Il est 6 H 10.
Ce week-end. C'était de la folie. C'est parti.
Donc, ce week-end, c'était le CN de l'UNEF, à Paris 13.
Je pars de ma résidence vendredi soir à 18H. J'arrive au kébab vers 19 H, posé. Je mange, et à 20 H je retrouve une fille de l'Unef, Caroline, devant la gare.
20H30, le car est là, on s'y rassemble. On est 21 au départ de Brest.
Je me pose à côté d'un ami, je commence à parler à mes deux voisines de devant et à mes deux de derrières, des marocaines.
Au bout de quelques heures, on sort l'alcool. On commence aussi à se déplacer dans le bus, à rendre visite devant.
Plus la soirée passe, plus je suis ivre. On s'arrête à Lorient pour prendre 5 personnes, ca passe. Arrivé à Rennes, Nantes et Le Mans, j'étais bien parti. J'ai dis bonjour à tous mes "camarades" à chaque fois.
Puis à 3 H, dodo.
Réveil à 8 H, on y est. On arrive à l'Université de Paris Nord 13.
On est 800 camarades de toute la France.
On arrive dans un amphi, on se pose tous.
Et là, ca commence.
Le samedi matin, les gens se portaient volontaires pour faire des discours au micro devant nous autres. J'étais impressioné, putain, il en faut des couilles!
La plupart parlaient de l'égalité homme-femmes, de la précarité des étudiants à remédier, des élections au CROUS.
Mais certains avaient un art de parler sublime. Vraiment, ils savaient exalter les émotions, j'en avais les larmes aux yeux.
Les acclamations, applaudissements, sifflements, huées, on y avait tous les caractéristiques d'un parlement.
Puis on se répartit en atelier. Je vais avec la fille d'hier dans l'atelier féminisme.
Bon, je connaissais déjà la plupart des choses qui y ont été dites.
On mange, c'était dégueulasse. Quiche Lorraine que l'on doit égoutter, avec du taboulé et des yaourts.
Et on y retourne.
Par contre, j'en pouvais plus. Il faisait troooooop chaud.
800 personnes, l'aprem, dans l'amphi.
Je transpirais à mort, pitaing. Dans le dos. En chemise bleue, cela se voit. Mais les gens s'en branlent.
Vers 19 H, on part manger. On marche jusqu'au métro et on force le passage. L'UNEF a ainsi obtenu la gratuité des tickets de transports de Métro pour ses adhérents. Hihihi.
On arrive à un RU dans Paris VI. Elle est grande la faculté d'à côté.
On se tasse dans le RU, je ne sais pas si on était réellement 800; toujours est-il qu'on était nombreux.
Je mange en périphérie avec les deux tunisiennes.
Après, alors que les gens dansent, je me dirige vers l'extérieur et y retrouve les Brestois.
On parle, on parle.
Minuit, on pars prendre le métro pour aller à l'hôtel F1.
On marche, j'ai chaud, je transpire encore, j'en peux plus.
Malgré tout, on finit par arriver.
Je monte dès que je peux, prend une douche et met les vêtements d'un ami, ayant oublier mes vêtements de rechange dans le bus.
Puis je prend mon livre et descend dans la salle commune.
J'y croise trois filles, dont une qui me disait quelque chose. Elle me fit comprendre qu'elle était à l'arrêt de Nantes, et qu'elle m'avait vu dans un état pas net.
Mais fichtre. Je les suis, on arrive dans une chambre, où deux filles sont posées. L'une est en petite culotte, l'autre est habillée. Je matte même pas.
Ma bienfaitrice, Romane, se rapproche de moi rapidement. Je n'ai rien fait. Elle est brune, avec des lunettes. Quand elle parle aux gens, elle parle pas à travers ses lunettes, mais plutôt comme les vieux. Sacré caractère aussi. Son pantalon descendait tout le temps, de telle sorte que je voyais son joli derrière. Elle avait aussi une paire de seins assez jolie.
Au bout d'une demi-heure, elle se tient près de moi, m'a donné deux bisous sur la joue et se serre contre mon corps. Je n'avais rien demandé tout cela.
On est congédié, on cherche où, dans l'hôtel, les jeunes font l'after.
Des gens de l'A.G.E de Grenoble nous invitent. Ils sont une vingtaine dans une petite chambre pour deux personnes.
On se pose, l'un à côté de l'autre, et l'alcool tourne. Je fais des jeux du regards avec mes voisines d'en face. J'arrive à jouer avec mes paupières et à faire un truc bizarre. Je mettrais une photo un jour.
Un des grenoblois est particulièrement émeché. C'était drôle.
A un moment, sans réfléchir, sans me prendre la tête, je la retourne et l'embrasse, d'un chaste baiser.
