Se sentir viril après une agression
Mais vous vivez tous à Beyrouth ou bien?
Je n'ai jamais été embrouillé, jamais vu de bastons, rien.
Je n'ai jamais été embrouillé, jamais vu de bastons, rien.
C'est vrai qu'à lire certains témoignages on a l'impression d'être dans le bronxCutter a écrit :Mais vous vivez tous à Beyrouth ou bien?
Je n'ai jamais été embrouillé, jamais vu de bastons, rien.

J'ai habité 6 ans en France, et malgré le fait de sortir régulièrement le soir à Paris, et rentrer tard en banlieue, zéro embrouille sauf une fois (la veille de mon départ

Je rentrais seul vers St Michel, un mec m'interpelle de l'autre coté de la rue, un peu agressivement à la Ribery énervé pour me demander une clope. Du coup comme il est loin je lui réponds forcément de manière audible que non je n'en ai pas, et là j'entends : "Quoi ??? T'as dis quoi là ???" Je me retourne non seulement je le vois commencer à arriver vers moi, mais derrière lui une bande de lascars se dresser comme des pits.
Là tu sais que tu vas te manger une pluie de coup et finir à l'hosto si ce n'est plus si tu réponds, je me suis tout doucement retourné devant moi et ai continué mon chemin l'air de rien tout en surveillant du coin de l'oeil.
Rien de grave au final, mais malgré le fait d'avoir pas mal trainé en banlieue et à paris tard le soir, et sans être impressionnant physiquement (je pesais 70 kg à l'époque pour 1m80), je n'ai jamais eu le moindre problème. Peut-être le fait de ne pas soutenir systématiquement le regard quand je croise quelqu'un, et d'être dans ma bulle quand je marche seul (et peut-être aussi ne pas ressembler à Screetch Powers

Tu n'es pas dans la position du mec qui"baisse les yeux", tu es celui qui "sais où regarder" et qui"sait ce qu'il fait".Reborn a écrit : Que fais tu pour éviter ce truc sans que l'autre l'interprête comme le mec qui "baisse les yeux"?
Je vais faire exprès de prendre un exemple gros comme une ferme normande:
Entre un freluquet posé là comme un tas, avec un regard de vache morte perdu dans l'espace et un mec à l'allure assurée qui fait un truc bien précis, je vous laisse deviner qui l'emmerdeur va choisir sans attendre.
C'était le jeux favoris des veaux de mon lycée, traquer la bête malade et égarée. C'est plus facile.
Ca fait un peu psychologie de bas-étages bourrine mais j'ai pas d'études concrètes qui prouverait l'utilité de ce genre d'attitude. Juste ma maigre expérience personnel.
Et si les mecs sont vraiment impressionnant devant toi, je préfère prendre mes clic et mes clac et passer dans le côté dégonflé. C'est meilleurs pour la santé parce que de toute façon comme tu l'as écrit:
Si le mec t'a dans le pif et veux t'embrouiller, le mieux c'est de partir et de ne pas chercher d'explications logiques. C'est pas le moment.Reborn a écrit :Visiblement le mec avait besoin d'un prétexte pour t'embrouiller, tu pouvais à la limite lui répondre qu'il y'a un malentendu que tu ne souhaitais pas lui manquer de respect, tout en continuant à marcher sans t'attarder, s'il continue à te parler tu l'ignores et t'en vas tout simplement.
La chance vous sourie les gars, suffit de "pas être au bon endroit au bon moment avec les mauvaises personnes".Reborn a écrit :Cutter a écrit:
Mais vous vivez tous à Beyrouth ou bien?
Je n'ai jamais été embrouillé, jamais vu de bastons, rien.
C'est vrai qu'à lire certains témoignages on a l'impression d'être dans le bronx![]()
Anecdotes: J'ai vu mes dernières pires bastons derrières les boites à Sydney. Les gorilles de l'entrée avaient enlevés leurs oreillettes

Bon et puis parfois on peut,peut être, un peu mal jauger la situation...
