[J] Le Journal du Gendre Idéal
Le changement, c’est maintenant ? Une nouvelle journée, un nouveau chapitre. Je vais te raconter les dernières heures surprenantes que j’ai vécues. Quelques minutes après avoir posté mon dernier message sur le forum, j’ai entendu sonner à ma porte : « Mais qui pouvait bien sonner chez moi ? Dans mon petit 20 mètres carrés !? ». Dans le mille, il s’agissait de Margaux.
Elle voulait que l’on ait une vraie discussion tous les deux, où elle pourrait me faire part de sa réflexion, et voulait que l’on passe un dernier week-end ensemble où elle dormirait chez l’une de ses amies. Why not après tout ?
Nous allons nous poser à l’extérieur et nous parlons durant de longues heures. Sans crainte, je lui dis absolument tout ce que je pensais de nous, je reprends presque tout ce que j’ai écrit sur mon journal en y allant de but en blanc. Elle aussi me surprend, suite à notre rupture, elle a pu en parler à sa famille et ses amis qui ont eu le même diagnostic que moi osant enfin lui dire qu’elle voyait (un peu) trop la vie en noire. En une semaine, elle semble avoir compris beaucoup : Que certes je lui échappais, mais que c’était toute sa vie entière qui lui échappait si elle ne changeait rien. Elle veut changer et elle s’est concoctée un programme olympique : Du sport 3 fois par semaine, des routines quotidiennes à base de méditation et de « 3 choses dont je suis fière aujourd’hui » ainsi qu’une heure bloquée chaque jour pour prendre du temps pour elle et ses passions. Finalement, elle était d’accord avec tout ce que je lui reprochais (Bon presque tout, quand je lui ai dit que je ne comprenais pas que quelqu’un ait autant de problèmes par-rapport à ce que moi je vivais, elle m’a dit que c’était différent et que pour moi c’était facile n’ayant pas besoin de travailler en plus de mes cours pour payer mes études).
Et nous nous sommes rendus compte d’une chose : Nous n’avions jamais parlé comme ça. Dès que j’essayais de lui parler, pour ne pas la froisser connaissant son tempérament je préférais peser mes mots et louer ses efforts plutôt que dire ce qui me dérangeait. Si bien qu’on ne s’est jamais demandé en 3 ans ce qu’on attendait de son partenaire. Chacun se complaisait dans cette relation à sa façon : C’était confortable pour moi et me permettait d’avoir ma première expérience, et pour elle, cela lui permettait d’avoir l’affection et le soutien qu’elle cherchait. Au final, notre histoire se résumait à ça. Nous en étions venus à ne plus faire d’effort l’un pour l’autre, de surprendre l’autre, on s’autoalimentait d’un manque différent chez l’autre. Et ce n’est pas ça le couple.
Premier doute.
Ensuite concernant les heures que nous avons passées ensemble, elle nous avait concocté un super-programme pour que l’on passe juste un moment agréable tous les deux sans penser à ce qui nous arrivait : Un après-midi dans un centre de bien-être à base de massage, soins & co’. La totale. Et ensuite un restaurant que l’on n’avait jamais testé ensemble pour innover. C’est surprenant, mais ce fut l’un des meilleurs moments que nous avons passé ensemble. On savait très bien que c’étaient les derniers, du coup on profitait vraiment de l’instant présent et en plus on faisait des choses nouvelles ensemble pour sortir de nos activités habituelles. Du trop peu vu en 2 ans. :O
Deuxième doute.
Enfin, j’avais surestimé ma capacité à totalement me détacher de cette histoire. Faire un aller-retour pour lui dire ce que j’avais sur le cœur, sans m’attarder, ça allait, c’était résolu mais là passer plusieurs heures à faire des choses agréables avec elle, c’était difficile. J’avais toujours en tête que c’étaient les derniers moments et ça me mettait mal. Tout cela nous a remémoré tous nos bons moments, pourquoi nous étions ensemble et pourquoi nous avions des sentiments l’un pour l’autre. Je ne pensais pas que cela serait si dur, j’étais sûr d’avoir tourné la page (cf mon ancien message). Et bah non.
Troisième doute.
On a recouché ensemble. Et pas qu’une fois.
Quatrième doute.
Quand je l’ai ramené à la gare, on pensait se dire adieu, et ça m’a pris, trop faible sans doute, de dire « Et si on se donnait une seconde et dernière chance ? Nous savons quels sont les ajustements à faire. Si cela fonctionne tant mieux, sinon tant-pis, on aura essayé au moins et nous n’aurons pas de regret ».
