Oldboy a écrit :
Je crois que je vais me résoudre une bonne fois pour toute à aller trouver mon généraliste, qu'il me conduise chez un spécialiste qui aura éventuellement une solution .
Ah, franchement je sais pas. Considère vraiment ça en dernier recours, je ne connais pas ton passif exact, mais ne brule pas les étapes avant d'être vraiment sûr que c'est ce qu'il te faut.
Si c'est pour t'emmener chez un spécialiste qui va juste te prescrire des médocs "pour te sentir mieux temporairement" tu ferais mieux d'éviter, vu que c'est souvent ce qui est fait.
Les prescriptions médicamenteuses ne devraient être à mon sens faites que pour les cas extrêmes. J'ai connu pleins de cas, de personnes ayant des coups de blues, ou déprimes passagères, qui se sont mis au médoc, et en sont devenu dépendants, passant de fil en aiguille à un médoc plus fort, pour se retrouver après des années dans des états pas possibles et vachement dépendants.
Je connais un peu ta situation, si on parle de la même chose, ça m'arrivait souvent et m'arrive encore un peu aujourd'hui, mais bizarrement depuis que j'ai repris ma vie en main au niveau lifestyle ça va beaucoup mieux. On en parlait sur un autre sujet y'a pas longtemps. Continue à t'améliorer en tant que personne, n'abandonne rien, et attache toi plutôt à améliorer ton hygiène de vie du mieux que tu peux en parallèle.
Lache par exp aussi la bouteille si tu picoles, j'ai remarqué que dans les périodes ou j'y vais sévère sur les afterworks et autre soirées de beuverie, je ressens souvent une grosse descente au bout d'un moment ou je suis sujet à une bonne déprime les jours qui suivent (j'ai eu une période quand j'étais étudiant, ou pendant une année je picolais tout les soirs et vraiment pas qu'un peu).
Si t'es du genre à boire chaque WE, réussis "l'exploit" de ne rien prendre pendant 2 ou 3 semaines d'affilée, dors tôt, mange bien, prends quelques compléments genre magnésium, vitamines et minéraux, cours un peu, fais du sport, et vois le résultat.
Et puis surtout
courage. Je me doute un peu à quel point ce n'est pas facile, mais souvent je le prends aussi comme un orage qu'il s'agit juste de laisser passer. Dès l'apparition d'éclaircies, c'est comme s'il n'y'avait rien eu en fait, et tu continues à suivre le cours de ta vie, comme tu le souhaites.