Re: Quand notre esprit s'invite sous la couette
Posté : 18.05.16
Merci à tous pour vos interventions !
L'idée de ce topic n'était pas de développer le concept de valeurs mais bien d'envisager nos éventuelles élucubrations mentales, qu'elles soient réfrigérantes ou excitantes.
Ce sont vos témoignages qui m'intéressent car je m'aperçois de plus en plus que l'ouverture d'esprit des membres du forum n'est pas si commune à l'extérieur, loin s'en faut. J'ai en effet dans mon entourage proches des personnes pour qui faire l'amour est tout sauf un espace de liberté...
Pour ma part, comme Sathine, j'assume mes envies, mes besoins, mon corps est un ami cher avec ses qualités et ses défauts et cela fait longtemps que le jugement des autres ne m'atteint plus.
Je ne me comporte néanmoins pas de la même façon selon les relations. Cela ne dépend pas de leur durée, j'ai déjà vécu des moments extraordinaires même avec un quasi inconnu. Tout allait de soi, nos corps s'accordaient à la perfection jouant sur toute la palette des sensations, feu d'artifice assuré. J'ai besoin de caresser, d'être caressée, de jouer en laissant la tension croître, de me refuser pour mieux revenir, de provoquer, de sentir mon corps s'embraser petit à petit, de mener l'autre à l'extrême bord du plaisir sans pour autant que nous nous laissions aller de suite. Et là aucun besoin de faire marcher ma tête.
A contrario me suis déjà ennuyée dans une relations stable. Et dans ce cas, j'avoue avoir fait appel à mon mental pour m'exciter et prendre du plaisir.
Je pense notamment à un homme rencontré début d'année et avec qui la relation a été si laborieuse que j'y ai mis un terme. En théorie il avait tout bon mais au lit son peu d'entrain, son manque d'imagination, son refus face à mes initiatives m'ont amenée à fantasmer un maximum. Je suis venue à convier mentalement un ex, à imaginer des situations troublantes avec un ou plusieurs inconnus, à espérer être dominée etc... Et le jour où il m'a reproché de ne jamais être fatiguée (!) ce fut la goutte de trop.
L'idée de ce topic n'était pas de développer le concept de valeurs mais bien d'envisager nos éventuelles élucubrations mentales, qu'elles soient réfrigérantes ou excitantes.
Ce sont vos témoignages qui m'intéressent car je m'aperçois de plus en plus que l'ouverture d'esprit des membres du forum n'est pas si commune à l'extérieur, loin s'en faut. J'ai en effet dans mon entourage proches des personnes pour qui faire l'amour est tout sauf un espace de liberté...
Pour ma part, comme Sathine, j'assume mes envies, mes besoins, mon corps est un ami cher avec ses qualités et ses défauts et cela fait longtemps que le jugement des autres ne m'atteint plus.
Je ne me comporte néanmoins pas de la même façon selon les relations. Cela ne dépend pas de leur durée, j'ai déjà vécu des moments extraordinaires même avec un quasi inconnu. Tout allait de soi, nos corps s'accordaient à la perfection jouant sur toute la palette des sensations, feu d'artifice assuré. J'ai besoin de caresser, d'être caressée, de jouer en laissant la tension croître, de me refuser pour mieux revenir, de provoquer, de sentir mon corps s'embraser petit à petit, de mener l'autre à l'extrême bord du plaisir sans pour autant que nous nous laissions aller de suite. Et là aucun besoin de faire marcher ma tête.
A contrario me suis déjà ennuyée dans une relations stable. Et dans ce cas, j'avoue avoir fait appel à mon mental pour m'exciter et prendre du plaisir.
Je pense notamment à un homme rencontré début d'année et avec qui la relation a été si laborieuse que j'y ai mis un terme. En théorie il avait tout bon mais au lit son peu d'entrain, son manque d'imagination, son refus face à mes initiatives m'ont amenée à fantasmer un maximum. Je suis venue à convier mentalement un ex, à imaginer des situations troublantes avec un ou plusieurs inconnus, à espérer être dominée etc... Et le jour où il m'a reproché de ne jamais être fatiguée (!) ce fut la goutte de trop.