Un type m'a sauté à la gorge en boite de nuit sur Grenoble il y a moult années. J'avais le malheur de draguouiller sa fraichement ex-copine, petite blonde-bimbo pulpeuse, totalement réceptive à mes avances mesurées.
J'ai compris que j'aurais du mieux m'enquérir de la situation affective de la demoiselle et de son ex-possésif-violent-copain collant. Sa main faisait tout mon cou et j'ai bien senti son haleine chargé d'alcool pas cher. Je me suis vue tel Bart Simpson.
Bon ok, j'avais peut-être légèrement frôlé la mignonne au rythme de Suavemente mais quand même...
En plus mes potes étaient partis, pas les siens. OMG. Lol
Finalement je me suis écrasé, le type m'a lâché le cou et les pompes. Je suis rentré seul, pitoyable et énervé contre ce monde de merde! Bouhou! C'était trop injuste sigh
Le lendemain, tête reposée, je me suis quand même dit que c'était pas trop grave et que cette planète était aussi peuplée de tête de noeud. "Il faut de tout pour faire un mooooooonde" disait le générique.
Ce passage m'a quand même un peu traumatisé et j'avoue essayer de ne plus faire la même erreur.
ET enfin je me dit qu'il faut pas tomber dans la paranoïa non plus. Il y a des cons violents, des coins qui craignent un max mais pleins de bonnes surprises aussi. Le tout est de remonter en selle dès que possible après une mésaventure.
Et mésaventures il y aura encore tant qu'on voudra rester libre d'aller où on a envie avec qui on a envie. Il y aura toujours les sempiternelle casses b.... désoeuvrés et pétries de frustrations, traitant allègrement les femmes libres de salopes et à l'affut du cassage de gueule facile. Ils croient sans doutes régler leurs comptes avec la société de cette façon. Un regard, une différence physique, une couleur de peau.. tout est prétexte.
Et c'est pour toutes ces raisons qu'il faut continuer à séduire en dépassant les réactions médiocres d'esprits étroits et stériles. Il y en aura malheureusement toujours.
Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue. Albert Einstein
Désolé peut-être que je m'enflamme mais c'est un sujet qui me tient à coeur.
Tout mon soutien à Nahuas. Remonte vite en selle cowboy, et yahoo!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 30.04.14, 16h39 par Terrigan
Je vais te dire un truc bizarre. Tu as de la chance.
Déjà,tu as de la chance parce que tu t'en es bien tiré. Un bosse, un coup de pied au cul de ton orgueil. y a pas mort d'homme.
Ensuite parce que tu as déjà compris la stratégie qu'à employé cet individu pour t'embrouiller et en profiter pour te frapper. Ainsi que ses motivations.
Donc, tu es loin d'être bête. (C'est toujours mieux dans la vie)
Enfin, tu as repéré un gros trou illusoire dans tes certitudes. Tu ne te croyais pas forcément invincible ou à l'abri, là tu as appris que tu peux être faible. Vulnérable.
Et donc, tu en tires une conclusion qui - crois moi - n'est pas évidente pour tout le monde (plutôt que de te lamenter, te saouler la gueule, te défouler sur tes parents etc):
Tu as compris qu'il te fallait devenir plus fort. Viril.
Tu as même fait plus que le comprendre. Tu l'as ressenti dans ta chair.
C'est une chance, parce que pour un prix qui est relativement minime, (peur, humiliation, bobo) tu as une occasion de VRAIMENT grandir.
Pas juste une décision ou une envie, mais un appel. Un impératif. Un truc que tu as -profondément- ressenti.
Tu peux laisser ce choc s'effacer, (ou s'envenimer si tu 'bad-tripe ' dessus) ou l'utiliser pour te propulser comme jamais.
Si tu décides d'écouter ce que je dis, sois bien conscient que je ne te parle qu'au nom de mon expérience, de mon histoire. Je ne possède aucune vérité absolue. Ceci dit, l'expérience personnelle est la source qui me semble la plus fiable malgré ses défauts.
