Re: Tous demi-sexuels ?
Posté : 10.05.17
D'après les découvertes de Jacques Balthazar, spécialiste des effets des hormones sur le comportement, l'attirance sexuelle développe en grande partie son terreau au stade embryonnaire.
Pour résumer les arguments :
1) La présence de certaines maladies de dérégulation hormonales chez la mère pendant pendant la grossesse ferait passer une population témoin comptant environ 5-10% d'homosexuels à l'âge adulte, à environ 30-40% d'homosexuels à l'âge adulte, soit 3 à 4 fois plus.
2) On sait que la testostérone joue un rôle majeur dans le développement de certaines parties physiques du corps. Or chez les homosexuels, ces différences physiques sont inversées pour certaines d'entre elles : par exemple, le fonctionnement de l'oreille interne des lesbiennes est le même que celui d'un homme hétérosexuel.
Conclusion : certains pics hormonaux durant le développement embryonnaire jouent un grand rôle dans l'orientation sexuelle future, qui se déterminera tout de même selon les stimuli que l'environnement apportera à l'individu.
Les aliments d'aujourd'hui étant contaminés de perturbateurs endocriniens, on peut se poser la question quant à l'évolution de la propension de ce concept de semi-sexuel que je ne connaissais pas.
Je précise ceci n'est en aucun cas un jugement et que je ne fais que relayer les études d'un spécialiste hormonal.
Ayant quelques amis homosexuels et bisexuels, et sachant que leur orientation n'était pas un choix, mais quelque chose qu'ils ont senti et s'est imposé à eux, j'aurai plutôt tendance à trouver cela cohérent. Toujours sans jugement aucun.
Pour résumer les arguments :
1) La présence de certaines maladies de dérégulation hormonales chez la mère pendant pendant la grossesse ferait passer une population témoin comptant environ 5-10% d'homosexuels à l'âge adulte, à environ 30-40% d'homosexuels à l'âge adulte, soit 3 à 4 fois plus.
2) On sait que la testostérone joue un rôle majeur dans le développement de certaines parties physiques du corps. Or chez les homosexuels, ces différences physiques sont inversées pour certaines d'entre elles : par exemple, le fonctionnement de l'oreille interne des lesbiennes est le même que celui d'un homme hétérosexuel.
Conclusion : certains pics hormonaux durant le développement embryonnaire jouent un grand rôle dans l'orientation sexuelle future, qui se déterminera tout de même selon les stimuli que l'environnement apportera à l'individu.
Les aliments d'aujourd'hui étant contaminés de perturbateurs endocriniens, on peut se poser la question quant à l'évolution de la propension de ce concept de semi-sexuel que je ne connaissais pas.
Je précise ceci n'est en aucun cas un jugement et que je ne fais que relayer les études d'un spécialiste hormonal.
Ayant quelques amis homosexuels et bisexuels, et sachant que leur orientation n'était pas un choix, mais quelque chose qu'ils ont senti et s'est imposé à eux, j'aurai plutôt tendance à trouver cela cohérent. Toujours sans jugement aucun.