Tout le monde ne devient pas chiant. Les divorcés qui ont la garde alternée de leurs enfants par exemple continuent d'avoir une vie sociale et culturelle plus active. A l'inverse, celui ou celle qui passe le plus clair de son temps entre le bureau et la foyer pour s'occuper de ses enfants fréquentera plus souvent d'autres parents faute de temps, faute de liberté (l'horreur des amis qui viennent à un dîner avec leurs enfants), ou simplement d'intérêts communs à ce moment précis de leur vie.Attention aux généralisations et aux clichés sur les couples et les parents, hein;)
Globalement, que ce soient mes potes ou moi, on n'est pas devenus chiants et mous quand on s'est mis en couple ou quand on est devenus parents.
La trentaine: demande de retours d'expérience
C'est un peu cliché tout ça.
C'est pas comme si les gens avec des enfants étaient forcément chiants en en parlant ou se limitaient forcément à ça.
Et aussi la division en couple/célibataires existe à tous âges. Même à 20 ans il y a des gens qui sont en couple et qui ont envie de faire plus productif que des soirées en boîtes à se mettre des mines. Et je sais que les célibataires font pas que ça (je l'ai été longtemps et ça se limitait heureusement pas à ça), mais c'est souvent l'exemple donné pour dire "ah il a vieilli" alors que le mec il s'est peut être juste aperçu que c'était vain vu qu'il y allait que pour choper (pas rencontrer mais bien serrer).
Et je trouve que l'arrogance de certains à juger les autres relève sans doute d'un besoin de se prouver que son style de vie est meilleur.
Si les gens ont envie de faire des gosses foutez leur la paix. Ça vous permettra d'avoir des petits êtres fragiles à défendre des baffes de leurs immondes parents alors que vous mêmes vous êtes les sains d'esprit qui les aimez tellement que vous n'en voulez pas:)
Et puis c'est pas parce qu'on manque de temps ou qu'on a d'autres priorités qu'on change de centres d'intérêt. J'ai une pote qui a 4 gosses qui sort peu mais qui le fait, un pote gamer qui gère ses mioches et sa guilde, je connais un mec qui profite de garder ses gosses pour s'instruire et les instruire à la peinture, etc.
Ils sont pas devenus plus cons parce qu'ils font quelque chose dans la norme. La norme c'est pas toujours mal. C'est pas parce que des tas de débiles font des gosses juste pour faire comme tout le monde qu'on peut pas trouver des gens intelligents qui en font.
Et être célibataire (ce qui peut être un choix mais c'est bien loin d'être la majorité), c'est pas une marque d'intelligence hein. Juste un état social. Souvent pas désiré et qui marque souvent des incapacités sur bien des points, même si sur fts c'est peut-être pas la majorité.
C'est pas comme si les gens avec des enfants étaient forcément chiants en en parlant ou se limitaient forcément à ça.
Et aussi la division en couple/célibataires existe à tous âges. Même à 20 ans il y a des gens qui sont en couple et qui ont envie de faire plus productif que des soirées en boîtes à se mettre des mines. Et je sais que les célibataires font pas que ça (je l'ai été longtemps et ça se limitait heureusement pas à ça), mais c'est souvent l'exemple donné pour dire "ah il a vieilli" alors que le mec il s'est peut être juste aperçu que c'était vain vu qu'il y allait que pour choper (pas rencontrer mais bien serrer).
Et je trouve que l'arrogance de certains à juger les autres relève sans doute d'un besoin de se prouver que son style de vie est meilleur.
Si les gens ont envie de faire des gosses foutez leur la paix. Ça vous permettra d'avoir des petits êtres fragiles à défendre des baffes de leurs immondes parents alors que vous mêmes vous êtes les sains d'esprit qui les aimez tellement que vous n'en voulez pas:)
Et puis c'est pas parce qu'on manque de temps ou qu'on a d'autres priorités qu'on change de centres d'intérêt. J'ai une pote qui a 4 gosses qui sort peu mais qui le fait, un pote gamer qui gère ses mioches et sa guilde, je connais un mec qui profite de garder ses gosses pour s'instruire et les instruire à la peinture, etc.
