Re: Rencontre en ligne: Oui, mais pas que.
Posté : 03.04.16
Mais même il y a dix ans on mettait pas 3 j à répondre. Et même le texte seul ça faisait de belles choses.
C'est juste que si vous aimez pas ça c'est pas votre canal de communication. Mais ça existe. Dans des mots on peut très bien voir quelque chose d'aussi touchant que dans une mimique ou un sourire à un moment donné.
L'esprit peut être autant séduit par des informations écrites que "corporelles". Au final tout dépend de comment tu interprètes le signal et ça ça dépend de ta culture, ta personnalité...
Les sdr j'ai presque envie de dire ça n'a rien à voir avec ça.
Ou ça a tout à voir.
Il y a autant de différences entre deux mecs qui draguent en bar ou la rue que sur un sdr.
Un comme moi va considérer chaque fille qui pique son intérêt comme unique et importante et où aucune n'est "une de plus", d'autres feront de l'abattage, d'autres s'impliqueront mais avec une certaine mesure (qui tend parfois à une recherche de rentabilité. Mais c'est une question qui s'applique en vrai aussi:
"Je vais passer la soirée avec cette fille mignonne que j'aime bien mais avec qui baiser est plus qu'incertain ou je vais avec mon pote dans cette soirée où il y a que des inconnues et avec une ambiance qui facilite beaucoup la baise?"
Donc les histoires de paresse et de consumérisme et autres, mauvais procès d'intentions.
Je crois pas qu'une fille que j'ai dragué sur le net mais jamais trouvé paresseux.
Charmant, drôle, barré, sexy, surprenant oui, mais c'était pareil en vrai.
C'est sûr que le physique manque parfois. Mais justement ça fait monter la pression.
"J'aimerais voir tes yeux quand tu m'as écris ça". Ce genre de choses. Si ça fait pas travailler votre imagination, si vous auriez pas envie de sauter dans la voiture direct pour faire 60(0 (0)) bornes et la rejoindre quand vous ressentez un truc qui vous fait dire ça, effectivement contentez vous du "réel".
(Et quant à m'expliquer en quoi les mots sont moins réels, on en reparlera avec Sand et Musset. Si l'histoire avec un grand H retient ça, je crois pas que vous puissiez vous permettre de nier que ça existe).
C'est juste que si vous aimez pas ça c'est pas votre canal de communication. Mais ça existe. Dans des mots on peut très bien voir quelque chose d'aussi touchant que dans une mimique ou un sourire à un moment donné.
L'esprit peut être autant séduit par des informations écrites que "corporelles". Au final tout dépend de comment tu interprètes le signal et ça ça dépend de ta culture, ta personnalité...
Les sdr j'ai presque envie de dire ça n'a rien à voir avec ça.
Ou ça a tout à voir.
Il y a autant de différences entre deux mecs qui draguent en bar ou la rue que sur un sdr.
Un comme moi va considérer chaque fille qui pique son intérêt comme unique et importante et où aucune n'est "une de plus", d'autres feront de l'abattage, d'autres s'impliqueront mais avec une certaine mesure (qui tend parfois à une recherche de rentabilité. Mais c'est une question qui s'applique en vrai aussi:
"Je vais passer la soirée avec cette fille mignonne que j'aime bien mais avec qui baiser est plus qu'incertain ou je vais avec mon pote dans cette soirée où il y a que des inconnues et avec une ambiance qui facilite beaucoup la baise?"
Donc les histoires de paresse et de consumérisme et autres, mauvais procès d'intentions.
Je crois pas qu'une fille que j'ai dragué sur le net mais jamais trouvé paresseux.
Charmant, drôle, barré, sexy, surprenant oui, mais c'était pareil en vrai.
C'est sûr que le physique manque parfois. Mais justement ça fait monter la pression.
"J'aimerais voir tes yeux quand tu m'as écris ça". Ce genre de choses. Si ça fait pas travailler votre imagination, si vous auriez pas envie de sauter dans la voiture direct pour faire 60(0 (0)) bornes et la rejoindre quand vous ressentez un truc qui vous fait dire ça, effectivement contentez vous du "réel".
(Et quant à m'expliquer en quoi les mots sont moins réels, on en reparlera avec Sand et Musset. Si l'histoire avec un grand H retient ça, je crois pas que vous puissiez vous permettre de nier que ça existe).