[D] Consulter un psychologue ?
J'ai déjà eu affaire à une psychologue débutante lors d'un bilan de compétences (post bac).
Du point de vue orientation ça a pas été un succès; mais pendant le processus elle a posé des questions qui, par la gêne occasionnée, m'ont fait réaliser que j'avais des problèmes.
Consulter, ça me tenterait bien.
Je bloque sur le coût (ça a la réputation d'être chéros) et sur la pression sociale (peur d'être jugé par mon entourage immédiat)
En attendant, je bosse mon inner game, me pose des questions sur moi même, et lis des ouvrages traitant de psychanalyse.
J'ai déjà fait pas mal de progrès (merci FTS) mais il reste du boulot.
Niveau choix du psy, perso j'irais plutôt vers une femme, mais ça dit pas avoir une importance énorme. A chacun de choisir ce qui semble lui convenir le mieux.
Du point de vue orientation ça a pas été un succès; mais pendant le processus elle a posé des questions qui, par la gêne occasionnée, m'ont fait réaliser que j'avais des problèmes.
Consulter, ça me tenterait bien.
Je bloque sur le coût (ça a la réputation d'être chéros) et sur la pression sociale (peur d'être jugé par mon entourage immédiat)
En attendant, je bosse mon inner game, me pose des questions sur moi même, et lis des ouvrages traitant de psychanalyse.
J'ai déjà fait pas mal de progrès (merci FTS) mais il reste du boulot.
Niveau choix du psy, perso j'irais plutôt vers une femme, mais ça dit pas avoir une importance énorme. A chacun de choisir ce qui semble lui convenir le mieux.
C'est impossible, tu vas te rendre fou!Syphil a écrit :...en arrivant petit a petit a faire taire mon mental et ses incessants bavardages .
Nous avons tous une petite voix intérieure, le but est qu'elle soit positive.
AMHA, un psy est utile dans 2 cas :
- en cas de graves problèmes pour sortir la tête de l'eau,
- après avoir fait un gros travail préparatoire personnel et ainsi supprimer des blocages résiduels avec le thérapeute.
Un psychiatre est un médecin donc il est habilité à prescrire des médicaments (mais il ne le fera que s'il l'estime nécessaire et uniquement avec l'accord du patient, de toute façon)
Un psychothérapeute n'est pas médecin et n'est donc pas habilité à prescrire des médicaments tels que des anti-dépresseurs ou autres.
Pour simplifier, il y a en gros 2 types de psychothérapies :
- classiques
- cognitives et comportementales
Il faut se renseigner avant pour savoir laquelle est la mieux adaptée à son cas.
Pour avoir "testé" les deux, voici ce que je peux en dire :
Les thérapies ont pour but dans un premier temps d'identifier les causes des difficultés (éducation, histoire familiale ou personnelle, etc), et dans un deuxième temps, une fois les causes identifiées, de trouver le moyen de "tordre le cou" à ces difficultés.
Identifier les causes des difficultés est une chose...arriver à changer vraiment est une autre affaire...
On dit que quand on a identifié les causes, on a fait la moitié du chemin... Moi, je dirais qu'on a fait "un bout de chemin" mais que le plus dur reste à faire...
Au final, l'efficacité dépendra d'une part du degré de gravité et d'ancienneté des difficultés, d'autre part de la volonté de s'en sortir.
Donc pas de miracle rapide à attendre, mais ça peut aider, c'est clair.
Un psychothérapeute n'est pas médecin et n'est donc pas habilité à prescrire des médicaments tels que des anti-dépresseurs ou autres.
Pour simplifier, il y a en gros 2 types de psychothérapies :
- classiques
- cognitives et comportementales
Il faut se renseigner avant pour savoir laquelle est la mieux adaptée à son cas.
Pour avoir "testé" les deux, voici ce que je peux en dire :
Les thérapies ont pour but dans un premier temps d'identifier les causes des difficultés (éducation, histoire familiale ou personnelle, etc), et dans un deuxième temps, une fois les causes identifiées, de trouver le moyen de "tordre le cou" à ces difficultés.
Identifier les causes des difficultés est une chose...arriver à changer vraiment est une autre affaire...
On dit que quand on a identifié les causes, on a fait la moitié du chemin... Moi, je dirais qu'on a fait "un bout de chemin" mais que le plus dur reste à faire...
Au final, l'efficacité dépendra d'une part du degré de gravité et d'ancienneté des difficultés, d'autre part de la volonté de s'en sortir.
