Field repord sans interêt technique,les seules techniques employées étant l'ec,le bl,l'intonation de la voix et le social proof.Du natural Game à l'état pur
J'aime les histoires qui sentent la romance,les fleurs,quand les mots perdent tout sens,quand tout ce qui peut être dit viendrait troubler la quiétude d'une contemplation réciproque,quand le coeur bat,au point de faire des choses qu'on n'aurait jamais fait avant,certains croiraient que je parle de l'amour,moi je parle du désir.
Je traine laborieusement ma frimousse dont j'ai pris soin le ciel seul sait pourquoi,arborant un bob blanc sur la tête,plié comme un chapeau de cowboys.Il contraste énormément avec mon style classe,et c'est ce détail qui va faire la différence.Mon entrée à la cafette de la fac provoquera un silence,comme celui que provoque l'entrée d'un renégat dans un saloon.Les filles me guettent par dessus leurs capuccinos,les mecs se demandent bien ce qui chez un type comme moi peut captiver autant l'attention.Trois pas dans la salle,aucune tête connue,et les têtes que je vois ne me plaisent pas,faut pas s'éterniser.
Ma meilleure amie tape sur la vitre au moment où j'arrive à sa hauteur.Finalement,ces mots fléchés,pourront se faire dans un endroit calme,et non pollué par la cigarette,et des haleines de baleine.En face de nous,un groupe de jeunes filles lycéenes,que je trouve exitées depuis que je suis là.Une se livre à une démonstration show de danse hip hop,je me garde d'émettre un sarcasme qui pourrait la traumatiser à vie,mais mon regard en dit long sur ma pensée.Quand nos yeux se croisent le message est clair pour elle.Elle n'insistera pas,et nos oreilles à tous goûteront à la quiétude matinale,où le bonheur et le café ne font plus qu'un.
Avec ce groupe de trois filles,je sais que les dés sont joués d'avance.Je suis assis en face d'une Hb,qui délire avec moi,et initie même des jeux,qu'en temps normal seuls les couples pratiquent.Les filles ne me lâchent pas en me demandant quelles musiques il y a dans mon portable,pour les faire taire,je le leur prête (c'est mon coté nice guy...).Vient le moment de partir,quand je prends mon portable et que je leur dis "La prochaine fois soyez plus directes,conseil d'ami".Et que je disparait ,ma meilleure amie à mes cotés.Un pur moment de Prizing,qui vous fait voir que vous pouvez closer le monde entier.
Et dans les escaliers c'est le drame.Allant en sens inverse,un groupe de deux filles,une châtain,une brune.De nos yeux sortent des mots,que dis-je des phrases,qui rempliraient des livres du même calibre que "Des désirs et des Hommes" de Françoise Simpère.Chacun a ralenti ses mouvements ,comme pour savourer chacun de ces instants,de ceux qui méritent d'être vécus,l'instant magique de la séduction (le seul dailleurs,car après ça retombe).Et pour la première fois depuis un an,je vais me retourner,pour voir passer une fille,c'est à ne pas faire,mais bon sang que je suis content de l'avoir fait.
Je continue à parler à ma meilleure amie l'air de rien,mais au fond je bouillone.J'ai envie de refaire les marches les unes après les autres,pour aller la chercher.La force est avec moi,que peut-il bien m'arriver ?
Le destin a ceci de tragique,qu'il serait capable de vous faire vivre mille fois le même supplice.Les voilà qui reviennent,règle des 0.003 secondes et à l'abordage,recule destin,ou bien je te frappe;je viens prendre possession de mon bien!
Roméo et Juliette: du désir,à Dieu sait où ...
Les mots de ma bouche n'ont pas encore été émis,je suis devant elles,elles se sont arrêtées.Nous nous dévisageons,comme des inconnus,avec dans le regard de ces demoiselles ,cette sensualité,qui m'aurait entrainé dans milles tourments,si entre temps,il n'y avait eu ce recul,qu'enseigne le dur maître d'armes qu'est l'expérience.
-Pas de cette fac ,vous.
-Non,on vient blah blah.
-Je me disais aussi,je ne vous ais jamais vues.
Je remarque que ma préfèrée (la châtain) a un bandage à la main droite.Bon sang quel monstre a pû mettre des doigts aussi fins dans un état pareil ?Elle me dit qu'elle s'est tordue la main en rangeant,je lui pardonne volontier,car quand on a de tels attoûts,tout est pardonnable n'est ce pas ?Tant que ça reste dans ma conception du pardon.Elles se feront amoger par ma meilleure amie,qui casse le blanc qui s'est installé.Mais je l'aime ce blanc,c'est lui qui exprime ce désir qui monte,qui monte!
