Clyde will glide

Note : 13

le 04.10.2010 par Clyde69

49 réponses / Dernière par Clyde69 le 10.12.2011, 17h07

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
@Blackjack,

Vaste question... je suis assez hétéroclite en matière de lecture. Mon domaine de référence demeure le fantastique avec des classiques comme JRR Tolkien, MZ Bradley, A Rice, D Simmons, D Gemmel... Un peu de SF aussi notamment AC Clarke...

Mais est-ce qu'ils ont une "influence", je ne sais pas... J'ai plutôt la chercher du côté d'un Milan Kundera (que j'ai dévoré dans ma jeunesse) ou plus récemment d'un Tonino Benacquista dont j'aime la légèreté du style. Carlos Ruiz Zafon en ce moment, aussi...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Merci ! :) le 05.09.11, 18h52 par BlackJack
Je devais retourner écrire la suite de mon journal, mais j'ai cliqué sur le tien par curiosité et je suis resté scotché du début à la fin.
C'est bien écrit, c'est rempli d'émotions, juste très bon à parcourir: je m'abonne :mrgreen:
Episode VIII : où c'est dans les vieux pots...
Un pote a écrit :Il y a deux fenêtres de tir pour choper une femme mariée :
- un an après son mariage,
- un an après la naissance d'un enfant.
Non, je ne dis pas cela en prévision de la proche naissance de Roman (le prénom que j'ai donné au fils d'Alice, et qu'elle déteste...). Je nierai d'ailleurs avec l'énergie d'un Eric Woerth y avoir jamais pensé... Non, si je cite cette théorie c'est pour te parler de Fanny...

Fanny, c'est une cible que j'avais a long time ago dans une galaxie far far way, lorsque j'étais étudiant et empoté. On avait bien failli flirter à deux-trois reprises mais je n'ai jamais su saisir ma chance. La première fois, en marge d'un tournoi universitaire, elle était venue avec une copine dans notre chambre d'hôtel pour masser les « stars » de l'équipe de basket que moi et mon camarade de chambre étions à l'époque. La seconde, je l'avais ramenée chez elle après une soirée étudiante mais sa copine – toujours la même – était bourrée et vomissait partout. La dernière fois, je l'avais invitée à une soirée chez moi où une autre fille avait fini par me mettre le grappin dessus... Tout ça, c'était il y a quinze ans...

Février 2011. Fanny est une femme mariée avec trois enfants, dont le dernier a fêté son premier anniversaire. La fenêtre de tir où, grâce à facebook, nous reprenons contact. Il faut dire que le net, c'est son défouloir : épouse de cadre sup' expatrié, sa journée se résume bien souvent à attendre l'heure de la fin de l'école, puis celle – tardive – du retour de son mari. Elle a compris à la lecture de mes statuts que je suis séparé, et que mon célibat n'est pas une solitude. Elle m'envie.