Ils sont pas devenus plus cons parce qu'ils font quelque chose dans la norme. La norme c'est pas toujours mal. C'est pas parce que des tas de débiles font des gosses juste pour faire comme tout le monde qu'on peut pas trouver des gens intelligents qui en font.
Et être célibataire (ce qui peut être un choix mais c'est bien loin d'être la majorité), c'est pas une marque d'intelligence hein. Juste un état social. Souvent pas désiré et qui marque souvent des incapacités sur bien des points, même si sur fts c'est peut-être pas la majorité.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Tout à fait le 19.09.15, 15h21 par Atalante01
Respire un coupSi les gens ont envie de faire des gosses foutez leur la paix. Ça vous permettra d'avoir des petits êtres fragiles à défendre des baffes de leurs immondes parents alors que vous mêmes vous êtes les sains d'esprit qui les aimez tellement que vous n'en voulez pas:)
Tu extrapoles sur ce que j'ai dit. Les personnes qui ont des enfants ont nécessairement moins de temps que les autres et sont logiquement socialement moins actives en vertu de leur responsabilités parentales. Je me rappelle que nous avons eu cette conversation à propos du boulot et du temps comme ressources non-renouvellable.
Les pères passent 7,3% de leur temps à s'occuper de leurs enfants et les mères 13,5% ( http://www.pewsocialtrends.org/2013/10/ ... 0-2013-03/ ). C'est donc loin d'être négligeable.
Par ailleurs, si le couple reste la norme, le statut de célibataires est moins stigmatisé qu'il ne l'était il n'y guère. Selon un sondage Parship, 39% des hommes et 54% des femmes célibataires considèrent qu'être célibataires à 30 ans est une chance.
Cela s'explique certainement par le fait que nous valorisons davantage notre bien-être individuel. Le sondage CivicScience mené auprès d'un million de personnes (avec et sans enfants - âges 25-54 ans) nous aidera peut-être à apporter un éclairage qui dépasse le : "J'ai un ami qui."
- Financièrement (l'autre nerf de la guerre pour les sorties culturelles/sociales et les voyages): les gens sans enfants ont 20% plus de chaances d'être capables d'épargner ue portion de leur revenu.
- Culturellement: 41% plus de chances de trouver des non-parents passionnés de musique. 39% plus susceptibles de trouver le temps d'aller au cinéma plus d'une fois par mois.
Sorties: 62% plus de chances que des non-parents déclarent partager une passion pour les voyages. Deux fois plus de chances qu'ils aillent une fois par mois au restaurant entre amis.
Cela ne signifie en aucun cas que les parents sont stupides ou moins heureux (les études divergent sur le sujet, généralement ce sont les premières années du bambin qui réduisent le bien-être des parents de manière notable - 70% des nouveaux parents se déclarent moins heureux : http://link.springer.com/article/10.100 ... 015-0413-2 ).
En tout état de cause, il me semble difficilement contestable que l'arrivée d'un enfant dans le foyer réduise sensiblement les opportunités de socialisation.
L'âge me semble donc être en fin un critère moins pertinent que la parentalité / non parentalité.
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- [0] Constructif le 03.09.15, 16h20 par Sathinelilly
Personnellement je me dirige tranquillement vers les 30 ans. Je trouve que c'est un bel âge.
Pour tout dire, je me sens rajeunir au fur et à mesure que les années avancent, car l'expérience accumulée me libère peu à peu du poids du conditionnement familial et social, qui m'écrasait plus fortement à 20 ans et me rendait très conventionnel et anxieux.
Pour tout dire, je me sens rajeunir au fur et à mesure que les années avancent, car l'expérience accumulée me libère peu à peu du poids du conditionnement familial et social, qui m'écrasait plus fortement à 20 ans et me rendait très conventionnel et anxieux.
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- [+1] +1 le 19.09.15, 12h52 par Lenny2stras
- [+1] Like ! le 20.09.15, 11h32 par Baijin
- [+1] 100% d'accord le 24.09.15, 19h18 par voucny
- [+1] Yesssss! le 26.09.15, 11h25 par splifstarz
Perso j'ai beaucoup d'amis qui vont à des soirées avec leurs enfants, qui les emmènent avec eux, les laissent se balader, faire leur expériences, qui travaillent avec leurs enfants aussi! Mais bon, c'est surtout pour les professions qui ne se font pas en bureau, je parle plutot de personnes ayant évolué dans des milieux artistiques/sociaux, et qui n'enferment pas leurs enfants dans une tour d'ivoire sans une idée classique de comment il faut les éduquer. Les enfants s'adaptent toujours tant qu'ils ont des repères de respect et de présence...
