blocages...
Salut les gens,
Encore une fois, merci d'être là pour discuter de ces sujets... de manière cash...
J'ai bientôt 50 ans, père de 3 enfants, un boulot un peu public...
Je n'ai plus beaucoup de relations sociales personnelles vu que j'experimente le "loin des yeux loin du coeur". J'avais beaucoup d'amis communs avec mon ex, et j'ai eu la connerie de quitter les activités qu'on avait en commun... Maintenant, à cause de l'âge, je ne peux plus rentrer dans le groupe.
Je socialise facilement, mais en petits groupes, et j'arrive pas à trouver une activité compatible avec mes enfants 1 semaine sur 2, le boulot et mes envies (que je n'identifie plus trop bien vu que je dois encore ramener les curseurs à la baisse).
Mon souci, j'ai lu pas mal de trucs de PUA, mais j'en reviens à la même conclusion inévitablement: et si tu te plantes?
Le souci c'est que tous ces bouquins disent la même chose:
- tu t'en fous si tu te plantes
- le reservoir de nanas est inépuisable
- elles sont toutes dispo.
C'est les 3 points justement qui ne collent pas avec mon quotidien:
- les nanas avec qui j'évolue se connaissent et parlent entre eux. Avec mon ex, il s'était dit de moi "attention il drague tout le monde"... et là, je vois que c'est en train de repartir... quand bien même ce n'est pas le cas... Et c'est le souci, pcq je ne suis pas mort de faim, mais présenté comme tel. Je ne veux pas que ce genre de chose m'arrive dans les cercles liés au boulot par exemple
- j'ai 50 ans quasi, et non, les nanas qui sortent, c'est pas comme si j'avais encore 20-30 ans... y'en a beaucoup moins de disponibles... et elles sont plus plan-plan (beaucoup moins de sorties seules, le plus souvent avec d'autres couples+enfants. Ca n'empeche rien, mais c'est beaucoup plus difficile à aborder, surtout quand tu n'es pas dans leurs amis) , pas forcément envie d'histoires avec des mecs (je crois) ou bien complètement prêtes à tout pour finalement me b**ser (dans tous les sens du terme donc, mais en général ça s'arrête bien avant les draps). Dans celles qui sortent super souvent, je ne sais pas si c'est elle ou moi, mais ca n'accroche pas. C'est peut-être moi qui suis trop "coincé" dans ma réalité (en general, leurs gosses ont 20 ans+, ou elles s'assument seules, mais pas envie de mecs car dégoutées d'une relation ou ...)
- la plupart des nanas que j'aborde finissent par me dire du bout des lèvres qu'en fait elles ont déjà qqn ou bien me signifient que je les fais ch.er du jour au lendemain (une fois qu'elles ont décidé que le mec qu'elles avaient leur convenait)... Bref, ca les amuse de se faire draguer, jusqu'au moment où elles n'en ont plu besoin.
C'est pas positif, je sais... mais je ne sais pas quoi faire... espérer encore et encore n'est pas une solution: il y a qqch qui cloche...
Non en effet, mon relationnel perso est juste catastrophique pour le moment et ça ne doit pas aider. Pourtant, il me semble etre un mec qui peut discuter de tout.
Alors oui, je crois que je n'envisage plus du tout de relation de couple "classique" mais plutot du sexfriend... parce qu'en fait, techniquement, je n'ai pas 1000 options et parce qu'apparemment bcp de nanas fonctionnent déjà comme ca. Le hic pour moi, c'est que celles que je sens plutôt aller dans cette voie, elles n'ont pas l'air d'assumer d'y aller vraiment.
Ca ne veut pourtant pas dire que j'irais butiner à gauche et droite, ca veut juste dire que c'est "ami intime avec bonus" pcq de toute façon, j'ai déjà mes gosses et elle les siens probablement.
Mais même ca, ca ne marche pas non plus...
So what... vous avez de idées?
Merci déjà...
PS: je precise que je ne range pas les gens dans des cases: je déteste ca... mais bon, l'expérience, même si pas énorme, elle est là...
Encore une fois, merci d'être là pour discuter de ces sujets... de manière cash...
J'ai bientôt 50 ans, père de 3 enfants, un boulot un peu public...
Je n'ai plus beaucoup de relations sociales personnelles vu que j'experimente le "loin des yeux loin du coeur". J'avais beaucoup d'amis communs avec mon ex, et j'ai eu la connerie de quitter les activités qu'on avait en commun... Maintenant, à cause de l'âge, je ne peux plus rentrer dans le groupe.
Je socialise facilement, mais en petits groupes, et j'arrive pas à trouver une activité compatible avec mes enfants 1 semaine sur 2, le boulot et mes envies (que je n'identifie plus trop bien vu que je dois encore ramener les curseurs à la baisse).
Mon souci, j'ai lu pas mal de trucs de PUA, mais j'en reviens à la même conclusion inévitablement: et si tu te plantes?
Le souci c'est que tous ces bouquins disent la même chose:
- tu t'en fous si tu te plantes
- le reservoir de nanas est inépuisable
- elles sont toutes dispo.
C'est les 3 points justement qui ne collent pas avec mon quotidien:
- les nanas avec qui j'évolue se connaissent et parlent entre eux. Avec mon ex, il s'était dit de moi "attention il drague tout le monde"... et là, je vois que c'est en train de repartir... quand bien même ce n'est pas le cas... Et c'est le souci, pcq je ne suis pas mort de faim, mais présenté comme tel. Je ne veux pas que ce genre de chose m'arrive dans les cercles liés au boulot par exemple
- j'ai 50 ans quasi, et non, les nanas qui sortent, c'est pas comme si j'avais encore 20-30 ans... y'en a beaucoup moins de disponibles... et elles sont plus plan-plan (beaucoup moins de sorties seules, le plus souvent avec d'autres couples+enfants. Ca n'empeche rien, mais c'est beaucoup plus difficile à aborder, surtout quand tu n'es pas dans leurs amis) , pas forcément envie d'histoires avec des mecs (je crois) ou bien complètement prêtes à tout pour finalement me b**ser (dans tous les sens du terme donc, mais en général ça s'arrête bien avant les draps). Dans celles qui sortent super souvent, je ne sais pas si c'est elle ou moi, mais ca n'accroche pas. C'est peut-être moi qui suis trop "coincé" dans ma réalité (en general, leurs gosses ont 20 ans+, ou elles s'assument seules, mais pas envie de mecs car dégoutées d'une relation ou ...)
- la plupart des nanas que j'aborde finissent par me dire du bout des lèvres qu'en fait elles ont déjà qqn ou bien me signifient que je les fais ch.er du jour au lendemain (une fois qu'elles ont décidé que le mec qu'elles avaient leur convenait)... Bref, ca les amuse de se faire draguer, jusqu'au moment où elles n'en ont plu besoin.
C'est pas positif, je sais... mais je ne sais pas quoi faire... espérer encore et encore n'est pas une solution: il y a qqch qui cloche...
Non en effet, mon relationnel perso est juste catastrophique pour le moment et ça ne doit pas aider. Pourtant, il me semble etre un mec qui peut discuter de tout.
Alors oui, je crois que je n'envisage plus du tout de relation de couple "classique" mais plutot du sexfriend... parce qu'en fait, techniquement, je n'ai pas 1000 options et parce qu'apparemment bcp de nanas fonctionnent déjà comme ca. Le hic pour moi, c'est que celles que je sens plutôt aller dans cette voie, elles n'ont pas l'air d'assumer d'y aller vraiment.
Ca ne veut pourtant pas dire que j'irais butiner à gauche et droite, ca veut juste dire que c'est "ami intime avec bonus" pcq de toute façon, j'ai déjà mes gosses et elle les siens probablement.
Mais même ca, ca ne marche pas non plus...
So what... vous avez de idées?
Merci déjà...
PS: je precise que je ne range pas les gens dans des cases: je déteste ca... mais bon, l'expérience, même si pas énorme, elle est là...
Un autre truc qui ne m'encourage pas a tenter ma chance en mode "rien a perdre", c'est (j' en ai fait le constat cette nuit) que toutes les femmes avec qui j'aurais vraiment voulu un petit embryon d'histoire sont a présent très très froides a mon égard et ont mis une distance et une barrière. Je n'ai pourtant pas eu de comportement agressif (conscient du moins) et je ne sais pas en quoi je les aurais blessées/choquées/...
Et cet apres-là, il n'y a rien pour le gérer dans ces bouquins/formations (tellement parfaits que ce n'est pas une option). Sauf quand il s'agit d'amies (enfin, d'anciennes) ou peut-être de collègue dans le dernier cas (encore que je n'ai franchement même pas vraiment essayé)
Je me trompe peut-être sur la nature de cette réaction de distance, mais c'est en réaction à ma trop grande proximité.
En clair, tu approches, tu plais pas, tu perds une amie. Angoisse d'approche ++. Chances--.amies-- réputation --
. Je voudrais enrayer ça...
Et cet apres-là, il n'y a rien pour le gérer dans ces bouquins/formations (tellement parfaits que ce n'est pas une option). Sauf quand il s'agit d'amies (enfin, d'anciennes) ou peut-être de collègue dans le dernier cas (encore que je n'ai franchement même pas vraiment essayé)
Je me trompe peut-être sur la nature de cette réaction de distance, mais c'est en réaction à ma trop grande proximité.
En clair, tu approches, tu plais pas, tu perds une amie. Angoisse d'approche ++. Chances--.amies-- réputation --
. Je voudrais enrayer ça...
on est d'accord que c'est pas facile, cela dit, tu te faciliteras vie en te libérant de certains trucs:Laniakeo a écrit : ↑09.02.25 J'ai bientôt 50 ans, père de 3 enfants, un boulot un peu public...
