(Q) L'envie vs le besoin
L'envie VS le besoin
En matière de sexe je pense qu'on peut différencier l'envie du besoin.
Je pense aussi qu'on subcommunique assez vite le besoin et que ça peut être parfois mal perçu (côté needy). C'est une subtilité que les filles remarquent parfois assez vite, pas toutes, pas tout le temps, mais quand même.
Perso j'ai de gros besoins et ça m'a pris un temps assez long, avec des rechutes, pour pas paraitre en chien. Cercle vicieux: plus j'ai de rapport sexuels de qualités moins je suis tendu et l'inverse se passe aussi. Mais pour avoir du sexe de qualité, il faut une belle rencontre (pas tout le temps non plus, tout dépends du contexte) et le manque peut être un frein pour les raisons posées plus haut.
Du coup vous le vivez comment vous?
Les filles ça vous évoques quoi?
Brainstorming
En matière de sexe je pense qu'on peut différencier l'envie du besoin.
Je pense aussi qu'on subcommunique assez vite le besoin et que ça peut être parfois mal perçu (côté needy). C'est une subtilité que les filles remarquent parfois assez vite, pas toutes, pas tout le temps, mais quand même.
Perso j'ai de gros besoins et ça m'a pris un temps assez long, avec des rechutes, pour pas paraitre en chien. Cercle vicieux: plus j'ai de rapport sexuels de qualités moins je suis tendu et l'inverse se passe aussi. Mais pour avoir du sexe de qualité, il faut une belle rencontre (pas tout le temps non plus, tout dépends du contexte) et le manque peut être un frein pour les raisons posées plus haut.
Du coup vous le vivez comment vous?
Les filles ça vous évoques quoi?
Brainstorming
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 31.10.17, 14h37 par Sathinelilly
- [+1] Intéressant le 01.11.17, 13h30 par Perlambre
- [+1] Bonne idée le 03.11.17, 14h22 par mistermint
- [+1] Intéressant le 03.11.17, 15h35 par valll
- [+1] Bonne idée le 06.11.17, 09h17 par The_PoP
Je ne sais pas si mon radar à "mecs en chien" n'est pas assez sensible mais je n'ai jamais ressenti que l'autre me voulait plus par besoin que par envie.e pense aussi qu'on subcommunique assez vite le besoin et que ça peut être parfois mal perçu (côté needy). C'est une subtilité que les filles remarquent parfois assez vite, pas toutes, pas tout le temps, mais quand même.
Je vois où se situe la différence pour moi, si je faisais l'amour par besoin, ce serait pour répondre à un manque (quantité) ou à une frustration (qualité) mais est ce que pour autant, l'envie serait absente? Je ne le crois pas.
Toi, si tu fais l'amour avec une fille parce que tu en as besoin, ça pourrait être n'importe quelle fille, qui te plairait peu ou à moitié, pour qui tu n'aurais pas de désir?
Je pense que pour ne pas paraître "en chien" il suffit d'avoir la bonne attitude qu'un player doit avoir.
Soit on parle d'attitude consciente (ce qu'on dit et ce qu'on décide de faire), et dans ce cas un player sait ce qu'il fait, peu importe la nature de son envie sexuelle.
Soit on parle d'attitude inconsciente (la façon de parler, le body language, le regard, etc.) et auquel cas l'attente sexuelle peut peut-être jouer.
Je lis en ce moment un livre sur le charisme et l'état d'esprit est sensé jouer sur le charisme que l'on développe ou non. Donc sur le même principe j'imagine qu'un besoin sexuel trop fort pourrait nous faire passer pour un mec "en chien".
Mais même dans ce cas, il est à noter que selon la méthode Gunwitch (une méthode de séduction américaine), il fallait précisément entrer dans cet état sexuel pour avoir plus de chance de coucher avec une fille.
Pour résumer : consciemment ne soyez pas needy. Et inconsciemment si on l'est ça peut aussi jouer en notre faveur. Mais même inconsciemment je pense que ça ce contrôle.