Bien évidemment il y a des contraintes qui viennent avec le fait d'etre parent, et comme le dit Blusher c'est beaucoup plus difficile les premières années (je pense au moins jusque 3-4 ans).
J'ai grandi dans un cadre très peu conventionnel, on avait pas toujours a manger mais je suis jamais morte de faim, on était très autonomes et j'étais souvent entourée des amis de mes parents et d'artistes. Je pense que ça m'a été très bénéfique, et ça me permet de moins voir la parentalité comme une croix. De plus, voir ses parents faire ce qu'ils ont envie de faire et être en accord avec eux même, c'est vachement gratifiant!
Bref je suis un peu hors sujet
Je trouve juste dommage de s'enfermer quand on devient parent...
Personnellement je comprend très bien ce que veut dire Aurélien avec cet article... Par rapport au point 1 sur la vida loca, je crois que ce qu'il y a à retenir c'est surtout "ne pas avoir de regrets", personnellement je trouve beaucoup plus rassurant quelqu'un qui a fait ses expériences et sait ce qu'il veut. Donc expériences multiples ou pas, il ne faut juste pas avoir cette petite voix dans ta tete qui te dis "t'as manqué ça, t'as manqué ça, tu ne sauras JAMAIS ce que c'est que de vivre ça, peut etre qu'en fait tu passes à coté de toi meme". Ca peut etre douloureux, et que ce soit dans le cas de s'etre casé trop tot (a son gout), ou de ne pas avoir fait l'expérience d'une relation longue, ça peut se trainer comme un boulet.
Je serais trop mal si mon homme m'en voulait à vie de ne pas pouvoir se taper d'autres nanas, ou s'il finissait par me tromper parce que c'est une carence chez lui ; c'est en fait un sujet récurrent entre nous... Par période il se sent "en prison", et dans le meme temps il ne veut pas me perdre parce qu'il pense que je suis la femme de sa vie... C'est hyper aliénant. Au final ce qui devrait etre une liberté (choisir d'etre ensemble, de continuer à se découvrir et se re découvrir), devient une contrainte... Je n'aime pas trop cette vision contraignante et je n'ai pas vraiment envie de finir mère célibataire à 35 ans parce que l'autre n'a pas su être honnête avec lui-même (ce qui me pend un peu au nez). Je crois que lui meme n'est pas totalement conscient de cette frustration (il a bientot 28). Quant on s'est rencontrés il voulait vivre un grand amour, tomber follement amoureux et aimer profondémment quelqu'un. Maintenant qu'il l'a eu, il se demande comment c'est de l'autre coté, et dans le meme temps, il se rend compte que ce n'est pas ça qui va le compléter, et qu'avec les avantages de l'amour, viennent aussi les inconvenients. Et puis c'est toujours le fameux "est-ce que l'herbe n'est pas plus verte chez mon voisin au final?". Je lui ai déjà dit que je préférais etre seule (et à fortiori avant d'avoir des gosses, plutot ne pas en avoir d'ailleurs que ça d'ailleurs) que de vivre avec quelqu'un qui m'en voudra toute sa vie de l'avoir 'empeché' de vivre d'autres expériences, ou qui s'en rendra compte trop tard!
Sinon je n'ai pas encore 30 ans mais le point sur lequel je me reconnais personnellement le plus, c'est au niveau professionnel. J'ai presque 26 ans et je ne sais pas encore clairement où je vais... Un vrai problème depuis un an. Du coup je m'y attèle parce que plus le temps passe et plus je me rend compte que c'est psychologiquement plus difficile pour moi de m'y mettre et de prendre clairement la direction qui pourrait m'épanouir. Je risque de finir aigrie, et dans le milieu créatif mieux vaut s'y prendre tot, parce qu'au bout d'un moment, certaines portes se ferment. Je me sens encore capable de vivre sans un balle à même le sol pour privilégier mes conviction, imaginer que je vais refaire le monde et affirmer mon désir d’être écrivain, mais ça devient limite. Parfois, j'ai l'impression d’être nul part, de m’être trop perdue dans plein de domaines différents et que si on veut réellement apporter notre contribution à l'édifice ça prend du temps, il faut savoir trancher et arrêter de se disperser.
