FTS

J'y suis déjà allé plusieurs fois, suffisamment en tout cas pour savoir qu'il y a prostituées et prostituées.

La pute de rue ===> no interest, le vite-fait mal-fait semble être la règle de rigueur dans ces cas ...

La pute de luxe / escort-girl / bordel ===> c'est plus cher, forcément (comptez au minimum 360 euros pour un bon bordel parisien, comme ces maisons closes qui jouxtent les magasins de guitare sur la rue Victor Massé (Paris 18è) ; 180 pour payer la bouteille de champagne, 180 pour la fille). Elles sont plus expertes, et pour ce prix-là te font passer un bon moment ... voire de TRES bons moments. Condition sine qua non de l'acte : ne pas être bourré / connaître les quelques règles de base (cf. bouteille de champagne + argent fille) qui feront qu'elles n'essaieront pas de vous avoir.

Contrairement à Spike, je n'ai pratiqué que lorsque je n'avais pas de fuck-friends à disposition. Ca n'a rien de glauque, et ça change agréablement les idées ;-)

Bon voilà c'est fait dans un bordel en espagne et après un #close pendant les férias

Résultat, pour 50 euros TTC, chambre + drap + douche par la demoiselle, je confirme une chose dés fois je me demande pourquoi j'y suis pas allé plutôt au lieu de me faire chier en boite

Petite réflexion sur le sujet.

En temps normal, sans gros manque de sexe, je me rend compte que je préfèrerais baiser une fille vraiment moyenne et arriver à la faire décoller grave plutôt que de me taper une pute plus belle. Dans le sexe, ma satisfaction est proportionnelle à celle de la fille.

Plus je la fais jouir plus ça me fais jouir.
Donc une pute en vraiment dernier recours.

Plonger dans les yeux d'une fille en plein orgasme est qq chose qui tend au divin. Comme disait l'autre :

"mon dieu c'est plein d'étoiles".

Prince a écrit :Plonger dans les yeux d'une fille en plein orgasme est qq chose qui tend au divin. Comme disait l'autre :

"mon dieu c'est plein d'étoiles".

Tu me donnes la trique Prince

Prince a écrit : Comme disait l'autre :

"mon dieu c'est plein d'étoiles".

C'est pas celui qui disait "Tu veux tâter mon monolythe ?"


Il y a tout de même quelque chose qui me chiffonne dans la citation de Houellebecq, mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus précisément. Sa critique est pertinente, mais c'est un peu comme s'il prenait ça pour immuable. Un peu déprimant ? Un autre relationnel est possible, comme dirait un José Bové de la drague !

Tonton Georges a écrit :Il s'en fallait de peu, mon cher
Que cett' putain ne fût ta mère
Cette putain dont tu rigoles
Parole, parole
Cette putain dont tu rigoles