Cameleon a écrit :
Pour les matheux, j'envisage le bohneur/malheur comme la dérivée de la situation.
bohneur = niveau d'origine + d(situation).
Le bonheur, la dérivée d'une fonction affine?
ça paraît con mais pourquoi pas...
Visiblement, une partie du bonheur que l'on ressent provient de notre génotype et ne change pas, quoi qu'il arrive; dans une fonction du type f(x)=ax+b, ce serait b.
Or, il est cependant possible d'améliorer son niveau de bonheur: ce qui correspondrait à la partie variable de la fonction: ax.
Cependant, il est possible d'être à un très haut niveau, tout en étant malheureux, par exemple parcequ'il vient de nous arriver quelques chose de triste: imaginez un homme d'affaire super riche, avec une femme qu'il aime; imaginez qu'il soit heureux; si un jour sa feme se fait écraser par un bus, il sera très malheureux, alros que son job et son argent, qu'il a toujours, le placeront très haut sur "l'échelle du bonheur".
Donc en gros, la dérivée prenant compte de la "pente" de la fonction, c'est à dire de si le bonheur s'accroît ou décroît, on aurait un truc du genre:
bonheur=
(variation actuelle du bonheur) x (situation actuelle) +
(bonheur déterminé génétiquement)
Je sais que c'est un peu tiré par les cheveux, et que ça ressemble à l'apothéose de la branlette intelectuelle. Mais je trouve ce résultat intèressant. Pas vous?