Comme l'a si bien dit un de mes potes peintre (qui a plus ou moins le meme age que moi) : "C'est marrant de voir tous ces jeunes (19-20 ans) qui ont super envie, avant on était plein d'énergie, on avait la niaque de se lever matin pour faire des choses, la seule énergie de l'action et de la découverte était excitante, maintenant, j'ai l'impression qu'on a besoin que ça serve à quelque chose, que ça ait du sens pour avoir envie de sortir de son lit". De l'énergie de l'action, à l'énergie de la conscience...
Bien évidemment il y a des contraintes qui viennent avec le fait d'etre parent, et comme le dit Blusher c'est beaucoup plus difficile les premières années (je pense au moins jusque 3-4 ans).
J'ai grandi dans un cadre très peu conventionnel, on avait pas toujours a manger mais je suis jamais morte de faim, on était très autonomes et j'étais souvent entourée des amis de mes parents et d'artistes. Je pense que ça m'a été très bénéfique, et ça me permet de moins voir la parentalité comme une croix. De plus, voir ses parents faire ce qu'ils ont envie de faire et être en accord avec eux même, c'est vachement gratifiant!
Bref je suis un peu hors sujet

Personnellement je comprend très bien ce que veut dire Aurélien avec cet article... Par rapport au point 1 sur la vida loca, je crois que ce qu'il y a à retenir c'est surtout "ne pas avoir de regrets", personnellement je trouve beaucoup plus rassurant quelqu'un qui a fait ses expériences et sait ce qu'il veut. Donc expériences multiples ou pas, il ne faut juste pas avoir cette petite voix dans ta tete qui te dis "t'as manqué ça, t'as manqué ça, tu ne sauras JAMAIS ce que c'est que de vivre ça, peut etre qu'en fait tu passes à coté de toi meme". Ca peut etre douloureux, et que ce soit dans le cas de s'etre casé trop tot (a son gout), ou de ne pas avoir fait l'expérience d'une relation longue, ça peut se trainer comme un boulet.
Je serais trop mal si mon homme m'en voulait à vie de ne pas pouvoir se taper d'autres nanas, ou s'il finissait par me tromper parce que c'est une carence chez lui ; c'est en fait un sujet récurrent entre nous... Par période il se sent "en prison", et dans le meme temps il ne veut pas me perdre parce qu'il pense que je suis la femme de sa vie... C'est hyper aliénant. Au final ce qui devrait etre une liberté (choisir d'etre ensemble, de continuer à se découvrir et se re découvrir), devient une contrainte... Je n'aime pas trop cette vision contraignante et je n'ai pas vraiment envie de finir mère célibataire à 35 ans parce que l'autre n'a pas su être honnête avec lui-même (ce qui me pend un peu au nez). Je crois que lui meme n'est pas totalement conscient de cette frustration (il a bientot 28). Quant on s'est rencontrés il voulait vivre un grand amour, tomber follement amoureux et aimer profondémment quelqu'un. Maintenant qu'il l'a eu, il se demande comment c'est de l'autre coté, et dans le meme temps, il se rend compte que ce n'est pas ça qui va le compléter, et qu'avec les avantages de l'amour, viennent aussi les inconvenients. Et puis c'est toujours le fameux "est-ce que l'herbe n'est pas plus verte chez mon voisin au final?". Je lui ai déjà dit que je préférais etre seule (et à fortiori avant d'avoir des gosses, plutot ne pas en avoir d'ailleurs que ça d'ailleurs) que de vivre avec quelqu'un qui m'en voudra toute sa vie de l'avoir 'empeché' de vivre d'autres expériences, ou qui s'en rendra compte trop tard!
