Le topic des ENFP

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le 11.07.2011 par MaryMorgane

36 réponses / Dernière par Seddik le 28.06.2013, 16h46

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
Un de + ^^

Ce lien me decrit pas mal.

http://www.supertest.com/MB/mbis.cfm

C'est vrai que j'ai tendance a abandonner certaines idees en cours de route. :?
Je suis à dominance ENTP mais je me reconnais aussi ici. Disons que je suis surement entre les deux, alors que les autres typologies ne me ressemble pas du tout, celle ci me va plutot bien.

Alors je ne sais pas. Je pense que j'ai été INFP avant d'être ENFP, puis de devenir ENTP. Disons que j'ai appris à ne plus me laisser apprivoiser par les sentiments en me forgeant un caractère plus solide qui me protège des coups durs de la vie. Relativisation... toujours.

Mais j'apprécie beaucoup ce profil, dans le fond, ça ne m'aurait pas déranger d'être plus proche des autres, de donner plus, d'être plus dans l'empathie... mais pour avoir vécu ça, je m'y perds vite, car je m'oublie facilement quand je pense aux autres ce qui me vaut des regrets par la suite.
C'est quand même bizarre d'opposer caractère fort et profil ENFP. Je ne pense pas que l'un empêche l'autre. J'ai moi-même un caractère très fort et même si ce sont mes émotions et sentiments qui m'aident a savoir dans quelle direction aller, ça ne fait pas pour autant de moi quelqu'un de manipulable facilement.
Je parle de moi-même. Je ne dis pas que c'est une bonne évolution, mais celle que j'ai vécu, et je peux t'assurer qu'aujourd'hui je suis moins susceptible qu'avant mais aussi moins passionné. Je suis plus terre à terre, et forcément j'ai un caractère plus posé. Je ne dis pas que j'ai un fort caractère, juste que j'ai une plus grande maîtrise de mes émotions.

Après je ne suis pas surpris si un jour je redeviens plus émotif, parce que je persiste à dire et je suis convaincu que ce sont les émotions qui nous font apprécier la vie, et qu'il est fondamental de pouvoir se lâcher émotionnellement pour vivre dans ce monde de fou. Disons simplement que la société individualiste comme elle est, nous pousse à être plus rationnel que dans l'empathie.

Autre souci, le fait de vouloir contrôler les émotions, nous amène à plus être rationnel. Il faut savoir être entre les deux je pense, mais c'est normal d'avoir une dominance aussi faible soit elle, comme c'est totalement normal qu'il soit possible d'avoir un caractère fort en étant plus dans l'empathie, simplement parce que chacun à sa propre méthode pour gérer ses émotions.
Bonjour (ou bonsoir) !

J'en suis à mon 4e test (j'ai pris le premier lien du sticky en anglais), et j'ai eu 3 fois le résultat ENFP (de 70 à 80% E, 38 à 58% N, 25 à 35 F et 56 à 72 P) et une fois ENTP.

Je pense être ENFP et me retrouve pas mal dans la description que j'ai pu lire ici (ou ailleurs) :
Je n'ai pour le moment jamais tenu dans une formation plus d'une année (maths, médecine, droit, informatique, assurances),
enfin, jusqu'il y a un an où je me suis intéressé au théâtre, métier qui bouge beaucoup et qui permet d'être au contact de pas mal de monde : je m'y sens vraiment bien, je ne suis jamais en retard pour les cours et les répéts (c'est inédit pour moi, de tenir aussi longtemps en place sans "perte de vitesse" / d’intérêt pour un job)

Je me retrouve aussi dans le coté "l'herbe est pas plus verte à côté ?" dans mes LTR passées, dans le côté "besoin de s'isoler de temps à autres" (surtout dans les périodes où ça va mal, en fait), je n'aime jamais rien prévoir, je me retrouve souvent à appeler les gens au dernier moment pour leur proposer une sortie ou autre, quand j'arrive dans une formation / stage / autre je suis souvent celui qui va lancer une cohésion de groupe et qui vais essayer de rassembler les "loups solitaires" qui ne sont pas encore dedans, etc...

