
Bon la prochaine fois en phase de confort je dis que j'ai jamais embrassé une fille on vera si la réaction est la même

geek-power a écrit :j'ai pas du tout aimé, je pense que les méthodes qu'on apprend sur fts servent justement a ne pas s'abaisser a utiliser celle du film, c a d : boire/fumer pour draguer et se taper une fille bouré
euh...as tu compris la base du film ? en quoi cela se resume t il a boire/fumer et se taper une fille bourrée ?geek-power a écrit :j'ai pas du tout aimé, je pense que les méthodes qu'on apprend sur fts servent justement a ne pas s'abaisser a utiliser celle du film, c a d : boire/fumer pour draguer et se taper une fille bouré
attention ici on ne parle pas de mystery methode c'est du NATURAL GAME ce qui n'exclue en rien d'avoir un peu de technique !"c'est un etat d'esprit, il faut que le Sexe fasse corps en toi, qu'il soit partout. à chaque instant...être à l'affut de l'opportunité...etc..."
Bref ya bon les chewing-gums, j'avais du prendre un paquet afro-disiaque sans le savoir.Je mache un chewing-gum. Une black mignonne chaude mais très clean d'apparence s'approche vers moi.
E : T'as un chewing-gum ?
Moi : Ouais, tiens.
Moi : Alors, t'as pas pris ton numéro ? (précision : soirée célibataire, les gens pouvaient se post-iter un n° sur la tronche pour chercher sa moité)
E : Non, je ne cherche personne. Pourquoi, et toi, il est où ton numéro ?
Moi : Dans mon caleçon, mais pour le trouver, il faut aller le chercher ! (je remonte mon boxer, en fait sortir l'étiquette du pantalon et lui fait mine d'aller regarder)
E : Chiche (met la main dans mon calbute et me touche le ouistiti).
Ne t'es tu pas demandé si ce n'était pas justement cette image que le réalisateur voulait faire passer ? Puis évidemment le fammeux concept qu'on retrouve beaucoup : le mec blasé qui à enchainé les conquètes mais qui, au final, s'est rendu compte que le bonheur, c'était peut-être pas ça, mais bon puisqu'il est doué, pourquoi s'arreter (entre guillemets).Underwear a écrit :Le réalisation montre souvent un univers sombre et glauque qui fait que franchement, on a pas trop envie d'aimer son "PUA" héros du film. Loin de glorifier un tombeur de nanas, le réalisateur montre une certaine misère sexuelle/sociale [...] la belle scène du canapé vide vers la fin avec traveling bien lent pour signifier le vide et sa solitude...etc.
Si tu voulais un blockbuster avec un PUA qui choppe tout ce qui bouge, jamais un rateau, super sain d'esprit, sans aucun défaut, alors ouais, c'est sûr... tu t'es planté de film, ça c'est un personnage bel et bien fictif et impossible sauf en rêve, mais je suis sûr que tu as adoré Hitch (!).Underwear a écrit :Si le réalisateur voulait qu'on aime son héros, il l'aurait fait sourire dans de belles ambiances pour gommer ce coté amer. Perso ce PUA je le trouve triste, grinçant sans charme, pas playful ni classieux malgré le costard. Aux antipodes de l'image d'un vrai PUA en costard comme Spike par ex.
Oui on peut s'en passer. On peut se passer de bien se freinguer, on peut se passer d'éducation, on peut se passer de sexe, on peut se passer de beaucoup de chose finalement... mais à quoi bon sinon se mettre des batons dans les roues ?Underwear a écrit :- il faut boire. Oui c'est vrai pour se désinhiber au début et tenter au moins une fois dans sa vie l'expérience d'une cuite, mais on peut s'en passer.
TRES mauvais exemple ! Avec un tant soit peu d'expérience tu saurais que si tu avais tenu une cigarette/allumette/flyer/bite en plastique dans les mains, elle serait venu de la même façon te demander une cigarette/allumette/flyer/bite en plastique.Underwear a écrit :- faut fumer. Mega lol. Mieux vaut prendre des chewing-gums, c'est meilleur pour la santé, l'haleine et l'érection. Une illustration avec un très beau kino en une minute top chrono, attention c'est filed-testé hier soir en discothèque sous les yeux d'Alexandre :
Je mache un chewing-gum. Une black mignonne chaude mais très clean d'apparence s'approche vers moi.
E : T'as un chewing-gum ?
Moi : Ouais, tiens.
Moi : Alors, t'as pas pris ton numéro ? (précision : soirée célibataire, les gens pouvaient se post-iter un n° sur la tronche pour chercher sa moité)
E : Non, je ne cherche personne. Pourquoi, et toi, il est où ton numéro ?
