Re: Ohren d'hier, aujoud'hui je te dépasse!
Posté : 31.07.16
JOUR 2 De l’alcool, toujours de l’alcool.
Tortillats sous les pieds, sable sur les lits et 2 grammes dans les veines. Bienvenue dans le sud.
J’ai passé une semaine de dingue, avec des gens de dingue dans une ambiance de dingue. Savoir les cocktails enfilés, on s’en temponne alors je vais parler de choses qui me tiennent plus à coeur.
On était 9, 4 mecs, 4 nanas et Cerise. C’est un groupe d’amis qui se connaît depuis le lycée et je l’ai rejoint par l’intermédiaire d’un ami proche. Je les appréciais déjà tous, on avait déliré en soirée ensemble. Tous sauf Cerise que je ne connaissais pas avant. Mais dès le premier jour passé je sentais qu’il y avait un truc. Son regard était taquin et me dévorait.
Deuxième soir sur la plage de Biarritz, saoule comme des saumons, elle me prend par la main et m’assis en face d’elle.
-Je n’ai jamais couché dans un lieu public
On boit tous les deux
-Je n’ai jamais *blablabla*…
On continue de bavarder, je suis scotché à ses lèvres.
-*blablabla*
-Shhhh, ta gueule.
Et je l’embrasse.
Elle rigole et m’embrasse. On mit les pieds dans l’eau, puis les genoux, se provoquant pour toujours aller plus loin . Mouillé jusqu’aux hanches on rentra à la maison, poussés par le froid malgré l’envie de rester ensemble. On s’endormit chacun de notre côté.
Le troisième soir on passe de nouveau la soirée ensemble, cette fois-ci avec de la méphédrone dans le pif, (j’avais envie de découvrir la molécule avant mon expatriation).
http://psychonautwiki.org/wiki/Mephedrone
Les amis, faites pas n’importe quoi avec vos synapses,renseignez-vous chez:
psychonautwiki.org
erowid.org
psychonaut.com/forum.php#francais
La soirée fut exquise, le lendemain moins. On était parti faire des câlins dans le lit l’aprèm après une courte nuit de sommeil, et j’ai machinalement créé de la tension sexuelle entre nous. On se retrouve nu l’un au-dessus de l’autre mais je n’avais pas envie de baiser. La redescente d’alcool, de drogue, la fatigue et le manque d’aise dans le moment on soigneusement pris soin de me faire psychoter, de me faire douter de moi jusqu’à la mouelle et de me submerger rumination. Je n'étais pas loin de la parano.
On a discuté de ça le soir même, elle aussi le sentait pas trop, je me suis senti réconforté.
Puis c’est passé.
Mon poste traduisait certes mon état d’esprit, mais une fois reposé il me paraît un poil ridicule.
On a passé la fin de semaine comme un couple. Un couple éphémère. J’apprécie beaucoup cette fille. Une grande gueule mais toujours juste socialement, intelligente et droite. Elle en a vécu, et ça se ressent. Une force tranquille.
Je lui plais aussi, et ça sent. Elle rigole de manière niaise à mes blagues.
-Tu me plais, tu es mignon.
-Je sais.
*notez mon ego top moumoute, en même temps on me l’a un peu trop dit*
-Ahaha c’est ce qui me plaît chez toi,tu le sais et ça se voit mais tu n’en fait pas trop c’est cool.
-Fait gaffe avec tes compliments j’ai les chevilles qui enflent facilement*full vérité*
Malheureseusement elle ne me dilate pas les pupilles, ne me palpite pas le coeur, ne me donne pas l’irrésistible envie de mordre ses lèvres. Elle a beau avoir de grands yeux bleus et être plutôt minces, je ne suis pas sous ses charmes. Je suis plus proche d'une forme de tendresse/affection que d’une sauvage envie de lui déchirer ses habits.
Du coup on n'a pas couché ensemble. Aussi parce qu’on était soit bourré, soit en redescente de cuite et ça, ça me flingue le zgeg. Elle m’a loué mes cunis orgasmiques par contre, et ça c’est buen; merci fts!
Je vais faire un petit bilan de ma vie, et le tout avec une liste, parce que les listes c’est cool.
Et puis je pars en semestre à l’étranger, je ferais un avant/après.
-Ma vie est cool. J’aime mes amis, ils sont formidables, j’ai une vie sociale largement suffisante quoique manquant un peu de nouvelles têtes. Un manque peut être de féminité dans mes fréquentations aussi.