Nos discussions tournent autour de la difficulté de la vie de couple, de sa soif d'aventures et de la culpabilité qu'elle en éprouve... Son mari l'aime comme au premier jour, elle est toujours la femme parfaite, ils ont une belle situation et d'adorables enfants. Comment a-t-elle le droit de douter d'avoir la plus merveilleuse des vies ? Pousse-au-crime, je lui parle de FTS, qu'elle trouve génial, mais regrette « qu'on ne fasse pas le même pour filles »... Peu à peu, le « projet adultère » devient obsessionnel, elle ne sait pas si elle fait peur aux hommes ou s'ils font semblant de ne pas comprendre, ce qui revient au-même. Parallèlement, le ton de nos discussions devient de plus en plus trash, on parle sextoys, échangisme, cravate de notaire, le moindre mot susceptible d'être à double-sens, la moindre photo publiée, devient prétexte à dérapage. Je deviens une espèce d'amant virtuel  :
Fanny a écrit :Tu sais pourquoi j'aime nos dicussions ? Parce que ce que tu préfères chez moi, c'est tout ce que mon mari déteste.
Avril 2011. Fanny me demande si j'ai prévu de passer sur Paris la semaine suivante. Non, je ne l'ai pas prévu, mais elle insiste et tient à préciser qu'elle rentre seule en France, pour une semaine. Elle a convaincu son homme de revenir au pays, et elle vient chercher un logement... A vrai dire je n'avais jamais projeté rien d'autre que ce petit jeu virtuel, et son invitation me prend de court. Ai-je raison d'y voir une proposition ou suis-je excessivement orgueilleux ? Est-ce vraiment une bonne idée de rouvrir les vieux dossiers ? Ne vais-je pas être déçu, ou la décevoir, quinze ans après ? Vais-je faire quatre heures de train pour avoir à gérer une très probable LMR ? Je ne suis pas mort de faim – j'ai ma FF – et puis surtout j'ai une autre cible en vue (voir épisode suivant)... Bref, après quelques jours de valses hésitations, j'ai plein de bonnes mauvaises raisons pour renoncer à inventer un prétexte professionnel bidon...

Elle fait mine de ne pas s'en formaliser et nos échanges ne s'en trouvent pas vraiment modifiés. Si ce n'est que comme un joueur de poker, je teste régulièrement pour me situer... Elle est plus forte que moi : reste excessivement joueuse dans le virtuel, mais fuis dès qu'elle sent que je sonde ses intentions dans le réel.

Quelques temps plus tard, elle m'invite à sa crémaillère à la rentrée. Et me précise « compagne fortement recommandée, enfants interdits ». J'accepte, et lui signifie que je trouverai quelqu'un pour m'accompagner. Quelques jours avant la date convenue, elle m'écrit pour me dire de ne pas chercher d'hôtel, qu'on a qu'à prendre sa chambre d'amis.
C : Dejà que tu m'imposais de venir accompagné, maintenant tu fais du chantage au logement ?
F : T'as tout compris : si tu te tiens pas bien avec mes copines, tu dors dans la rue !
C : Ok, je te promets de te réserver l'exclusivité de mes regards ambigus
F : T'as intérêt, c'est ma soirée de princesse.
C : Bon d'accord... Et puis on se croisera peut-être « par hasard » dans la salle de bain...
F : Même pas, vous avez une salle de bains privative... c'est nul le confort des maisons bourgeoises.
Septembre 2011 : La soirée donc. Au premier regard, je regrette mes tergiversations. Je la veux. On passera beaucoup de temps tous les deux, mais par intermittence, sous prétexte d'aider au service et tout le toutim. Je me demandais comment l'isoler mais je n'en ai même pas besoin, c'est elle qui lance la conversation dans la cuisine devant plein de gens qui me sont inconnus... Après tout pourquoi pas, plus c'est gros et assumé, moins ils peuvent imaginer qu'on cache quelque chose.
F : J'ai bien compris que tu n'étais pas encore prêt à me voir seule, j'espère qu'il y a assez de monde pour que tu n'aies pas peur de moi...
C : Je n'ai pas peur de toi, j'ai pas pu me dégager.
F : Te justifies pas. L'important c'est que tu sois là, c'est un premier pas.
Et à nouveau au moment de mon départ (là on était isolé sur le pas de porte, conjoints respectifs dans une voiture) :
F : Préviens-moi quand tu es à Paris. Et plus d'excuse bidon, hein ?
Quelques jours plus tard, débriefing sur FB...
F : C'était un plaisir... Partagé j'espère.
C : Tu étais parfaite.
F : Mon mari ne se souvenait pas de toi, mais il a bien apprécié la discussion.
C : Je ne devais pas être marquant, comme garçon;-)
F : Pas pour les autres garçons... moi je ne t'ai pas oublié;-)
F : Il faut que je te tire les vers du nez pour avoir un compliment ?
C : « Parfaite » c'est pas un compliment ?
F : Trop générique. On y croit pas. Trouve quelque chose de plus spécifique.
C : Ok. Tu préfères que je parle de ton tajine ou de ta chute de reins ?
F : Je misais plutôt sur mon esprit. Mais je prends les compliments, hein ?
(...)
C: Dis-moi, tu te souviens si tu as cligné l'œil gauche ou droit en me disant «plus d'excuse bidon » ?
F. Non pourquoi ?
C : J'ai lu dans un bouquin : œil droit, complicité intellectuelle, œil gauche, complicité sensuelle. Depuis je m'en veux d'avoir manqué de sens de l'observation.
F : Ca devait être le gauche. C'est toujours le gauche. Je ne cligne jamais l'oeil droit.
C : Moi non plus en fait... on doit être des handicapés de l'intellect.
F : En même temps, la complicité sensuelle c'est notre truc à nous...
F : Virtuellement... Physiquement, tu vas bien à ta copine. Tu fais un parfait accessoire.
C : T'es encore plus douée que moi pour les compliments...
C : Mais j'assume mon côté toyboy pour peoples.
F : C'est exactement ca, t'es une bimbo des pages people.
C : Ca me va, les people, ils se refilent leurs jouets usagés...
F : Arf... j'aimerais être un jouet usagé...
(...)
C : Je dois filer. Je te tiens au courant quand je repasse vers chez toi.
F : Bises... Clin d'oeil gauche... Mais n'oublie jamais que je suis une allumeuse.
Sounds like a game over... J'ai peut-être gâché ma fenêtre de tir, elle ne s'est peut-être jamais ouverte... Je trouverai bien une occasion d'en avoir le cœur net.
@Holden Caulfield,