Ma vie de célibataire aura donc duré 5 jours.
J’ai vraiment passé un superbe week-end chargé en émotions, faire de nouvelles choses, être sur l’instant présent, un des meilleurs moments avec Margaux. Après, je ne suis pas si fier que ça de ma décision. J’avais pris une décision, je voulais et aurais dû m’y tenir, là je passe pour le Bayrou de la séduction. :P Après bon, nous sommes jeunes, et finalement, je n’avais pas à me mettre la pression pour une telle décision, je n’ai personne d’autre en vue, il n’y a pas eu de conflit etc. Ce n’est « pas grave ». Le fait qu’elle semble avoir compris ce que je lui reprochais, qu’on n’en ait jamais parlé concrètement et que j’ai clairement compris que j’avais des sentiments lors de ce week-end m’ont fait prendre ce risque. Après j’ai énormément de doutes : j’ai l’impression d’avoir fait marche arrière, j’ai peur que cela soit pareil et qu’elle ne change pas profondément (on ne change pas la nature profonde d’une personne), j’ai peur d’avoir fait ça juste pour rester dans ma zone de confort, j’ai peur d’avoir un avis biaisé par juste 2 jours (Après tout 2 jours ont remis en cause la décision à laquelle je réfléchissais depuis des mois). Bref, c’est la troisième guerre mondiale dans ma tête par-rapport à tout ça ! Et ça me fait du bien de l’écrire et le coucher sur le papier.
Et toi, qu’en penses-tu ?
Elle voulait que l’on ait une vraie discussion tous les deux, où elle pourrait me faire part de sa réflexion, et voulait que l’on passe un dernier week-end ensemble où elle dormirait chez l’une de ses amies. Why not après tout ?
Nous allons nous poser à l’extérieur et nous parlons durant de longues heures. Sans crainte, je lui dis absolument tout ce que je pensais de nous, je reprends presque tout ce que j’ai écrit sur mon journal en y allant de but en blanc. Elle aussi me surprend, suite à notre rupture, elle a pu en parler à sa famille et ses amis qui ont eu le même diagnostic que moi osant enfin lui dire qu’elle voyait (un peu) trop la vie en noire. En une semaine, elle semble avoir compris beaucoup : Que certes je lui échappais, mais que c’était toute sa vie entière qui lui échappait si elle ne changeait rien. Elle veut changer et elle s’est concoctée un programme olympique : Du sport 3 fois par semaine, des routines quotidiennes à base de méditation et de « 3 choses dont je suis fière aujourd’hui » ainsi qu’une heure bloquée chaque jour pour prendre du temps pour elle et ses passions. Finalement, elle était d’accord avec tout ce que je lui reprochais (Bon presque tout, quand je lui ai dit que je ne comprenais pas que quelqu’un ait autant de problèmes par-rapport à ce que moi je vivais, elle m’a dit que c’était différent et que pour moi c’était facile n’ayant pas besoin de travailler en plus de mes cours pour payer mes études).
Et nous nous sommes rendus compte d’une chose : Nous n’avions jamais parlé comme ça. Dès que j’essayais de lui parler, pour ne pas la froisser connaissant son tempérament je préférais peser mes mots et louer ses efforts plutôt que dire ce qui me dérangeait. Si bien qu’on ne s’est jamais demandé en 3 ans ce qu’on attendait de son partenaire. Chacun se complaisait dans cette relation à sa façon : C’était confortable pour moi et me permettait d’avoir ma première expérience, et pour elle, cela lui permettait d’avoir l’affection et le soutien qu’elle cherchait. Au final, notre histoire se résumait à ça. Nous en étions venus à ne plus faire d’effort l’un pour l’autre, de surprendre l’autre, on s’autoalimentait d’un manque différent chez l’autre. Et ce n’est pas ça le couple.
Premier doute.
Ensuite concernant les heures que nous avons passées ensemble, elle nous avait concocté un super-programme pour que l’on passe juste un moment agréable tous les deux sans penser à ce qui nous arrivait : Un après-midi dans un centre de bien-être à base de massage, soins & co’. La totale. Et ensuite un restaurant que l’on n’avait jamais testé ensemble pour innover. C’est surprenant, mais ce fut l’un des meilleurs moments que nous avons passé ensemble. On savait très bien que c’étaient les derniers, du coup on profitait vraiment de l’instant présent et en plus on faisait des choses nouvelles ensemble pour sortir de nos activités habituelles. Du trop peu vu en 2 ans. :O
Deuxième doute.