Grandir en virilité demande deux choses en apparence contradictoire.
- Admettre sa faiblesse (!). Quitter la "toute puissance de l'enfance" (Je pourrai toujours gruger... Je m'en sortirai toujours... Ya qu'à... J'ai qu'à oublier... Penser à autre chose...Trouver une formule magique...Un autre arrangera le problème... Le monde est injuste parce qu'il est pas comme j'ai décidé.. si je boude ou je vais mal assez longtemps on s'occupera de moi... etc etc etc)
Oui tu t'es fait chopper. Oui tu as été faible. Oui tu as eu peur... Oui, ça fait mal.
Oui, tu as le droit de déprimer, ou de broyer du noir. De faire ton deuil.
Tu ES faible. Tu ne sera jamais tout puissant ou invulnérable. Ca, c'est une illusion de gamin.
Par contre, tu peux décider d'agir comme un homme. Et de te renforcer. Ca demande des actes.
- Travailler les arts virils: Tu ne peux pas décréter ta force physique, ta capacité à combattre, ton aura de présence.
Tu peux seulement décréter la façon de les travailler. Et chercher une façon, réelle, efficace, avec des conséquences sur ton corps, ton esprit, ta capacité à affronter l'adversité.
Petite parenthèse. La virilité est - à mon sens - une des voix d'accès à être une Homme au sens plein du terme. J'admets volontiers qu'elle n'est pas la seule, et qu'elle ne suffit pas en soit (il faut aussi le Jugement, la juste sensibilité, l'empathie etc)
Mais rien n'interdit de la vivre pleinement sans être un crétin insensible (contrairement à ce qu'on peut lire sur certain sites féminins. Ndlr)
Historiquement, les arts virils étaient ce qui était employé pour transformer les garçons en Adultes. C'est à dire en individus capables de défendre les siens, de nourrir sa famille, de travailler en équipe, d'être assez responsable pour se marier etc.
C'était la formation aux armes (service militaire), la chasse, la corvée (œuvrer pour la collectivité de façon à a avoir une autre façon de voir, de vivre, de travailler etc) ...
Je pourrai discourir pendant des heures. Je vais plutôt t'indiquer UN art viril contemporain, facilement accessible mais exigeant. Et t'indiquer tout ce qu'il va t'apporter.
Prenons la Boxe.
Oh, ça ne va pas te transformer en Superman. Mais:
Au bout de très peu de temps, pour peu que tu tiennes les entrainements.
Ton corps va sècher. Tu va te faire de vrais muscles, puissants, utiles. Tu vas te gainer.
Ton cardio va crever le plafond.
Tu vas paradoxalement gagner en souplesse.
Tu vas prendre conscience de toute tes maladresses. Ta posture, ton placement, ta mauvaise coordination. Et doucement les travailler.
Ton humilité va elle aussi paradoxalement augmenter. Tu ne te racontera pas d'histoire sur tes forces ou tes faiblesses. Tu les testeras régulièrement.
Ta peur (normale et naturelle) des coups va disparaitre. Tu va travailler ta capacité à garder ton calme sous la pression ET d'être explosif quand il le faut.
Ta présence aussi va changer. Cela va se sentir, se voir dans ta façon de marcher, de te tenir. De te comporter.
Arrêtons-là.
Ce n'est pas tant que la Boxe soit l'unique accès contemporains vers une certaine virilité.
Ni qu'elle soit le meilleurs art de combat. Ni quelle puisse régler tous les problèmes.
90% des 'problèmes peuvent être facilement évités, avant qu'ils ne se concrétisent, ou même après. Par la tchatche, par la course...
La drague est une excellente école d'intelligence sociale. On apprend à évaluer une situation à toute vitesse, à voire comment la retourner. A désamorcer un truc, en provoquer un autre (qui vous plait d'avantage). A encaisser ses échecs et à apprendre.
