Mes amis en couple
Pour ton exemple, Terrigan, c'est aussi une question de point de vue.
Moi, y'a qu'un seul truc qui m'énerve plus que les mecs qui sacrifient leur vie sociale pour leur couple: ce sont ceux qui sacrifient leur vie sociale pour courir dans un stade le dimanche matin.
J'en connais pas mal, et je me rends compte du spectre des vécus possible: entre celle qui estime avoir sacrifié son enfance et adolescence (et en reparle aujourd'hui avec difficulté, comme une blessure) et celui qui a 30 ans continue les compétitions et passe ses week-end dans les bus... (et qui a failli détruire son couple, car ils ne se voyaient plus)
Mais au final, c'est leur vie, et ce sont eux qui décident comment ils la remplissent. Et je ne doute pas une seconde qu'ils méprisent complètement mon mode de vie et que pour eux, dormir les mâtinés du week-end est un gâchis impardonnable.
Iskandar a raison : dans certains milieux (que je viens de découvrir), ce sont les copines des mecs qui sacrifient leur week-end pour voir, depuis le banc de touche, leur mec jouer au foot.
Personnellement,si mon gamin hésitait entre le sport de compèt' et sa copine, c'est pas le sport que j'encouragerais...
Moi, y'a qu'un seul truc qui m'énerve plus que les mecs qui sacrifient leur vie sociale pour leur couple: ce sont ceux qui sacrifient leur vie sociale pour courir dans un stade le dimanche matin.
J'en connais pas mal, et je me rends compte du spectre des vécus possible: entre celle qui estime avoir sacrifié son enfance et adolescence (et en reparle aujourd'hui avec difficulté, comme une blessure) et celui qui a 30 ans continue les compétitions et passe ses week-end dans les bus... (et qui a failli détruire son couple, car ils ne se voyaient plus)
Mais au final, c'est leur vie, et ce sont eux qui décident comment ils la remplissent. Et je ne doute pas une seconde qu'ils méprisent complètement mon mode de vie et que pour eux, dormir les mâtinés du week-end est un gâchis impardonnable.
Iskandar a raison : dans certains milieux (que je viens de découvrir), ce sont les copines des mecs qui sacrifient leur week-end pour voir, depuis le banc de touche, leur mec jouer au foot.
Personnellement,si mon gamin hésitait entre le sport de compèt' et sa copine, c'est pas le sport que j'encouragerais...
Spring a écrit :Moi, y'a qu'un seul truc qui m'énerve plus que les mecs qui sacrifient leur vie sociale pour leur couple: ce sont ceux qui sacrifient leur vie sociale pour courir dans un stade le dimanche matin.
Hum... parce que c'est sacrifier sa vie sociale qu'aller courir le Dimanche matin ?
Mais c'est quoi cette histoire de sacrifice pour le sport ? Voir de sacrifice d'un des membres du couple pour l'autre. Ca me tue cette histoire.Iskandar a raison : dans certains milieux (que je viens de découvrir), ce sont les copines des mecs qui sacrifient leur week-end pour voir, depuis le banc de touche, leur mec jouer au foot.
En plus, le sport ne fait pas parti de ta vie sociale ? Quand tu vas jusqu'au niveau compétiteur, t'es pas avec tes amis ? Bref, une vision que je ne comprends pas trop. Peut-être parce que je regrette de ne pas avoir engagé de "carrière" sportive dans mon adolescence (c'était pas une période facile).
[/quote]Personnellement,si mon gamin hésitait entre le sport de compèt' et sa copine, c'est pas le sport que j'encouragerais...
Aye.... Tu pourrais développer STP ?
Spring a écrit :Pour ton exemple, Terrigan, c'est aussi une question de point de vue.
Moi, y'a qu'un seul truc qui m'énerve plus que les mecs qui sacrifient leur vie sociale pour leur couple: ce sont ceux qui sacrifient leur vie sociale pour courir dans un stade le dimanche matin.
J'en connais pas mal, et je me rends compte du spectre des vécus possible: entre celle qui estime avoir sacrifié son enfance et adolescence (et en reparle aujourd'hui avec difficulté, comme une blessure) et celui qui a 30 ans continue les compétitions et passe ses week-end dans les bus... (et qui a failli détruire son couple, car ils ne se voyaient plus)
Mais au final, c'est leur vie, et ce sont eux qui décident comment ils la remplissent. Et je ne doute pas une seconde qu'ils méprisent complètement mon mode de vie et que pour eux, dormir les mâtinés du week-end est un gâchis impardonnable.
Iskandar a raison : dans certains milieux (que je viens de découvrir), ce sont les copines des mecs qui sacrifient leur week-end pour voir, depuis le banc de touche, leur mec jouer au foot.

