Je dirais que ça dépend, faut voir quel est le réel besoin dans la décision à prendre... reste que cacher des trucs à l'autre alors que ça l'impacte (genre tiens, j'arrête la pilule sans prévenir), je vois pas l'intérêt, je trouve même ça stupide : mettre devant le fait accompli, c'est un peu limite.MaryMorgane a écrit : Mais pour ouvrir un peu le sujet, on pourrait prendre d'autres exemples :
- une personne qui se fait tatouer sans en avoir parlé à son conjoint ;
- une personne qui change de travail sans en avoir parlé à son conjoint...
...
Du coup, je me demande un peu globalement où s'arrête l'individu et où commence le couple.
A mon sens, il me paraît normal de demander à l'autre son avis et de jauger la température pour le couple pour une décision importante (évidemment, si j'ai envie de m'acheter un bouquin, je vais pas demander l'autorisation), mais après, ça n'est jamais qu'un choix, à un moment, il faut prendre une décision, et là, c'est selon ta conscience.
Je dirais que l'individu s'arrête là où tu as envie qu'il s'arrête. Certains couples fonctionnent très bien sans trop se consulter (soit ils ont des idées proches soit chacun gère comme il le sent), et d'autres ont un fort besoin de demander l'avis de l'autre.
Après, il y a façon de faire, entre :
-j'ai besoin de changer de boulot et je recherche activement.
et
-au fait, j'ai changé de boulot, je gagne 3 fois moins.

Pour l'exemple du tatouage, ma LTR voulait s'en faire un autre, elle me demande mon avis, je le donne (j'étais pas chaud), après libre à elle de prendre sa décision en connaissance de cause.