Yep, hors contexte je comprends ce que tu veux dire, et tu remarqueras d'ailleurs que je ne renonce pas à faire déraper une soirée un de ces quatre pour en être sûr...

Mais bon, c'est hors contexte... En réalité, on a toujours soufflé le chaud... et le chaud. Parce que bon, il n'y avait pas vraiment d'enjeu, on était à 5000 bornes l'un de l'autre, et que c'est un plaisir comme un autre de passer ses soirées perdues à chatter de cul avec une jolie fille (perso, quand je garde les gosses et qu'ils sont couchés, je préfère ca à la télé). Donc on a vraiment installé notre échange sur ce mode provocateur. Là, c'est la première fois qu'elle souffle quelque chose de froid.

Je ne crois pas que le "viens accompagné" soit un coup de froid. Il faut imaginer qu'elle a du expliquer à son mari qu'elle invitait un type qu'elle n'a pas revu depuis quinze ans. Et que c'est à lui qu'elle proposait de rester dormir sur place. Le fait que je vienne en couple ressemble beaucoup à un alibi... Et puis je crois que ca ne lui déplaisait pas de nous mettre à égalité... Maintenant, peut-être qu'en étant à égalité je ne suis plus DHV, peut-être que j'ai pu paraître un poil needy, j'en sais rien... Le fait est qu'elle me renvoie à cette réalité de couple et distingue désormais ce qui relève du virtuel (elle) et du réel (ma copine).

Mais bon, je m'attendais de toute façon à un recul, c'est pas la même chose de réchauffer des fantasmes et d'avoir la personne là, en face de toi. C'est un peu artificiel. Ce qui m'a surpris c'est que ce recul n'intervienne pas sur place. On a continué les allusions sexuées (alors que je pensais qu'elle ne les assumerait plus) et par moments je me demandais si toute cette fête n'était pas un prétexte (j'ai oublié de préciser qu'elle a changé de date pour que je puisse venir)...

Là, j'ai un peu le sentiment qu'elle prépare le terrain à une LMR.
Wouah. Chapeau. Tu m'enchantes. Je suis pas un grand lecteur, mais quand ca me plait, je le sais. Je t'ai lu d'une traite, en prenant le temps de savourer, et j'en redemande !

