Oldboy : Un nouveau départ ( bis repetita )

Note : 253

le 04.03.2019 par Oldboy

208 réponses / Dernière par Citroen le 14.04.2024, 20h03

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
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Je comprends pas bien ce qui déclenche une telle colère chez toi.
Une connerie dans ma jeunesse qui m'a rendu limite paranoïaque en ce qui concerne tout sentiment, même faux, ou vague, de " trahison " ou de " médisance " de la part de proche.
De plus c'est pas parce que Mortitia y était aussi qu'elle a forcément couché avec un de tes potes. Et même si c'est le cas, bah vous êtes pas en couple, elle t'appartient pas, elle fait ce qu'elle veut et tes potes aussi sans avoir de comptes à te rendre puisque c'est "juste de l'amitié" que t'arrêtes pas de dire, donc tout le monde pense que c'est ok.

Tu te voiles la face avec cette nana, honnêtement, si ça te fait du mal à ce point tu le dis à tes potes de pas baiser avec parce que c'est pas cicatrisé. Elle tu pourras jamais contrôler ce qu'elle fait par contre.
J'insiste : C'est pas le cas. Pour preuve, j'ai déjà eu les mêmes réactions, voir pire, avec des potes mecs. Faut que je règle ce vieux truc, du coup je vais essayer une thérapie en espérant tomber cette fois sur un type compétent.
Je reste toutefois un peu sceptique : Je sais d'ou vient ce problème, ce qui le déclenche, je pense connaitre tous les sous-jasent impliqués mais rien à faire, je perds le contrôle. Je vois pas trop ce qu'un psy pourra faire, concrètement, mais je tente le coup.

J'ai pu me débarrasser de ma jalousie maladive, j'ai dégagé une bonne part de ma possessivité à coup d’introspection mais ça, j'ai beau le rationaliser encore et encore, impossible, j'explose.
Quand j'aurais réglé ça, que je parviendrais à faire confiance et lâcher prise, j'aurais fait l'essentiel du boulot et je pourrais enfin explorer mon potentiel, mais ça va être dur dur.
Est-ce qu'il y a que Mortitia qui déclenche ça ?
Si c'était Wing est ce que ce serait pareil ?

Est-ce qu'au fond ya pas des sentiments que tu veux renier ?
Sans doute pire avec wing et encore pire avec mon pote le rital. J'ai déjà eu ce type de réactions ( dans mes anciens journaux ) sans jamais me remettre en question ni savoir d'où ça venait. Je sais maintenant, reste à régler le problème
Quelques nouvelles. Après des semaines de déprime morne au point de même plus avoir envie de sortir me saouler, c'est dire, je bouge un rien.

Au niveau du job, démission de 2 " anciens " promus à des postes plus sexy, ce qui me pousse un peu malgré moi, dans l'urgence, au rang de """" Senior """". Du coup, on me forme à l'arrache dans le dernier domaine " daily business " que je maîtrisais pas, ce qui me fait un peu réfléchir et voir de nouveaux trucs. J'ai bien 2 ans d'avance sur le planning pour traiter ce domaine, du coup en mars ça sera revalorisation de mon salaire, ou bye bye.
En outre, j'ai trouvé un plan pas trop fatiguant ( c'est un euphémisme ) pour me faire entrer environ 10 000 balle net d'impôt par année, pour commencer.

Pour citer un philosophe connu : Ma kestion praifairé, keske jvai faire de tout cet oseille ?

Putain, une sacré bonne question. Pour commencer, 2 semaines de vacances en Guadeloupe en Janvier avec mes meilleurs pote, ça va faire du bien. Ensuite, je commence à me demander si montrer un peu ma divine appartenance à la " classe moyenne supérieur étendue Suisse " serait pas judicieux pour attirer un peu les pouponnes.
A ce niveau-là, c'est toujours Bagdad. Enfin, au niveau du désert car les bombes, j'en croise pas des masses. Wing a parfois un peu de mal à se contrôler et est souvent à 2 doigts d'essayer de me baiser. Je laisse faire.
L'Espagnole m'a écrit, après 5 mois de silence. Elle veut qu'on aie prendre un verre. J'ai dis que j'allais y réfléchir, je sais pas trop si c'est judicieux.