Sinon je n'ai pas encore 30 ans mais le point sur lequel je me reconnais personnellement le plus, c'est au niveau professionnel. J'ai presque 26 ans et je ne sais pas encore clairement où je vais... Un vrai problème depuis un an. Du coup je m'y attèle parce que plus le temps passe et plus je me rend compte que c'est psychologiquement plus difficile pour moi de m'y mettre et de prendre clairement la direction qui pourrait m'épanouir. Je risque de finir aigrie, et dans le milieu créatif mieux vaut s'y prendre tot, parce qu'au bout d'un moment, certaines portes se ferment. Je me sens encore capable de vivre sans un balle à même le sol pour privilégier mes conviction, imaginer que je vais refaire le monde et affirmer mon désir d’être écrivain, mais ça devient limite. Parfois, j'ai l'impression d’être nul part, de m’être trop perdue dans plein de domaines différents et que si on veut réellement apporter notre contribution à l'édifice ça prend du temps, il faut savoir trancher et arrêter de se disperser.
Comme l'a si bien dit un de mes potes peintre (qui a plus ou moins le meme age que moi) : "C'est marrant de voir tous ces jeunes (19-20 ans) qui ont super envie, avant on était plein d'énergie, on avait la niaque de se lever matin pour faire des choses, la seule énergie de l'action et de la découverte était excitante, maintenant, j'ai l'impression qu'on a besoin que ça serve à quelque chose, que ça ait du sens pour avoir envie de sortir de son lit". De l'énergie de l'action, à l'énergie de la conscience...
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- [+1] Intéressant le 20.09.15, 00h07 par Nidwazo
Ca c'est vraiment le truc à flinguer la soirée pour tout le monde. On ne leur fait jamais la réflexion?Perso j'ai beaucoup d'amis qui vont à des soirées avec leurs enfants, qui les emmènent avec eux
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- [0] Trop dogmatique le 19.09.15, 20h19 par The_PoP
- [0] Prends un peu de recul le 20.09.15, 09h00 par Axelos
- [0] Bienvenue le 21.09.15, 00h57 par Lulla
- [0] Pourquoi tant de haine ? le 26.09.15, 11h27 par splifstarz
Non... et les enfants sont pas chiants, ils font leurs trucs dans leur coin, pas trop demandeurs d'attention, pas de crises, ils sont habitués... Question de caractère (de l'enfant aussi) j'imagine 
Quand le gosse est crevé au dodo et les parents continuent à faire la fête...
Une de mes potes emmène meme sa fille dans des grosses soirées electro (elle lui met un casque sur les oreilles pour le bruit), et puis elle a une salle à l'étage où elle peut caser la petite pour la nuit. Et franchement, ça peut paraitre malsain dit comme ça mais pas du tout, la petite s'éclate (4 ans) et est très à l'aise.
D'ailleurs entre ma pote et moi, c'est elle la plus demandeuse en sorties..

Quand le gosse est crevé au dodo et les parents continuent à faire la fête...
Une de mes potes emmène meme sa fille dans des grosses soirées electro (elle lui met un casque sur les oreilles pour le bruit), et puis elle a une salle à l'étage où elle peut caser la petite pour la nuit. Et franchement, ça peut paraitre malsain dit comme ça mais pas du tout, la petite s'éclate (4 ans) et est très à l'aise.
D'ailleurs entre ma pote et moi, c'est elle la plus demandeuse en sorties..
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- [0] Facepalm le 20.09.15, 11h54 par Blusher
Tous les parents ne vivent pas leur parentalité de la même façon.
Si pour certains le fait d'être parents sonne le glas de leur vie sociale, c'est parce qu'ils le veulent bien.
Mais on peut toujours se consacrer à ses passions et aller à des soirées, même quand on a des enfants.
Au besoin on peut toujours les faire garder.
Si pour certains le fait d'être parents sonne le glas de leur vie sociale, c'est parce qu'ils le veulent bien.
Mais on peut toujours se consacrer à ses passions et aller à des soirées, même quand on a des enfants.
Au besoin on peut toujours les faire garder.