Donc pas de miracle rapide à attendre, mais ça peut aider, c'est clair.
dans la suite de ce que morpheus a dit , j'ajouterait que ces approches, pnl, sophrologie, gestalt, aident a avancer et a progresser en profondeur sans avoir besoin de chercher des explications dans son passe, dans son enfance, je me suis deja demandé si ces recherches parfois tres longues etaient finalement utiles pour le present ou l'avenir .... est il important de savoir d'ou vient notre bon ou mauvais karma, le but etant dans tous les cas de le purifier
D'un autre côté, si tu te places dans une optique psychanalytique, tu as le symptôme et le traumatisme (cause réelle du symptôme).
De ce que j'ai compris, les thérapies comportementales sont effectives, elles suppriment le symptôme très rapidement sans avoir besoin de quoi que ce soit (cf PNL).
Problème: c'est du bricolage, on supprime le symptôme mais le traumatisme reste là, il va donc s'exprimer sous forme d'un nouveau symptôme (qu'on verra peut-être peu, certes...mais qui bloquera un jour). En gros ces thérapies sont une course contre la montre, on supprime méthodiquement les symptômes...qui réapparaissent sous une autre forme...on les supprime...
De ce que j'ai compris, les thérapies comportementales sont effectives, elles suppriment le symptôme très rapidement sans avoir besoin de quoi que ce soit (cf PNL).
Problème: c'est du bricolage, on supprime le symptôme mais le traumatisme reste là, il va donc s'exprimer sous forme d'un nouveau symptôme (qu'on verra peut-être peu, certes...mais qui bloquera un jour). En gros ces thérapies sont une course contre la montre, on supprime méthodiquement les symptômes...qui réapparaissent sous une autre forme...on les supprime...
Le but étant de mettre le mental au repos , qu'il raconte des choses positives ou non n'est pas le plus important , l'important c'est de le remettre a sa juste place , c'est un simple outil quoi .Syphil a écrit:
...en arrivant petit a petit a faire taire mon mental et ses incessants bavardages .
C'est impossible, tu vas te rendre fou!
Nous avons tous une petite voix intérieure, le but est qu'elle soit positive
Sinon je maintiens que les psy ne sont pas les seules thérapeutes viables , il y a la thérapie par le chant , par l'art , par un travail énérgétique , le yoga , même certains workshops de séduction sont thérapeutiques .
Enfin je dis ça car ce monopole de la psychothérapie me saoule , car , pour certains un psy ne servira a rien du tout , et vu que la plupart des gens entendent forcément psy quand on parle de thérapeute certaines personnes auront vite fait de se sentir désesperées et perdues a defaut d'avoir eut suffisament d'information sur les différents moyens de guérir .
C'est une des théories de la psychanalyse, que d'affirmer que la cause du 1er symptôme peut créer un autre symptôme. Ce qui ferait de la psychanalyse la seule méthode qui guérisse en profondeur le mal-être, qui aille aux racines du mal.Cyd07 a écrit :D'un autre côté, si tu te places dans une optique psychanalytique, tu as le symptôme et le traumatisme (cause réelle du symptôme).
Hélas, rien ne permet de prouver ou d'infirmer cette théorie.
On peut penser qu'une personne qui reste 10 années chez le psychanalyste sans les résultats qu'elle espérait est un cas difficile, ou bien que le psy est nul. Mais on est aussi en droit de penser que ce n'est pas la bonne méthode. J'ai une amie qui est suivie par un psy depuis des années, et le résultat laisse à désirer (mais comment savoir ce qu'elle serait devenue sans les séances?).
Sinon, comme l'a rappelé Morpheus, la psychanalyse n'est pas le bon choix si on désire obtenir "tel bénéfice en tant de temps" (par exemple "surmonter sa phobie des araignées en deux mois").
Ce qui en ressort c'est avant tout mes envies, mes pulsions (qui sont positives en ce qui concerne la sarge), c'est cela qui est relevant en analyse.Quinte_flush-royale a écrit :Ca m'intéresse beaucoup, tu as eu des retours de ta psy ? Tu as discuté activement de la communauté avec elle ? Des choses intéressantes en sont ressorties ?
Elle résume mon envie de draguer à, je cite : "courir le jupon"

La communauté en tant que communauté n'a pas d'importance en séance.
je suis allé consulté une premiere fois, et j'ai pensé l'avoir ennuyé : il a regardé 3 fois sa montre en 30 minutes...
En ce qui me concerne, la crise qui m'a fait découvrir la communauté m'a aussi amené chez un psychiatre pour TS multiples.
Bien choisir son psy, c'est important! Par contre, les effets se font sentir en décalés, mes premières améliorations réelles ont du se faire sentir 8 mois après le début des séances (et à une séance par semaine...).
J.W.
Bien choisir son psy, c'est important! Par contre, les effets se font sentir en décalés, mes premières améliorations réelles ont du se faire sentir 8 mois après le début des séances (et à une séance par semaine...).
J.W.