Je mets de coté le cas pathologique de celui qui fait énormément de sport à (plus ou moins) haut niveau parce qu'il a toujours été poussé par ses parents qui se projettent en lui. Sorte d'aliénation parentale malsaine.
Mais la pratique sportive, y compris de compétition et intensive permet une réalisation de soi sur pas mal de dimensions que peu d'autres activités permettent. Le contraire de l'aliénation (même si certaines ambiances sport co peuvent le laisser penser).
J'ajoute enfin un point crucial : en général on est sportif avant d'avoir rencontré sa copine. On trompe pas sur la marchandise et sur les contraintes que ça engendre. Peut-être même qu'au début, la miss a été séduite d'avoir un gars sportif qui cultive un mental de gagneur et un physique approprié.
Je ne peux considérer le fait de faire un virage à 180° concernant une activité fort utile, pour plaire à sa copine, que comme un renoncement flagrant, qu'elle saura d'ailleurs plus ou moins consciemment interprêter comme tel.
On ne peut pas accuser un lifestyle de détruire un couple alors que ça n'a pas empêché de le construire, voire même y a contribué. Une femme ne l'admettra jamais mais c'est son changement de perspective qui est la cause de la destruction du couple.
Autant à l'époque des relations arrangées, on peut comprendre Mme Bovary, autant de nos jours, c'est la pouffiasserie élevée en art de vivre son couple.
J'ai observé en même pas 2 décennies le cas des "femmes de militaire". Avant, elles pleuraient en silence et s'occupaient de la famille quand le mari était en mission, consciente qu'elles avaient choisi cette vie et que ce sacrifice était leur part à la défense de la maison France. Avec la consolation que ni elles ni leurs gosses ne manqueraient de rien, le pire dût-il arriver. On leur a jamais mis le flingue sur la tempe pour se faire passer l'anneau au doigt !
Maintenant, elles ne supportent plus l'absence des longues missions et divorcent très vite (en grattant une prestation compensatoire au passage). C'est tellement loin de sex & the city comme lifestyle ...
Des fois je me dis que le jour où les juges aux affaires familiales (majoritairement des femmes) arrêteront de céder aux caprices matériels des jeunes divorcées, le Club Med de Kemer pourra gentiment fermer ses portes

Tu pars du principe que c'est la bonne, la seule, l'unique. Mais dans 90% des cas, ça vaut le coup d'arrêter le sport, un investissement personnel, pour une fille qui ne sera pas la mère de ses enfants ?Personnellement,si mon gamin hésitait entre le sport de compèt' et sa copine, c'est pas le sport que j'encouragerais...
Mais qu'ont les femmes de si génial pour justifier de telles abdications ?? (Invitation à challenger tes croyances inside)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 le 10.07.12, 13h45 par Terrigan
On peut faire ce qu'on veut avec la notion de sacrifice.Spring a écrit :Pour ton exemple, Terrigan, c'est aussi une question de point de vue.
Moi, y'a qu'un seul truc qui m'énerve plus que les mecs qui sacrifient leur vie sociale pour leur couple: ce sont ceux qui sacrifient leur vie sociale pour courir dans un stade le dimanche matin.
[...]
Personnellement,si mon gamin hésitait entre le sport de compèt' et sa copine, c'est pas le sport que j'encouragerais...
Moi ce que je vois c'est le double rideau défensif des parents et de la copine:
--> Les parents: "tes loisirs je les encule, ta seule fonction sur cette planète c'est de travailler pour survivre comme un gentil petit animal. On commence tout de suite avec l'école. Pour le reste tu as juste le droit à de la "détente" soigneusement calibrée, quelques heures de télé - jeux vidéos par ci par là et un peu de piscine histoire de dire que tu bouges un peu. Tellement mesquin, tellement vielle France...
--> La copine: même chose, avec l'impasse criminelle "mon seul loisir c'est toi, ton seul loisir c'est moi". Je vous dis pas tous les non-dits, ultimatums et toutes les pressions qui se cachent derrière cette vision de la vie de couple.
Ceci étant posé, libre à chacun de se demander qu'est-ce qui détruit les gens et qu'est-ce qui les construit...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Pertinent le 10.07.12, 14h42 par Lieutenant
- [+1] Absolument le 10.07.12, 15h55 par LittleNeapolis
- [+1] Absolument le 24.09.12, 17h37 par Aristophane
Le sport c'est une très bonne école de la vie, encourager son gosse à voir sa copine plutôt que d'être sérieux au sport c'est pas terrible... Il arrête le sport pour sa copine, sa copine finit par le lâcher (pour un sportif !), il ne lui reste plus rien. Alors que si sa copine le lâche parce qu'il fait trop de sport, au moins il lui reste le sport et les amis du sport.