Bien sûr que cela permet d'augmenter la virilité de ses pratiquants. On se sent plus viril quand on baise.
Mais si ton but spécifique du moment est
... si tu donne (ou que tu ne peux nier) à cet événement un impact sur toi.
Si tu ressent le besoin d'accepter virilement la violence, alors tu dois donner à ce besoin un sens positif.
Alors...
Déjà,tu as de la chance parce que tu t'en es bien tiré. Un bosse, un coup de pied au cul de ton orgueil. y a pas mort d'homme.
Ensuite parce que tu as déjà compris la stratégie qu'à employé cet individu pour t'embrouiller et en profiter pour te frapper. Ainsi que ses motivations.
Donc, tu es loin d'être bête. (C'est toujours mieux dans la vie)
Enfin, tu as repéré un gros trou illusoire dans tes certitudes. Tu ne te croyais pas forcément invincible ou à l'abri, là tu as appris que tu peux être faible. Vulnérable.
Et donc, tu en tires une conclusion qui - crois moi - n'est pas évidente pour tout le monde (plutôt que de te lamenter, te saouler la gueule, te défouler sur tes parents etc):
Tu as compris qu'il te fallait devenir plus fort. Viril.
Tu as même fait plus que le comprendre. Tu l'as ressenti dans ta chair.
C'est une chance, parce que pour un prix qui est relativement minime, (peur, humiliation, bobo) tu as une occasion de VRAIMENT grandir.
Pas juste une décision ou une envie, mais un appel. Un impératif. Un truc que tu as -profondément- ressenti.
Tu peux laisser ce choc s'effacer, (ou s'envenimer si tu 'bad-tripe ' dessus) ou l'utiliser pour te propulser comme jamais.
Si tu décides d'écouter ce que je dis, sois bien conscient que je ne te parle qu'au nom de mon expérience, de mon histoire. Je ne possède aucune vérité absolue. Ceci dit, l'expérience personnelle est la source qui me semble la plus fiable malgré ses défauts.
Grandir en virilité demande deux choses en apparence contradictoire.
- Admettre sa faiblesse (!). Quitter la "toute puissance de l'enfance" (Je pourrai toujours gruger... Je m'en sortirai toujours... Ya qu'à... J'ai qu'à oublier... Penser à autre chose...Trouver une formule magique...Un autre arrangera le problème... Le monde est injuste parce qu'il est pas comme j'ai décidé.. si je boude ou je vais mal assez longtemps on s'occupera de moi... etc etc etc)
Oui tu t'es fait chopper. Oui tu as été faible. Oui tu as eu peur... Oui, ça fait mal.
Oui, tu as le droit de déprimer, ou de broyer du noir. De faire ton deuil.
Tu ES faible. Tu ne sera jamais tout puissant ou invulnérable. Ca, c'est une illusion de gamin.
Par contre, tu peux décider d'agir comme un homme. Et de te renforcer. Ca demande des actes.
- Travailler les arts virils: Tu ne peux pas décréter ta force physique, ta capacité à combattre, ton aura de présence.
Tu peux seulement décréter la façon de les travailler. Et chercher une façon, réelle, efficace, avec des conséquences sur ton corps, ton esprit, ta capacité à affronter l'adversité.
Petite parenthèse. La virilité est - à mon sens - une des voix d'accès à être une Homme au sens plein du terme. J'admets volontiers qu'elle n'est pas la seule, et qu'elle ne suffit pas en soit (il faut aussi le Jugement, la juste sensibilité, l'empathie etc)
Mais rien n'interdit de la vivre pleinement sans être un crétin insensible (contrairement à ce qu'on peut lire sur certain sites féminins. Ndlr)
Historiquement, les arts virils étaient ce qui était employé pour transformer les garçons en Adultes. C'est à dire en individus capables de défendre les siens, de nourrir sa famille, de travailler en équipe, d'être assez responsable pour se marier etc.