Enfin, j’avais surestimé ma capacité à totalement me détacher de cette histoire. Faire un aller-retour pour lui dire ce que j’avais sur le cœur, sans m’attarder, ça allait, c’était résolu mais là passer plusieurs heures à faire des choses agréables avec elle, c’était difficile. J’avais toujours en tête que c’étaient les derniers moments et ça me mettait mal. Tout cela nous a remémoré tous nos bons moments, pourquoi nous étions ensemble et pourquoi nous avions des sentiments l’un pour l’autre. Je ne pensais pas que cela serait si dur, j’étais sûr d’avoir tourné la page (cf mon ancien message). Et bah non.
Troisième doute.
On a recouché ensemble. Et pas qu’une fois.
Quatrième doute.
Quand je l’ai ramené à la gare, on pensait se dire adieu, et ça m’a pris, trop faible sans doute, de dire « Et si on se donnait une seconde et dernière chance ? Nous savons quels sont les ajustements à faire. Si cela fonctionne tant mieux, sinon tant-pis, on aura essayé au moins et nous n’aurons pas de regret ».
Ma vie de célibataire aura donc duré 5 jours.
J’ai vraiment passé un superbe week-end chargé en émotions, faire de nouvelles choses, être sur l’instant présent, un des meilleurs moments avec Margaux. Après, je ne suis pas si fier que ça de ma décision. J’avais pris une décision, je voulais et aurais dû m’y tenir, là je passe pour le Bayrou de la séduction. :P Après bon, nous sommes jeunes, et finalement, je n’avais pas à me mettre la pression pour une telle décision, je n’ai personne d’autre en vue, il n’y a pas eu de conflit etc. Ce n’est « pas grave ». Le fait qu’elle semble avoir compris ce que je lui reprochais, qu’on n’en ait jamais parlé concrètement et que j’ai clairement compris que j’avais des sentiments lors de ce week-end m’ont fait prendre ce risque. Après j’ai énormément de doutes : j’ai l’impression d’avoir fait marche arrière, j’ai peur que cela soit pareil et qu’elle ne change pas profondément (on ne change pas la nature profonde d’une personne), j’ai peur d’avoir fait ça juste pour rester dans ma zone de confort, j’ai peur d’avoir un avis biaisé par juste 2 jours (Après tout 2 jours ont remis en cause la décision à laquelle je réfléchissais depuis des mois). Bref, c’est la troisième guerre mondiale dans ma tête par-rapport à tout ça ! Et ça me fait du bien de l’écrire et le coucher sur le papier.
Et toi, qu’en penses-tu ?
Est-ce vraiment ce que tu crains ? Et peut-on vraiment parler de "nature profonde" à cet âge là ? On est tellement plastique dans ces jeunes âges, tellement en construction, en mouvement, encore tout pétri de notre héritage familial, que c'est justement le moment où on peut commencer à s'affranchir, se choisir, s'épanouir.j’ai peur que cela soit pareil et qu’elle ne change pas profondément (on ne change pas la nature profonde d’une personne)
Honnêtement depuis le début de ton journal j'ai l'impression que tu cherches à prouver que tu as une bonne raison de la quitter (le fait qu'elle n'aille pas bien) mais en même temps tu sembles animé par la curiosité de vivre autre chose, de te frotter de plus prêt à la séduction, de te prouver des choses sur ce domaine... Je suis peut être à côté de la plaque, mais si c'est ça c'est à toi de faire le clair.J’avais pris une décision, je voulais et aurais dû m’y tenir, là je passe pour le Bayrou de la séduction.[...] j’ai peur d’avoir fait ça juste pour rester dans ma zone de confort
Tu viens d'apprendre un truc très utile pour vivre une vraie relation ^^Nous n’avions jamais parlé comme ça. Dès que j’essayais de lui parler, pour ne pas la froisser connaissant son tempérament je préférais peser mes mots et louer ses efforts plutôt que dire ce qui me dérangeait.
Merci de ta réponse. Oui, j’ai un peu peur de n’avoir fait que retarder l’échéance pour rester dans ma zone de confort, mais j’ai vraiment pleinement kiffer ces deux jours comme jamais et pourtant ils étaient tout aussi douloureux que merveilleux.
Et tu as totalement raison sur le fait que j’ai une curiosité, pas forcément justifiée, de découvrir autre chose au vu de ma petite expérience.