Je n'ai plus beaucoup de relations sociales personnelles vu que j'experimente le "loin des yeux loin du coeur". J'avais beaucoup d'amis communs avec mon ex, et j'ai eu la connerie de quitter les activités qu'on avait en commun... Maintenant, à cause de l'âge, je ne peux plus rentrer dans le groupe.
Je socialise facilement, mais en petits groupes, et j'arrive pas à trouver une activité compatible avec mes enfants 1 semaine sur 2, le boulot et mes envies (que je n'identifie plus trop bien vu que je dois encore ramener les curseurs à la baisse).
L'âge n'est pas forcément si bloquant, si tu as des centres d'intérêts assez jeunes.
Pour l'activité, je suis un peu dans le même cas (1 semaine sur deux) pour des raisons pros, mais à un moment, peut-être que tu peux soit accepter de ne faire qu'une semaine sur deux si ça te plaît assez, et que le contexte (prof/organisateur ok) s'y prête. Soit tu t'arranges autrement pour avoir des libertés au niveau de tes cours ou activités. Tu prends tes gosses dans l'intervalle entre tes deux cours, ou tu fais en sorte de les laisser à leur mère ce jour-là.
C'est vrai que le réservoir reste très contextuel. Et qu'il n'a jamais été vrai qu'elles sont toutes dispos. Mais le fait de s'en foutre si on se plante, c'est assez vrai. Les gens font souvent moins attention à nous que l'on pense. Et les rumeurs que tu ressens, ou entends, tu les aurais quelle que soit ton attitude, parce que tu as des gens contre toi dans tous les cas, et qu'ils raconteront n'importe quoi.Mon souci, j'ai lu pas mal de trucs de PUA, mais j'en reviens à la même conclusion inévitablement: et si tu te plantes?
Le souci c'est que tous ces bouquins disent la même chose:
- tu t'en fous si tu te plantes
- le reservoir de nanas est inépuisable
- elles sont toutes dispo.
C'est les 3 points justement qui ne collent pas avec mon quotidien:
- les nanas avec qui j'évolue se connaissent et parlent entre eux. Avec mon ex, il s'était dit de moi "attention il drague tout le monde"... et là, je vois que c'est en train de repartir... quand bien même ce n'est pas le cas... Et c'est le souci, pcq je ne suis pas mort de faim, mais présenté comme tel. Je ne veux pas que ce genre de chose m'arrive dans les cercles liés au boulot par exemple
Ce n'est pas absurde de ne pas sentir une certaine catégorie de gens. Les gens de 50 ans qui sont en mode sortie comme des jeunes, ça peut être anodin mais souvent c'est un peu une recherche de temps perdu, ça ne donne rien de bon.- j'ai 50 ans quasi, et non, les nanas qui sortent, c'est pas comme si j'avais encore 20-30 ans... y'en a beaucoup moins de disponibles... et elles sont plus plan-plan (beaucoup moins de sorties seules, le plus souvent avec d'autres couples+enfants. Ca n'empeche rien, mais c'est beaucoup plus difficile à aborder, surtout quand tu n'es pas dans leurs amis) , pas forcément envie d'histoires avec des mecs (je crois) ou bien complètement prêtes à tout pour finalement me b**ser (dans tous les sens du terme donc, mais en général ça s'arrête bien avant les draps). Dans celles qui sortent super souvent, je ne sais pas si c'est elle ou moi, mais ca n'accroche pas. C'est peut-être moi qui suis trop "coincé" dans ma réalité (en general, leurs gosses ont 20 ans+, ou elles s'assument seules, mais pas envie de mecs car dégoutées d'une relation ou ...)
Pour la disponibilité, je pense que tu as des contraintes très commune dans ta tranche d'âge, donc à un moment, tu peux essayer de les tourner à ton avantage. Rencontrer des mères célibataires quand tu amènes tes gamins à leurs activités, ça se fait.
Tu dois donc avoir l'air trop gentil ou avoir une attitude qui se marie bien avec ces femmes-là, qui attendent de l'attention pour les divertir de leur relation souvent ennuyeuse à cet âge là. Ce n'est pas qu'elles attendent de savoir si leur mec actuel leur convient. En général elle le savent dès le départ. C'est juste qu'elles savent d'emblée que tu vas être un bon confident, qui va se mettre en quatre pour elles.- la plupart des nanas que j'aborde finissent par me dire du bout des lèvres qu'en fait elles ont déjà qqn ou bien me signifient que je les fais ch.er du jour au lendemain (une fois qu'elles ont décidé que le mec qu'elles avaient leur convenait)... Bref, ca les amuse de se faire draguer, jusqu'au moment où elles n'en ont plus besoin.
Les nanas qui t'envoient chier veulent que tu discutes de tout. Celles que tu ne vois pas mais qui sont potentiellement intéressées, elles, veulent que tu les séduise.C'est pas positif, je sais... mais je ne sais pas quoi faire... espérer encore et encore n'est pas une solution: il y a qqch qui cloche...
Non en effet, mon relationnel perso est juste catastrophique pour le moment et ça ne doit pas aider. Pourtant, il me semble etre un mec qui peut discuter de tout.
Et puis il y a des manières de discuter. C'est une chose d'être bien à l'écoute,
de vouloir leur plaire, de vouloir être intéressant. C'est mieux de ne pas les mettre sur un piédestal, les taquiner, être excitant et surprenant.
ça reste blasant que ça ne change pas, mais après une vie où elles se seront ennuyées pendant 10 ans avec un gars qui leur correspondait pas ou plus, ça ne reste que plus vrai.
En général, quand on a pas mille options, ça s'applique à tous les cas.Alors oui, je crois que je n'envisage plus du tout de relation de couple "classique" mais plutot du sexfriend... parce qu'en fait, techniquement, je n'ai pas 1000 options et parce qu'apparemment bcp de nanas fonctionnent déjà comme ca.
Que tu le sentes pas pour une question d'envies, de place dans ta vie ou de sentiments, ce serait un choix. Le faire par contrainte, ça va juste te rendre malheureux.
Pour le reste, c'est vrai que la plupart des nanas sont compatibles avec ça. Mais elles sont beaucoup aussi à attendre la bonne surprise; c'est plus un pis-aller qu'autre chose dans pas mal de cas.
Peut-être parce qu'en réalité elles ont envie d'autre chose.Le hic pour moi, c'est que celles que je sens plutôt aller dans cette voie, elles n'ont pas l'air d'assumer d'y aller vraiment.
Ou parce que tu n'amènes pas bien la chose.
Si elles n'assument pas, il faut leur donner l'impression que c'est toi qui es "responsable" de tout.
Comme la plupart veulent se convaincre qu'elles sont tombées par hasard sur quelqu'un, qu'elles n'ont pas cherché à attirer son attention, ou qu'elles n'ont rien fait et ont été courtisées.
Pourquoi t'en priver?Ca ne veut pourtant pas dire que j'irais butiner à gauche et droite,
Tu es sorti de la case où elles t'avaient rangées.Un autre truc qui ne m'encourage pas a tenter ma chance en mode "rien a perdre", c'est (j' en ai fait le constat cette nuit) que toutes les femmes avec qui j'aurais vraiment voulu un petit embryon d'histoire sont a présent très très froides a mon égard et ont mis une distance et une barrière.
Je n'ai pourtant pas eu de comportement agressif (conscient du moins) et je ne sais pas en quoi je les aurais blessées/choquées/...
elles te voulaient serviables, estimaient que tu était indigne d'elles, et tu as eu l'audace de les vouloir. C'est fréquent, et juste un signe du biais initial de votre relation. Tu ne perds rien, tu n'as rien fait de mal, tu as été utilisé, ce doit être une leçon pour éviter ce genre de femmes.
Il n'y a pas à gérer. Elles sont connes ou mauvaises. On ne garde pas des gens comme ça dans sa vie. C'est la seule chose à faire. Pas culpabiliser parce que tu n'as rien fait. Ce ne sont pas des amies, elles te prennent pour un animal de compagnie si elles ont cette attitude.Et cet apres-là, il n'y a rien pour le gérer dans ces bouquins/formations (tellement parfaits que ce n'est pas une option). Sauf quand il s'agit d'amies (enfin, d'anciennes) ou peut-être de collègue dans le dernier cas (encore que je n'ai franchement même pas vraiment essayé)
Je me trompe peut-être sur la nature de cette réaction de distance, mais c'est en réaction à ma trop grande proximité.
Arrête de te fouetter pour elles.
Merci @Onmyoji
Je vais essayer de compléter...
Gérer l'après, c'est pas forcément gérer l'après-relation avec ces femmes: il n'y en a plus...
L'après, c'est surtout l'impact sur moi, ma confiance en moi, ma valeur sociale... Car, faut pas se leurrer, ça sortira tôt ou tard, le "il a essayé de me draguer"...
Je constate que les rares petites tentatives au boulot, vis a vis de personnes extérieures, tout mon bureau le sait...
J'ai effectivement l'impression que pour mes collègues immédiats, soit ils s'en foutent, soit c'est de la compassion (donc pas grande conséquences).
Quand il s'agit de groupes plus intimes, c'est plus impactant... Avoir une réputation de looser qui te devance, c'est pas top...
Je crois que je n'arrive pas à comprendre quel est mon "public cible", parmi les rares personnes qui s'offrent à moi. Non, je vois des gens, en effet, mais sur le plan professionnel. Et il m'est franchement difficile d'aborder autre chose avec... (En visio, c'est très straight-to-the-point, en live, c'est des gens dont je collecte les cartes de visite, mais j'ai l'impression que mon rôle se cantonne à celui d'un valet.... Bien que fondamentalement, je suis plus proche du consultant, de l'accompagnant, du confident (quand il s'agit de discussions sous NDA par exemple). C'est étonnant de voir un dirigeant de grande entreprise faire part de ses doutes... On reste des humains...