je n'ai pas tant le "sang chaud" que ça : je tente de me contrôler un maximum, dans le sens où je n'aime pas me mettre en colère, pouvant dire des choses blessantes (vraiment blessantes) sans m'en rendre compte sur le moment,
je souffre quand quelqu'un dans mon entourage va mal, je ressens souvent les gens "mauvais", avant une soirée qui va mal se passer je suis souvent tristoune / rechignant.

EDIT : je rajoute deux trois choses et confirme le post de marymorgane :
je suis aussi un touche à tout, dès que je croise quelque chose que je ne connais pas, je m'y mets à fond, j'explore tout, j'aime apprendre et connaitre tout (et rien) sur tout, jusqu'à ce qu'un nouveau sujet se pointe
je suis bordélique, je ne range à peu près jamais, je laisse souvent tout en plan et remets les choses à "plus tard" (surtout s'il s'agit de rangement / papiers administratifs / etc).


mais !
j'ai aussi un coté "penseur", mais... ? (interrogation sur moi meme)
je m'explique : j'ai une très forte tendance (peut être due à ma formation scientifique à la base?) à penser penser et repenser à des situations qui sont arrivées ou qui ne sont pas encore arrivées, à me dire "et si je faisais ça, il se passerait quoi ?", mais au final, je n'en fais rien, et je fais ce que j'ai envie sur le moment.
j'ai aussi un coté cynique, je pèse souvent le pour et le contre de quelque chose : on me parle de chasse, je vais avoir tendance à éprouver de l'empathie pour la bestiole et le mec avec le fusil, et je n'arriverais jamais à dire "je suis pour / contre", même si je peux me trouver fervent défenseur de certaines causes (j'ai par exemple été scout et suis parti 3 semaines en cote d'ivoire creuser des puits :p)

et pour reprendre ce que disent mes prédécesseurs de topic :
j'ai une forte tendance à me faire manipuler, ça m'est arrivé plusieurs fois, maintenant je fais plus attention à cela, et je me suis eject de relations (même amicales / pro) où j'ai ressenti qu'elles me bouffaient.
mais je suis aussi (et surtout, ai été) bon manipulateur, cela me permettait de me sortir de situations délicates étant jeune et encore maintenant, mais jamais au détriment d'autrui
parfois je "manipule" légèrement les gens pour les aider dans leurs problèmes (ou les changer en mieux) mais ça s'est retourné contre moi, donc je me "retiens"

j'ai aussi vu certain(e)s qui cherchaient le rapport entre leur résultat et celui des parents : ma mère est ENFJ (le professeur ?) test à l'appui, et je pense mon père être ISTP (? le "crafter" parmis les artisans)
Je viens de refaire le test. J'aurais virée INFP... Comme quoi l'état d'esprit quand on le fait est très important car je ne m'y reconnais pas du tout.
Bonjour à tous,

un ENFP de plus vous salue !

je me reconnaît dans cette description à 100 % !
J'ai fait le test après avoir découvert le MBTI avec un certain engouement, et il semblerait que je sois ENFP.

extraversion 30%
intuition 60%
sentiments 40%
perception 70%

Je me retrouve furieusement dans à peu près toutes les caractéristiques de cette catégorie. Même si je reste méfiant vis-à-vis du MBTI du fait que ce soit un test, et que j'ai toujours considéré les tests comme des jeux plutôt que des outils vraiment efficaces (ça me fait penser aux horoscopes :roll:), je dois au moins concéder que ça permet de mettre les choses au point. Car vraiment, je trouve qu'il y a énormément de vrai entre la description et ma façon de fonctionner. Une fille rencontrée depuis peu (et qui ne pouvait me juger que par l'image que je dégageais) m'a l'autre jour dit que j'étais "une vraie fille" en voyant l'énergie que je déploie à discuter avec les gens.