Moi : Dans mon caleçon, mais pour le trouver, il faut aller le chercher ! (je remonte mon boxer, en fait sortir l'étiquette du pantalon et lui fait mine d'aller regarder)
E : Chiche (met la main dans mon calbute et me touche le ouistiti).
Oui ça doit être çaBref ya bon les chewing-gums, j'avais du prendre un paquet afro-disiaque sans le savoir.
T'apprendras jamais rien dans un film puisque 99% du stuff est pompé sur des écrits déjà existants.Underwear a écrit :Donc c'est un film intéressant mais pour vraiment apprendre des choses, éteignez la tv et lisez des méthodes + field-test.
Campbell Scott (the son of the late George C. Scott) won the Best Actor award for his performance in Rodger Dodger (2002)
Roger is a fascinating case study mainly because we feel so ambivalent in our attitude towards him. Just as we are about to consign him to the category of heartless, cold-blooded b***ard, he wins us over by showing us that barest glimmer of humanity that peeks out every so often from beneath his well-oiled exterior.
`Roger Dodger' is not only an intriguing, amusing and poignant tale of realtionships and sex in the modern world, but a confident first film that augurs well for its gifted young maker.
source : IMDb
cheersMême s’il a parfois tendance à être trop bavard, Roger Dodger a la mérite d’être un film honnête et plaisant qui apporte son petit mais efficace édifice à l’éternelle question : que ferions-nous sans les femmes ?.
arf.Ne t'es tu pas demandé si ce n'était pas justement cette image que le réalisateur voulait faire passer ?
non, pas vu ce film. Là tu prends une description caricaturale à l'extrême opposé de ce que je décris, et tu te trompes sur ma vision qui est intermédiaire. Cela dit au passage j'aime bien ton recours à cette technique réthorique qui marche toujours (cf L'Art d'avoir toujours raison, Schopenhauer).Si tu voulais un blockbuster avec un PUA qui choppe tout ce qui bouge, jamais un rateau, super sain d'esprit, sans aucun défaut, alors ouais, c'est sûr... tu t'es planté de film, ça c'est un personnage bel et bien fictif et impossible sauf en rêve, mais je suis sûr que tu as adoré Hitch (!).
Pas trop capté le rapport. Je précise pour que tu comprennes mieux mon propos. La plupart des PUA recommandent d'être sobre pour x raisons que je ne détaillerai pas. Un excellent conseil, d'ailleurs quand tu veux sarger en SPU en direct game, tu es clair à moins de picoler dans la rue. Donc retrouver l'état mental d'euphorie ou d'ébriété en étant clean reste le top. Evidemment boire aide. Mais ces conseils du films donnés à un super AFC ne sont pas ceux qui circulent dans la communauté je crois. Je précise que je souligne les points qui m'ont fait tilté, certains passages déjà évoqués (le discours sur le wing) sont très intéressants.- il faut boire. Oui c'est vrai pour se désinhiber au début et tenter au moins une fois dans sa vie l'expérience d'une cuite, mais on peut s'en passer.
Oui on peut s'en passer. On peut se passer de bien se freinguer, on peut se passer d'éducation, on peut se passer de sexe, on peut se passer de beaucoup de chose finalement... mais à quoi bon sinon se mettre des batons dans les roues ?
non, très bon exemple puisque maintenant tu abondes dans mon sens. D'après toi la clope n'est pas nécessaire, n'importe quoi suffit. Perso je trouve la sucette assez sexy. En tout cas, inutile de s'abimer la santé et puer de la gueule comme y invite le film. CQFD.> chewing-gum
TRES mauvais exemple ! Avec un tant soit peu d'expérience tu saurais que si tu avais tenu une cigarette/allumette/flyer/bite en plastique dans les mains, elle serait venu de la même façon te demander une cigarette/allumette/flyer/bite en plastique.
Oui il a un très bon jeu pour la vision voulue par le réalisateur. Le casting est très bon. Pour caricaturrer, dans un film, un bon salopard est un salopard qu'on déteste (je force le trait à dessein). Donc pour dépeindre un mec avec du talent mais un peu amer dans sa vie en deuxième lecture, l'acteur est parfait.Campbell Scott (l'oncle) été désigné par le National Board of Review meilleur actreur de l'année pour Roger Dodger.
Magic,Ne t'es tu pas demandé si ce n'était pas justement cette image que le réalisateur voulait faire passer ? Puis évidemment le fammeux concept qu'on retrouve beaucoup : le mec blasé qui à enchainé les conquètes mais qui, au final, s'est rendu compte que le bonheur, c'était peut-être pas ça, mais bon puisqu'il est doué, pourquoi s'arreter (entre guillemets).