C'était la formation aux armes (service militaire), la chasse, la corvée (œuvrer pour la collectivité de façon à a avoir une autre façon de voir, de vivre, de travailler etc) ...
Je pourrai discourir pendant des heures. Je vais plutôt t'indiquer UN art viril contemporain, facilement accessible mais exigeant. Et t'indiquer tout ce qu'il va t'apporter.
Prenons la Boxe.
Oh, ça ne va pas te transformer en Superman. Mais:
Au bout de très peu de temps, pour peu que tu tiennes les entrainements.
Ton corps va sècher. Tu va te faire de vrais muscles, puissants, utiles. Tu vas te gainer.
Ton cardio va crever le plafond.
Tu vas paradoxalement gagner en souplesse.
Tu vas prendre conscience de toute tes maladresses. Ta posture, ton placement, ta mauvaise coordination. Et doucement les travailler.
Ton humilité va elle aussi paradoxalement augmenter. Tu ne te racontera pas d'histoire sur tes forces ou tes faiblesses. Tu les testeras régulièrement.
Ta peur (normale et naturelle) des coups va disparaitre. Tu va travailler ta capacité à garder ton calme sous la pression ET d'être explosif quand il le faut.
Ta présence aussi va changer. Cela va se sentir, se voir dans ta façon de marcher, de te tenir. De te comporter.
Arrêtons-là.
Ce n'est pas tant que la Boxe soit l'unique accès contemporains vers une certaine virilité.
Ni qu'elle soit le meilleurs art de combat. Ni quelle puisse régler tous les problèmes.
90% des 'problèmes peuvent être facilement évités, avant qu'ils ne se concrétisent, ou même après. Par la tchatche, par la course...
La drague est une excellente école d'intelligence sociale. On apprend à évaluer une situation à toute vitesse, à voire comment la retourner. A désamorcer un truc, en provoquer un autre (qui vous plait d'avantage). A encaisser ses échecs et à apprendre.
Bien sûr que cela permet d'augmenter la virilité de ses pratiquants. On se sent plus viril quand on baise.
Mais si ton but spécifique du moment est
, c'est à dire ne pas gommer cet événement et reprendre ton parcours tel quel ...se sentir viril après une agression
... si tu donne (ou que tu ne peux nier) à cet événement un impact sur toi.
Si tu ressent le besoin d'accepter virilement la violence, alors tu dois donner à ce besoin un sens positif.
Alors...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 29.04.14, 16h37 par Terrigan
- [+2] Constructif le 29.04.14, 20h12 par Reborn
Merde, de la chance?
Je trouve ça NORMAL de ne pas m'attendre à m'en prendre une sur le coin de la gueule quand je sors en journée ou soirée.
Je trouve ça NORMAL de ne pas m'attendre à m'en prendre une sur le coin de la gueule quand je sors en journée ou soirée.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas le plus important le 30.04.14, 16h37 par Terrigan
" Tu n'es pas dans la position du mec qui"baisse les yeux", tu es celui qui "sais où regarder" et qui"sait ce qu'il fait". "
Exactement, j'en profite aussi pour essayer de mieux expliqué ce que j'ai voulue dire plus haut, je voudrais pas que ce soit mal interprété. Il y a une frontière subtile entre paraître confiant et être provoquant dans sa gestuelle. L'état d'esprit qu'il faut adopter dans ces situations ou la fuite n'est plus possible est le suivant : je suis un mec cool, je discute avec toi ( puisque j'ai pas le choix ), mais je n'est pas peur de toi ( il faut que ça ce ressente physiquement ) si tu a la voix qui tremble, un affaissement du corps, un regard baissé ect... tu lui donne le signal qu'il te domine.
Aprés, je parle par expérience et c'est ce qui marche pour moi, mais il y a aussi un jugement sur la corpulence physique qui rentre en compte, c'est pour ça que je te conseillerais aussi d'essayer de te mettre a la musculation. Un type athlétique et imposant physiquement a généralement moins d'embrouille.
