Avancer puis tomber. Complètement perdu, besoin de votre aide

Note : 68

le 05.09.2016 par Innerman7

96 réponses / Dernière par Innerman7 le 25.09.2016, 22h57

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
Rickhunter a écrit :Tu t'en fous!
Encore une fois, laisse tomber ce genre de questions, ça sert à rien intellectuellement, ça squatte le temps de cerveau disponible et ça pourrit ton quotidien.

La vie est trop courte pour essayer de rationaliser les trucs pas rationnels.

Courage.
C'est ce que je me dis sans cesse, car oui, ça bouffe le cerveau ce genre de questions qui, pour le coup, n'ont pas de réponses...
Le problème étant que mon cerveau ne cesse d'être en activité, toujours. Et même quand je fais plusieurs tâches à la fois, il parvient à encore détourner sur ça. Mais bref, il faut arrêter de rationaliser ça.
r-0 a écrit :Laisse le temps faire son travail et essaye d'arrêter de penser à elle :

- Déjà en commençant par arrêter d'en parler avec ta famille et tes amis, ils ont bien d'autres sujets de discussion.

- Puis en arrêtant d'en parler ici. Même si c'est dur et que ça te fait du bien de te vider, ici on ne fait que ressasser encore et toujours.

- Sors avec des potes passe du bon temps en faisant autre chose.

- Si possible coupe un peu avec ton club de tennis, moins de compétitions par exemple etc...

Je sais que c'est dur mais courage.
C'est aussi ce que je répète, de laisser le temps faire son travail et qu'il me fera oublier tout ça un beau jour, car c'est la vie. Et sincèrement j'y crois, en tout cas je me force à aller dans ce sens, et ça c'est déjà un bon point, j'arrête de m'enterrer et me lamenter. C'est comme ça, un point c'est tout.
Mais c'est normal d'avoir des moments de doutes après 1 an et demi comme ça.

Franchement, j'essaie de ne pas penser à elle, je m'y force à détourner mon attention sur autres choses, mais les musiques, le fait d'en parler, les films, etc. Tellement de choses m'y ramène.

-Je n'y peux rien qu'ils en parlent. Je préférerai ne pas en parler et ça me ferait du bien. Mais son frère, bah il m'en parle dans la discussion de manière naturel. Mon pote, me demande comment elle va, comme si j'étais proche d'elle, alors que j'en sais rien. Ma famille en parle aussi en cours de discussion de sport (car oui, elle est douée), et sa famille normal aussi., dans mon club, y a des photos d'elle...... Bref, autant dire que c'est un peu dur.

-Mais oui, c'est vrai que ça me fait du bien de me vider, mais après c'est tourner en rond et se répéter pour dire la même chose, ça je le conçois.

-Sortir avec mes potes, ça je fais déjà, et ça me fait du bien, sauf dans les moments de silences qui reviennent.

-Je vois que ça hélas. Il faudrait même que je change de club et de cercle social au niveau sport pour éviter d'en parler... Et c'est ça que je me vois mal faire.

Merci du soutien.
Nonchalance a écrit : Tu n'as pas besoin de refouler ce que tu as sur le cœur, l 'exprimer c'est déjà beaucoup du travail. C'est sensé faire mal, c'est normal. C'est le fait d'étaler sa souffrance et de s'y complaire qui est malsain.

Ce qui est important c'est le fait que tu ais pris conscience que tu devais passer à autre chose. C'est un petit changement d'état d'esprit que tu dois nourrir et c'est ce changement qui va te sortir de ta tristesse.

Ne t'inquiète pas, ça va aller. Tout le monde passe par là mais nous ne sommes pas tous préparés pareil. Dans le cas des hommes, c'est symptomatique parce que nous sommes quasiment tous habitués dès notre enfance à refouler nos émotions et à les garder en nous, ce qui nous empêche d'avancer. Or, s'exprimer est une force quand on le fait avec intelligence, ça nous permet d'être vraiment nous mêmes et de prendre les défis de la vie avec poigne sans avoir peur de se blesser. Tout simplement parce que se blesser fait parti du processus, ce n'est pas une finalité.
J'essaie oui d'exprimer ce que j'ai sur le coeur, mais seul et ne pas s'exprimer à une personne, c'est dur et étrange. Et la personne à qui je voudrais m'exprimer est elle. Chose encore plus étrange !?