Fait intéressant, j'ai pu voir Stef à l'oeuvre et vu que j'étais presque à jeun, je m'en rappel. Il a kissclose une jolie blonde 20 minutes après l'avoir alpaguée dans un bar. Ça s'est résumé à un smalltalk, un verre offert, une tentative de kissclose qui passe. C'est tout. Ridiculement facile. C'était la semaine passée, j'étais d'une humeur de merde et je me suis barré peu après. Il a toutefois insisté pour que je reste et qu'on aie en chercher d'autres.
Que Mac ou Jerem choppent facilement, je comprend. Le premier est grand et plutôt bg, le second est vraiment objectivement très bel homme et très perché.

Mais Stef ?

Pas vilain garçon mais un peu gras, perd ses cheveux au niveau de l’occiput, toujours habillé très sobrement d'un jean gris et d'un T-shirt blanc, 1m75 les bras levés. Franchement, j'ai beau pas déborder de confiance à ce niveau, j'me trouve mieux que lui.
Il est sociable, mais à peine plus souriant que moi. Il sort beaucoup, mais picole rarement au point d'atteindre l'ivresse. Il manque pas d'humour mais c'est pourtant pas un mec hilarant non plus, ni un as du story telling. Pourtant, diantre, il close et pas des moches. Et sans Tinder, SVP.
Mais comment fait-il donc, le bougre, me suis-je demandé ? Fondamentalement, qu'est ce qui le sépare de moi ?

Je vois que 3 trucs :

1. L'envie. Il a envie de chopper, il sort en grande partie pour chopper. Il garde toute la soirée cette envie en lui. Il a la dalle.
2. L'audace. Pendant que je me demande comment il fait, il agit. Il aborde. Il discute. Il ose, porte ses couilles, aborde des filles.
3. L'expérience. Il n'a plus aucune peur de l'approche, aucune peur du jugement. Il sait que dire, comment le dire, quand il peut attaquer.

C'est TOUT. J'ai fini par lui demander sa formule avec les filles. Il m'a regardé avec un air étonné et ma donner cette recette magique, que je livre à FTS :
Avec les nanas ? Y'a rien de plus simple, tu vas juste leur parler.
Ne me remerciez pas, c'est gratuit.

Du coup, vu la fréquence de ses closes ( et encore, je suis rarement avec donc c'est le sommet de l'iceberg) je crois que je peux le qualifier de " natural player ". Un natural qui, contrairement aux autres que je connais, a un physique moyen.
Le type est cool, en plus. Je crois que je vais chercher à m'en rapprocher un peu et essayer d'apprendre, ça sera plus constructif que de vouloir singer les autres gravures de mode.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Like ! le 21.07.19, 18h20 par Onmyoji
En lisant tes récits, outre certains problèmes que tu mentionnes de ton gré, ton pote stef même s’il est pas ouf, comme il t’as dit il se bouge, il ose et au pire il prend un vent bah il en fait pas une montagne.
Je suis un peu pareil, avec un minimum d’intelligence sociale, un style qui me met en valeur qui souligne mon corps et qui correspond à ma mentalité, mon image etc. Bah en abordant j’ai aucun problème. Ou alors je me fais moi même aborder par les nanas. Et pourtant je suis pas le mec le plus drôle, on m’a déjà dit dit que je pouvais paraître hautain et froid, pourtant quand on me connaît c’est pas ce qu’on dit de moi.

Alors bouge toi plutôt que de rester dans la contemplation, entreprend des changements et va t’amuser surtout.
Bon cette fois je m'y tiendrais : Dernier poste avant d'apporter du positif.

La nuit de vendredi à samedi, j'ai fais un drôle de rêve. Une belle fille me tournait autours, en souhaitant avidement que je la baise. Je savais vaguement que c'était ma copine, même si je ne la connaissais pas. Moi, j'avais pas envie. Elle a fini par m'annoncer en public un fracassant " alors, je te quitte ". " Je m'en fout, tu n'es qu'un rêve " ais-je répondu avant de me réveiller, sans autres raisons, d'une humeur mortifère.