Soit on parle d'attitude consciente (ce qu'on dit et ce qu'on décide de faire), et dans ce cas un player sait ce qu'il fait, peu importe la nature de son envie sexuelle.
Soit on parle d'attitude inconsciente (la façon de parler, le body language, le regard, etc.) et auquel cas l'attente sexuelle peut peut-être jouer.
Je lis en ce moment un livre sur le charisme et l'état d'esprit est sensé jouer sur le charisme que l'on développe ou non. Donc sur le même principe j'imagine qu'un besoin sexuel trop fort pourrait nous faire passer pour un mec "en chien".
Mais même dans ce cas, il est à noter que selon la méthode Gunwitch (une méthode de séduction américaine), il fallait précisément entrer dans cet état sexuel pour avoir plus de chance de coucher avec une fille.
Pour résumer : consciemment ne soyez pas needy. Et inconsciemment si on l'est ça peut aussi jouer en notre faveur. Mais même inconsciemment je pense que ça ce contrôle.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 le 04.02.18, 01h55 par Sterdex
Il nous arrive de confondre envie et besoin, notamment en matière de sexe.
Perso, j'ai souvent muselé cette petite voix me disant que je n'étais pas cohérente et j'y suis allée quand même.
Par exemple, le mec a un sourire à craquer, un corps alléchant, j'ai envie de lui et donc je baise.
Dans l'enthousiasme, je me suis oubliée car mon besoin est une relation qualitative qui va au-delà d'une simple séance de sport.
J'ai toutes les chances d'être déçue, mon besoin primordial ne trouvant pas automatiquement écho.
L'autre n'est pas à incriminer, à moi d'assumer l'insatisfaction découlant de ma façon d'agir.
Point positif, cela peut laisser de super bons souvenirs et ne pas le vivre serait idiot ;)
Perso, j'ai souvent muselé cette petite voix me disant que je n'étais pas cohérente et j'y suis allée quand même.
Par exemple, le mec a un sourire à craquer, un corps alléchant, j'ai envie de lui et donc je baise.
Dans l'enthousiasme, je me suis oubliée car mon besoin est une relation qualitative qui va au-delà d'une simple séance de sport.
J'ai toutes les chances d'être déçue, mon besoin primordial ne trouvant pas automatiquement écho.
L'autre n'est pas à incriminer, à moi d'assumer l'insatisfaction découlant de ma façon d'agir.
Point positif, cela peut laisser de super bons souvenirs et ne pas le vivre serait idiot ;)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Pertinent le 02.11.17, 11h10 par Sathinelilly
- [+1] Intéressant le 03.11.17, 14h21 par mistermint
@Sathinelilly
Pourquoi j'ai couché avec une moche.
Il m'est arrivé par le passé, en pleine traversé du désert, de coucher avec des nanas que je jugeai pas vraiment jolie-jolie, enfin pas assez pour m'afficher avec mais assez pour passer la nuit. Manque de sexe + manque d'affection+ manque de confiance+ le tout de façon prolongé= grosse frustration.
Au début j'avais du mal à gérer cette frustration, du coup la nana pas trop compliquée à dénicher (encore une fois chacun ses critères hein) et bien ça me faisait sacrément du bien de passer une nuis ou deux avec, histoire de faire baisser la tension et de reprendre confiance un minimum.
Là encore, cette histoire de confiance reste mitigée. D'une part parce que la nana en question est au dessous des critères minimum, d'autre part en passant à l'action avec une nana qu'on trouve pas top, on sait pertinemment que c'est juste une roue de secours. Donc niveau éthique personnelle (enfin la mienne) c'est pas la joie non plus. Néanmoins on règle momentanément ce problème de pression interne + un peu d'XP niveau drague.
Voila-voila. C'est plutôt sordide en fait et je le conseil pas du tout.
@okashi
Et puis il y a des exutoires possibles et très intéressants: le sport, le boulot, l'art ect...