Y a un juste milieu entre en faire trop et ne pas en faire assez de toute façon; les compèts du dimanche c'est pas tous les dimanches, et la fille n'est pas obligée de venir à chaque fois, elle peut avoir une vie aussi, plutôt que de se plaindre du fait que son copain en ait une.
De toute façon il faut être un minimum sportif pour chopper des poupounes, le problème est réglé.
Y a un juste milieu entre en faire trop et ne pas en faire assez de toute façon; les compèts du dimanche c'est pas tous les dimanches, et la fille n'est pas obligée de venir à chaque fois, elle peut avoir une vie aussi, plutôt que de se plaindre du fait que son copain en ait une.
De toute façon il faut être un minimum sportif pour chopper des poupounes, le problème est réglé.

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] ??? le 10.07.12, 15h54 par LittleNeapolis
- [+1] C'est pas faux le 10.07.12, 17h04 par Lieutenant
Ne faites pas trop attention au sport, c'est ma réalité que je vous ai exposé, mais en fait le sujet c'est n'importe quelle passion. On peut facilement remplacer le sport par un groupe de musique, une troupe de théâtre ou que sais-je encore.
Il y a aussi le travail qui est une passion ou en tout cas un engagement profond pour beaucoup de gens.
Et de toute façon les hommes trop casaniers finissent toujours par s'enfermer dans le garage pour bricoler alors bon...
Je persiste et signe: il y a quelque chose de profondément malsain dans cette volonté chez beaucoup de (très, trop???) jeunes filles de prendre le couple en otage pour ériger un véritable culte à leur misérable petit nombril.
Elles débarquent dans la vie d'un homme avec des grands idéaux de romantisme et d'amour à la folie 7 jours sur 7 - 24h sur 24 et elles deviennent des intégristes du plateau télé; ça n'a aucun sens.
Il y a aussi le travail qui est une passion ou en tout cas un engagement profond pour beaucoup de gens.
Et de toute façon les hommes trop casaniers finissent toujours par s'enfermer dans le garage pour bricoler alors bon...
Je persiste et signe: il y a quelque chose de profondément malsain dans cette volonté chez beaucoup de (très, trop???) jeunes filles de prendre le couple en otage pour ériger un véritable culte à leur misérable petit nombril.
Elles débarquent dans la vie d'un homme avec des grands idéaux de romantisme et d'amour à la folie 7 jours sur 7 - 24h sur 24 et elles deviennent des intégristes du plateau télé; ça n'a aucun sens.
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- [+1] Absolument le 10.07.12, 19h09 par shadonkey
- [+1] 100% d'accord le 12.07.12, 10h29 par Lieutenant
Bah, une personne équilibrée et qui s'assume (ainsi que ses éventuels enfants) peut supporter ça. Un problème que j'y vois, c'est qu'habituées à tout gérer pendant l'absence de monsieur, ce ne doit pas être facile de "partager le pouvoir" au retour du conjoint : qui décide quoi, comment on se réorganise en couple, donc source de conflits ?Maintenant, elles ne supportent plus l'absence des longues missions et divorcent très vite (en grattant une prestation compensatoire au passage). C'est tellement loin de sex & the city comme lifestyle ...
Tout-à-fait d'accord, mais à l'inverse, je connais la situation d'une copine où c'est monsieur, sportif de surcroît, qui a ce comportement : s'il est à la maison, madame aussi et tant pis si elle a prévu autre chose (comme aller faire son sport à elle, lol !)Je persiste et signe: il y a quelque chose de profondément malsain dans cette volonté chez beaucoup de (très, trop???) jeunes filles de prendre le couple en otage pour ériger un véritable culte à leur misérable petit nombril.
Autre point, il est possible que ce comportement ne fasse que calquer ce qui a été inculqué/vécu dans (certaines ?) familles : Au nom de la culture familiale (culte familial ?), il serait "convenable" d'avoir le comportement attendu avec un modèle à suivre. Par exemple, comme je l'ai entendu récemment, il faudrait consacrer son temps libre à visiter/recevoir et s'occuper de sa famille et que si on pas très envie et bien y a qu'à s'obliger, c'est normal... donc de là à comprendre que le sport, les loisirs, le repos, les amis, c'est après

Si ce type de vie ne vous convient pas trop, faudrait peut-être commencer par observer comment fonctionne la famille de votre belle/chéri, non ?
