passer chez un professionnel.
Mais je suis d’accord avec le fond de ton message.
Merci.
Edit:
Matière intéressante.si ce n'est pour te conforter dans l'impression que tu as tout perdu
Je n'ai jamais eu l'impression d'avoir perdu quoique ce soit tellement mes bases sont instables (une sorte d'habitude ancrée).
A l'inverse, j'ai toujours eu l'impression de n'avoir jamais rien gagné, malgré toutes mes expériences positives et actions.
Pour être grossier. Ce n'est pas que binaire 'perdre' - 'gagner'.
A réfléchir.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 17.02.17, 15h00 par Onmyoji
Pour moi tu étais sur la bonne voie au contraire. Tout ça c'était la résistance au changement de ces choses en profondeur qui veulent pas te laisser tranquille. C'était bien trop positif et ça t'a fait réagir de manière à te saborder. C'était la dynamique la plus constructive que tu avait pour te guérir naturellement avec l'expérience et le temps. Mais c'est dur de ne pas avoir peur de réussir, de ne pas douter à mi chemin.
Tu parles de ne pas agir seul. Ça vaut pas que pour les psys. Faut about quelqu'un à se confier. Mais même si c'est près forcément elle ça justifiait pas de prendre tes distances. Tu n'es pas obligé de la faire rentrer dans tes problèmes mais pas non plus de briser une relation qui compte sans explication. Tu pouvais aussi te servir de cette relation comme d'un repère pour aller mieux. Te dire que tu dois être bien pour ne pas perdre des choses comme ça. Parfois il suffit de jouer la comédie pour les autres pour se donner le change à soi même et éviter de se laisser dominer par ses démons.
Dans tous les cas, ce sont tes choix, mais j'espère que tu n'auras pas à me regretter et que ça va aller mieux.
Tu parles de ne pas agir seul. Ça vaut pas que pour les psys. Faut about quelqu'un à se confier. Mais même si c'est près forcément elle ça justifiait pas de prendre tes distances. Tu n'es pas obligé de la faire rentrer dans tes problèmes mais pas non plus de briser une relation qui compte sans explication. Tu pouvais aussi te servir de cette relation comme d'un repère pour aller mieux. Te dire que tu dois être bien pour ne pas perdre des choses comme ça. Parfois il suffit de jouer la comédie pour les autres pour se donner le change à soi même et éviter de se laisser dominer par ses démons.
Dans tous les cas, ce sont tes choix, mais j'espère que tu n'auras pas à me regretter et que ça va aller mieux.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 17.02.17, 15h01 par Balzac
Je sais pas…
Je ne doute pas de l’efficacité du cerveau humain à te détourner d’un chemin en construction, à cause de puissantes habitudes… mais d’avoir subit toutes ces crises d’anxiété depuis octobre, jusqu’à mon retour (et jamais dans mes précédents voyages)… je veux bien qu’on soit doué pour se mettre des bâtons, mais tout de même, subir physiquement, c’est que la réponse n’est pas là (et que ça extériorise ce que je ne veux pas).
Ça n’enlève pas le caractère positif de l’expérience.
J’ai appris que j’avais besoin de me construire ici, pas ailleurs. Pour mieux aller ailleurs par la suite.
Pour le fait de se confier, tout à fait. Je ne l’ai jamais fait. Ou de manière floue.
J’ai toujours fait semblant… et là est le truc : j’ai plus envie de faire semblant que ça va bien.
Car, ça va pas.
Après, ouais, bien sûr que ça peut aider à remettre des choses en ordre… et faut trouver le juste milieu entre se confier et vouloir tout lâcher. Surtout que je suis un spécialiste pour fuir quand ça m'échappe.
Je vais y réfléchir.
Merci pour ces pistes fortes intéressantes.
Je ne doute pas de l’efficacité du cerveau humain à te détourner d’un chemin en construction, à cause de puissantes habitudes… mais d’avoir subit toutes ces crises d’anxiété depuis octobre, jusqu’à mon retour (et jamais dans mes précédents voyages)… je veux bien qu’on soit doué pour se mettre des bâtons, mais tout de même, subir physiquement, c’est que la réponse n’est pas là (et que ça extériorise ce que je ne veux pas).
Ça n’enlève pas le caractère positif de l’expérience.
J’ai appris que j’avais besoin de me construire ici, pas ailleurs. Pour mieux aller ailleurs par la suite.
Pour le fait de se confier, tout à fait. Je ne l’ai jamais fait. Ou de manière floue.
J’ai toujours fait semblant… et là est le truc : j’ai plus envie de faire semblant que ça va bien.
Car, ça va pas.
Après, ouais, bien sûr que ça peut aider à remettre des choses en ordre… et faut trouver le juste milieu entre se confier et vouloir tout lâcher. Surtout que je suis un spécialiste pour fuir quand ça m'échappe.
Je vais y réfléchir.
Merci pour ces pistes fortes intéressantes.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Pas de problème ! le 17.02.17, 15h01 par Onmyoji
- [+2] Oui le 12.03.17, 00h32 par Nonchalance