@Perlambre
Le besoin ça se rapproche un peu de l'addiction. L'envie reste un concept plus libre. Je choisi un exemple extrême: c'est pas parce qu'on a envie de manger une pomme qu'on va se mettre à faire un run d'1H si on a pas de pomme sous la main par exemple. A moins d'être accro aux pommes.
Mais j'imagine que dans le processus de frustration sexuel masculin d'autres paramètres rentrent en compte, comme la production de testostérone, au même titre que la dopamine ou la sensibilités aux phéromones... je suis pas assez calé sur le sujet pour avancer quoi que ce soit de tangible.
Alors.. ma réponse va être un peu compliquée. Tout dépend du contexte. Et je vais surement lever un taboo masculin, peut être aussi féminin j'en sais rien.Toi, si tu fais l'amour avec une fille parce que tu en as besoin, ça pourrait être n'importe quelle fille, qui te plairait peu ou à moitié, pour qui tu n'aurais pas de désir?
Pourquoi j'ai couché avec une moche.
Il m'est arrivé par le passé, en pleine traversé du désert, de coucher avec des nanas que je jugeai pas vraiment jolie-jolie, enfin pas assez pour m'afficher avec mais assez pour passer la nuit. Manque de sexe + manque d'affection+ manque de confiance+ le tout de façon prolongé= grosse frustration.
Au début j'avais du mal à gérer cette frustration, du coup la nana pas trop compliquée à dénicher (encore une fois chacun ses critères hein) et bien ça me faisait sacrément du bien de passer une nuis ou deux avec, histoire de faire baisser la tension et de reprendre confiance un minimum.
Là encore, cette histoire de confiance reste mitigée. D'une part parce que la nana en question est au dessous des critères minimum, d'autre part en passant à l'action avec une nana qu'on trouve pas top, on sait pertinemment que c'est juste une roue de secours. Donc niveau éthique personnelle (enfin la mienne) c'est pas la joie non plus. Néanmoins on règle momentanément ce problème de pression interne + un peu d'XP niveau drague.
Voila-voila. C'est plutôt sordide en fait et je le conseil pas du tout.
@okashi
Ca se contrôle avec le temps et l'expérience. Surtout l'expérience.
Pour résumer : consciemment ne soyez pas needy. Et inconsciemment si on l'est ça peut aussi jouer en notre faveur. Mais même inconsciemment je pense que ça ce contrôle.
Et puis il y a des exutoires possibles et très intéressants: le sport, le boulot, l'art ect...
@Perlambre
C'est très intéressant. En fait je pense qu'on peut transcender le besoin par pas mal de biais et une vrai réflexion sur ses besoins profonds pour accéder au stade de l'envie maitrisée.Il nous arrive de confondre envie et besoin, notamment en matière de sexe.
Le besoin ça se rapproche un peu de l'addiction. L'envie reste un concept plus libre. Je choisi un exemple extrême: c'est pas parce qu'on a envie de manger une pomme qu'on va se mettre à faire un run d'1H si on a pas de pomme sous la main par exemple. A moins d'être accro aux pommes.
Mais j'imagine que dans le processus de frustration sexuel masculin d'autres paramètres rentrent en compte, comme la production de testostérone, au même titre que la dopamine ou la sensibilités aux phéromones... je suis pas assez calé sur le sujet pour avancer quoi que ce soit de tangible.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 02.11.17, 14h13 par Jalapeno
- [+1] En effet le 03.11.17, 15h58 par valll
- [+2] Très intéressant le 06.11.17, 09h17 par The_PoP
Ton sujet est intéressant à plusieurs niveaux.
Je vais lancer le sujet des filles que l'on baise alors qu'elles ne plaisent pas vraiment lors de ma prochaine sortie potes. Curieuse de voir si les mecs vont se confier. Pas certaine car il faut du courage pour cela (merci à toi) et surtout admettre face à son entourage direct que le besoin fait que...
Si je comprend bien nous sommes tous/toutes susceptibles d'être le moche de quelqu'un.