Pour le reste, c'est comme partout, ça dépend l'endroit et la ville dans laquelle vous habitez, par chez moi, les agressions sont pas rare, il arrive souvent que des racailles de banlieue viennent a la sortie des bar juste pour casser des gueules, pour le plaisir, avec couteaux et autre saloperie. A force, avec mes potes, on a finit par s'organiser ( quand l'un deux a pris un coup de couteaux pas loin du coeur ), on sort jamais sans que quelqu'un n'est pas une lacrymo sur lui. Des que ça dégénère, il suffit que l'un de nous sorte le signal. Pas de blessé et pas de coup mal placé, c'est radical et chacun rentre chez lui sans dommage.
Exactement, j'en profite aussi pour essayer de mieux expliqué ce que j'ai voulue dire plus haut, je voudrais pas que ce soit mal interprété. Il y a une frontière subtile entre paraître confiant et être provoquant dans sa gestuelle. L'état d'esprit qu'il faut adopter dans ces situations ou la fuite n'est plus possible est le suivant : je suis un mec cool, je discute avec toi ( puisque j'ai pas le choix ), mais je n'est pas peur de toi ( il faut que ça ce ressente physiquement ) si tu a la voix qui tremble, un affaissement du corps, un regard baissé ect... tu lui donne le signal qu'il te domine.
Aprés, je parle par expérience et c'est ce qui marche pour moi, mais il y a aussi un jugement sur la corpulence physique qui rentre en compte, c'est pour ça que je te conseillerais aussi d'essayer de te mettre a la musculation. Un type athlétique et imposant physiquement a généralement moins d'embrouille.
Pour le reste, c'est comme partout, ça dépend l'endroit et la ville dans laquelle vous habitez, par chez moi, les agressions sont pas rare, il arrive souvent que des racailles de banlieue viennent a la sortie des bar juste pour casser des gueules, pour le plaisir, avec couteaux et autre saloperie. A force, avec mes potes, on a finit par s'organiser ( quand l'un deux a pris un coup de couteaux pas loin du coeur ), on sort jamais sans que quelqu'un n'est pas une lacrymo sur lui. Des que ça dégénère, il suffit que l'un de nous sorte le signal. Pas de blessé et pas de coup mal placé, c'est radical et chacun rentre chez lui sans dommage.
Moi aussi je trouve ça normal de pouvoir sortir en toute quiétude.Cutter a écrit :Merde, de la chance?
Je trouve ça NORMAL de ne pas m'attendre à m'en prendre une sur le coin de la gueule quand je sors en journée ou soirée.
Désolé si mes propos faisaient ressentir l'inverse. Je doit passer pour un gros parano du coup

En relisant mon post, j'avoue ne pas avoir été très optimiste.
Non non, ton post est cool.Thedaze a écrit :Moi aussi je trouve ça normal de pouvoir sortir en toute quiétude.Cutter a écrit :Merde, de la chance?
Je trouve ça NORMAL de ne pas m'attendre à m'en prendre une sur le coin de la gueule quand je sors en journée ou soirée.
Désolé si mes propos faisaient ressentir l'inverse. Je doit passer pour un gros parano du coup![]()
En relisant mon post, j'avoue ne pas avoir été très optimiste.
C'est juste cette histoire de danger / pas danger qui rend confus.
je le répète avec l'exemple de la voiture: à chaque fois qu'on prend le volant on assume qu'on peut se prendre un chauffard en choc frontal, et là c'est game over.
Mais ça n'empêche pas de prendre du plaisir au volant, de se sentir en confiance.
Je vous redonne la conclusion: si on est tout le temps en danger, c'est comme si on n'était jamais en danger.
ça a l'air stupide, ça sonne comme un jeu de l'esprit sans substance, mais c'est ma meilleure conclusion pour le moment

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Merci ! :) le 09.05.14, 13h38 par Thedaze
Rien qu'en mangeant des brocolis on peut mourir.
Le danger est vraiment partout.
Le danger est vraiment partout.