Aborder une fille dans la rue: les limites à ne pas franchir

Note : 55

le 24.10.2013 par amelia

44 réponses / Dernière par Olfff le 09.11.2013, 22h01

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
Tes 5 à 10% de taux de réussite (fclose/abordage) c'est pour les inconnues que tu abordes dans la rue/bar/etc. et avec qui tu n'as absolument aucun lien même indirect on est bien d'accord ?
Je veux dire tu croises une parfaite inconnue, tu l'abordes et elle rentre dans ces stats. En revanche l'amie d'amie, la fille présente au même apéro avec des potes que toi elle ne compte pas si ?
Franchement 5-10% ca reste un tres bon score en approche a froid. Effectivement comme l'a dit Chrys les meilleurs tournent autour de 10%. C'est environ 4 nanas par mois en moyenne, ce qui est un tres bon score.
Apres oui , on parle uniquement d'inconnu.Ce qui est strictement different du cercle social.
Parce que dans si tu considères cette seconde population (ie : la fille inconnue mais présente dans une sphère restreinte et privée avec toi pour un évènement X ou Y) il est facile de faire un taux (putain que je déteste parler de taux pour des filles...) bien plus élevé.
Notamment en utilisant une arme redoutable : La réputation. C'est la que le concept de Social Proof prend tout son sens et montre son incroyable efficacité. Quand tu as une amie qui a parlé de toi à toutes les copines qu'elle a invité à son anniversaire (exemple d’évènement X ou Y) en te faisant passer pour LE mec/amant dont toutes rêvent tu as une énorme partie du travail qui est faite à la perfection. Probablement mieux que tu ne pourrais le faire.
C'est absolument pas pareil , en approche a froid y'a aucun liens entre toi et la fille. L'amie d'amies sa reste encore du cercle social ce qui est totalement different.Comme tu decris la chose ca peut etre plus simple en effet , mais reste que l'approche a froid c'est totalement un autre truc. Faut savoir faire avec les rateaux, les faux numeros et les lapins, puis placer des dates..
De ce que j'ai vu les mecs qui sont tres bons a ca, passent beacoup de temps la dessus ou si ils peuvent pas ils deviennent tres efficace.
NewStart a écrit : Notamment en utilisant une arme redoutable : La réputation. C'est la que le concept de Social Proof prend tout son sens et montre son incroyable efficacité. Quand tu as une amie qui a parlé de toi à toutes les copines qu'elle a invité à son anniversaire (exemple d’évènement X ou Y) en te faisant passer pour LE mec/amant dont toutes rêvent tu as une énorme partie du travail qui est faite à la perfection. Probablement mieux que tu ne pourrais le faire.
Bien sûr. Encore faut-il avoir ce genre de réputation, et c'est pas mon cas :wink:
Je veux pas faire le relou qui casse l'ambiance statistique et performances, mais ces chiffres sont un peu bruts.

Les bénéfices sont bien plus grands que ce seul taux de réussite, notamment il m'arrive assez fréquemment d'être en contact avec celles avec qui j'ai pas couché, qui sont devenues des amies, qui m'ont présenté des copines à elle, etc, etc.

Concernant la réussite pure, je dirais que c'est comment en théâtre d'improvisation : tout dépend de l'état de forme.
Il y a des jours sans, et des jours ou on cartonne.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] +1 le 05.11.13, 10h52 par tibdeconne
  • [+1] Intéressant le 05.11.13, 16h46 par Axelos
C'est pas du tout relou Vénusian. Tu pointes du doigt une partie de ce que je voulais montrer en posant cette question.

Je voulais casser le mythe du dragueur de rue à l'efficacité redoutable et instantanée.

Même les meilleurs ont un taux de réussite assez faible.

De ce constat découle plein d'autres choses en rapport avec "comment booster ses chances de rencontres ?".

Ce que nous dit Newstart est très intéressant. Dans les réponses, il a le meilleur taux de réussite. Il ne drague pas dans la rue mais sur d'autres terrains (boites/bars ou cercle social).

Ce qu'il dit sur le sms game est intéressant aussi. Surtout que maintenant on fait des forfait textos illimités pour 2 euros/mois. C'est bien dommage de ne pas en profiter.