Et tu as totalement raison sur le fait que j’ai une curiosité, pas forcément justifiée, de découvrir autre chose au vu de ma petite expérience.
Ben tu n'as pas à te justifier c'est juste que c'est à toi d'être clair là dessus et de ne pas lui en faire porter la responsabilité.
Est ce que tu as envie de continuer de vivre des journées comme celles là et si oui que vas tu faire pour que ce soit le cas ?mais j’ai vraiment pleinement kiffer ces deux jours comme jamais
Franchement, si tous les moments que je passais avec Margaux était ainsi, je ne me poserai pas de question. Mais si je rationnalise, mon avis est biaisé, car elle comme moi, on se disait que c’étaient les derniers moments. On mettait tout de côté pour profiter de ces dernières heures ensemble en mode « Dans 24h c’est fini », et ça amplifie émotionnellement le tout, cela n’en faisait pas un WE comme les autre.voucny a écrit :Ben tu n'as pas à te justifier c'est juste que c'est à toi d'être clair là dessus et de ne pas lui en faire porter la responsabilité.
Est ce que tu as envie de continuer de vivre des journées comme celles là et si oui que vas tu faire pour que ce soit le cas ?mais j’ai vraiment pleinement kiffer ces deux jours comme jamais
Mais je dirai qu’elle a son défi à relever pour voir si elle peut corriger le tir par-rapport à tout ce que l’on s’est dit. Et ce qui ressort ? Communiquer de but en blanc + Faire des choses inédites, changer ses habitudes et pas s’enfermer dans une relation planplan à se complaire dans nos manques.
Ce sont de vraies questions. Si c'était arrivé dans 6 mois, un an, tu aurais le recul suffisant pour voir si les engagements de Margaux sont sérieux... A ce stade, c'est plus un pari.j’ai l’impression d’avoir fait marche arrière, j’ai peur que cela soit pareil et qu’elle ne change pas profondément (on ne change pas la nature profonde d’une personne), j’ai peur d’avoir fait ça juste pour rester dans ma zone de confort, j’ai peur d’avoir un avis biaisé par juste 2 jours (Après tout 2 jours ont remis en cause la décision à laquelle je réfléchissais depuis des mois)
Un peu de lecture, le sujet a déjà été évoqué ici : post406009.html
Et par ailleurs, comme le dit voucny, il faut voir dans quelle mesure tu avais aussi envie de vivre autre chose, de rencontrer d'autres filles.
Très intéressant ton topic ! Oui, c’est plus un pari où je ferai le point d’ici l’été pour voir si les changements fonctionnent ou si finalement ce n’est plus le cas. Histoire de n’avoir aucun regret et de se donner une chance. Actuellement, je ne sais pas si cela peut fonctionner, j’attends de voir, d’être surpris et de revivre des WEs comme ça.Jalapeno a écrit :Ce sont de vraies questions. Si c'était arrivé dans 6 mois, un an, tu aurais le recul suffisant pour voir si les engagements de Margaux sont sérieux... A ce stade, c'est plus un pari.j’ai l’impression d’avoir fait marche arrière, j’ai peur que cela soit pareil et qu’elle ne change pas profondément (on ne change pas la nature profonde d’une personne), j’ai peur d’avoir fait ça juste pour rester dans ma zone de confort, j’ai peur d’avoir un avis biaisé par juste 2 jours (Après tout 2 jours ont remis en cause la décision à laquelle je réfléchissais depuis des mois)
Un peu de lecture, le sujet a déjà été évoqué ici : post406009.html
Et par ailleurs, comme le dit voucny, il faut voir dans quelle mesure tu avais aussi envie de vivre autre chose, de rencontrer d'autres filles.
Les gens ont du mal à changer, tu risques de vite déchanter. En gros, ton cerveau est un flemmard et il veut faire le moins d'efforts possibles. Et comme il a du mal à voir sur le long terme, il lui est extrêmement difficile de changer de routine, surtout si l'on manque d'auto-discipline. Il lui est aussi plus simple de prendre les décisions les moins dépensiers en énergie.
D'après ce que tu nous as dit, ta copine a besoin d'aide et tu ne peux pas la lui apporter. Après, un des plus grand moteur au changement, ce sont les chocs émotionnels donc c'est possible qu'elle arrive à capitaliser dessus pour faire ce qu'elle a prévu. J'espère pour vous que ça va marcher, fais tout de même attention qu'elle ne tombe pas en dépression parce qu'elle se force à régler des problèmes de surface sans plonger dans le fond.