Les femmes que je vois au boulot, elles ont souvent beaucoup d'assurance. Elles ne sont pas forcément masculines ou self-made women. Mais je les vois souvent dans une optique où quand leur check-list de questions-réponses est complétée: bye. Il y a 50% d'alliances mais pas 50% de célibataires. Elles ont cette assurance de femmes comblées, donc j'ai du mal à me dire "attaque, on ne sait jamais qu'elle soit célibataire". En tous cas, je ne perçois pas de signe d'ouverture de leur part. (Si, d'une Allemande et d'une Lituanienne. La 2e est mariée et s'affiche heureuse comme ça sur Facebook). En pratique, ça resterait compliqué.
Les femmes que j'ai draguées (hors milieu pro pour l'immense majorité) me plaisaient, j'avais l'impression qu'elles me correspondaient. Avec le recul je me dis que j'ai mis la barre un peu haut, mais c'est quoi ce genre de reflexion? Elles avaient toutes *un* truc en plus (différent chez chacune), oui, mais pourquoi devrais-je m'inférioriser?
Je n'ai pas compris le moment où leur intérêt s'est évaporé.
L'une d'elle m'a accusé d'avoir été collant. Je ne sais pas si je l'ai effectivement été. C'est vrai que je n'ai pas -avec elle- joué de carte style silence radio. Par contre, par déduction, je l'ai été quand elle a eu quelqu'un d'autre en vue (mais ça, je ne le savais pas). Elle est assez jolie, je suppose que des sollicitations ne manquaient pas. J'ai beaucoup mordu sur ma chique en me disant: "pourquoi n'aurais-je pas ma chance autant qu'un autre?"
Mon ex a dit de moi qu'on a été 2 dépendants affectifs et c'est ce qui a fait qu'on s'est rencontrés (Il vaut mieux pour elle qu'elle se persuade de ça). C'est son cas (monkey branching), mais j'aurais plutôt décrit de moi que j'étais un carencé affectif. Ce qui est encore plus le cas actuellement.
Je n'ai plus la moindre idée de ce que serait un profil de femme qui m'attire, quoi mettre en avant pour être séduisant. Je n'affiche pas ce côté "gars en manque" car non, c'est pas le cas. Si on me demande si je veux accueillir une femme chez moi, maintenant, c'est NON. Je sais que j'ai écrit une contradiction, mais au fond de moi, je pense que c'est un mécanisme d'auto-protection, par manque de confiance en elle... Et en moi...
J'ai mal vécu cette semaine, me sentant vraiment très seul et sans valeur.
Je suis comme bloqué sur la pensée "je suis seul", je j'entreprends rien. Par peur, dégoût, défaitisme? Je n'en sais rien.
Même des choses ultra basiques comme vider le lave-vaisselle, ça me semble vain, difficile... (Oui, ça prend 2 minutes).
Et là j'ai une maison entière à ranger, organiser, retaper...
Quand je dis que c'est difficile avec les gens de 50 ans, c'est pas un jugement, c'est un fait. Mes amis restent dans leurs cercles de 4-5 couples (étant eux-mêmes en couple) et je n'y fais pas de rencontre (ça représente 6?7? soirs par an...). On m'invite d'ailleurs assez peu, je pense aussi à cause de cette "valeur sociale" en chute libre... (Sans référence à ce film qui m'a été conseillé ici...)
Les seuls qui ne sont pas dans le cas, c'est un célibataire dans ma situation (sans enfants, toutefois, ce qui change beaucoup de choses) et un autre dont la vie de couple bat de l'aile... Mais physiquement, on se voit au mieux 3x/an.
Pour les activités, oui, une semaine sur 2, je le fais sans problème. Mais je n'ai pas trouvé qqch qui me corresponde (pratiquement parlant, ou simplement au niveau de mes envies). J'ai pris du poids, ce devrait naturellement être du sport... Je n'ai rien vu de mixte jusqu'à présent, et j'avoue avoir du mal avec mon image désormais...
J'ai une amie de longue date, qui a mon âge. Je ne sais pas si c'est Friend zone. J'ai déjà été très très explicite, elle a compris le message, et elle se contente d'esquiver. Je précise que nous avons sinon de longues conversations amicales sur tous sujets. Une fois (parmi d'autres) j'ai fait une autre allusion, elle m'a répondu "ne rêve pas". J'y ai refait allusion par la suite, elle s'en souvenait. Je sais qu'elle est très très prudente, je sais qu'elle a vécu un mariage horrible, des violences, ... Je ne sais pas si ce "ne rêve pas" est un non définitif ou une mise au défi. Elle est aussi comme ça, et attend beaucoup qu'un homme lui fasse la cour (old school?). Elle me considère toutefois comme un égal, psychologiquement et intellectuellement parlant. Du point de vue social c'est plus compliqué, elle est d'un milieu largement plus aisé. Je ne sais pas si cette barrière vient de ce milieu social, mais si c'est le cas, je présuppose que je ne serai jamais à ma place... Dans tous les cas, elle est parfaitement satisfaite d'une relation platonique par WhatsApp, et moi ça ne me suffit pas...
Tout ça pour dire que la séduction, c'est une étape, que manifestement j'ai déjà du mal à accomplir... Mais la vraie vie, autour, celle de la valeur sociale, des relations affectives (et non superficielles), du quotidien à partager, ... C'est le néant côté littérature en tous cas (ou partage d'expérience en général).
Je vais essayer de compléter...
Gérer l'après, c'est pas forcément gérer l'après-relation avec ces femmes: il n'y en a plus...
L'après, c'est surtout l'impact sur moi, ma confiance en moi, ma valeur sociale... Car, faut pas se leurrer, ça sortira tôt ou tard, le "il a essayé de me draguer"...
Je constate que les rares petites tentatives au boulot, vis a vis de personnes extérieures, tout mon bureau le sait...
J'ai effectivement l'impression que pour mes collègues immédiats, soit ils s'en foutent, soit c'est de la compassion (donc pas grande conséquences).
Quand il s'agit de groupes plus intimes, c'est plus impactant... Avoir une réputation de looser qui te devance, c'est pas top...
Je crois que je n'arrive pas à comprendre quel est mon "public cible", parmi les rares personnes qui s'offrent à moi. Non, je vois des gens, en effet, mais sur le plan professionnel. Et il m'est franchement difficile d'aborder autre chose avec... (En visio, c'est très straight-to-the-point, en live, c'est des gens dont je collecte les cartes de visite, mais j'ai l'impression que mon rôle se cantonne à celui d'un valet.... Bien que fondamentalement, je suis plus proche du consultant, de l'accompagnant, du confident (quand il s'agit de discussions sous NDA par exemple). C'est étonnant de voir un dirigeant de grande entreprise faire part de ses doutes... On reste des humains...
Les femmes que je vois au boulot, elles ont souvent beaucoup d'assurance. Elles ne sont pas forcément masculines ou self-made women. Mais je les vois souvent dans une optique où quand leur check-list de questions-réponses est complétée: bye. Il y a 50% d'alliances mais pas 50% de célibataires. Elles ont cette assurance de femmes comblées, donc j'ai du mal à me dire "attaque, on ne sait jamais qu'elle soit célibataire". En tous cas, je ne perçois pas de signe d'ouverture de leur part. (Si, d'une Allemande et d'une Lituanienne. La 2e est mariée et s'affiche heureuse comme ça sur Facebook). En pratique, ça resterait compliqué.
Les femmes que j'ai draguées (hors milieu pro pour l'immense majorité) me plaisaient, j'avais l'impression qu'elles me correspondaient. Avec le recul je me dis que j'ai mis la barre un peu haut, mais c'est quoi ce genre de reflexion? Elles avaient toutes *un* truc en plus (différent chez chacune), oui, mais pourquoi devrais-je m'inférioriser?
Je n'ai pas compris le moment où leur intérêt s'est évaporé.
L'une d'elle m'a accusé d'avoir été collant. Je ne sais pas si je l'ai effectivement été. C'est vrai que je n'ai pas -avec elle- joué de carte style silence radio. Par contre, par déduction, je l'ai été quand elle a eu quelqu'un d'autre en vue (mais ça, je ne le savais pas). Elle est assez jolie, je suppose que des sollicitations ne manquaient pas. J'ai beaucoup mordu sur ma chique en me disant: "pourquoi n'aurais-je pas ma chance autant qu'un autre?"
Mon ex a dit de moi qu'on a été 2 dépendants affectifs et c'est ce qui a fait qu'on s'est rencontrés (Il vaut mieux pour elle qu'elle se persuade de ça). C'est son cas (monkey branching), mais j'aurais plutôt décrit de moi que j'étais un carencé affectif. Ce qui est encore plus le cas actuellement.
Je n'ai plus la moindre idée de ce que serait un profil de femme qui m'attire, quoi mettre en avant pour être séduisant. Je n'affiche pas ce côté "gars en manque" car non, c'est pas le cas. Si on me demande si je veux accueillir une femme chez moi, maintenant, c'est NON. Je sais que j'ai écrit une contradiction, mais au fond de moi, je pense que c'est un mécanisme d'auto-protection, par manque de confiance en elle... Et en moi...
J'ai mal vécu cette semaine, me sentant vraiment très seul et sans valeur.
Je suis comme bloqué sur la pensée "je suis seul", je j'entreprends rien. Par peur, dégoût, défaitisme? Je n'en sais rien.
