Mr.Smooth a écrit :Profite des interactions cool que tu va avoir avec les filles dont tu nous parle en fin de poste.
Tu vas les revoir en date?
Je vais en parler plus bas dans ce post.
Mais d’abord, je voudrais vous parler de mes potes filles L*** et M***, que j’en ai marre de désigner par leurs initiales et que je nommerai donc dorénavant Despacita et Bonita. Sans verser dans le lyrisme, qui n’aurait pas forcément sa place ici, je dois dire qu’elles m’ont fait découvrir l’amitié féminine, que ça s’est mis en place lentement, mais que c’est depuis quelques semaines quelque chose d’avéré. C’est plus que de l’amitié, c’est, de ma part en tout cas, une véritable affection, qui m’équilibre. Non, rien de sexuel, de toute façon Despacita a un mec, que je respecte et apprécie, et j’ai abandonné toute visée sur Bonita, même s’il m’y a fallu un peu de temps. Despacita et Bonita m’ont aidé à me relooker, aussi (j’en avais besoin sans le savoir), et Despacita a des conseils en général avisés à me donner sur les filles qui m’intéressent. Maintenant, c’est 6 jours sur 7 que je m’arrange pour passer un peu de temps au café où travaille Despacita et où Bonita vient aussi la voir; mais surtout, nous commençons à faire des choses ensemble par ailleurs, un MacDo, un pot en ville, et pour samedi soir une soirée chez moi est prévue. Avec elles et quelques-uns/unes de leurs potes, je suis en train de me constituer un nouveau cercle social, objectif que j’avais évoqué plusieurs pages plus haut, mais dont je n’avais plus parlé.
J’en viens maintenant aux cibles.
Alba: rappel: c’est la fille embauchée en CDD sur mon lieu de travail. C’est avec elle que ça devrait être le plus facile, et ce n’est pas le cas. Nous n’avons pas les mêmes horaires, je n’ai même pas pu savoir encore où elle mange le midi. Quand je me pointe dans son bureau sous le prétexte souvent fallacieux de me concerter avec Directeur1 (mon supérieur hiérarchique direct) qui travaille près d’elle, en général elle a un casque sur les oreilles, parce qu’elle est spécialiste des archives sonores et que c’est à ce titre qu’elle se trouve là. Elle a toujours un grand sourire en me voyant, ce qui, nous sommes bien d’accord, ne veut rien dire. Pour l’instant, nous avons plus communiqué par mail que de vive voix. Mais je ne me décourage pas (ou pas encore).
Vendredi 9 juin 2017
Je vais manger au MacDo, c’est Peste qui me sert. Elle me tend mon plateau en me disant: “Voilà pour vous!” et je lui tends un mot en lui répondant: “Et ça, c’est pour vous!” Elle le prend. Dessus, il y a mon numéro + un laïus pour la convaincre de m’envoyer le sien. Pas de nouvelles pour l’instant. Despacita, qui a vu le mot et l’a validé, m’a dit de lui donner au moins jusqu’à mercredi, j’attends.
Je vais maintenant en venir à Mégane dans ce FR du
Samedi 10 juin 2017
Je suis arrivé peut-être plus tard que d’habitude au bar A, où la soirée commence à battre son plein lorsque le patron, qui remplace le dj, nous fait chalouper sur
Despacito. Néanmoins, l’ambiance de la soirée n’est pas folle et il y a moins de monde que d’habitude. Alors que je suis sorti fumer, une petite brune que je connais de vue et qui me rappelle vaguement mon ex-OI sort du bar en face avec son mec, un quadra plutôt moche et mal habillé (
Mais qu’est-ce qu’elle lui trouve?). En passant devant moi, elle me regarde.
Elle me regarde encore alors que j’arrive sur la piste de danse, dix minutes plus tard.
Je hasarde un regard, un peu plus tard, elle me voit, mais reporte vite ses yeux sur la chose qui lui sert de mec.
Peut-être qu’elle a peur que j’aille lui parler. De toute façon, ça ne veut pas dire grand-chose, ces regards, mais ça m’intrigue parce que jusqu’ici cette petite brune m’ignorait superbement.