Extrêmement bordélique, toujours en décalage avec le monde avec cette impression de regarder ailleurs, donner du sens aux choses et aux gens même quand il n'y en aurait pas forcément (tout ne peut avoir un sens sans doute, mais je le cherche quand même). J'aime énormément tout ce qui arrive en dernière minute, et j'ai du mal à comprendre comment ceux qui planifient toujours tout font pour vivre une vie équilibrée...

Je peine à supporter les weekends seul, souvent le dimanche soir c'est game over moralement si je n'ai vu personne. D'ailleurs, ça se ressent le lundi matin dans ces cas là, je suis une pile électrique et je suis en extraversion maximale.
J'aime énormément comprendre les gens, tirer ce qu'il y a de meilleur en eux. Je leur trouve rarement de défauts parce que je passe plus de temps à voir et chercher leurs qualités... Mes proches m'apprécient pour ce que je comprends d'eux et l'intérêt que je porte à leur façon de voir les choses. Récemment, un ami purement rationnel, organisé, tourné vers la réalité, m'a d'ailleurs dit à ce propos qu'il appréciait ma compagnie parce que j'étais le seul à savoir écouter ce qu'il avait dire sans ciller quand il va mal. Que la plupart des gens cherchent à donner leur point de vue à tout prix, alors que même si j'aime beaucoup échanger, je sais écouter quand cela est important pour les autres.
Dans les groupes, je suis généralement moteur, je pousse les gens vers le haut et donne l'énergie.

Pour autant, ce n'est absolument pas une question de superficialité parce que je sais être très profond. D'ailleurs, je serais même plutôt très réfléchi, mais pas dans une optique concrète. Je cherche plutôt à trouver des réponses générales, trouver les principes qui régissent les relations, le monde, dans leur globalité. J'aime ressentir pleinement les choses. Parfois, je tombe dans une sorte d'état de sur-moi où je vois les choses avec un détachement absolu, comme si j'étais transcendé, où plus rien n'a d'importance mis à part le moment présent. C'est dans ces moments que je comprends profondément la nature des choses. Maîtriser cet état émotionnel serait d'ailleurs un très grand atout dans mon développement!

Il est très rare que je me renferme complètement sur moi, mais dans ces moments là, je sens une immense fracture entre les autres et moi. Une sorte d'état second où je ne me sens plus parmi les autres, je les regarde vivre mais ne participe plus à leurs (pré)occupations. Généralement, quand je n'ai pas l'énergie qu'on me connaît, c'est que ça va mal, ou que je suis dans une phase où je me remets profondément en question.

Reste à voir comment cette orientation de personnalité pourrait être mise à profit en terme de séduction et plus largement de relations humaines.

Si certains parmi vous se retrouvent dans mes descriptions, n'hésitez pas à le faire savoir, ENFP ou pas! Ça me permettra peut-être de savoir si je suis dans le vrai, ou si au contraire, les qualités que j'évoque se retrouvent dans toutes les autres catégories!
Incroyable cette ressemblance !
Je me retrouve vraiment dans cette description, comme toi Ash.
Je pense que j'étais plutôt INFP/INTP plus jeune, surtout quand j'étais ado.

Un grand grand MERCI à French Kiss et tous les autres qui font que ce site est ce qu'il est aujourd'hui !!! J'aurais aimé connaitre ça bien plus tôt...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] De rien le 09.12.11, 16h21 par FK
Apres avoir refais le test , je suis entre le INFP et le ENFP ... je me retrouve plus dans la description de l'ENFP sur beaucoup de points !

Mais , je monopolise rarement la parole , peut etre parce que je n'ai jusqu'a présent partagé aucune passion avec les cercles ou j’étais ?

et je ne sais pas faire de blague ... Ah le cynisme :mrgreen:
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