Même des choses ultra basiques comme vider le lave-vaisselle, ça me semble vain, difficile... (Oui, ça prend 2 minutes).
Et là j'ai une maison entière à ranger, organiser, retaper...
Quand je dis que c'est difficile avec les gens de 50 ans, c'est pas un jugement, c'est un fait. Mes amis restent dans leurs cercles de 4-5 couples (étant eux-mêmes en couple) et je n'y fais pas de rencontre (ça représente 6?7? soirs par an...). On m'invite d'ailleurs assez peu, je pense aussi à cause de cette "valeur sociale" en chute libre... (Sans référence à ce film qui m'a été conseillé ici...)
Les seuls qui ne sont pas dans le cas, c'est un célibataire dans ma situation (sans enfants, toutefois, ce qui change beaucoup de choses) et un autre dont la vie de couple bat de l'aile... Mais physiquement, on se voit au mieux 3x/an.
Pour les activités, oui, une semaine sur 2, je le fais sans problème. Mais je n'ai pas trouvé qqch qui me corresponde (pratiquement parlant, ou simplement au niveau de mes envies). J'ai pris du poids, ce devrait naturellement être du sport... Je n'ai rien vu de mixte jusqu'à présent, et j'avoue avoir du mal avec mon image désormais...
J'ai une amie de longue date, qui a mon âge. Je ne sais pas si c'est Friend zone. J'ai déjà été très très explicite, elle a compris le message, et elle se contente d'esquiver. Je précise que nous avons sinon de longues conversations amicales sur tous sujets. Une fois (parmi d'autres) j'ai fait une autre allusion, elle m'a répondu "ne rêve pas". J'y ai refait allusion par la suite, elle s'en souvenait. Je sais qu'elle est très très prudente, je sais qu'elle a vécu un mariage horrible, des violences, ... Je ne sais pas si ce "ne rêve pas" est un non définitif ou une mise au défi. Elle est aussi comme ça, et attend beaucoup qu'un homme lui fasse la cour (old school?). Elle me considère toutefois comme un égal, psychologiquement et intellectuellement parlant. Du point de vue social c'est plus compliqué, elle est d'un milieu largement plus aisé. Je ne sais pas si cette barrière vient de ce milieu social, mais si c'est le cas, je présuppose que je ne serai jamais à ma place... Dans tous les cas, elle est parfaitement satisfaite d'une relation platonique par WhatsApp, et moi ça ne me suffit pas...
Tout ça pour dire que la séduction, c'est une étape, que manifestement j'ai déjà du mal à accomplir... Mais la vraie vie, autour, celle de la valeur sociale, des relations affectives (et non superficielles), du quotidien à partager, ... C'est le néant côté littérature en tous cas (ou partage d'expérience en général).
Si tu pars de ce principe, dans ton milieu tout le monde est logé à la même enseigne, la seule différence c'est que tu en fais cas, ou que tu trouves ça normal alors tu laisses la place aux gens pour s'exprimer sur le sujet. Tu ne devrais pas. S'ils savaient que s'ils l'évoquent face à toi ils vont se faire envoyer chier, ça les calmerait. Aussi, tu pourrais effectivement faire les frais de rumeurs, si tu es dans un village de cons, mais il ne faut pas se leurrer, tu n'es certainement pas le seul à draguer. Si toi, tu subis ce genre d'attitude, c'est soit parce que tu fais ça d'une manière très bourrine et irrespectueuse mais je n'y crois pas, soit parce que tu laisses la place aux commentaires, car la nature a horreur du vide et par nature l'être humain (du moins, la majorité, quel que soit leur niveau intellectuel) vire vers le négatif quand il n'est pas encadré.Laniakeo a écrit : ↑23.02.25 Merci @Onmyoji
Je vais essayer de compléter...
Gérer l'après, c'est pas forcément gérer l'après-relation avec ces femmes: il n'y en a plus...
L'après, c'est surtout l'impact sur moi, ma confiance en moi, ma valeur sociale... Car, faut pas se leurrer, ça sortira tôt ou tard, le "il a essayé de me draguer"...
Si vraiment c'est insoluble, change de lieu de vie, parce que vivre au milieu de tels cons n'est pas sain pour toi, même sans rien faire on te pourrira la vie.
Et tu n'as sérieusement pas besoin de ça
S'il y a une règle à respecter, c'est "don't shit where you eat".Je constate que les rares petites tentatives au boulot, vis a vis de personnes extérieures, tout mon bureau le sait...
J'ai effectivement l'impression que pour mes collègues immédiats, soit ils s'en foutent, soit c'est de la compassion (donc pas grande conséquences).
Quand il s'agit de groupes plus intimes, c'est plus impactant... Avoir une réputation de looser qui te devance, c'est pas top...
Le boulot, c'est le boulot, tu devrais éviter les tentatives. Après, je doute que ce soit tes clientes qui répandent la rumeur donc tu dois faire ça d'une manière non discrète. Tu devrais sans doute quand on t'intéresse avoir une attitude légèrement ambiguë qui permet de lancer le jeu. L'homme propose, la femme dispose: si elle rentre dans la danse, tu peux progresser d'un pas, tester un peu plus la température, puis si ça se confirme, proposer un truc moins ambigu. Comme cela, il n'y a pas moyen qu'elle soit surprise, cela suppose sa participation, et elle ne peut pas être mal à l'aise. Si c'est ambigu mais qu'elle ne joue pas le jeu, next. Si elle y rentre, tu agis toujours subtilement pour avoir confirmation, et comme ça tu ne crées pas de malaise.
Après, dans certains cas, avec des connes, on est d'accord que si tu ne leur plais finalement pas, il va y avoir une réécriture ("il m'a draguée"...). Mais on y peut rien. Tu ne peux pas agir uniquement en fonction des cons.
Ça peut effectivement jouer.Je crois que je n'arrive pas à comprendre quel est mon "public cible", parmi les rares personnes qui s'offrent à moi. [...]
Où crois tu qu'est le problème?
En dehors de la lecture des signes, il faut aussi avoir assez d'assurance pour se dire qu'elles peuvent être intéressées. Si tu es vacillant, tes tentatives ne doivent pas être pertinentes. En plus tu te mets la pression de préserver ton image au boulot et de "la rumeur". Tu traînes 3 tonnes de bagages réels ou virtuels.
Je pense que tu devrais essayer de te tracer une image de la femme à laquelle tu vas pouvoir te permettre de réagir, celle qui aura une attitude suffisamment claire ou sans être proactive, du moins intéressée, pour te tracer une ligne. Parce que même si elle est jolie, si elle est mariée par exemple et pas du tout ouverte, même si elle te plaît beaucoup, c'est effectivement demander les emmerdes. Après oui, parfois l'offre crée la demande, mais dans ton contexte il vaut mieux éviter de jouer avec le feu.
[/quote]
Les femmes que je vois au boulot, elles ont souvent beaucoup d'assurance. Elles ne sont pas forcément masculines ou self-made women.[/quote]
Ou alors, relativement à toi, elles ont beaucoup d'assurance?
Sinon oui, on peut être un été humain décidé, avec une colonne vertébrale, sans rentrer dans des clichés. Mais tu confonds peut- être leur attitude liée à leur nécessité ("j'ai un besoin, je l'exprime clairement, pour obtenir ce que je veux") et leur confiance en soi en général, et le fait que fasse à toi cette confiance pourrait casser tes avancées.
Si elles ont confiance en elles-mêmes, c'est bien, c'est un signe de stabilité, ça ne veut pas dire que ça en fait des murs.
Ce n'est pas un bouclier et seules celles qui auraient peu confiance seraient ouvertes.
Mais c'est comme un rendez-vous : tu n'attends pas la dernière minute pour tenter de rentrer un baiser sorti de nulle part après avoir parlé de ton goût pour la pêche et de ses cours de yoga. Il faut élaborer un peu plus que ça. Donner une tonalité.Mais je les vois souvent dans une optique où quand leur check-list de questions-réponses est complétée: bye.
Ça fait partie de la relation clientèle d'en savoir un peu plus sur elles, et les clients attendent aussi que tu personnalises souvent. Même si c'est illusoire, ça permet de croire que nos spécificités sont prises en compte. Même si tu vends qu'un seul produit, toujours le même, à 99.99 euros, qu'il pleuve, neige ou vente.
Tu peux donc lâcher des questions en contexte qui te permettent de sonder. Tu peux faire un compliment ambigu. Tu peux lâcher des questions sans réponses, ou les teaser un peu. Je ne sais pas exactement comment ça se passe et combien dure tes interactions, après tu peux avoir besoin d'être aussi efficace toi-même, mais ça ne me semble pas impossible, hormis la barrière psychologique.
Dans les "en couple" mariées ou non, il y en a certainement beaucoup qui sont loin d'être comblées si j'en crois mon expérience (où certes c'était dans des cercles plus concentriques, mais beaucoup venaient "me chercher" - alors que j'ai rien de particulièrement attirant qui le justifie, à part mon attitude et l'assurance pour elles de ne pas être jugées).Il y a 50% d'alliances mais pas 50% de célibataires. Elles ont cette assurance de femmes comblées, donc j'ai du mal à me dire "attaque, on ne sait jamais qu'elle soit célibataire". En tous cas, je ne perçois pas de signe d'ouverture de leur part. (Si, d'une Allemande et d'une Lituanienne. La 2e est mariée et s'affiche heureuse comme ça sur Facebook). En pratique, ça resterait compliqué.
Dans celles qui sont seules, elles pourraient l'être de manière heureuse. Je pense surtout que tu confonds leur attitude liée à leur check-list et le fait qu'elles puissent être intéressées si tu peux offrir quelque chose d'intéressant.