Quelques questions me viennent à l'esprit :
- même pour une nuit, ne peut-on pas plaire vraiment ?
- n'y a-t-il pas des éléments dans les vies personnelles qui font qu'il n'y aura pas de suite ?
- peut-on vraiment désirer quelqu'un qui a la base ne plait pas ? plus directement tu arrives à bander ?
- tes partenaires se rendaient compte qu'en fait elles satisfaisaient une simple pulsion ?
- étaient-elles dans le même état d'esprit que toi ?
- suis curieuse de savoir si des filles ont déjà testé le "moche", perso sans mec attirant je préfère m'occuper de mon plaisir toute seule.
Le besoin se rapproche de l'addiction.
J'avais envisagé ton post à l'envers exprès, car pour moi c'est plus l'envie qui est une addiction. Pour reprendre ton exemple, j'ai besoin d'une pomme pour ma santé mais si mon péché mignon - la figue - se trouve sur l'étal, je balance mes bonnes résolutions de pommes et achète des figues. Ce n'est pas raisonnable, pas de saison, cher... ma raison est sur off, comme avec un mec pas fait pour moi ;)
Je vais lancer le sujet des filles que l'on baise alors qu'elles ne plaisent pas vraiment lors de ma prochaine sortie potes. Curieuse de voir si les mecs vont se confier. Pas certaine car il faut du courage pour cela (merci à toi) et surtout admettre face à son entourage direct que le besoin fait que...
Si je comprend bien nous sommes tous/toutes susceptibles d'être le moche de quelqu'un.
Quelques questions me viennent à l'esprit :
- même pour une nuit, ne peut-on pas plaire vraiment ?
- n'y a-t-il pas des éléments dans les vies personnelles qui font qu'il n'y aura pas de suite ?
- peut-on vraiment désirer quelqu'un qui a la base ne plait pas ? plus directement tu arrives à bander ?
- tes partenaires se rendaient compte qu'en fait elles satisfaisaient une simple pulsion ?
- étaient-elles dans le même état d'esprit que toi ?
- suis curieuse de savoir si des filles ont déjà testé le "moche", perso sans mec attirant je préfère m'occuper de mon plaisir toute seule.
Le besoin se rapproche de l'addiction.
J'avais envisagé ton post à l'envers exprès, car pour moi c'est plus l'envie qui est une addiction. Pour reprendre ton exemple, j'ai besoin d'une pomme pour ma santé mais si mon péché mignon - la figue - se trouve sur l'étal, je balance mes bonnes résolutions de pommes et achète des figues. Ce n'est pas raisonnable, pas de saison, cher... ma raison est sur off, comme avec un mec pas fait pour moi ;)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Pertinent le 02.11.17, 18h15 par Moumane
Je peux rester longtemps sans coucher avec une nana, sans me sentir en manque.Du coup vous le vivez comment vous?
Je n'ai pas pour autant moins de besoins que les autres. J'ai peut-être plus de capacités d'imagination.
La masturbation, couplée à l'imagination, me permet de satisfaire les besoins purement organiques et de faire face aux périodes de disette sans avoir à recourir à des plans glauques.
Comme tu l'évoques dans ton dernier post, derrière le besoin de sexe, il y a un besoin de confiance en soi. Il me paraît important, lorsqu'on se sent en chien, de différencier la part purement organique du besoin (c.a.d éjaculer), du besoin d'estime de soi.
Sur FTS, nous sommes bien placés pour nous en rendre compte : chez les hommes, le sentiment d'estime de soi est très influencé par le fait d'avoir une vie sexuelle ou pas. En simplifiant, nous faisons le raisonnement suivant : si j'ai une vie sexuelle, c'est que j'ai su séduire une femme, donc je suis un homme de valeur. Si je ne baise pas, c'est que je ne sais pas séduire une femme, donc je suis un loser.