Ah oui, mon état d'esprit n'est plus du tout le même, je sais qu'il faut que je passe à autre chose, mais c'est le moyen d'y arriver qui reste flou en moi, dans le sens où je vois pas comment y parvenir tant il y a de choses qui m'en empêche.

Merci du soutien et de ces mots rassurants. Je vais retenir ton dernier paragraphe.
J'essaie oui d'exprimer ce que j'ai sur le coeur, mais seul et ne pas s'exprimer à une personne, c'est dur et étrange. Et la personne à qui je voudrais m'exprimer est elle. Chose encore plus étrange !?
C'est logique que t'aies envie d'aller lui dire à quel point tu es déçu, que tu pensais qu'elle se rapprochait de toi et qu'elle t'as fait souffrir.
Franchement si ça peut t'aider à tourner la page plus facilement tu peux aller lui en parler tranquillement, vider ton sac sans l'insulter ni l'accuser de tous les torts.

Peut être juste lui dire que tu en as souffert, que tu en souffres encore et que pour te rétablir tu as besoin de couper définitivement les ponts avec elle, ça fera déjà un problème de régler et tu seras plus obligé de lui parler.

Après détaches toi également de sa famille, dis à tes proches d'arrêter de parler d'elle quand tu es là (ils peuvent être compréhensifs tu verras), fais de même avec son frère.
r-0 a écrit :C'est logique que t'aies envie d'aller lui dire à quel point tu es déçu, que tu pensais qu'elle se rapprochait de toi et qu'elle t'as fait souffrir.
Franchement si ça peut t'aider à tourner la page plus facilement tu peux aller lui en parler tranquillement, vider ton sac sans l'insulter ni l'accuser de tous les torts.

Peut être juste lui dire que tu en as souffert, que tu en souffres encore et que pour te rétablir tu as besoin de couper définitivement les ponts avec elle, ça fera déjà un problème de régler et tu seras plus obligé de lui parler.

Après détaches toi également de sa famille, dis à tes proches d'arrêter de parler d'elle quand tu es là (ils peuvent être compréhensifs tu verras), fais de même avec son frère.
Je sais pas si c'est vraiment de la déception. Je ressens plus ça comme de la tristesse, de la profonde tristesse qui pèse dans les moments de vide. D'ailleurs j'ai passé une sacré nuit, mon cerveau n'a fait que rêver d'elle et c'était vraiment pas agréable au réveil, car trop irréel.

Je sais pas si ce serait une bonne idée, dans le sens où d'après ce que j'ai compris, ça l'a saoulé déjà mes "tentatives" et ce que j'ai été et à chaque fois que j'ai retenté. A tel point que son frère me l'a dit quand je voulais justement lui en parler et mettre au clair. Il m'a dit qu'il valait mieux pas. Donc maintenant, je sais plus. Mais pourtant...

Oui, je pense qu'il va falloir que je sois plus clair, car tous autour moi en parle comme si j'étais vraiment un bon ami avec elle ou quoi... Comme si je connaissais bien sa vie, etc. Mais pas du tout, je ne sais plus rien d'elle.
L'OI a l'air d'être assez sévère :-S

Avec ton environnement qui te l'a ressasse en permanence ça doit pas aider...

On a tous eu des potes relou qui te demandent "alors comment elle va machine ?" alors que c'est la dernière personne dont t'as envie de parler.

Je pense que dans ce cas, faut être assez clair, et directement exposer les faits: tu ne la fréquentes plus et n'es plus en contact avec elle.

Aller lui parler pour lui exprimer ta "souffrance", ça me semble assez risqué, ça pourrait aggraver la situation, je pense que tu devrais garder ça pour toi.

Le seul moyen d'oublier tout ça c'est de t'assurer d'avoir une vie bien remplie, bosse sur ton développement personnel, fixe toi des objectifs et donne toi les moyens de les atteindre.
RiskyChoice a écrit :L'OI a l'air d'être assez sévère :-S

Avec ton environnement qui te l'a ressasse en permanence ça doit pas aider...

On a tous eu des potes relou qui te demandent "alors comment elle va machine ?" alors que c'est la dernière personne dont t'as envie de parler.

Je pense que dans ce cas, faut être assez clair, et directement exposer les faits: tu ne la fréquentes plus et n'es plus en contact avec elle.

Aller lui parler pour lui exprimer ta "souffrance", ça me semble assez risqué, ça pourrait aggraver la situation, je pense que tu devrais garder ça pour toi.