Tu sais, j'ai une voiture, j'ai une relation heureuse avec, elle est bien entretenue, je suis satisfait de son agrément de conduite, mais quand je vois une belle voiture, ça ne m'empêche pas de jeter un oeil, d'être curieux. Ça serait pareil si ma voiture était totalement décevante mais que j'allais à la banque pour un conseil. Je serais certainement concerné et concentré par ma situation financière. Mais si je croise une Ferrari ça ne va pas m'empêcher de regarder.
Et je dis Ferrari parce que c'est le cliché, mais même si c'est une voiture qui n'a rien d'exceptionnel dans l'imaginaire collectif, si à moi elle me parle, on verra.
Après elles sont dans un contexte où ce n'est pas à elles de donner des signes d'ouverture. C'est à toi de créer la réponse. Donc subtilement de tater le terrain. Elles ne vont pas te balancer des signaux d'emblée sauf à avoir effectivement très envie de toi et une vraie assurance.
Sur quoi tu bases cette impression de correspondance, ou d'intérêt réciproque?Les femmes que j'ai draguées (hors milieu pro pour l'immense majorité) me plaisaient, j'avais l'impression qu'elles me correspondaient. Avec le recul je me dis que j'ai mis la barre un peu haut, mais c'est quoi ce genre de reflexion? Elles avaient toutes *un* truc en plus (différent chez chacune), oui, mais pourquoi devrais-je m'inférioriser?
Je n'ai pas compris le moment où leur intérêt s'est évaporé.
C'est la première fois que je te lis avoir une réflexion correcte sur toi-même, tu ne dois en effet pas t'inférioriser pour les approcher.
Penses-tu que l'intérêt s'est évanoui réellement en un instant? Ce n'est pas une question piège, ça peut arriver. Mais souvent c'est que l'intérêt n'est en fait pas là, ou qu'il s'évanouit graduellement.
En effet, pourquoi? Déjà, il faut savoir que personne n'a autant de chances que les autres avec tout le monde. Et que ça dépend beaucoup d'être rangé dans la bonne case dès le départ. Pas "ami qui progresse vers mieux" (même si ça existe, c'est que le gars n'était pas éliminé d'emblée), et j'ai l'impression que c'est une grande part de ta stratégie.L'une d'elle m'a accusé d'avoir été collant. Je ne sais pas si je l'ai effectivement été. C'est vrai que je n'ai pas -avec elle- joué de carte style silence radio. Par contre, par déduction, je l'ai été quand elle a eu quelqu'un d'autre en vue (mais ça, je ne le savais pas). Elle est assez jolie, je suppose que des sollicitations ne manquaient pas. J'ai beaucoup mordu sur ma chique en me disant: "pourquoi n'aurais-je pas ma chance autant qu'un autre?"
D'où le collant quand elle s'aperçoit que ce n'est pas ce qu'elle veut? Après c'est bien d'avoir de l'enthousiasme, mais il faut créer le manque un peu, et puis aussi d'avoir laisser à l'autre la place de répondre. Sans jouer des sketchs genre "je réponds dans 1h30" tu peux largement vivre ta vie et laisser passer parfois du temps. Revenir après un "j'étais en train de [faire ma vie]". C'est plus séduisant que "je réponds à la seconde même quand ton message ne le demande pas, j'interromps tout pour être suspendu à tes lèvres quand toi, tu fais ta vie et tu me balances un message en parallèle".
Ça peut aussi n'être qu'une excuse comme une autre hein. Mais vérifie ton attitude. Prends du recul sur ta manière de faire.
Hormis le fait que tu ne devrais pas baser ta vie sur de la psychologie de comptoir d'une ex revancharde et prête par ailleurs à te nuire, ce constat ne fait que te tirer vers le bas. Et te montrer aussi une chose: tu dépens des autres. Tu parles de l'assurance de la femme comblée. Les gens qui sont bien avec eux-mêmes, en couple ou pas, peuvent choisir. Les autres sont en demande. Ça te montre encore une fois que la priorité serait de s'occuper de soi. Là au contraire, tu constates que ce que tu as à offrir, ton image et ton être, se dégrade parce que tu laisses trop de priorité au reste. Je te blame pas, tu as la tête dans le guidon et des problèmes bien réels. Mais il y en a une dose de supposés sur tu dois simplement négliger ou avec lesquels tu dois composer plus simplement. Ce qui serait possible en changeant de perspective. Tu ne serais plus face à une montée galère, mais en pente douce?Mon ex a dit de moi qu'on a été 2 dépendants affectifs et c'est ce qui a fait qu'on s'est rencontrés (Il vaut mieux pour elle qu'elle se persuade de ça). C'est son cas (monkey branching), mais j'aurais plutôt décrit de moi que j'étais un carencé affectif. Ce qui est encore plus le cas actuellement.
Retour à un point précédent:Je n'ai plus la moindre idée de ce que serait un profil de femme qui m'attire, quoi mettre en avant pour être séduisant. Je n'affiche pas ce côté "gars en manque" car non, c'est pas le cas. Si on me demande si je veux accueillir une femme chez moi, maintenant, c'est NON. Je sais que j'ai écrit une contradiction, mais au fond de moi, je pense que c'est un mécanisme d'auto-protection, par manque de confiance en elle... Et en moi...
Tu as suffisamment d'expérience pour savoir ce que tu veux et ne veux pas. Ce que tu attends d'une relation, ce que tu aimes faire.
Ensuite se protéger et ne pas être en manque c'est différent. Peut-être que tu l'es mais que si elles venaient sonner à ta porte tu la leur claquerait au visage par pure fuite. Tu dis être en carence affective, ce n'est pas une bonne situation pour ne pas être en manque, au moins inconsciemment, et peut-être surréagir ou avoir trop de temps à consacrer à quelqu'un qui ne s'investit pas autant.
On en revient toujours à "qu'est-ce que tu fais pour ta dépression?" Parce que les signes sont clairs. Quand on en vient à perdre l'énergie pour des choses de base, ça craint. Et c'est plus ta priorité que de décortiquer les envies de certaines indécises si tu veux mon avis.J'ai mal vécu cette semaine, me sentant vraiment très seul et sans valeur.
Je suis comme bloqué sur la pensée "je suis seul", je j'entreprends rien. Par peur, dégoût, défaitisme? Je n'en sais rien.
Même des choses ultra basiques comme vider le lave-vaisselle, ça me semble vain, difficile... (Oui, ça prend 2 minutes).
Et là j'ai une maison entière à ranger, organiser, retaper...
Non mais on est d'accord, c'est la même à la quarantaine.Quand je dis que c'est difficile avec les gens de 50 ans, c'est pas un jugement, c'est un fait.
Je pensais à une chose que tu disais par rapport aux gens plus jeunes avec qui tu avais du mal
Cf. Dépression, mauvaise image de soi aggravée par le fait que ça se dégrade physiquement, cercle vicieux, le fait que tu subis de manière plus ou moins avérée des rumeurs parce que tu n'as pas assez d'assurance pour ne pas laisser faire ou créer le vide qui les génère...On m'invite d'ailleurs assez peu, je pense aussi à cause de cette "valeur sociale" en chute libre... (Sans référence à ce film qui m'a été conseillé ici...)
Si tu penses aussi qu'on t'invite pour te faire la charité, ou que ça va être une occasion manquée parce que pas l'occasion de faire des rencontres, que tu n'es pas là pour l'occasion mais comme un vecteur pour autre chose, et que tu emmènes tes bagages, tu dois certainement détruire ta valeur bien plus qu'une prise de poids ou le fait de ne pas être un dragueur à succès hein. Le noeud du problème me semble toujours être que depuis le début, tu cherches ton salut à l'extérieur pour te sentir bien.
Tu te dis que quand tu auras le permis de construire pour refaire la façade, ça ira mieux, alors que la baraque est juste en train de brûler.
Est-il possible de créer plus d'occasions? Après ce n'est pas forcément le meilleur groupe que tu puisses créer...Les seuls qui ne sont pas dans le cas, c'est un célibataire dans ma situation (sans enfants, toutefois, ce qui change beaucoup de choses) et un autre dont la vie de couple bat de l'aile... Mais physiquement, on se voit au mieux 3x/an.
ce doit être prioritaire alors. Le sport te ferait du bien au mental. Si ce n'est pas pour ton envie, fais le par besoin, tu te donneras le temps de trouver un truc qui te correspond plus plus tard. Mais là tu dois agir. Prends quelque chose qui s'adapte à tes contraintes pour qu'il n'y ait pas de friction et pas d'excuse, et tu fais avec. L'appétit vient en mangeant. Et puis ça te fera du bien de voir que ton corps redevient en forme.Pour les activités, oui, une semaine sur 2, je le fais sans problème. Mais je n'ai pas trouvé qqch qui me corresponde (pratiquement parlant, ou simplement au niveau de mes envies). J'ai pris du poids, ce devrait naturellement être du sport... Je n'ai rien vu de mixte jusqu'à présent, et j'avoue avoir du mal avec mon image désormais...
Une femme intéressée ne casse pas tes élans et t'ouvre des portes. Elle peut jouer la résistance mais tu auras quand même quelques signes, ne serait-ce que dans l'absence de rejet clair.J'ai une amie de longue date, qui a mon âge. Je ne sais pas si c'est Friend zone. J'ai déjà été très très explicite, elle a compris le message, et elle se contente d'esquiver. Je précise que nous avons sinon de longues conversations amicales sur tous sujets. Une fois (parmi d'autres) j'ai fait une autre allusion, elle m'a répondu "ne rêve pas". J'y ai refait allusion par la suite, elle s'en souvenait. Je sais qu'elle est très très prudente, je sais qu'elle a vécu un mariage horrible, des violences, ... Je ne sais pas si ce "ne rêve pas" est un non définitif ou une mise au défi. Elle est aussi comme ça, et attend beaucoup qu'un homme lui fasse la cour (old school?). Elle me considère toutefois comme un égal, psychologiquement et intellectuellement parlant.