On va faire les choses dans l'ordre : tu écris bien (6ème édition). Tu retranscris à merveille tes pensées, sentiments... Tu évolues et on évolue avec toi.

Quelqu'un a dit un jour un truc qui ressemblait à : "FTS c'est un peu comme choisir entre la pillule bleue et la pillule rouge : dans le premier cas tu ne crois pas à ce site, et tu reviens dans le monde des princes charmants, dans le second tu retrousses tes manches et affronte la réalité"
Au fil de ton récit, tu as remodelé totalement l'idée que je me suis faite de cette réalité. J'ai découvert qu'on pouvait etre un player sensible. On peut continuer à réfléchir et à explorer les abysses merveilleux de l'ame humaine. On évolue en tant que personne (et pas seulement en tant que player) grâce à la drague.
Tu as compris depuis un moment que sarger n'est pas une finalité, et se mettre à la place de quelqu'un qui a comprit ca, c'est rafraichissant.

On voit que tu prends plaisir à jouer avec les femmes, à les aimer aussi, et ca te fait grandir (cf les questionnements que cela fait naitre en toi, et ta progression certaine). Après relecture mon post est un peu creux, mais je tenais à te témoigner ma gratitude pour faire partager ca avec nous :-)
Continue !
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Merci ! :) le 16.09.11, 10h12 par Clyde69
Clyde69 a écrit : Là, j'ai un peu le sentiment qu'elle prépare le terrain à une LMR.
Je te dirai 2/3 choses. Je pense que je ne t'apprendrai rien mais parfois c'est bien de s'en rappeler :wink:

1) Ne juge pas une fille sur ce qu'elle te dit (vos conversations de cul, ce qu'elle te dit après l'avoir vue) mais sur ses actes=>elle t'invite à sa crémaillère.

2) C'est normal qu'elle te fasse de la résistance "verbale", elle est mariée, elle a des gosses, etc... Avec 5000 km de distance comme tu dis c'est facile de se chauffer par chat facebook, devant la possibilité de le faire réellement c'est autre chose.
Sache qu'une fille ne te dira jamais, mais JAMAIS ouvertement qu'elle veut coucher avec toi (sauf exceptions, mais personnellement j'en ai pas rencontré). Par contre, tu peux la guider.
Une fille ne va jamais assumer verbalement ses désirs, mais elle va se laisser guider.
Traduction: ne lui demande pas si elle veut te faire l'amour. Fais lui l'amour.

Un bon moyen de sonder ses intentions? Propose lui de venir chez toi sous un prétexte bidon=>tu l'invites à manger, t'as une collection de CD, tu fais une soirée chez toi. avec des amis (si tu lui donnes ce prétexte par contre vaut mieux faire vraiment la soirée :mrgreen: ). Je dirais que la soirée est le prétexte qu'elle a le plus de chance d'accepter. Bien évidemment arrange-toi, soit pour qu'elle vienne avant la soirée pour que tu sois un peu seul, soit pour que la soirée ne termine pas trop tard.
Dis toi que si jamais elle accepte de venir chez toi, c'est du tout cuit, surtout avec ce que vous vous êtes dits via chat facebook.
@Philéas,

Merci de ton commentaire qui me va droit au coeur. Je pense que tu as saisi l'essentiel : j'aime les femmes, j'aime jouer, j'aime qu'elles jouent aussi. Je nexterai sans difficulté aucune la plus belle femme du monde si je ne sens pas chez elle cette capacité à jouer, à provoquer, à résister, à me pousser dans mes retranchements et à titiller mon imagination... Chacun ses motivations, je ne juge pas celles des autres, moi je recherche d'abord l'échange et la docilité m'emmerde très vite...