Le seul moyen d'oublier tout ça c'est de t'assurer d'avoir une vie bien remplie, bosse sur ton développement personnel, fixe toi des objectifs et donne toi les moyens de les atteindre.
Tu vois, du coup même toi tu le constates :/ En effet, j'en ai conscience que l'OI est sacrément sévère et surtout ancré...

Oui c'est exactement ça ! Sauf que j'ai été clair de nombreuses fois, en disant que je savais pas car je lui parle pas en dehors du sport et encore même en sport... Mais bon, ça s'obstine à demander.

Exactement, tout ce que tu dis est très juste pour pouvoir progresser sur le plan personnel.


Maintenant qu'on a dit tout ça, on passe à la partie qui fâche sévèrement. J'ai agis comme un con (je trouve pas d'autres mots)... Car dans mon moment de grande faiblesse mentale, j'étais littéralement entrain d'exploser mentalement, j'hésitais vraiment à lui dire ce que j'avais sur le coeur et au final j'ai pas fais ça... Je lui ai simplement envoyé un message banal auquel elle a répondu dans la minute qui suit. Et finalement on a parlé toute la journée d'hier par SMS et aujourd'hui on est allé au cinéma (y avait son frère et la copine à son frère).
Qu'ai-je fais !? Car en étant honnête, je me sens mieux et soulagé dans un sens de l'avoir revu et que finalement ça s'est bien passé, mais en aucun cas cela va m'aider, voire pire, ça va empirer je me dis, car je vois qu'en plus elle parle avec genre 3/4 mecs par SMS. Bon ça c'est annexe mais voilà, je fais quoi ? Pourquoi je fais ça, suis-je vraiment atteins ?
En soit, que tu l'aies revu n'est pas un problème, en plus vous étiez en groupe.

Par contre le soucis c'est que ça t'ait soulagé de l'avoir revue... là ça montre bien que tu es dépendant d'elle et c'est pas bon.

Elle représente une sorte d'idéal féminin pour toi ?
RiskyChoice a écrit :En soit, que tu l'aies revu n'est pas un problème, en plus vous étiez en groupe.

Par contre le soucis c'est que ça t'ait soulagé de l'avoir revue... là ça montre bien que tu es dépendant d'elle et c'est pas bon.

Elle représente une sorte d'idéal féminin pour toi ?
En effet, en soi c'est pas vraiment un problème, surtout que ça s'est pas mal passé. J'étais plutôt bien.
Mais tu vois j'ai craqué en lui reparlant et qu'elle réponde on a continué encore et encore et je m'arrête plus.
Au final on va au ciné, bon en groupe mais elle dit pas non à y aller quelle et moi.
Après je remarque des comportements étranges de sa part en contradiction entre les SMS et le réel (je peux décrire si il faut)

Oui clairement, le fait de lui reparler et ensuite de la revoir que ça m'ait fait ce "soulagement" ou dans une moindre mesure une sensation de tranquillité que j'avais plus quand j'étais mal après l'avoir revu la semaine d'avant ! C'est sûr elle m'a drogué et je suis dépendant d'elle je le constate.

Oui je crois qu'elle représente la femme idéale pour moi, celle que je rêve d'avoir dans le sens où elle combine tout ce que j'aime
Où est ton amour propre là dedans? Il y a un truc que j'ai vraiment du mal à capter dans cette histoire. C'est une question sincère, je ne cherche pas à te vexer.

Ce problème ne me concerne pas mais j'ai du mal à m'imaginer que quelqu'un qui ne veut rien de toi puisse avoir autant de pouvoir sur toi.

Je m'aime beaucoup. Vraiment. Si une personne me plaisait et que ce n'était pas réciproque, même si je faisais un OI, je serais incapable de lui donner autant de pouvoir sur moi. Je m'imposerais des limites sur mes interactions avec cette personne et je lui parlerais pour lui expliquer respectueusement qu'elle devrait se tenir éloigner de moi au maximum. Si elle refusait ou ignorait mes limites, je l'ignorerais. Complètement.

Tu n'es pas moi certes. Mais il n'y a pas quelque chose qui t'énerve dans cette histoire? Tu ne te sens pas mal d'être en position de faiblesse et de devoir mendier de l'attention? Tu ne te sens pas frustré qu'une seule personne puisse décider de ton bonheur ou de ton malheur?