D'après ce que tu nous as dit, ta copine a besoin d'aide et tu ne peux pas la lui apporter. Après, un des plus grand moteur au changement, ce sont les chocs émotionnels donc c'est possible qu'elle arrive à capitaliser dessus pour faire ce qu'elle a prévu. J'espère pour vous que ça va marcher, fais tout de même attention qu'elle ne tombe pas en dépression parce qu'elle se force à régler des problèmes de surface sans plonger dans le fond.
J’en suis totalement conscient et pour moi j’attends vraiment de voir sur le long terme et pas juste sur 2 jours. Je me donne jusqu’à l’été pour voir quel est mon ressenti vis-à-vis de ça. Après, n’étant pas pris de cours ou autre, je me dis que je peux prendre ce pari osé en cours, même si je me dis qu’on peut vite retomber à la case départ.Nonchalance a écrit :Les gens ont du mal à changer, tu risques de vite déchanter. En gros, ton cerveau est un flemmard et il veut faire le moins d'efforts possibles. Et comme il a du mal à voir sur le long terme, il lui est extrêmement difficile de changer de routine, surtout si l'on manque d'auto-discipline. Il lui est aussi plus simple de prendre les décisions les moins dépensiers en énergie.
D'après ce que tu nous as dit, ta copine a besoin d'aide et tu ne peux pas la lui apporter. Après, un des plus grand moteur au changement, ce sont les chocs émotionnels donc c'est possible qu'elle arrive à capitaliser dessus pour faire ce qu'elle a prévu. J'espère pour vous que ça va marcher, fais tout de même attention qu'elle ne tombe pas en dépression parce qu'elle se force à régler des problèmes de surface sans plonger dans le fond.
Aujourd’hui, pas d’histoire de couple, pas de Margaux. Juste toi et moi. Je ne suis ni le premier, ni le dernier à évoquer ce sujet, mais j’avais envie d’en parler. A la rentrée prochaine, je vais rentrer sur le marché du travail, je suis actuellement dans ma dernière année d’étude. Autant, je n’ai aucune crainte quant au fait de trouver un emploi, autant, j’en ai plus quant au fait de trouver un emploi qui me plaise. Je m’explique.
Durant l’intégralité de mes études, j’ai eu la chance d’avoir des expériences dans plusieurs secteurs (la finance, le marketing, les ressources humaines etc.) qui m’ont toutes intéressées pour la période concernée (Entre 2 et 6 mois). Cependant, à la fin, j’étais systématiquement dans le même état d’esprit : Content que cela se termine car je finissais par être lassé. C’était bien pour quelques mois mais me projeter sur plusieurs années sur cette mission ? Difficile. Certains veulent être médecin, DRH, banquier, cuisinier depuis leur tendre enfance, à l’heure actuelle, je suis incapable de dire ce que je souhaite faire. Et je m’interroge sur comment cela s’est passé pour vous, pour votre première recherche d’emploi.
Toutes mes expériences ainsi que mes études m’ont permis de développer énormément de compétences rendant mon profil très attractif (Compétences en économie/finance, marketing, RH, management etc.) mais cela ne m’aide pas pour autant à trancher sur un poste.
Comme tu l’auras compris, je suis quelqu’un de rigoureux, organisé, structuré. J’ai l’esprit tourné vers l’entreprenariat. J’aime entreprendre quelque chose dès que j’ai une idée ou un projet, que cela fonctionne ou non (Pour un début, c’est beaucoup trop risqué de se lancer là-dedans, mieux vaut garder cette seconde casquette à côté). Manager mon équipe, comprendre les besoins de chacun et les tirer vers le haut pour la réalisation d’un objectif commun, cela me plaît énormément aussi. De plus, je suis quelqu’un qui aime la polyvalence et la variété dans ses missions, être sur plusieurs fronts. Tu me dis « Tu vas passer 1 an derrière ton écran à faire ça » où ta seule polyvalence c’est les données que l’on te donne, cela ne m’attire pas du tout. Sur tous mes projets, j’aime toucher un peu à tout : suivre le côté financier, réfléchir aux stratégies de développement, la communication via les réseaux sociaux, le management de mon équipe, la réalisation de contenu etc. Alors que si tu me dis « Tu vas suivre uniquement le côté financier » ou « Tu vas faire que la communication » cela m’attire beaucoup moins. Enfin, j’aime cette approche réfléchie très « stratégique » où l’on se pose, et on a cette phase où l’on sait ce que l’on veut, on sait ce que l’on a, et on brainstorm sur toutes les idées possibles pour y arriver, les contraintes, comment les détourner etc. Comme je suis quelqu’un qui a tendance à tout intellectualiser, c’est quelque chose qui me correspond.