J'ai passé la journée à broyer du noir, sans motif particulier. Wing est venue chez moi pour la soirée, j'étais pas chaud car pas de très bonne compagnie. Elle m'a dit la veille avoir fini chez un gars et que c'était la première fois qu'elle couchait le premier soir avec un type rencontré en boite. J'ai ressenti mon habituelle sensation d'aigreur, de jalousie. Il m'a bien fallu 5 minutes pour comprendre que je n'étais pas jaloux du type qui l'a baisée, mais d'elle. Du fait qu'elle arrive à combler un peu sa solitude, et pas moi.

Oh, j'étais pas de bonne compagnie, mais j'ai essayé de m'ouvrir, à mon tour de causer, pour une fois. Alors, sans alcool pour changer, j'ai parlé de ma misanthropie toujours grandissante, de mon nihilisme, de mon désenchantement. Je lui ai expliqué que pour moi la vie était un chemin morne, parfois égayé de quelques joies futiles, sans buts, vide de sens. Je lui ai compté ma déception, moi qui pensais régler tous mes problèmes en ayant du fric, un statut, en habitant une " grande ville ". J'ai essayé de lui expliquer qu'il y a en moi ce cris, un hurlement que je contiens mais qui va croissant, comme une bulle de gaz sous terre, et que ce n'est pas son explosion que je crains le plus, mais l'après. Et si après il n'y a rien, juste un écho dans une chambre vide et que rien ne change ? Je lui ais fait part de mon raisonnement, du cercle vicieux alcool->soirée->tristesse->rage->remords qui fait que je tend à détruire tout ce que je touche. Je lui ai parlé de ma tendance à fuir le bruit blanc de mes pensée, en ne faisant plus la moindre activité sans podcast ou sans lecture, pour éviter de penser.
Je lui ai un peu décris mes vieux déboires, mes envies de me foutre en l'air, qui reviennent périodiquement. L'éclate, vous dis-je.
Du coup, malgré sa fatigue elle a pas voulu se barrer et a dormi avec moi. Malgré sa présence, j'ai du prendre double dose de cachets pour m'endormir, tenaillé par une angoisse diffuse.

Et ce matin au réveil : Plus rien à foutre. Plus de tristesse, plus de jalousie, que dalle. Je pétais la forme, j'ai appelé un pote, on est parti faire du bateau, j'ai même changé ma photo de profil instagrame. A rien comprendre.
Non, je comprend rien. Je comprend ni mes problèmes de sommeil, ni mon absence de libido hors porno, ni mes sautes d'humeurs et mes pensées suicidaires, ni mon manque d'énergie, ni mon repli sur moi.
Je crois que je parviendrais pas à comprendre tout seul. Du coup, j'ai avancé mes vacances, je prend les deux dernières d’août et je me bouge pour trouver un bon psychiatre qui puisse me dire si je traverse une longue mauvaise passe ou si je suis dépressif et dans ce cas, j'accepterais le traitement.

Le prochain poste sur ce journal contiendra du vagin ( ou aux moins des muqueuses buccales ) ou n'aura pas lieu.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Courage le 04.08.19, 19h45 par Onmyoji
  • [+1] Courage le 04.08.19, 22h08 par The_PoP
  • [0] La suite, vite ! le 05.08.19, 00h11 par Fauve noir
  • [+2] Constructif le 05.08.19, 10h18 par Jalapeno
Malgré ma morosité crasse, ces temps, j'ai eu quelques boost d’ego.
La semaine passée, déjà. Organisation de mon voyage en Guadeloupe, un des types qui viens avec nous est un amis de mon pote, un parfait inconnu. Après quelques verres, il apprend que je suis sortis à la fois avec la HB10, qu'il connait de vue, et l'espagnole, qu'il connait aussi.

Le mec hallucine, me prend pour le rois des PUA, me demande comment j'ai pu selon lui sortir avec les 2 plus belles filles de la région. A ses yeux, je suis un pur Player. J'ai rigolé sous cape, et picolé.

Hier, j'ai pleurniché auprès de wing à propos de mon sentiment de solitude. La petite a très mal pris la chose. Elle m'a dit que, selon elle, je ne touchais rien car je n'essayais rien. J'étais passif, mort, vide. Mais que je pouvais chopper ce que je voulais, elle au passage bordel, et que je devrais bouger au lieu de me plaindre. Elle était blessée, pas contente du tout. Fichtre.