-J’ai une vraie confiance en moi, et apparemment ça se voit:
Cerise: dès que tu es rentré dans la pièce le premier jour tu rayonnais de confiance en toi comme si tu n’avais besoin que de tes amis sur terre.
-J’ai quand même un peu trop d’ego. Avoir sauté 2 classes (redoublé deux, bouuu le branleur), connaitre son QI, et être physiquement plaisant, ça n’aide pas trop. Ça ne m’a jamais empêché d’être bienveillant. Par contre je suis très mauvais pour recevoir des compliments. Est-ce tant un mal que ça ?
-Ma dernière LTR fut un peu trop par défaut à mon gout, je le realise maintenant en découvrant plein de personnalité raffrachissante et inspirantes.
-J’ai un léger blocage avec l’utilisation de mon sexe. J’ai encore une vieille croyance:
lever des nanas c’est cool + je veux être cool = J’ai l’impression que je dois lever des nanas alors que j’en ai pas nécessairement envie = conflit interne = caca.
Aussi, j’ai l’impression d’aller un peu trop vers ces mesdames pour plaire, pour me faire de l'xp ou encore sortir de ma zone de confort. À travailler donc…
-J’essaye de plus faire confiance à mes trippes, mon intuition et lâcher SHUT THE FUCK UP à ma tête, et là c’est en bon chemin
-J’ai encore quelques réflexions personnelles en cours, j’essaie de trouver un juste milieu entre:
aliénation sociale/intégrité personnelle
trippe/tête
acceptation de l’affection/imperméabilité au signe d’affection (savoir quand se lâcher ou au contraire chercher à être le plus auto-suffisant)
-Quand je cherche à connaître quelqu’un, je m’attarde un peu trop sur son passé, comme si j’étais un détective des expériences. Et sans ça, j’avais l’impression de ne pas cerner la personne en face. Alors qu’en fait, osef, je m’en cars l’ognon, j’embrasse de plus en plus leur être au présent.
Merci de me suivre les gens, ça fait gavé désolé c'est Bordeaux plaisir d'étaler des tartines et de savoir qu'il y a des gens qui sont là pour vous aider.
With love,
Ohren.
Tortillats sous les pieds, sable sur les lits et 2 grammes dans les veines. Bienvenue dans le sud.
J’ai passé une semaine de dingue, avec des gens de dingue dans une ambiance de dingue. Savoir les cocktails enfilés, on s’en temponne alors je vais parler de choses qui me tiennent plus à coeur.
On était 9, 4 mecs, 4 nanas et Cerise. C’est un groupe d’amis qui se connaît depuis le lycée et je l’ai rejoint par l’intermédiaire d’un ami proche. Je les appréciais déjà tous, on avait déliré en soirée ensemble. Tous sauf Cerise que je ne connaissais pas avant. Mais dès le premier jour passé je sentais qu’il y avait un truc. Son regard était taquin et me dévorait.
Deuxième soir sur la plage de Biarritz, saoule comme des saumons, elle me prend par la main et m’assis en face d’elle.
-Je n’ai jamais couché dans un lieu public
On boit tous les deux
-Je n’ai jamais *blablabla*…
On continue de bavarder, je suis scotché à ses lèvres.
-*blablabla*
-Shhhh, ta gueule.
Et je l’embrasse.
Elle rigole et m’embrasse. On mit les pieds dans l’eau, puis les genoux, se provoquant pour toujours aller plus loin . Mouillé jusqu’aux hanches on rentra à la maison, poussés par le froid malgré l’envie de rester ensemble. On s’endormit chacun de notre côté.
Le troisième soir on passe de nouveau la soirée ensemble, cette fois-ci avec de la méphédrone dans le pif, (j’avais envie de découvrir la molécule avant mon expatriation).
http://psychonautwiki.org/wiki/Mephedrone
Les amis, faites pas n’importe quoi avec vos synapses,renseignez-vous chez:
psychonautwiki.org
erowid.org
psychonaut.com/forum.php#francais
La soirée fut exquise, le lendemain moins. On était parti faire des câlins dans le lit l’aprèm après une courte nuit de sommeil, et j’ai machinalement créé de la tension sexuelle entre nous. On se retrouve nu l’un au-dessus de l’autre mais je n’avais pas envie de baiser. La redescente d’alcool, de drogue, la fatigue et le manque d’aise dans le moment on soigneusement pris soin de me faire psychoter, de me faire douter de moi jusqu’à la mouelle et de me submerger rumination. Je n'étais pas loin de la parano.