Là elle t'a rejeté. En tous cas si "ne rêve pas" n'est pas sur un ton taquin. Ça plus les esquives, le fait qu'il n'y ait rien eu avant ce qui te range dans son paysage d'où elle n'aura pas forcément envie que tu sortes, ça me paraît mal engagé.
Tu lui cherches beaucoup d'excuses pour ne pas te vouloir ou progresser de manière très louvoyante.
Avant d'avoir été clair, as-tu créé de l'attraction? Ou es-tu tombé du ciel en disant "tu es là et tu me plais"? Parce que si elle se sent ta seule option et que tu jettes ton dévolu sur elle sans qu'elle ait une attirance minimale et un peu à constater que c'est elle et pas une autre juste parce qu'elle est ouverte, mais parce qu'elle te plaît vraiment ça change des choses. Je pense que ton "je pense qu'elles me correspondent" se base surtout sur le fait que tu cherches les concordances, les goûts, les attentes. Mais tu ne sais pas si c'est drôle d'être avec elle. Si elle te donne envie de rire. Si vos points communs sont parce que vous pensez réellement pareil et non par un arrangement hasardeux d'expériences. Est-ce que sa valeur pour toi dépasse son intérêt réciproque supposé? Qu'est-ce tu peux me citer qui fait sa valeur pour toi, à part le fait d'être potentiellement disponible et belle pour son âge?
Et tu te demandes si c'est de la friendzone? Ce n'est pas un signe?Du point de vue social c'est plus compliqué, elle est d'un milieu largement plus aisé. Je ne sais pas si cette barrière vient de ce milieu social, mais si c'est le cas, je présuppose que je ne serai jamais à ma place... Dans tous les cas, elle est parfaitement satisfaite d'une relation platonique par WhatsApp, et moi ça ne me suffit pas...
Je pense que tu prends une base pour un "à côté". Encore une fois tu n'as pas fait le travail fondamental de t'occuper de toi. Avec ce que tu traînes comme dépression, et blessures, tu ne peux pas engager une relation saine où tu vas attendre désespérément après l'autre. Tu vas toujours être en situation de "moi ça ne me suffit pas". Ne sois pas dans la situation où tu continues à forcer par manque d'options jusqu'à ce que ça la saoule. Si ça ne te convient pas, barre toi, simplement en étant correct mais clair. Ou simplement n'accorde pas plus d'énergie aux femmes de ce genre qu'elles ne t'en accordent. Une "relation platonique sur whatsapp", ça veut dire qu'elle meuble son temps quand elle va aux toilettes hein. Je grossis le trait mais c'est pas loin. Tu devrais avoir autant de distance. Si elle est aussi disponible que ça pour toi, c'est comme si elle n'était pas célibataire hein. Tu aurais plus de place avec tes femmes mariées qui cherchent l'aventure.Tout ça pour dire que la séduction, c'est une étape, que manifestement j'ai déjà du mal à accomplir... Mais la vraie vie, autour, celle de la valeur sociale, des relations affectives (et non superficielles), du quotidien à partager, ... C'est le néant côté littérature en tous cas (ou partage d'expérience en général).
Avant de t'interroger sur ce que tu merdes, il faudrait déjà corriger le tir pour éliminer tous les paramètres parasites. Et puis aussi, parce que la séduction ce doit pas être ton but ultime mais un outil pour agrémenter une vie que tu trouves déjà cool. Pas un truc que tu utilises pour combler un vide.
Hello et merci pour tes réponses @Onmyoji
Il y en a trop pour y répondre tel quel et ... passons à autre chose... (même si je t'ai bien lu et pris le temps d'ingérer).
Pour le moment, je "soigne ma dépression" (guillemets) avec du safran. A ma grande surprise, ca a l'air de donner un vrai résultat, et pas du placebo. Avec les inconvénients des antidépresseurs en moins (la gerbe pendant 2 semaines, tachycardie, faire gaffe avec l'alcool, pas de sevrage ni d'acoutumance).
Pas de thérapie car je ne sais toujours pas dans quel sens aller, ni avec qui (même si j'ai 2 pistes).
Un événement qui aurait dû me miner encore plus, mais dont je ne sais pas quoi faire. Ma collègue (celle qui m'attire) est tombée sur un screenshot d'elle et d'un autre gars dans un meeting Teams que j'ai eu avec elle (je cherchais une info sur mon pc, elle était à côté). J'étais assez emmerdé et comme un con j'ai dit "oui, c'est pour me souvenir de la tête des gens. Apres qqs mois, je ne suis jamais plus très sûr"... Ce n'est pas totalement faux, j'ai eu un grand moment de solitude 2 jours plus tard avec une cliente que j'ai prise pour une autre à un meeting (l'une vue 3 jours avant et celle avec qui j'ai merdé, 2 mois).
Ma collègue a coupé *toute* communication avec moi. Elle ne répond plus à aucun message (pro, non pro, email pro, teams, meme en conversation live, elle ne répond que si j'insiste, devant les collegues). Elle ne m'adresse plus le moindre regard.
La vérité est triple: ce screenshot était en partie pour ça, en partie parce que je lui trouvais son look/attitude sympa, et parce que j'ai eu une période de parano où j'ai eu l'impression que je devais pouvoir justifier de toutes les réunions que j'ai eues. (Si j'avais voulu garder ca avec une intention perverse, je n'aurais pas pris la peine de coller un screenshot dans mes notes de réunion, il me semble...)
Je ne sais pas comment réagir. Je ne cherche pas à lui courir apres pour me justifier. Si mon attitude a été incorrecte, la sienne est totalement puérile. Je veux juste rétablir un contact car je sens que ca va dégénérer (cancans, rapport au boss, etc).
(J'ai cru un instant que c'est elle qui réprimait un éventuel désir, vu qu'elle est mariée avec enfants. Mais cette réaction ne colle pas, il me semble...)
Au début, ca me minait complètement de me dire: merde, une des personnes avec qui j'échangeais le plus au quotidien, une des rares femmes, m'a encore tourné le dos, de manière brutale. Comme toutes les femmes que j'ai approché de trop près...
Et puis... je dois faire avec. Entre me pourrir pour cette attitude puérile non méritée(?) et continuer, je préfère la 2e option.
Je parle de cette expérience, parce que oui, ca m'encombre la tete... mais d'abord parce que ce schema répétitif est toujours là: quand j'approche trop une femme, je la perds. Et ça en devient une angoisse d'approche...
Concernant ma dépression, pour y revenir, je n'ai aucun doute qu'elle est en lien avec mon manque de liens sociaux.
Un psy va me balancer un "mais faites des acitivités qui vous éclatent, yaka, ...", je vais sortir du "oui mais... 1 semaine sur 2, etc"
(Je n'ai toujours pas trouvé d'activité qui me plaise et faisable facilement, sans prise de tête.)
Et non, le fait d'être bien avec moi-même... J'ai des centres d'intérêt, je peux arriver à m'y remettre. Je me suis botté le c.l à faire qqs photos sans prétentions ces 2 dernières semaines. Et j'ai même racheté une imprimante photo (parce que je veux pouvoir visualiser mes enfants la semaine où je ne les ai pas). Pour que cette imprimante ne soit pas fichue trop vite, il va falloir que j'imprime, au moins 1x/mois.
Mais ... même si je "m'éclate" à nouveau avec ce loisir... qui est là pour célébrer un accomplissement? Je n'ai que moi et des pouces bleus éventuellement.
J'ai constaté que Facebook ne me met quasiment plus aucune info de la part d'autres personnes, mais que des infos de groupes. Ce qui signifie concrètement que même si je vais avec mes mimines sur le profil des autres, il n'y quasiment plus personne qui porte de l'intérêt au mien.
Vivre à travers la validation sociale, c'est une chose, mais en avoir un petit peu, c'est un minimum nécessaire...
Là, je me sens comme dans une capsule, seul, vers mars. Communication quasi exclusivement écrite, vu comme une simple fonctionnalité, inintéressant pour le reste.
En admettant que j'aie occasionnellement des moments pour créer du lien, ça n'a pas l'air de tenir. Et il n'y a pas de "potentielle"(s) qui s'ajoutent à la liste en rentrant chez moi.
Validation sociale basse... parmi ça, validation féminine, manifestement surestimée de ma part.
Je ne sais pas par où détricoter cette pelote de noeuds...
Il y en a trop pour y répondre tel quel et ... passons à autre chose... (même si je t'ai bien lu et pris le temps d'ingérer).
Pour le moment, je "soigne ma dépression" (guillemets) avec du safran. A ma grande surprise, ca a l'air de donner un vrai résultat, et pas du placebo. Avec les inconvénients des antidépresseurs en moins (la gerbe pendant 2 semaines, tachycardie, faire gaffe avec l'alcool, pas de sevrage ni d'acoutumance).
Pas de thérapie car je ne sais toujours pas dans quel sens aller, ni avec qui (même si j'ai 2 pistes).
Un événement qui aurait dû me miner encore plus, mais dont je ne sais pas quoi faire. Ma collègue (celle qui m'attire) est tombée sur un screenshot d'elle et d'un autre gars dans un meeting Teams que j'ai eu avec elle (je cherchais une info sur mon pc, elle était à côté). J'étais assez emmerdé et comme un con j'ai dit "oui, c'est pour me souvenir de la tête des gens. Apres qqs mois, je ne suis jamais plus très sûr"... Ce n'est pas totalement faux, j'ai eu un grand moment de solitude 2 jours plus tard avec une cliente que j'ai prise pour une autre à un meeting (l'une vue 3 jours avant et celle avec qui j'ai merdé, 2 mois).