Mais tout cela ne me donne pas le nom d’un emploi ou d’un poste à viser. Et cela complexifie d’autant plus ma recherche d’emploi à venir. Finalement, comment s’y prendre dans ce cas précis ? Regarder un peu toutes les offres et postuler sur les missions qui semblent nous plaire ? Privilégier un emploi dans ma région pour limiter les frais et maximiser les rentrées d’argent ou chercher partout pour être sûr d’avoir quelque chose de bien. Et au final, un premier job sur un poste junior c’est comme un stage ou une alternance, ou la responsabilité/pression est vraiment différente et on le sent ? Ou finalement, au début, comme partout, on te forme, et tu apprends en forgeant ? :P
Merci des retours que vous saurez me faire, je suis, assez curieux sur la question !
Durant l’intégralité de mes études, j’ai eu la chance d’avoir des expériences dans plusieurs secteurs (la finance, le marketing, les ressources humaines etc.) qui m’ont toutes intéressées pour la période concernée (Entre 2 et 6 mois). Cependant, à la fin, j’étais systématiquement dans le même état d’esprit : Content que cela se termine car je finissais par être lassé. C’était bien pour quelques mois mais me projeter sur plusieurs années sur cette mission ? Difficile. Certains veulent être médecin, DRH, banquier, cuisinier depuis leur tendre enfance, à l’heure actuelle, je suis incapable de dire ce que je souhaite faire. Et je m’interroge sur comment cela s’est passé pour vous, pour votre première recherche d’emploi.
Toutes mes expériences ainsi que mes études m’ont permis de développer énormément de compétences rendant mon profil très attractif (Compétences en économie/finance, marketing, RH, management etc.) mais cela ne m’aide pas pour autant à trancher sur un poste.
Comme tu l’auras compris, je suis quelqu’un de rigoureux, organisé, structuré. J’ai l’esprit tourné vers l’entreprenariat. J’aime entreprendre quelque chose dès que j’ai une idée ou un projet, que cela fonctionne ou non (Pour un début, c’est beaucoup trop risqué de se lancer là-dedans, mieux vaut garder cette seconde casquette à côté). Manager mon équipe, comprendre les besoins de chacun et les tirer vers le haut pour la réalisation d’un objectif commun, cela me plaît énormément aussi. De plus, je suis quelqu’un qui aime la polyvalence et la variété dans ses missions, être sur plusieurs fronts. Tu me dis « Tu vas passer 1 an derrière ton écran à faire ça » où ta seule polyvalence c’est les données que l’on te donne, cela ne m’attire pas du tout. Sur tous mes projets, j’aime toucher un peu à tout : suivre le côté financier, réfléchir aux stratégies de développement, la communication via les réseaux sociaux, le management de mon équipe, la réalisation de contenu etc. Alors que si tu me dis « Tu vas suivre uniquement le côté financier » ou « Tu vas faire que la communication » cela m’attire beaucoup moins. Enfin, j’aime cette approche réfléchie très « stratégique » où l’on se pose, et on a cette phase où l’on sait ce que l’on veut, on sait ce que l’on a, et on brainstorm sur toutes les idées possibles pour y arriver, les contraintes, comment les détourner etc. Comme je suis quelqu’un qui a tendance à tout intellectualiser, c’est quelque chose qui me correspond.
Mais tout cela ne me donne pas le nom d’un emploi ou d’un poste à viser. Et cela complexifie d’autant plus ma recherche d’emploi à venir. Finalement, comment s’y prendre dans ce cas précis ? Regarder un peu toutes les offres et postuler sur les missions qui semblent nous plaire ? Privilégier un emploi dans ma région pour limiter les frais et maximiser les rentrées d’argent ou chercher partout pour être sûr d’avoir quelque chose de bien. Et au final, un premier job sur un poste junior c’est comme un stage ou une alternance, ou la responsabilité/pression est vraiment différente et on le sent ? Ou finalement, au début, comme partout, on te forme, et tu apprends en forgeant ? :P
Merci des retours que vous saurez me faire, je suis, assez curieux sur la question !