On a discuté de ça le soir même, elle aussi le sentait pas trop, je me suis senti réconforté.
Puis c’est passé.
Mon poste traduisait certes mon état d’esprit, mais une fois reposé il me paraît un poil ridicule.
On a passé la fin de semaine comme un couple. Un couple éphémère. J’apprécie beaucoup cette fille. Une grande gueule mais toujours juste socialement, intelligente et droite. Elle en a vécu, et ça se ressent. Une force tranquille.
Je lui plais aussi, et ça sent. Elle rigole de manière niaise à mes blagues.
-Tu me plais, tu es mignon.
-Je sais.
*notez mon ego top moumoute, en même temps on me l’a un peu trop dit*
-Ahaha c’est ce qui me plaît chez toi,tu le sais et ça se voit mais tu n’en fait pas trop c’est cool.
-Fait gaffe avec tes compliments j’ai les chevilles qui enflent facilement*full vérité*
Malheureseusement elle ne me dilate pas les pupilles, ne me palpite pas le coeur, ne me donne pas l’irrésistible envie de mordre ses lèvres. Elle a beau avoir de grands yeux bleus et être plutôt minces, je ne suis pas sous ses charmes. Je suis plus proche d'une forme de tendresse/affection que d’une sauvage envie de lui déchirer ses habits.
Du coup on n'a pas couché ensemble. Aussi parce qu’on était soit bourré, soit en redescente de cuite et ça, ça me flingue le zgeg. Elle m’a loué mes cunis orgasmiques par contre, et ça c’est buen; merci fts!
Je vais faire un petit bilan de ma vie, et le tout avec une liste, parce que les listes c’est cool.
Et puis je pars en semestre à l’étranger, je ferais un avant/après.
-Ma vie est cool. J’aime mes amis, ils sont formidables, j’ai une vie sociale largement suffisante quoique manquant un peu de nouvelles têtes. Un manque peut être de féminité dans mes fréquentations aussi.
-J’ai une vraie confiance en moi, et apparemment ça se voit:
Cerise: dès que tu es rentré dans la pièce le premier jour tu rayonnais de confiance en toi comme si tu n’avais besoin que de tes amis sur terre.
-J’ai quand même un peu trop d’ego. Avoir sauté 2 classes (redoublé deux, bouuu le branleur), connaitre son QI, et être physiquement plaisant, ça n’aide pas trop. Ça ne m’a jamais empêché d’être bienveillant. Par contre je suis très mauvais pour recevoir des compliments. Est-ce tant un mal que ça ?
-Ma dernière LTR fut un peu trop par défaut à mon gout, je le realise maintenant en découvrant plein de personnalité raffrachissante et inspirantes.
-J’ai un léger blocage avec l’utilisation de mon sexe. J’ai encore une vieille croyance:
lever des nanas c’est cool + je veux être cool = J’ai l’impression que je dois lever des nanas alors que j’en ai pas nécessairement envie = conflit interne = caca.
Aussi, j’ai l’impression d’aller un peu trop vers ces mesdames pour plaire, pour me faire de l'xp ou encore sortir de ma zone de confort. À travailler donc…
-J’essaye de plus faire confiance à mes trippes, mon intuition et lâcher SHUT THE FUCK UP à ma tête, et là c’est en bon chemin
-J’ai encore quelques réflexions personnelles en cours, j’essaie de trouver un juste milieu entre:
aliénation sociale/intégrité personnelle
trippe/tête
acceptation de l’affection/imperméabilité au signe d’affection (savoir quand se lâcher ou au contraire chercher à être le plus auto-suffisant)
-Quand je cherche à connaître quelqu’un, je m’attarde un peu trop sur son passé, comme si j’étais un détective des expériences. Et sans ça, j’avais l’impression de ne pas cerner la personne en face. Alors qu’en fait, osef, je m’en cars l’ognon, j’embrasse de plus en plus leur être au présent.
Merci de me suivre les gens, ça fait gavé désolé c'est Bordeaux plaisir d'étaler des tartines et de savoir qu'il y a des gens qui sont là pour vous aider.
With love,
Ohren.