Je ne tarde pas à rejoindre le bar B, où je remarque une fille qui ressemble à Pâquerette, mais qui a un mec. Je ne sais pas pourquoi, mais l’ambiance au bar B est toujours plus débridée qu’au bar A, et les milf qui le fréquentent n’y sont pas pour rien. La musique y est moins forte, aussi, on s’y entend parler, bref je préfère ce bar. Je me lâche un peu, danse collé-serré avec plusieurs d’entre elles. Puis, alors que je sors pour fumer, une jolie blonde me dit bonsoir avec un grand sourire.
Bordel, qui ça peut être? Une fille que j’ai draguée en SPU? Au bout de quelques longues secondes, un nom émerge de mes circonvolutions cérébrales:
Marjorie, que j’avais draguée ici-même (FR du 14 mai).
Mais je peine (lolilol… oui, je sais…) à renouveler mon efficacité de cette soirée du 13 mai où je l’avais connue. Notre interaction est banale, elle est cordiale, c’est plutôt de la merde que je fais. Bon, c’est quand même positif que j’aie toujours l’air de l’intéresser un mois plus tard, je me dis. Ses copines partent danser et elles les suit (…), du coup je lui dis:
— On se capte un de ces quatre?
— Mais oui, de toute façon je suis toujours dans le coin, moi, il n’y a pas de souci.
Et large sourire. Mais elle m’échappe alors que je voulais préciser ma pensée.
S’ensuit un moment plutôt sympa au bar C, où je discute avec un étudiant en médecine et fais connaissance d’un set de deux dont l’une ressemble à Pâquerette (elle m’obsède… Oui, je sais…). Mais cette dernière m’ignore alors que j’arrive à dialoguer avec l’autre, qui semble ne pas en revenir que je lui aie payé un whisky coca. Cependant, comme elle ne me plaît pas vraiment, je ne cherche pas vraiment à susciter son intérêt. Puis, comme on approche de 2 h, je prends congé de ces deux filles, je sors et me dirige vers la boîte D.
Mégane (rappel: c’est la fille du vestiaire) est à son poste. C’est elle qui avait pris l’initiative de me tutoyer, elle prend aujourd’hui celle de me faire la bise. Mais déjà, alors que j’avais pris soin de laisser entrer plein de gens avant moi, d’autres clients arrivent et je dois me barrer. La soirée sera assez pénible (je me rends compte maintenant que j’ai trop bu, aussi, et que j’aurais intérêt à me calmer) à cause d’un mec qui me prend longuement la tête au fumoir parce que j’ai sorti l’opener d’Aphaleia (le steak et la bite) à une fille. Il ne connaît même pas cette fille et me prend la tête longtemps, trop longtemps, assure que ça ne se fait pas, de parler de bite à une fille; il refuse de me lâcher, et même, pour tout dire, ça a failli dégénérer. Cet imbécile voulait que nous nous battions je ne sais trop où, sauf que je n’en avais que médiocrement envie et que me faire virer de cette boîte est pour moi le dernier truc à faire. J’ai quand même pu danser longuement avec une belle blonde répondant au nom d’Aurélie, mais une bonne partie de la soirée a été occupée à scruter l’entrée pour voir à quel moment je pourrais parler à Mégane. Et là, c’est la cata, des gens arrivent sans cesse, l’heure tourne, 3 h, 3 h 30, et je ne réussis qu’à échanger quelques mots avec elle. 4 h arrive, et je suis trop bourré, point sur lequel je devrai travailler. Renonçant finalement à numcloser ma belle, je lui dis au revoir, mes mains sur ses bras. Elle me souhaite de bien rentrer. Je constate qu’elle est encore plus souriante que tout à l’heure, et je me dis, plus je passe du temps à m’intéresser à elle, plus elle semble bien disposée envers moi. Le videur remarque que je suis proche d’elle et me fait un sourire lui aussi en me disant bonsoir.
La nuit est chaude, mais les rues sont désertes; je ne croise qu’une voiture de police banalisée qui fonce à travers la nuit vers le commissariat proche. L’opération numclose de Mégane a échoué, mais ça ne semble pas grave; je me donne une autre chance samedi prochain, lorsque j’irai à la boîte D avec Despacita et Bonita. Mais il faudra que je boive moins.