On se dévore une seconde plus tard.
Pendant une heure, on parle, bois, rigole tout en se caressant. J'apprend qu'elle a un copain.
Je pretexte une envie de prendre l'air. Je sors, on va en bas et on y trouve quatre arabes mangeant une pizza. On parle, ils sont pluitôt sympathiques.
Puis on remonte. On va aux toilettes, on en ressort. Je la plaque contre le mur et l'embrasse sauvagement. Des gens passent, souriant. Oui, moi aussi je souris.
A un moment, je décide de prendre les choses en main. Je la soulève, la maintient par les fesse près de ma poitrine, et on rentre dans une douche.
Elle est bien éclairée, et elle est dos au miroir.
Arrivé dedans, on recommence à s'embrasser. Je la caresse à travers les vêtements un peu partout, tandis que mes lèvres descendent le long de sa nuque. Sa tête monte vers le ciel, exposant sa tendre gorge. Tandis qu'elle met ses bras en l'air, je lui enlève son haut.
Je l'embrasse un peu partout, mes mains continuent leur progression. Je dégraphe, du premier coup, son soutien gorge. Je me met à malaxer, pétrir, lécher, dévorer ses seins, aux petits tétons. Sa poitrine est douce, ferme, chaude. J'aspire et expire. Elle en peut plus.
Elle m'enlève mon t-shirt. J'essaie d'enlever son jean mais je galère pour son bouton. Elle m'aide.
Son pantalon descend, le mien ne tarde guère à suivre. Nous voilà en calecon et string.
Je continue avec ma bouche de révérer sa poitrine, son ventre. J'en arrive à son pubis, mes mains adroites ayant retiré le string. Mais je suis fermement repoussé. Non, elle n'aime pas les cunnilingus. Dommage.
Par contre, elle me plaque contre le mur, et descend d'un étage. Elle enlève mon calecon, et entreprend la première véritable pipe de ma vie. Je voyais sa tête, ses cheveux remonter, descendre le long de mon vis. J'aime ca, mais je ne trouve, etrangement, pas ca superbe agréable. Soit elle s'y prend mal, soit je suis insensible.
Toujours est-il que durant dix minutes, sa bouche fait des allées et venues sur Popaul. Qui est plus ou moins au garde à vous.
Puis elle me dit qu'elle a des crampes, elle arrête donc. Je ne suis pas près de jouir, cela ne m'a rien fait ressentir, ou presque.
Ayant un bon angle, je commence à la masturber. Le clitoris d'abord, puis l'intérieur. Cette fois ci, j'ai eut tout loisir d'observer son corps. Son pubis était totalement épilé, son clitoris petit, et son appareil totalement rentré, petit.
Je commence avec l'index, puis le majeur, puis le pouce, puis le majeur et le pouce. J'y vais à un rythme régulier, avec de temps à autres des a coups plus violents. Elle gémit, elle soupire, se tortille sur ma main. Je retourne à ses seins avec ma bouche.
Et là, la partie difficile arrive.
J'ai envie d'insérer mon pénis dans son vagin. Je la soulève, positionne mes mains sur ses fesses, la plaque contre le mur, et essaie de faire rentrer ma quéquette. Elle ne rentre pas. Elle bloque.
J'abandonne donc rapidement cette idée.
Je m'allonge sur le sol, lui dit de me montrer le chemin, pretextant un manque d'expérience. Cela la fit rire. Pour elle, j'étais pas un novice, apparement.
Elle s'assied sur moi, galère un peu, mais voilà, ma queue est dans sa chatte. Pour la première fois, j'ai pénétré un orifice autre que celui formé par ma main.
Elle bouge un petit peu, mais je ne sens rien, et ca "coulisse" très mal. Elle sort donc.
Je compris rapidement qu'elle ne mouillait pas, qu'il fallait lubrifier. Elle le comprit aussi.
Elle entreprend donc une deuxième fellation. J'ai bien aimé là encore. Cette fois, je voyais non seulement ses cheveux, mais aussi sa bouche, le long de mon engin.
Cela m'excitait.
On réessaye, moi sur elle. Je regarde où est le trou, parce que je ne le trouve pas à la main.
Je le retrouve, y insère un doigt avec difficulté. J'essaie ensuite d'y aller avec ma bite. Mais non. Ca bloque encore. Mon pénis ne rentre pas.
Je lui propose de la prendre en levrette. Elle se retourne et se met à quatre pattes. Je vois son anus quelque peu poilu, et j'ai du mal à distinguer son vagin. J'essaie de faire rentrer, mais ca ne passe pas.
Je lui propose donc d'aller chercher dans ma chambre du lubrifiant.
Elle accepte, je sors de la douche en calecon. Le Grenoblois bourré de l'after était à côté, entrain de vider ses tripes. Je lui souhaite bon courage et pars chercher mon sésame.
