Posté : 23.05.08
Pas si simple de bouger... Mais effectivement, c'est sage et cela limite un peu la peur de l'approche : On n'est pas chez soi, on ne la reverra jamais... Chose paradoxale quand même, être à 1000 bornes de chez soi ne suffit pas à se foutre totalement des conséquences de ses actesBoubou a écrit :En effet, quand on habite une petite ville, mieux vaut commencer à vendanger ailleurs que crâmer son field.

Je ne sais pas ce que tu fous à regarder à l'intérieur de moi, mais je trouve ça un peu cochonMais je peux voir à l'intérieur de toi San A, des envies de DG (et de levrette, mais c'est une autre histoire)

Du DG ? Je ne sais pas. C'est flippant, mais finalement, je me demande si ce n'est pas plus simple. A quoi tu repères ce désir en moi ?
Pourquoi tu veux que je devienne un JLoupProfite de week end chez l'un ou l'autre de tes amis, passe soigneusement le field en question au barbecue, fais les erreurs que nous avons tous faites, devient meilleur et revient en ton chez toi, au bien vite au loup blanc les bergères, mamans et caissières te compareront.

Mais ouihargrove a écrit :Mais as tu déjà remarqué la recrudescence de jeunes femmes que tu n'as pas vu de l'hiver dans les rues... incroyable il y a de tout, et même pas mal de belles femmes, que font elles ? Où vivent elles ? Comment se fait il qu'on ne les voit qu'à l'arrivée des beaux jours ?

Effectivement, cela m'amène à penser qu'une bonne piste pour faire évoluer sa vie sociale et seskuelle est d'entreprendre ce travail de recherche que tu décris : Ou sont les femmes quand il pleut ? J'ai déjà une petite idée : Voyez clubs de sport, danse, etc...
Je ne suis pas convaincu... Le Havre, par exemple, cela commence à faire un peu de monde, non ? Ici, avec 5 fois moins d'habitants : Je vais deux ou trois fois par semaine faire mes courses dans le même supermarché à peu près à la même heure, je ne revois jamais les même personnes... Elle passent peut-être à 3 mètres de moi, mais jamais je ne les recroise.Mais il y a un réel avantage à ces petites villes, c'est que lorsqu'on cible au hasard quelqu'un il y a de très forte chances de la recroiser !!!
Je ne compte pas sur le hasard en terme de séduction. On peut rencontrer par hasard la femme de sa vie (ou celle d'un soir), mais si on la revoit, ce n'est plus le hasard

Sympa, le vélo-game ;) !
Hargrove, Llyandre : Je propose que nous nous organisions une séance de sarge un samedi aprèm' et soir sur la ville grise : Objectifs :
- Repérer les bons lieux, de qualité, et faire couler le napalm.
- Savoir "où sont les femmes" en hiver... Cette enquête peut se faire en SPU, ou autre. Le principal étant d'adopter un rôle d'ethnologiste et de systématiquement lancer ce débat au début de la discussion, dès le hook-point franchi. Je devine la routine en béton, là. Par contre, en opener, je ne suis pas chaud, car j'ai passé l'age des "opinion openers"
!