Car comme dit Pierre Rey dans son livre Le Desir ,"plus je ressens,moins j'exprime,comme si les mots avaient sur l'amour,le pouvoir de la flamme sur la glace,la changer en eau pour qu'elle se dissolve ensuite dans l'espace".
Elles s'en vont à regret,si j'en crois par la manière lente avec laquelle elles se meuvent dans l'espace.Rattrape les donc,le destin te les enlève.Si tu les veux,faudra aller les chercher.Mais,j'ai une réputation ,que dis-je,un rang à tenir,et je le tiendrai.Sottise humaine,"Un homme sans one itis ne peut pas se sentir pleinement vivant",Brutus.A ce moment précis,j'adhère à sa théorie,cette adrénaline qui envahit mes veines,c'est ça qui me montre que je suis pleinement vivant.Comme un sportif de l'extrême,dont la philosophie est "se rapprocher de la mort,pour se sentir pleinement vivant".A regret,je gagne ma place dans l'amphithéatre (qui n'a jamais aussi bien porté son nom).Je salue ceux que je connais,mais mon esprit est ailleurs.
Mon radar vibre,passe au rouge:Elles viennent d'entrer.Le fait que j'ai un problème urinaire à règler tombe à pic (quoi que,en y refléchissant,j'y serai allé quand même).Encore un échange de banalités,et ces blancs interminables,où les yeux parcourent des colines et des plaines,et ce cratère encore inexploré...Leurs noms sont les seuls depuis des mois que je n'ai pas oublié 30 secondes après qu'elles me les ai dit.Elles s'en vont choisir des places,moi je vais aux toilettes.Elles sont trop loin de moi,mais on sera tour à tour pris,chacun à son tour en train de contempler les autres.
Je suis chez moi,entouré de beaucoup d'amis qui sont là pour soutenir une cause commune:La reprise des cours,mais je n'écoute pas,je ne parle pas,je rêvasse.Elles vont se déplacer pour prendre des photos de l'amphi,et le sourire qu'elle m'adresse quand nos regards se croisent...Arrière démon de l'amour,quitte mon corps,vade retro satanas.Rien n'y fait,j'ai du mal à détourner les yeux,contre mon gré,je le fais.Et je l'ignore royalement (malgré ma volonté de ne pas la lâcher) et je discute avec mes amis,qui sont en forme dans leurs vannes,on rigole à fond.Elle me regarde,moi je feins de ne pas la voir.
Puis en pleine Assemblée générale (qui s'éternisait faut se l'avouer),elle prend son sac.Arrivé à ma hauteur dans l'escalier,on se regarde encore.Elle me fait un signe avec sa main comme quoi elle s'en va.Je lui répond par un sourire idiot.Mais ,contrairement à mes habitudes,mon "sur moi" laissera mon "moi" et mon "ça" décider.
"Laisse moi passer Nom_de_ma_best_friend ,question de vie ou de mort".Elle tarde à se décider,je monte sur la table,et je sors.La demoiselle est presque arrivée au niveau du portail,je prends un raccourcis,et je me retrouve nez à nez avec elle.En m'appercevant,je vois son visage qui s'illumine.
-Ce n'est pas dans mes habitudes de courrir.
-(sourire)
-Que fais-tu de tes weekends ?(traduction ais-je un rival ?)
-Ca dépend
-On n'a qu'à s'organiser un truc
-Ouais...
-(tellement pressé qu'il a oublié de prendre son carnet en partant,lui tendant mon portable)
-(elle me tendant aussi le sien j'ai dû la faire sonner pour qu'elle ait mon téléphone,je ne me rappelle jamais de mon nouveau numéro de téléphone)
Bise sensuelle qui suit cet échange de numéros de téléphones,chiffres du bonheur,qui dailleurs seront ceux que je jouerai à euromillion ce weekend.Je retourne en amphi,où tous les regards médusés des gens,ignorent tout de la romance qui se prépare,une bombe à retardement,car un désir aussi longtemps contenu,finira par exploser,et Dieu seul sait ce qu'il adviendra de nous,en attendant,savourons l'instant présent.
Asles
-Pas de cette fac ,vous.
-Non,on vient blah blah.
-Je me disais aussi,je ne vous ais jamais vues.
Je remarque que ma préfèrée (la châtain) a un bandage à la main droite.Bon sang quel monstre a pû mettre des doigts aussi fins dans un état pareil ?Elle me dit qu'elle s'est tordue la main en rangeant,je lui pardonne volontier,car quand on a de tels attoûts,tout est pardonnable n'est ce pas ?Tant que ça reste dans ma conception du pardon.Elles se feront amoger par ma meilleure amie,qui casse le blanc qui s'est installé.Mais je l'aime ce blanc,c'est lui qui exprime ce désir qui monte,qui monte!