A lire dans le genre "problème avec la belle-famille", l'article de FK dont on attend la suite ! http://www.frenchtouchseduction.com/mer ... faire.html
Bonsoir, je voudrais revenir sur ce que dit Terrigan :
Il faut que chacun est sa liberté et ses activités, donc comme la plupart des membres l'on signalés il faut avoir ses passions.
De plus, on parle souvent de lifestyle qui se construit avec le sport ou ses autres passions, mais alors si on se prive de cela pour faire "fonctionner" notre couple, cela aura une incidence sur notre lifestyle et on se fera larguer car on aura plus ce lifestyle qui l'attirait tant que sa.
En couple il faut garder des activités chacun de son côté, car être tout le temps sur la personne pousse à l'asphyxie et à la destruction du couple.
Notamment sur le fait qu'en couple quand on est avec une personne toute la journée et pendant plusieurs temps à la fin cela détruit un couple aussi.7 jours sur 7 - 24h sur 24
Il faut que chacun est sa liberté et ses activités, donc comme la plupart des membres l'on signalés il faut avoir ses passions.
De plus, on parle souvent de lifestyle qui se construit avec le sport ou ses autres passions, mais alors si on se prive de cela pour faire "fonctionner" notre couple, cela aura une incidence sur notre lifestyle et on se fera larguer car on aura plus ce lifestyle qui l'attirait tant que sa.
En couple il faut garder des activités chacun de son côté, car être tout le temps sur la personne pousse à l'asphyxie et à la destruction du couple.
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- [0] Ca va mieux en le disant le 12.07.12, 08h33 par Terrigan
Pouark! comme quoi tous les excès sont dans la naturepastelle a écrit : Tout-à-fait d'accord, mais à l'inverse, je connais la situation d'une copine où c'est monsieur, sportif de surcroît, qui a ce comportement : s'il est à la maison, madame aussi et tant pis si elle a prévu autre chose (comme aller faire son sport à elle, lol !)

Sincèrement pour rester sur cette histoire de sport et vie sociale ou vie affective, et là ça n'engage que moi, je n'ai aucune statistique pour appuyer ce fait, mais pour trainer et suivre pas mal le monde du sport et en tant que modeste pratiquant, je vois nettement plus de célibs coté workaholics (dans le sens workaholics de bureau), que coté sportifs de haut niveau ou semi pro. Et je parle pas forcément de footballers connus, ou de sportifs connus à l'échelle mondiale.Spring a écrit :Pour ton exemple, Terrigan, c'est aussi une question de point de vue.
Moi, y'a qu'un seul truc qui m'énerve plus que les mecs qui sacrifient leur vie sociale pour leur couple: ce sont ceux qui sacrifient leur vie sociale pour courir dans un stade le dimanche matin.
J'en connais pas mal, et je me rends compte du spectre des vécus possible: entre celle qui estime avoir sacrifié son enfance et adolescence (et en reparle aujourd'hui avec difficulté, comme une blessure) et celui qui a 30 ans continue les compétitions et passe ses week-end dans les bus... (et qui a failli détruire son couple, car ils ne se voyaient plus)
Mais au final, c'est leur vie, et ce sont eux qui décident comment ils la remplissent. Et je ne doute pas une seconde qu'ils méprisent complètement mon mode de vie et que pour eux, dormir les mâtinés du week-end est un gâchis impardonnable.
Iskandar a raison : dans certains milieux (que je viens de découvrir), ce sont les copines des mecs qui sacrifient leur week-end pour voir, depuis le banc de touche, leur mec jouer au foot.
Personnellement,si mon gamin hésitait entre le sport de compèt' et sa copine, c'est pas le sport que j'encouragerais...
Je connais pleins de gars pour qui le sport est presque une priorité dans leur vie, et qui arrivent malgré tout à remplir à merveille leur vie affective et sociale. Surtout affective d'ailleurs (voire sexuelle).
Tout ça pour dire quoi ? Qu'on peut s'engager pour une cause ou un idéal et arriver à se construire une vie sociale et affective. Ce n'est qu'une question d'organisation après tout.
Il semblerait (d'après mes observation encore une fois), que c'est plus aisé quand on est sportifs que quand on est un rat de labo qui bosse du matin au soir, mais l'argument du mec qui passe ses journées à courir dans un stade au détriment de sa vie sociale, j'y crois moyen.
Au pire les mecs leur vie sociale s'articule autour d'autres sportifs, mais ça ne les empêche nullement de baiser, s'amuser, voyager et faire la fête. Alors que le cadre supp qui bosse 12 ou 14h par jour aurait moins de chance de se lever la cadre supp du même état.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas faux le 12.07.12, 13h05 par Lieutenant