Ma collègue a coupé *toute* communication avec moi. Elle ne répond plus à aucun message (pro, non pro, email pro, teams, meme en conversation live, elle ne répond que si j'insiste, devant les collegues). Elle ne m'adresse plus le moindre regard.
La vérité est triple: ce screenshot était en partie pour ça, en partie parce que je lui trouvais son look/attitude sympa, et parce que j'ai eu une période de parano où j'ai eu l'impression que je devais pouvoir justifier de toutes les réunions que j'ai eues. (Si j'avais voulu garder ca avec une intention perverse, je n'aurais pas pris la peine de coller un screenshot dans mes notes de réunion, il me semble...)
Je ne sais pas comment réagir. Je ne cherche pas à lui courir apres pour me justifier. Si mon attitude a été incorrecte, la sienne est totalement puérile. Je veux juste rétablir un contact car je sens que ca va dégénérer (cancans, rapport au boss, etc).
(J'ai cru un instant que c'est elle qui réprimait un éventuel désir, vu qu'elle est mariée avec enfants. Mais cette réaction ne colle pas, il me semble...)
Au début, ca me minait complètement de me dire: merde, une des personnes avec qui j'échangeais le plus au quotidien, une des rares femmes, m'a encore tourné le dos, de manière brutale. Comme toutes les femmes que j'ai approché de trop près...
Et puis... je dois faire avec. Entre me pourrir pour cette attitude puérile non méritée(?) et continuer, je préfère la 2e option.
Je parle de cette expérience, parce que oui, ca m'encombre la tete... mais d'abord parce que ce schema répétitif est toujours là: quand j'approche trop une femme, je la perds. Et ça en devient une angoisse d'approche...
Concernant ma dépression, pour y revenir, je n'ai aucun doute qu'elle est en lien avec mon manque de liens sociaux.
Un psy va me balancer un "mais faites des acitivités qui vous éclatent, yaka, ...", je vais sortir du "oui mais... 1 semaine sur 2, etc"
(Je n'ai toujours pas trouvé d'activité qui me plaise et faisable facilement, sans prise de tête.)
Et non, le fait d'être bien avec moi-même... J'ai des centres d'intérêt, je peux arriver à m'y remettre. Je me suis botté le c.l à faire qqs photos sans prétentions ces 2 dernières semaines. Et j'ai même racheté une imprimante photo (parce que je veux pouvoir visualiser mes enfants la semaine où je ne les ai pas). Pour que cette imprimante ne soit pas fichue trop vite, il va falloir que j'imprime, au moins 1x/mois.
Mais ... même si je "m'éclate" à nouveau avec ce loisir... qui est là pour célébrer un accomplissement? Je n'ai que moi et des pouces bleus éventuellement.
J'ai constaté que Facebook ne me met quasiment plus aucune info de la part d'autres personnes, mais que des infos de groupes. Ce qui signifie concrètement que même si je vais avec mes mimines sur le profil des autres, il n'y quasiment plus personne qui porte de l'intérêt au mien.
Vivre à travers la validation sociale, c'est une chose, mais en avoir un petit peu, c'est un minimum nécessaire...
Là, je me sens comme dans une capsule, seul, vers mars. Communication quasi exclusivement écrite, vu comme une simple fonctionnalité, inintéressant pour le reste.
En admettant que j'aie occasionnellement des moments pour créer du lien, ça n'a pas l'air de tenir. Et il n'y a pas de "potentielle"(s) qui s'ajoutent à la liste en rentrant chez moi.
Validation sociale basse... parmi ça, validation féminine, manifestement surestimée de ma part.
Je ne sais pas par où détricoter cette pelote de noeuds...
C'est une illusion que de croire que ta valeur sociale est liée à tes likes. C'est un truc de midinette et ça mène à la maladie mentale.
Tu peux montrer ton travail à d'autres occasions. Ou tu peux le faire pour toi, simplement. C'est précisément ton problème de dépendre des autres, de leur regard. Tu as passé des pages ici à te plaindre de ne pouvoir faire d'activités parce que des gens te dénigrent pour des gamineries. Et toi, tu cours encore après leur approbation. À un moment, tu n'as pas besoin du soutien du groupe. Ça fait plaisir de l'avoir mais si ce sont des cons, ne fais pas des cabrioles pour avoir leur approbation.
Quant aux théories sur le fonctionnement des algorithmes, Comme le reste, 90% des profils sont ignorés car ils ne proposent pas de contenu qui peut faire réagir tout le monde. C'est une mécanique de cercle vertueux, et si tu n'es pas dedans, tu n'es pas moins bien que les autres. Tu n'es juste pas un bot ou un "créateur de contenu (souvent bien vide et sans âme)".
Pour les activités, c'est bien que tu te sois mis à refaire quelque chose.
Le safran c'est sans doute une plante utile, mais vu ce que tu tiens et qui te tient, c'est surtout une manœuvre d'évitement pour toi. Si tu dois prendre des antidépresseurs et ne pas boire à cause de ça, ne bois pas. C'est pas comme si l'alcool était bon pour les dépressifs. Ou bon en général. Et le psy, tu anticipes le dialogue pour te faire un film et éviter d'agir. S'il mérite son titre, il fera certainement mieux que te proposer des conseils usés de magasines (pas tous faux, mais qui font pas avancer les gens qui ont un réel problème).
Pour ta collègue, pareil, pas besoin de son approbation. Après faut être honnête, de tes trois raisons, la plus intense était probablement que tu voulais avoir une photo d'elle, tu le savais, tu t'es senti merdeux en te justifiant et elle l'a senti. Tu aurais dit "je prends des screenshots pour me souvenir de la tête de gens" en lui en montrant un autre, ça passait. Tu lui aurais dit "à ce moment là tu avais une tête tellement ... que j'ai pris une image pour te la ressortir et te chambrer", ça passait. Si tu as l'air coupable, les gens assument que tu l'es. On en revient à ta confiance en soi. Tant que tu ne changeras pas de mode de réflexion, de référentiels et d'attitude, tu resteras ta propre victime et celle des autres.
Rappel : ce forum ne remplace pas une thérapie. Tant que tu t'aideras pas, On pourra pas t'aider, et vu qu'il n'y a pas de dieux pour te venir en aide, tu resteras bien seul avec tes problèmes. Donc ta seule solution c'est d'accepter à un moment que tu peux pas t'en sortir seul, et faire ce qu'il faut pour toi même si c'est pas agréable, parce que tu peux pas rester dans cet état et cette dynamique. Ni pour toi ni pour tes gosses.
Courage
Tu peux montrer ton travail à d'autres occasions. Ou tu peux le faire pour toi, simplement. C'est précisément ton problème de dépendre des autres, de leur regard. Tu as passé des pages ici à te plaindre de ne pouvoir faire d'activités parce que des gens te dénigrent pour des gamineries. Et toi, tu cours encore après leur approbation. À un moment, tu n'as pas besoin du soutien du groupe. Ça fait plaisir de l'avoir mais si ce sont des cons, ne fais pas des cabrioles pour avoir leur approbation.
Quant aux théories sur le fonctionnement des algorithmes, Comme le reste, 90% des profils sont ignorés car ils ne proposent pas de contenu qui peut faire réagir tout le monde. C'est une mécanique de cercle vertueux, et si tu n'es pas dedans, tu n'es pas moins bien que les autres. Tu n'es juste pas un bot ou un "créateur de contenu (souvent bien vide et sans âme)".
Pour les activités, c'est bien que tu te sois mis à refaire quelque chose.
Le safran c'est sans doute une plante utile, mais vu ce que tu tiens et qui te tient, c'est surtout une manœuvre d'évitement pour toi. Si tu dois prendre des antidépresseurs et ne pas boire à cause de ça, ne bois pas. C'est pas comme si l'alcool était bon pour les dépressifs. Ou bon en général. Et le psy, tu anticipes le dialogue pour te faire un film et éviter d'agir. S'il mérite son titre, il fera certainement mieux que te proposer des conseils usés de magasines (pas tous faux, mais qui font pas avancer les gens qui ont un réel problème).
Pour ta collègue, pareil, pas besoin de son approbation. Après faut être honnête, de tes trois raisons, la plus intense était probablement que tu voulais avoir une photo d'elle, tu le savais, tu t'es senti merdeux en te justifiant et elle l'a senti. Tu aurais dit "je prends des screenshots pour me souvenir de la tête de gens" en lui en montrant un autre, ça passait. Tu lui aurais dit "à ce moment là tu avais une tête tellement ... que j'ai pris une image pour te la ressortir et te chambrer", ça passait. Si tu as l'air coupable, les gens assument que tu l'es. On en revient à ta confiance en soi. Tant que tu ne changeras pas de mode de réflexion, de référentiels et d'attitude, tu resteras ta propre victime et celle des autres.
Rappel : ce forum ne remplace pas une thérapie. Tant que tu t'aideras pas, On pourra pas t'aider, et vu qu'il n'y a pas de dieux pour te venir en aide, tu resteras bien seul avec tes problèmes. Donc ta seule solution c'est d'accepter à un moment que tu peux pas t'en sortir seul, et faire ce qu'il faut pour toi même si c'est pas agréable, parce que tu peux pas rester dans cet état et cette dynamique. Ni pour toi ni pour tes gosses.
Courage
Hello!
Merci pour ta réponse.
Pour les likes, je n'en ai pas grand chose à faire.