Si tu réponds oui à au moins une de ces questions, qu'est ce qui t'empêche vraiment de passer à autre chose?

EDIT: Je ne dis pas que je suis meilleur que toi ou que tu dois absolument suivre mon exemple, j'essaye vraiment de comprendre.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] 100% d'accord le 12.09.16, 02h58 par Mr.Smooth
  • [+1] +1 le 12.09.16, 16h26 par Rickhunter
  • [+1] Pertinent le 13.09.16, 10h48 par Aristophane
Nonchalance a écrit :Où est ton amour propre là dedans? Il y a un truc que j'ai vraiment du mal à capter dans cette histoire. C'est une question sincère, je ne cherche pas à te vexer.

Ce problème ne me concerne pas mais j'ai du mal à m'imaginer que quelqu'un qui ne veut rien de toi puisse avoir autant de pouvoir sur toi.

Je m'aime beaucoup. Vraiment. Si une personne me plaisait et que ce n'était pas réciproque, même si je faisais un OI, je serais incapable de lui donner autant de pouvoir sur moi. Je m'imposerais des limites sur mes interactions avec cette personne et je lui parlerais pour lui expliquer respectueusement qu'elle devrait se tenir éloigner de moi au maximum. Si elle refusait ou ignorait mes limites, je l'ignorerais. Complètement.

Tu n'es pas moi certes. Mais il n'y a pas quelque chose qui t'énerve dans cette histoire? Tu ne te sens pas mal d'être en position de faiblesse et de devoir mendier de l'attention? Tu ne te sens pas frustré qu'une seule personne puisse décider de ton bonheur ou de ton malheur?

Si tu réponds oui à au moins une de ces questions, qu'est ce qui t'empêche vraiment de passer à autre chose?

EDIT: Je ne dis pas que je suis meilleur que toi ou que tu dois absolument suivre mon exemple, j'essaye vraiment de comprendre.
Ne t'inquiètes pas ! Je ne le prends pas mal et tu ne vexes pas, puisque dans les faits, tu as raison. Que puis-je répondre à ce que tu dis, tant il y a du vrai.

Où est mon amour propre ? Vraiment, je ne sais plus. Car j'en ai. Je ne dirai pas que j'en ai pas, mais oui elle parvient à avoir ce pouvoir sur moi. Alors, elle ne va pas me dénigrer ou je ne sais quoi, car pour le coup, si elle me rabaissait parce qu'elle sait qu'elle a du pouvoir sur moi, là pour le coup je ne réagirais pas de la même manière.

Justement, j'essaie d'arriver à me contrôler et ne pas lui donner ce pouvoir sur moi, mais c'est je n'y parviens pas. A chaque fois que je suis avec elle, je me sens bien, à chaque fois que je la regarde, je la trouve sublime et je n'arrive pas à la voir différemment. Son rire, etc. Bref. Tout ça qui font que j'aime ce qu'elle est et qui, je sais pas, me contrôle et je ne peux pas ne pas lui parler, c'est comme si j'en avais besoin.

Si bien sûr, je trouve ça pas acceptable que je puisse me comporter comme ça avec quelqu'un et de me retrouver sans cesse dans cette situation de faiblesse. C'est pas faute d'avoir essayer d'inverser la tendance, mais me suis-je mal pris, car je ne suis jamais parvenu à ce résultat. A chaque fois, elle renverse la vapeur et se retrouve au-dessus et comme elle dit, jamais elle ne courra derrière un garçon ou quoi...
La dernière question est la pire, car si je me sens mal qu'une seule personne puisse être à l'origine de mon bien être ou mal être. J'ai essayé de l'oublier, passer à autre chose, la haïr même... Ne plus lui parler pendant ces 2 derniers mois. Et m^me si on m'en parlait, j'en faisais abstraction. Mais en une fraction de seconde, je la revois, elle me sourit et je me retrouve à nouveau enchaîné.
Et au bout d'une semaine, je dois lui reparler sinon je fais un burn-out. C'est nul et débile à dire, pourtant c'est ce que je ressens et c'est vraiment pas le top ce que je fais.

Qu'est-ce qui m'en empêche ? Rien, hormis le fait que je n'arrive pas à m'extirper de ça à chaque fois que je suis avec elle.

Moi aussi je cherche à comprendre pourquoi j'en arrive à être comme ça, alors qu'avant elle, avant que je la connaisse, je n'étais pas du tout ainsi.
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