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- [+1] 100% d'accord le 20.09.15, 11h59 par Atalante01
- [+1] 100% d'accord le 20.09.15, 12h55 par The_PoP
- [0] C'est pas si simple le 21.09.15, 13h50 par Blusher
Pour beaucoup de parents c'est leur voeu le plus cher mais il ne suffit pas de leur dire qu'ils peuvent pour que cela devienne réalité.-Alex a écrit :Tous les parents ne vivent pas leur parentalité de la même façon.
Si pour certains le fait d'être parents sonne le glas de leur vie sociale, c'est parce qu'ils le veulent bien.
Mais on peut toujours se consacrer à ses passions et aller à des soirées, même quand on a des enfants.
Au besoin on peut toujours les faire garder.
Hors coût de garde, l'arrivée d'un enfant provoque une perte de niveau de vie de 18% (près de 30% quand on a deux enfants). Pour beaucoup, ce n'est donc pas sans conséquence l'argent étant souvent le nerf la guerre pour les sorties (le temps aussi). Notons que les enfants coûtent plus chers au couples divorcés qui ne jouissent plus d'économie d'échelle (logement etc.)
Au total et selon diverses études (Credes, Unaf, Secodip, Familles rurales, Cidef, Centre textile de conjoncture et d’observation économique pour l’habillement, Confédération syndicale des familles) un enfant coûte 100.000 euros à ses parents de sa naissance à sa majorité.
Le coût en temps est réel, il faut vraiment n'avoir jamais parlé avec de jeunes parents pour prétendre le contraire. Il peut d'ailleurs être mesuré principalement pour les femmes par l’amputation des capacités de travail professionnel et d’épargne des parents.
(INED, Population & sociétés, n°426 : la charge de la conciliation entre les contraintes
professionnelles et les responsabilités parentales repose essentiellement sur les
femmes).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas le plus important le 21.09.15, 14h22 par Atalante01
- [0] Trop dogmatique le 22.09.15, 20h18 par Penelope
Les statistiques c'est cool, et c'est vraiment intéressant d'avoir de la doc!
Mais au delà de ça, on peut aussi essayer d'être l'exception qui concilie les deux. Mes parents sortaient, faisaient des diner avec leurs amis avec nous (mon frère et moi) à table (tranquilles)
Parfois en partait en week end avec les adultes mais c'était jamais "centré" autour de nous.
C'est juste une affaire d'éducation, les parents te disent juste qu'ils ont eux aussi des amis et qu'ils ne "jouent" pas de la même façon, et qu'être grand c'est comprendre et respecter ça. Je me souviens encore tel quel ce que me disait maman c'est drôle.
Le truc aussi, c'est que mes parents avaient les moyens d'avoir des nounous qui s'occupaient de nous (et qui ne nous en RIEN fait penser que nos parents ne s'occupaient pas assez de nous, quand ils rentraient un peu plus tard ou qu'ils sortaient).
Donc oui, c'est difficile de concilier les deux, c'est vrai, mais on peut s'en donner les moyens si c'est un objectif de vie (être bon parents et avoir une vie sociale).
L'argument économique est très vrai aussi.
Mais au delà de ça, on peut aussi essayer d'être l'exception qui concilie les deux. Mes parents sortaient, faisaient des diner avec leurs amis avec nous (mon frère et moi) à table (tranquilles)
Parfois en partait en week end avec les adultes mais c'était jamais "centré" autour de nous.
C'est juste une affaire d'éducation, les parents te disent juste qu'ils ont eux aussi des amis et qu'ils ne "jouent" pas de la même façon, et qu'être grand c'est comprendre et respecter ça. Je me souviens encore tel quel ce que me disait maman c'est drôle.
Le truc aussi, c'est que mes parents avaient les moyens d'avoir des nounous qui s'occupaient de nous (et qui ne nous en RIEN fait penser que nos parents ne s'occupaient pas assez de nous, quand ils rentraient un peu plus tard ou qu'ils sortaient).
Donc oui, c'est difficile de concilier les deux, c'est vrai, mais on peut s'en donner les moyens si c'est un objectif de vie (être bon parents et avoir une vie sociale).
L'argument économique est très vrai aussi.
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- [+1] +1 le 21.09.15, 15h21 par Atalante01
- [+2] Merci ! :) le 26.09.15, 11h33 par splifstarz
- [0] 100% d'accord le 17.10.15, 17h25 par Fredbart94