Mais, In Fine, c'est le fait de m'être interdit de geindre sur ce journal qui me poussa ce soir, enfin, à tendre un rien le bras.
FR: Dans les bras de Bacchus
Fête des vignerons, une fois tous les 20 ans. Je me devais d'y bouger, aux moins un soir, malgré ma tristesse chronique que je traîne depuis juin et ma fatigue atroce. J'y vais avec mes collègues / anciens collègues Stef et Mac.

Mac ramène une copine à lui, jolie. Une amie. Il la kissclose en 30 minutes, et Stef semble aussi dépité que moi. En effet, la donzelle me trouve " captivant ", elle dit que je suis un genre timide cynique et que c'est " inédit". Moi, je me sens surtout fatigué.
Je suis un peu amère. J'aurais aimé la chopper, elle était pas mal, un peu mare de me faire voler la vedette. Merde, j'ai pas levé beaucoup, mais j'ai quand même eu de la bonne viande #metoo de rien c'est gratuit.

Je suis un peu plongé dans mes pensées, et je suis le move. Wing m'écris, pendant ce temps, en m’encourageant à chopper. Je sais que ça lui ferais chier, car mes efforts paient et ma possessivité est maintenant en deçà de la sienne. Sur cet aspect j'ai bien évolué, j'en suis content. Je suis le mouvement, guère motivé, passif.

On entre dans un caveau, il fait aux moins 4000 degré, je déconne pas. L'enfer sur terre. Mac descend les escaliers en galochant sa pote, Stef le suis les yeux rivé sur une milf et je suis là, passif, sur le point de rentrer.
Munichoise : hey ! Il fait chaud hein ? Comment tu t’appelles ?
Fichtre, une créature m'aborde. Elle a mon age, elle a un physique que je qualifierais selon mes critères de banal. Mince, bien roulée, mais en deçà de wing, et à des KM de mes ex. Je parle un rien. Je me présente, je dis qu'il fait trop chaud, je glisse une référence philosophique. Je dis que je vais me prendre à boire.

Elle me dit qu'elle aimerait vraiment, vraiment beaucoup que je revienne vers elle.

Je sais que j'ai là un close. J'ai trop chaud. Y'à des tonnes de jeunes éphèbes torses nus. Vers la miss en question. Je passe à autre chose, quelques minutes. Et je réfléchis.

Le forum m'a dis, ça ne tiens qu'à toi, et le forum avait raison.
Wing m'a dit de même, elle avait raison.
J'ai eu que quelques copines. Que quelques flirts. Mais toutes on été, objectivement, très au dessus de la moyenne. Je doute. J'ai pas confiance en moi. Mes potes players me vendent comme un égal, alors que j'ai rien montré. Je réfléchis.

Puis, je me rappel que je m'étais interdis de geindre sur mon journal avant le prochain close.Je retourne vers la nana. Elle m'embrasse sur la joue. J'ai rien à faire.
je suis le prix. Wing m'écris pour me dire qu'elle me veut. J'ai pas le temps de lire
La munichoise me kissclose
Encore.
Bon, à froid c'était rapide et facile, j'ai juste eu à revenir vers la nana et montrer un peu d'intérêt.Ridiculement facile. Par le passé, il m'est déjà arrivé de me faire embrasser / d'embrasser des filles 10 secondes après leur avoir adressé la parole, mais purée ça faisait un bail. C'est pas glorieux, mais c'est bon pour l'ego quand même. Un point de confiance supplémentaire. J'ai aussi remarqué de nombreux signes d'intérêt à cette soirée, malgré la présence d'autres mâles, dont mes 2 collègues.
Pendant un moment, j'ai ressenti ce qu'il m'arrive parfois de ressentir, trop rarement ces dernières années : Pas l'euphorie de séduire, mais la calme certitude absolue de pouvoir le faire, facilement.
La suite devrait arriver vite.
Malgré tous les avis qui me disaient de pas le faire, bu un verre avec mon ex hier soir, je l'avais pas ne serais-ce que recroisée depuis 6 mois. J'étais de bonne humeur et je me sentais détaché, mais :

C'était mon dernier jour de taf et j'ai pas chômé cet été. J'étais rincé et à jeun. J'ai beau avoir bu que deux bières, je me suis rapidement senti ivre.
Elle m'a raconté avoir eu une relation de deux mois, après moi. Comme elle commençait aussi à se sentir un peu ivre, elle m'a raconté ses vacances, ses histoires Tinder. Je la voyait telle que je le la voyait avant de sortir avec : Splendide, intelligente, mais clairement pas pour moi.

