Re: Les antidépresseurs et le sevrage
Posté : 13.02.22
Peut-être que ta psy est perdue ou pas adaptée devant ton cas. Ou que sa méthodologie ne convient pas au travail que tu veux faire (et effectivement je pense que j'aurais perdu patience)
Dans tous les cas, un psychologue n'est pas équipé pour traiter des problèmes liés à la pharmacologie, quand bien même de souvenir ils apprennent les bases de la neurologie.
Tu dois voir un psychiatre, seul habilité à prescrire et gérer les problématiques d'adaptation de traitement.
Pour le reste c'est "dans la tête" mais au niveau organique. De la même manière que tu résous pas un diabète ou une fracture par la volonté, tout ce que tu peux faire au niveau neuropsychologique c'est tenter de t'imposer une discipline, mais ça ne change pas les problèmes de fond, primitifs, constitutif.
Si tu es né avec un cerveau qui a certaines tendances, tu peux plus ou moins intervenir dessus par des adjuvants comme le sport, l'alimentation, mais tu restes tributaire de la gravité du problème au niveau biologique. Certaines personnes ont des dépressions graves avec pensées suicidaires même si elles méditent, dorment bien, ont une alimentation correcte et pas de stress, etc. Celles-ci on ne peut les aider qu'avec des médicaments.
Dans ton cas c'est le psychiatre qui doit l'évaluer, mais si tu es buté à cause de tes valeurs, tes valeurs ne te feront pas de bien ni sur ce problème ni en général. Une valeur qui t'empêche de faire ce qui est bien pour toi (et ne concerne que toi), et ne t'engage qu'à maintenir un état dans lequel tu es mal, c'est de la merde. Surtout que c'est un cliché pourri issu de "l'homme fort". On en parlait dans le sujet sur la masculinité, le fait que certains n'aillent pas recourir aux services médicaux compétents parce qu'on est censés serrer les dents, c'est de la merde, c'est une déviance. Être fort ça empêche pas d'être humain et malade.
Dans tous les cas, un psychologue n'est pas équipé pour traiter des problèmes liés à la pharmacologie, quand bien même de souvenir ils apprennent les bases de la neurologie.
Tu dois voir un psychiatre, seul habilité à prescrire et gérer les problématiques d'adaptation de traitement.
Pour le reste c'est "dans la tête" mais au niveau organique. De la même manière que tu résous pas un diabète ou une fracture par la volonté, tout ce que tu peux faire au niveau neuropsychologique c'est tenter de t'imposer une discipline, mais ça ne change pas les problèmes de fond, primitifs, constitutif.
Si tu es né avec un cerveau qui a certaines tendances, tu peux plus ou moins intervenir dessus par des adjuvants comme le sport, l'alimentation, mais tu restes tributaire de la gravité du problème au niveau biologique. Certaines personnes ont des dépressions graves avec pensées suicidaires même si elles méditent, dorment bien, ont une alimentation correcte et pas de stress, etc. Celles-ci on ne peut les aider qu'avec des médicaments.
Dans ton cas c'est le psychiatre qui doit l'évaluer, mais si tu es buté à cause de tes valeurs, tes valeurs ne te feront pas de bien ni sur ce problème ni en général. Une valeur qui t'empêche de faire ce qui est bien pour toi (et ne concerne que toi), et ne t'engage qu'à maintenir un état dans lequel tu es mal, c'est de la merde. Surtout que c'est un cliché pourri issu de "l'homme fort". On en parlait dans le sujet sur la masculinité, le fait que certains n'aillent pas recourir aux services médicaux compétents parce qu'on est censés serrer les dents, c'est de la merde, c'est une déviance. Être fort ça empêche pas d'être humain et malade.