Lorsqu'on est en manque, le cerveau fait un gros raccourci et nous masque le besoin d'estime de soi et nous centre sur le besoin organique, en se disant que si on réussit à baiser, ça fera augmenter notre estime de soi.
Or, ce n'est pas le fait d'éjaculer dans le corps d'une femme qui donne confiance en soi. C'est le fait d'avoir réussi à plaire à une femme, qui donne les bénéfices suivants :
- Renforcement du niveau d'estime et de confiance en soi
- Faire l'amour avec une femme.
Le renforcement de l'estime de soi n'est donc pas la conséquence de l'accès au sexe. Renforcement de l'estime et accès au sexe sont tous deux des conséquences du fait d'avoir réussi à plaire (authentiquement) à une femme.
Donc pour résumer, lorsque vous êtes en chien, la première chose à faire, c'est la solution vieille comme le monde : se branler !
Ca permet d'avoir les idées plus claires ensuite. Perso, après être apaisé, je remarque que selon la femme que j'ai imaginé, j'ai pas du tout le même ressenti. Pour certaines, je les imagine avec plaisir allongées contre moi après l'acte, alors que pour d'autres, je m'y vois pas du tout, je m'imaginerais plutôt me rhabiller et repartir illico.
Le premier organe sexuel, c'est notre cerveau.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 03.11.17, 08h49 par r-0
- [+1] Intéressant le 03.11.17, 14h20 par Perlambre
- [+2] Très intéressant le 05.11.17, 23h44 par ChantePaul
- [+1] +1 le 04.02.18, 00h33 par Hillel
- [+2] 100% d'accord le 12.10.18, 15h32 par Marshall Ombre
Clairement.Le premier organe sexuel, c'est notre cerveau.
j'ai moi aussi couché avec 2 femmes qui ne me plaisaient pas, surtout en réaction parce que mon ex voyait quelqu'un d'autre.
Résultat => pas d'envie, pas de désir, personnellement je peux bander mécaniquement mais j'ai jamais pris de plaisir dans ces moments là.
Donc je déconseille aussi.
Moins de sexe, mais du sexe de qualité, si en plus y a des sentiments, c'est transcendant.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] En effet le 03.11.17, 14h20 par Perlambre
J'ai essayé de faire au plus clair mais même dans ma tête c'est confus.
Le faire avec quelqu'un qui ne nous attire pas découle pour moi plus de l'intérêt que de l'envie ou du besoin.
L'envie ne nous poussera qu'a le faire avec des personnes qui nous plaisent un minimum.
Le besoin peut-être aisément assouvi avec main droite qui fait très bien son boulot.
Un des intérêts d'avoir des relations sexuelles pourrait être de donner moins d'enjeu à nos autres interactions à but non catholique.
En somme, ne pas avoir de relations sexuelles sur une période plus ou moins longue peut instaurer une certaine pression chez une personne. Si la confiance que cette personne a en elle n'est pas assez importante, elle pourra se dire "La traversée du désert arrive, il faut que je me bouge".
Et je pense que cette pression peut se ressentir dans ses échanges avec le sexe opposé.
J'ai cru retenir de quelques conteurs avisés (ou non ?) le proverbe suivant : "Plus tu baise, plus tu baise. Moins tu baise, moins tu baise."
Vrai ou faux ?
Je me permet d'ouvrir sur un autre axe.
Au final, cette pression que l'on s'impose ne dépendrait-elle pas uniquement de la fausse importance que l'on accorde à notre vie sexuelle ?
Je dis que c'est une fausse importance car aux yeux d'une partie de la société, une vie sexuelle réussi se mesure en quantité et non en qualité. Au quotidien et à l'encontre de notre raison, ne mesurerait-on pas notre épanouissement sexuel de la même manière ?
Le faire avec quelqu'un qui ne nous attire pas découle pour moi plus de l'intérêt que de l'envie ou du besoin.
L'envie ne nous poussera qu'a le faire avec des personnes qui nous plaisent un minimum.
Le besoin peut-être aisément assouvi avec main droite qui fait très bien son boulot.