Car comme dit Pierre Rey dans son livre Le Desir ,"plus je ressens,moins j'exprime,comme si les mots avaient sur l'amour,le pouvoir de la flamme sur la glace,la changer en eau pour qu'elle se dissolve ensuite dans l'espace".
Elles s'en vont à regret,si j'en crois par la manière lente avec laquelle elles se meuvent dans l'espace.Rattrape les donc,le destin te les enlève.Si tu les veux,faudra aller les chercher.Mais,j'ai une réputation ,que dis-je,un rang à tenir,et je le tiendrai.Sottise humaine,"Un homme sans one itis ne peut pas se sentir pleinement vivant",Brutus.A ce moment précis,j'adhère à sa théorie,cette adrénaline qui envahit mes veines,c'est ça qui me montre que je suis pleinement vivant.Comme un sportif de l'extrême,dont la philosophie est "se rapprocher de la mort,pour se sentir pleinement vivant".A regret,je gagne ma place dans l'amphithéatre (qui n'a jamais aussi bien porté son nom).Je salue ceux que je connais,mais mon esprit est ailleurs.
Mon radar vibre,passe au rouge:Elles viennent d'entrer.Le fait que j'ai un problème urinaire à règler tombe à pic (quoi que,en y refléchissant,j'y serai allé quand même).Encore un échange de banalités,et ces blancs interminables,où les yeux parcourent des colines et des plaines,et ce cratère encore inexploré...Leurs noms sont les seuls depuis des mois que je n'ai pas oublié 30 secondes après qu'elles me les ai dit.Elles s'en vont choisir des places,moi je vais aux toilettes.Elles sont trop loin de moi,mais on sera tour à tour pris,chacun à son tour en train de contempler les autres.
Je suis chez moi,entouré de beaucoup d'amis qui sont là pour soutenir une cause commune:La reprise des cours,mais je n'écoute pas,je ne parle pas,je rêvasse.Elles vont se déplacer pour prendre des photos de l'amphi,et le sourire qu'elle m'adresse quand nos regards se croisent...Arrière démon de l'amour,quitte mon corps,vade retro satanas.Rien n'y fait,j'ai du mal à détourner les yeux,contre mon gré,je le fais.Et je l'ignore royalement (malgré ma volonté de ne pas la lâcher) et je discute avec mes amis,qui sont en forme dans leurs vannes,on rigole à fond.Elle me regarde,moi je feins de ne pas la voir.
Puis en pleine Assemblée générale (qui s'éternisait faut se l'avouer),elle prend son sac.Arrivé à ma hauteur dans l'escalier,on se regarde encore.Elle me fait un signe avec sa main comme quoi elle s'en va.Je lui répond par un sourire idiot.Mais ,contrairement à mes habitudes,mon "sur moi" laissera mon "moi" et mon "ça" décider.
"Laisse moi passer Nom_de_ma_best_friend ,question de vie ou de mort".Elle tarde à se décider,je monte sur la table,et je sors.La demoiselle est presque arrivée au niveau du portail,je prends un raccourcis,et je me retrouve nez à nez avec elle.En m'appercevant,je vois son visage qui s'illumine.
-Ce n'est pas dans mes habitudes de courrir.
-(sourire)
-Que fais-tu de tes weekends ?(traduction ais-je un rival ?)
-Ca dépend
-On n'a qu'à s'organiser un truc
-Ouais...
-(tellement pressé qu'il a oublié de prendre son carnet en partant,lui tendant mon portable)
-(elle me tendant aussi le sien j'ai dû la faire sonner pour qu'elle ait mon téléphone,je ne me rappelle jamais de mon nouveau numéro de téléphone)
Bise sensuelle qui suit cet échange de numéros de téléphones,chiffres du bonheur,qui dailleurs seront ceux que je jouerai à euromillion ce weekend.Je retourne en amphi,où tous les regards médusés des gens,ignorent tout de la romance qui se prépare,une bombe à retardement,car un désir aussi longtemps contenu,finira par exploser,et Dieu seul sait ce qu'il adviendra de nous,en attendant,savourons l'instant présent.
Asles
Il n'y rien de plus jouissif pour un player confirme que de se retourner pour rattrapper une fille qu'on sait deja blushee. C'est comme d'aller recuperer son du.
Joli FR qui me rappelle une foule de souvenir.
Joli FR qui me rappelle une foule de souvenir.