Je reviens, il est toujours là. Je rentre dans la pièce, la trouve adossée au mur, les jambes pliées. Le temps que je soit partit, elle réfléchit et abandonna l'idée de baiser sauvagement. Mon lubrifiant, snif...
Elle me proposa en revanche de me finir à la bouche. Troisième pipe de la soirée, mais au bout de cinq minute, ne ressentant toujours pas grand chose, je la stop et lui demande de me branler. Je la doigte aussi. Au bout de dix minutes, enfin, j'éjacule.
On prend une douche juste après. Sans serviette, avec le gel douche gratuit de l'hôtel.
J'ai tout loisir de la laver, la caresser, etc. Rapidement, je retrouve ma vitalité, et c'est ainsi que je plaque ma quequette bien dure contre ses fesses.
Mouillés, on va dans ma chambre. En sortant, on voit le grenoblois entrain de dormir assis. Mon ami, gay, est entrain de dormir dans la chambre. On s'installe dans le lit à côté, trempés. Constatant mon érection, elle repris ses caresses et en vint rapidement à une quatrième fellation. Toujours rien. Je me finis donc à la main, le temps pressant. Il était en effet pas loin de 6H45. Il faisait chaud.
On retourne à la douche. Les gens se réveillent, le fait de me voir en calecon et elle en string les fait sourire. On reprend une douche, ca fait du bien. Puis on retourne dans ma chambre, on s'habille et on y va.
J'ai techniquement perdu ma virginité. Avec une fille rencontrée quelques heures plus tôt. Une fille qui était pas trop mignonne, pour qui je ne ressentais rien. Mais ma première fois n'était pas top-top, je m'attendais à mieux.
Sur la route de la fac, elle me colle. M'embrasse, me calîne, m'appelle chou. Je ne sais pas trop comment réagir, je prend rapidement mes distances. Parce qu'à la lumière du jour, avec ses lunettes et sans alcool, je me rend compte qu'elle n'est pas si attirante que cela. Quand j'étais entrain de bander, elle était nue, sans lunette, avec une jolie paire de sein devant moi...
Mais là? Non. Elle est collante, elle me fait fuir. Je suis mal à l'aise en sa présence. Si bien qu'à un moment, je lui dit clairement que sur le retour je me mettrai pas à côté d'elle, prétextant qu'elle a un copain.
On arrive à l'amphi. Après avoir mis les chose au clair, mes ami(e)s, narquois, me font remarquer qu'elle tire la tronche et regarde souvent dans ma direction avec desespoir.
Je dors pendant la majeure partie de la conférence. Nuit blanche, putain...
Vers 14 H, quand c'est fini, on pars faire les courses et aller au Mac Do. C'était subliminal.
Vers 16 H, on prend le bus. Je suis tout seul avec mon oreiller. Je parle avec plusieurs nantaises et rennaises, c'était interessant. Je leur ai donné mon facebook.
A un moment, Romane revient près de moi. De fil en aiguille, je ne sais pas pourquoi, j'en suis venu à l'étreindre et à l'embrasser. Pourquoi? Parce que j'aime avoir une fille près de moi.
Puis on arrive à Nantes. Elle part. Je me met donc à essayer de dormir, c'est pas facile. J'en vient à me mettre dans l'allée, avec mon oreiller et mon plaid.
Jusque cinq heure du matin, je trouve plusieurs positions confortables pour dormir.
On arrive. On se sépare rapidement, je retourne à la résidence et m'attèle à mon journal.
Ce week-end était extra. Les voyages dans le bus étaient bien. Alcool, discussions, rigolades, jeux. Passionnant.
Les débats l'étaient aussi. Certains m'ont fait me lever et taper du pied, comme d'autres.
L'ambiance? Festive. Des chants réguliers dans l'amphi et dans le métro. Une camaraderie, entre jeunes qui partagent les même valeurs.
Séduction? J'ai mis dans ma douche et mon lit une fille, et je ne suis plus puceau.
Relationnel? Je me suis fait de nouveaux et nouvelles ami(e)s, sur Brest et dans toute la France.
C'était un excellent week-end. Je ne regrette pas mon adhésion à l'UNEF. On va bientôt commencer le tractage pour les élections de bientôt au CROUS.
A présent, je vais dormir, j'ai cours tout à l'heure.
Je ne suis plus vierge.
Adieux.
Notes et commentaires reçus par ce post :- [0] Like a boss ! le 20.10.14, 09h55 par Snow
- [0] Like ! le 20.10.14, 10h05 par Matadsex
- [0] Like ! le 20.10.14, 19h03 par MaryeL
- [0] Yep le 20.10.14, 23h12 par Nyhavn