Revenons juste sur ta dernière phrase: "Donc ta seule solution c'est d'accepter à un moment que tu peux pas t'en sortir seul, et faire ce qu'il faut pour toi même si c'est pas agréable, parce que tu peux pas rester dans cet état et cette dynamique. Ni pour toi ni pour tes gosses. "
Le souci est que j'en ai marre des psychothérapies qui ne mènent à rien. Pas à être plus bas, pas à apprendre juste un peu, non... à rien...
Ce n'est pas non plus de discuter de manière abstraite sur mon besoin de relations, avec quelqu'un qui n'y range aucun affect et qui est payé(e) pour m'écouter... Non, j'ai besoin d'émotions, de me sentir vivre, de partager... Et là, je ne trouve plus de piste pour que ça arrive.
Je ne crois plus en l'amour... Juste à une rencontre à un instant T avec une attente qui va s'épuiser dans un délai inconnu.
Je ne crois plus en mes propres activités: ca ne m'émeut plus, c'est de l'occupationnel. Tout accomplissement, je le "fête" seul... Je prends au moins ce temps-là, mais quel vide de sens!
Mes amis: on se voit, on passe un bon moment, on ne se voit pas, c'est le même prix. Il y a 2 voire une personne qui échappent à cette "règle".
Et que je ne me bouge pas le c.l pour essayer de faire mentir cette fatalité c'est totalement faux, même si je n'ai pas d'activité régulière. Je fais effectivement l'économie de ne plus m'investir là où d'emblée je n'y crois plus (erreur? peut-être). Mais j'ai assez donné dans les clubs de vieux, bienveillants mais où chacun reste chez soi. Et parfois même avec une rigidité mentale épuisante.
Hier, j'étais dans une manifestation de foule où je connaissais à tout casser 5 personnes, en dehors de mes enfants. Oui, j'ai parlé à des gens, oui je me suis amusé. Mais oui, tous ces gens m'ont juste rappelé que j'étais seul: tous en couples. Ce n'étaient pas leur but. Non je ne fais pas une fixation là-dessus (sinon, je ne me serais pas amusé), mais à force, ça éteint la flamme.
Me sentir électron libre dans une masse de molécules, sentir qu'il n'y avait aucune place privilégiée pour moi dans tous ces coeurs, juste un état de pièce rapportée.
Et oui, je peux me réjouir de moments simples: mes enfants et moi sommes rentrés apres 15 minutes de marche sur un chemin de campagne au clair de lune. C'était magnifique, et une belle expérience pour tous de les avoir convaincus de ne pas allumer de lampe frontale, et de pouvoir admirer le paysage sous cette lumière douce et apaisante, dans un calme inhabituel.
Ce n'est pas un psy de 20 ans de moins que moi, en couple, qui va m'aider à mieux vivre une solitude qu'il n'a jamais expérimenté ne fut-ce qu'un peu lui-même, tout au plus au travers de livres de cours. (Pour forcer le trait) On peut voir les choses autrement: j'ai eu affaire à une psy hyper-sociale (oui, j'ai zieuté son facebook), je m'attendais à ce qu'elle soit dans le déversement de solutions "simples et efficaces" et... non, elle était exclusivement et désespérément dans l'écoute. Etait-ce parce qu'elle était émue par ce que je disais? Je voudrais m'en convaincre, mais je n'y crois pas. Lui ais-je laissé la place pour parler? Je lui ai posé plein de questions, restées sans réponse. La seule psy avec qui j'aurai appris un peu, c'est celle qui m'a renvoyé à son livre de cours... Et elle a été totalement antipathique à mon égard, je pense que "les mecs de mon espèce" la font ch.er et qu'elle n'avait juste pas envie de cette patientelle. Je m'abstiens de me dire que derrière la thérapeute, il y avait une femme qui a exprimé ce sentiment-là.
Je sais que tu n'es pas ici en tant que thérapeute, et ce n'est d'ailleurs pas ce que j'espère.
Mais personnellement, ma plus grande interrogation, c'est cet inutile "pourquoi", pourquoi est-ce que quand je crois que ca va se concrétiser avec une femme, je comprends que c'était un "non" depuis bien longtemps, et que ca se finit au mieux par de l'indifférence, mais le plus souvent par une mise à l'écart. Non, je ne suis pas un gros lourd, non je ne force pas les choses (je suis donc prudent, avec ce genre de répétition), mais je ne sais pas ce que j'interprète mal, ce que je dois changer (même si on me dit qu'il faut rester soi-même, bien évidemment).
Ce n'est pas un thérapeute qui va m'apprendre ca, ce n'est pas un thérapeute qui est là quand je suis entre 4 z'yeux avec une femme qui me laisse parmi les boules de paille qui roulent dans le désert.
Je suis peut-être oppressant d'attentes, mais je ne pense pas. En général quand j'ai le coeur au bord des yeux, je ne calcule pas et je donne. Trop probablement.
Merci pour ta réponse.
Pour les likes, je n'en ai pas grand chose à faire.
Revenons juste sur ta dernière phrase: "Donc ta seule solution c'est d'accepter à un moment que tu peux pas t'en sortir seul, et faire ce qu'il faut pour toi même si c'est pas agréable, parce que tu peux pas rester dans cet état et cette dynamique. Ni pour toi ni pour tes gosses. "
Le souci est que j'en ai marre des psychothérapies qui ne mènent à rien. Pas à être plus bas, pas à apprendre juste un peu, non... à rien...
Ce n'est pas non plus de discuter de manière abstraite sur mon besoin de relations, avec quelqu'un qui n'y range aucun affect et qui est payé(e) pour m'écouter... Non, j'ai besoin d'émotions, de me sentir vivre, de partager... Et là, je ne trouve plus de piste pour que ça arrive.
Je ne crois plus en l'amour... Juste à une rencontre à un instant T avec une attente qui va s'épuiser dans un délai inconnu.
Je ne crois plus en mes propres activités: ca ne m'émeut plus, c'est de l'occupationnel. Tout accomplissement, je le "fête" seul... Je prends au moins ce temps-là, mais quel vide de sens!
Mes amis: on se voit, on passe un bon moment, on ne se voit pas, c'est le même prix. Il y a 2 voire une personne qui échappent à cette "règle".
Et que je ne me bouge pas le c.l pour essayer de faire mentir cette fatalité c'est totalement faux, même si je n'ai pas d'activité régulière. Je fais effectivement l'économie de ne plus m'investir là où d'emblée je n'y crois plus (erreur? peut-être). Mais j'ai assez donné dans les clubs de vieux, bienveillants mais où chacun reste chez soi. Et parfois même avec une rigidité mentale épuisante.
Hier, j'étais dans une manifestation de foule où je connaissais à tout casser 5 personnes, en dehors de mes enfants. Oui, j'ai parlé à des gens, oui je me suis amusé. Mais oui, tous ces gens m'ont juste rappelé que j'étais seul: tous en couples. Ce n'étaient pas leur but. Non je ne fais pas une fixation là-dessus (sinon, je ne me serais pas amusé), mais à force, ça éteint la flamme.
Me sentir électron libre dans une masse de molécules, sentir qu'il n'y avait aucune place privilégiée pour moi dans tous ces coeurs, juste un état de pièce rapportée.
Et oui, je peux me réjouir de moments simples: mes enfants et moi sommes rentrés apres 15 minutes de marche sur un chemin de campagne au clair de lune. C'était magnifique, et une belle expérience pour tous de les avoir convaincus de ne pas allumer de lampe frontale, et de pouvoir admirer le paysage sous cette lumière douce et apaisante, dans un calme inhabituel.
Ce n'est pas un psy de 20 ans de moins que moi, en couple, qui va m'aider à mieux vivre une solitude qu'il n'a jamais expérimenté ne fut-ce qu'un peu lui-même, tout au plus au travers de livres de cours. (Pour forcer le trait) On peut voir les choses autrement: j'ai eu affaire à une psy hyper-sociale (oui, j'ai zieuté son facebook), je m'attendais à ce qu'elle soit dans le déversement de solutions "simples et efficaces" et... non, elle était exclusivement et désespérément dans l'écoute. Etait-ce parce qu'elle était émue par ce que je disais? Je voudrais m'en convaincre, mais je n'y crois pas. Lui ais-je laissé la place pour parler? Je lui ai posé plein de questions, restées sans réponse. La seule psy avec qui j'aurai appris un peu, c'est celle qui m'a renvoyé à son livre de cours... Et elle a été totalement antipathique à mon égard, je pense que "les mecs de mon espèce" la font ch.er et qu'elle n'avait juste pas envie de cette patientelle. Je m'abstiens de me dire que derrière la thérapeute, il y avait une femme qui a exprimé ce sentiment-là.
Je sais que tu n'es pas ici en tant que thérapeute, et ce n'est d'ailleurs pas ce que j'espère.
Mais personnellement, ma plus grande interrogation, c'est cet inutile "pourquoi", pourquoi est-ce que quand je crois que ca va se concrétiser avec une femme, je comprends que c'était un "non" depuis bien longtemps, et que ca se finit au mieux par de l'indifférence, mais le plus souvent par une mise à l'écart. Non, je ne suis pas un gros lourd, non je ne force pas les choses (je suis donc prudent, avec ce genre de répétition), mais je ne sais pas ce que j'interprète mal, ce que je dois changer (même si on me dit qu'il faut rester soi-même, bien évidemment).
Ce n'est pas un thérapeute qui va m'apprendre ca, ce n'est pas un thérapeute qui est là quand je suis entre 4 z'yeux avec une femme qui me laisse parmi les boules de paille qui roulent dans le désert.
Je suis peut-être oppressant d'attentes, mais je ne pense pas. En général quand j'ai le coeur au bord des yeux, je ne calcule pas et je donne. Trop probablement.