c'est en effet un paradoxe que j'aime bien : à savoir que le fait de vouloir devenir plus séduisant quelque part nous rend moins séduisant.En ce sens, il vaut mieux concentrer toute son énergie à devenir un DJ reconnu plutôt qu'à essayer de choper des filles.
Que devenir séduisant reviendrait en fait à se focaliser sur s'en foutre de vouloir devenir séduisant.
La plupart mettent bcp de temps à intégrer ça parce que ça va à l'encontre de la démarche de vouloir chopper plus : à partir du moment où la réalisation de ce but est important pour nous on devient qu'on le veuille ou non dépendant au feedback des nanas par rapport à ce but de les choper. Une fille va nous valider, notre égo grimpe, une fille nous disqualifie, on en prend un coup.
Se foutre de choper quand justement on veut choper plus, est à mon sens une des choses les plus dur à acquérir...
Exemple dans mon lair quand un mec prend la décision de tout arrêter parce que ça ne lui a pas apporter ce qu'il voulait, pour faire autre chose de sa vie : son succès avec les femmes grimpe alors d'un coup !
Complètement, et ça marche dans les 2 sens : si le but est à l'inverse de gagner le respect des hommes, se focaliser sur gagner l'amour des femmes...Créer une boite de coaching quand tu n'es pas vraiment compétent, c'est surtout un moyen d'atteindre ces fameuses bonnasses et la vie que tu souhaites en te plaçant structurellement dans une position de leader of men.
Le social proof entre sexes !
Avec l'exemple du coach qui gagne les femmes grâce à son statut de coach tu mets le doigts sur quelque chose de plus large. A savoir que plus notre statut est élevé dans la hiérarchie des hommes, plus on se sent comme des droits sur les femmes et moins on craint les belles (et dire qu'il y en a ici qui réfutent en bloc l'évopsy...).
Quand tu dis à tiamat "deviens coach" tu pourrais lui dire "deviens patron ou star de ciné ou footballeur pro" c'est presque pareil. Ce qu'il va avoir en plus à être coach en séduction c'est le "tout ce que je fais en séduction ne peut que être parfait puisque c'est moi le bon exemple".