Un des intérêts d'avoir des relations sexuelles pourrait être de donner moins d'enjeu à nos autres interactions à but non catholique.
En somme, ne pas avoir de relations sexuelles sur une période plus ou moins longue peut instaurer une certaine pression chez une personne. Si la confiance que cette personne a en elle n'est pas assez importante, elle pourra se dire "La traversée du désert arrive, il faut que je me bouge".
Et je pense que cette pression peut se ressentir dans ses échanges avec le sexe opposé.
J'ai cru retenir de quelques conteurs avisés (ou non ?) le proverbe suivant : "Plus tu baise, plus tu baise. Moins tu baise, moins tu baise."
Vrai ou faux ?
Je me permet d'ouvrir sur un autre axe.
Au final, cette pression que l'on s'impose ne dépendrait-elle pas uniquement de la fausse importance que l'on accorde à notre vie sexuelle ?
Je dis que c'est une fausse importance car aux yeux d'une partie de la société, une vie sexuelle réussi se mesure en quantité et non en qualité. Au quotidien et à l'encontre de notre raison, ne mesurerait-on pas notre épanouissement sexuel de la même manière ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 03.11.17, 14h22 par Perlambre
- [+2] A lire le 03.11.17, 14h29 par mistermint
En fait, ça te semble surprenant parce que tu considères les choses de façon trop manichéennes, c'est-à-dire qu'on est attiré(e) ou pas par la personne. Je vois les choses différemment, et je pense qu'il y a une zone grise où la personne, physiquement, ne nous déplaît pas, mais où elle ne nous plaît pas non plus.Je vais lancer le sujet des filles que l'on baise alors qu'elles ne plaisent pas vraiment lors de ma prochaine sortie potes. Curieuse de voir si les mecs vont se confier. Pas certaine car il faut du courage pour cela (merci à toi) et surtout admettre face à son entourage direct que le besoin fait que...
En parlant de mon expérience personnelle, ça peut être une meuf un peu ronde (je me disais que peut-être j'allais me découvrir un fantasme à ce sujet, et force est de constater que non), ça a été avec ma chargée de TD quand j'étais à la Fac (relation de domination sur une personne qui est ma supérieure usuellement était plaisant), et même si elles ne me plaisaient physiquement pas, il y avait une part de fantasme, de pulsion, sur le moment.
Vrai, pour une multitude de raisons.J'ai cru retenir de quelques conteurs avisés (ou non ?) le proverbe suivant : "Plus tu baise, plus tu baise. Moins tu baise, moins tu baise."
Vrai ou faux ?
C'est plus qu'une question de pression, et de l'image qu'on a vis-à-vis des autres, de la société. Si je ne sors jamais de chez moi, personne ne va me juger sur ma situation, puisque je ne rencontre personne susceptible de le faire. Pourtant, force est de constater que la misère sexuelle touche de plus en plus de jeunes, quelle que soit leur situation sociale.Au final, cette pression que l'on s'impose ne dépendrait-elle pas uniquement de la fausse importance que l'on accorde à notre vie sexuelle ?
A mon avis, ça tient d'un conditionnement de la société. On est conditionné à ressentir le besoin amoureux et/ou sexuel, le plus tôt possible, sans doute parce que ça fait vendre une multitude de produits. Qu'on parle des cures d'amaigrissement, des salles de sport, des fringues, des accessoires, de l'automobile, de la chirurgie esthétique, du parfum, des cosmétiques, des services, un pan entier de notre société est alloué à cette simple évidence; nous voulons tous, d'une manière ou d'une autre, plaire. Et nous sommes prêts à aller très loin pour ça.
Dans les magazines, sur les réseaux sociaux, à la télévision, on voit des individus sélectionnés parfois sur le seul critère du physique, photoshoppé, maquillés, retouchés, etc. Et cela nourrit nos complexes.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 03.11.17, 16h00 par valll
- [+1] Intéressant le 06.11.17, 09h16 par The_PoP