Maintenant deux corrections... Non, je ne suis pas un "player sensible", je récuse le mot de player. Parce que je prends en définitive peu de risques. Mes cibles m'ont généralement qualifié et j'accorde du coup moins d'importance au but qu'au chemin. J'aime vivre de belles interactions et penser qu'on la partage. Et non, je ne suis pas certain d'évoluer tant que cela. Bien sûr je ne suis plus le même qu'il y a un an parce que je n'avais même pas conscience que je pouvais séduire ou qu'en jouer pouvait plaire au femmes (nice guy inside). Mais depuis plusieurs mois, je continue de me chercher ou plutôt d'être insatisfait : j'ai envie de séduire lorsque je suis en couple et de trouver l'amour lorsque j'ai des ONS... Je n'ai pas encore la clé pour sortir de cette frustration permanente.

@Tibdecone : elle n'est certes plus à 5000 km mais toujours à 500, ce qui réduit les possibilités d'imprévu... Si il y a isolation, ca aura été prémédité, donc rationalisé. Or justement, je pense que sa rationalité la pousse aujourd'hui à reculer... Lorsque je dis qu'elle prépare le terrain à une LMR, c'est qu'elle cherche en amont de cette rencontre qu'elle désire des raisons pour que moi je n'y projette rien. Elle n'a pas envie de se sentir tenue par l'idée que si on se voit, c'est forcément qu'on va baiser. Ca ne veut pas dire qu'on ne le fera pas, mais je sais que j'aurai des objections importantes à lever, et ce n'est pas mon point fort.
tibdecone a écrit :Sache qu'une fille ne te dira jamais, mais JAMAIS ouvertement qu'elle veut coucher avec toi
Faut que je te présente des copines :mrgreen:
Clyde69 a écrit : @Tibdecone : elle n'est certes plus à 5000 km mais toujours à 500, ce qui réduit les possibilités d'imprévu... Si il y a isolation, ca aura été prémédité, donc rationalisé. Or justement, je pense que sa rationalité la pousse aujourd'hui à reculer... Lorsque je dis qu'elle prépare le terrain à une LMR, c'est qu'elle cherche en amont de cette rencontre qu'elle désire des raisons pour que moi je n'y projette rien. Elle n'a pas envie de se sentir tenue par l'idée que si on se voit, c'est forcément qu'on va baiser. Ca ne veut pas dire qu'on ne le fera pas, mais je sais que j'aurai des objections importantes à lever, et ce n'est pas mon point fort.
tibdecone a écrit :Sache qu'une fille ne te dira jamais, mais JAMAIS ouvertement qu'elle veut coucher avec toi
Faut que je te présente des copines :mrgreen:
35-40 ans?? Hum ça m'intéresse :mrgreen: pour le coup c'est moi qui vais te demander si tu veux venir à Paris :P .

Quelque part, tu confirmes ce que je dis. Elle pourrait le faire mais ne veut pas l'assumer verbalement.
Donc là, plutôt que de focaliser la conversation sur le sexe, parle lui de tout et n'importe quoi en mode fun, et d'une certaine façon rejette-la
Ne fantasme pas sur moi tu te ferais du mal...
, fais comme si c'était elle qui voulait mais que toi finalement t'en avais pas tellement envie. Tu verras l'effet est puissant 8)
Ensuite propose lui de la voir, tu la dragues, tu l'excites, tu l'amènes dans ton lit et le tour est joué. S'il y a des résistances (mettons qu'elle ne veuille pas que tu commences à la déshabiller), tu reprends à l'étape d'avant et tu l'excites d'autant plus, et ce pour qu'elle désire que tu passes à l'étape supérieure et qu'elle se laisse faire.
J'adore ton écriture, j'adore les histoires que tu nous racontes, et je crois que j'adorerais rencontrer un mec comme toi.
Vivement la suite.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Sympa :) le 19.09.11, 18h34 par Clyde69
@LuxLisbon,

Ca va m'en faire des dîners à caler sur Paris... :wink:
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