Du coup je suppose qu'au moment ou j'ai, d'une manière random, presque chialé au milieu du bar, elle a mal interprété la chose. J'avais pas envie de pleurer le fait de l'avoir perdue, elle, mais d'avoir perdu du temps dans une vie creuse et d'en perdre encore davantage. Je pleurais mon inaptitude au bonheur, ma passivité, le fait de ne pas me sentir à ma place malgré de constants efforts. La fatigue aidait pas.
L'Espagnole : Si je bois encore une bière, je pourrais plus conduire !
Oldboy : T'as qu'à squater mon canapé.
L'Espagnole : J'ai pas ma brosse à dent.
Oldboy : Tu m'as sucé la bite, tu peux bien emprunter ma brosse à dents.
Voilà comment j'ai sexualisé un peu la conversation. Faut dire qu'autant avec les inconnues, je suis une vraie brêle. Mais si j'ai déjà eu, je sais d'expérience pouvoir avoir à nouveau.
Rien à faire pour sortir de mon mood de merde, pourtant. Elle me complimente, dévalue l'autres type sans vergogne. Arrivée chez moi, elle me demande si mon canapé est vraiment confortable. On est resté 9h les deux.

J'avais qu'à tendre le doigt, je l'ai pas tendu. Ni ma bite, d'ailleurs. La porte de ma chambre refermée, j'ai été pris d'une pulsion de mort du genre assez vénère, je me suis emplis de crainte et de regrets et j'ai chialé dans mon coussin comme la dernière des pucelles devant sa sitcom favorite. Et ce matin, comme souvent : Fatigue, mais l’esprit clair et plus une seule trace de déprime. J'organise une fête surprise pour Wing avec Mortitia ( un exploit en soit, vu comme elle m'en veux ) et j'ai pas le temps.

Bilan


1. Émotionnellement, je suis bel et bien totalement détaché d'elle. A force d'introspection, ma possessivité a fini par foutre le camps de ma vie.
2. Deux bières suffisent à me rendre dépressif, c'est un exploit. Je fatigue, là c'est certain.
3. Je garde apparemment un sacré pouvoir d'attraction, même sur une fille comme elle. Mon problème étant que je le développe sur la durée. A l'heure de la séduction express, c'est ballot.

Pour parler franc, je m'étais rasé les couilles et j'avais caressé l'idée, si je me sentais assez solide, de m'en faire un genre de plan cul. Solide vis à vis d'elle, je le suis. Capable de la convaincre ? Un jeux d'enfant. Mais je continue à avoir la sensation de nager dans de la mélasse, tiraillé entre des lueurs d'optimisme et une déprime léthargique tenace.

J'ai 2 semaines libres. Je vais continuer à essayer de me trouver un psy qui me filera un truc pour être heureux.
Pour parler franc, je m'étais rasé les couilles et j'avais caressé l'idée, si je me sentais assez solide, de m'en faire un genre de plan cul. Solide vis à vis d'elle, je le suis. Capable de la convaincre ? Un jeux d'enfant.
J'ai l'impression que c'était surtout un test pour voir si tu avais bien tourné la page et si tu avais les épaules assez solides pour résister. Et ça a l'air d'être le cas, donc félicitations.
Mais pas la peine de te refoutre dans la panade et de perdre encore plus de temps, tu dis toi-même :
J'avais pas envie de pleurer le fait de l'avoir perdue, elle, mais d'avoir perdu du temps dans une vie creuse et d'en perdre encore davantage.
Donc nexte-la vraiment !
J'ai l'impression que c'était surtout un test pour voir si tu avais bien tourné la page et si tu avais les épaules assez solides pour résister. Et ça a l'air d'être le cas, donc félicitations.
Mais pas la peine de te refoutre dans la panade et de perdre encore plus de temps, tu dis toi-même :
Y'a de ça, mais j'avais aussi envie de la baiser, je crois. De la close, de me rassurer. C'est comme pour Wing, je chasse dans mon cercle car je peine à faire des rencontres et je suis infoutu de prendre des initiatives.
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