Il semblerait aussi, au vu des réponses, qu'en ce qui concerne les inconnues, c'est bien plus facile de conclure en boite de nuit que dans la rue. Ce n'est d'ailleurs pas très étonnant quand on y réfléchit bien. Ca correspond a un code social : "en boite de nuit, tout est permis" :mrgreen: . C'est sans doute socialement plus acceptable de coucher avec un inconnu rencontré en boite de nuit qu'avec un inconnu rencontré dans la rue.

Ce que dit Vénusian est intéressant aussi. Le fait d'aborder quelqu'un dans la rue apporterait plus de bénéfices indirects que de bénéfices directs.

Avoir ces idées là en tête permet de se mettre moins la pression (sauf dans un verre :P ) quand on aborde une inconnue dans la rue, et donc de se donner moins de risques d'être lourd.
Avez vous embrassé/couché avec une inconnue le jour même ou après plusieurs rendez-vous ?

Oui bien sûr. Quand il y a une attirance entre deux personnes (ou plus :lol: ) il n'y a généralement pas besoin de se voir cent fois pour passer à l'action.

Avez vous eu une relation amoureuse ou amicale avec une femme abordée dans la rue (ou boite, ou transports en commun, etc...) ?

Evidemment. C'est la base je dirais même. Très rapidement, si vous établissez une relation de confiance, le fait que vous vous soyez rencontrés dans la rue ne sera rien de plus qu'un détail amusant, une histoire à raconter. Je me rends compte que c'est dans la rue que j'ai rencontré proportion importante de mes amies et conquêtes. Cette semaine, j'ai vue une amie rencontrée dans un café en pleine journée il y a deux ans environ. J'ai vu une autre amie rencontrée dans un parc il y a deux ans aussi (elle m'a demandé du feu ce jour là si ma mémoire est bonne). J'ai aussi revu une copine rencontrée dans la rue un soir en sortant de boîte. Quant à ma partenaire avec qui je sors depuis presque 5 ans, je l'ai rencontrée en pleine journée dans un café en lui posant une question sur ses lectures. Les opportunités de faire de belle rencontres sont partout, il suffit de les saisir. Toutes ne sont pas appelées à devenir l'amour de votre vie ou votre meilleure amie, mais cela arrive souvent de tomber sur des gens avec qui le courant passe bien.

Si oui, quel est selon vous le rapport réussites/femmes abordées ?

Moi non plus je n'aborde plus beaucoup. Mais quand j'aborde c'est que j'ai ressenti un truc fort et cela se passe très bien en général; A titre d'exemple, lors d'une dernier bootcamp j'ai abordé deux filles le premier jour, j'ai obtenu deux numéros de téléphone et j'ai revu les deux filles dans la semaine. Cela étant dit et même avec de l'expérience, on est jamais garanti de plaire à une inconnue. Il y a des jours avec et des jours sans; En revanche, quand vous allez en date avec une fille, au bout d'un moment vous devriez vous rapprocher du 100% pour ce qui est au moins de l'emballer à la fin du rendez-vous. Si elle vous saoule, ne vous éternisez pas mais si le courant passe.... A la limite pour coucher avec, cela peut prendre un ou deux rendez-vous supplémentaire (ou plus si c'est votre trip) mais s'embrasser à un premier rendez-vous ça n'a vraiment rien de choquant... C'est plutôt agréable non?

Je dirais donc au pifomètre 2/3 sur les approches et 90% sur les dates.

Mais c'est à relativiser tout ça et puis qu'est ce qu'un rateau (ou douze) si à l'approche suivante vous tombez sur une fille géniale avec qui vous vivez heureux pendant de longues années? (ou avec qiu vous passez une nuit mémorable, why not) Généralement, c'est de celle-là qu'on se rappelle pas de celles qui vous ont envoyé un vent.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Intéressant le 05.11.13, 18h11 par Axelos
  • [+1] Intéressant le 05.11.13, 19h48 par Gordy
  • [+3] A lire le 06.11.13, 10h47 par FK
  • [+1] +1 le 06.11.13, 14h29 par tibdeconne
Mais quand j'aborde c'est que j'ai ressenti un truc fort et cela se passe très bien en général
Ça, ça me semble être une variable essentielle. J'ai personnellement de bien meilleurs résultats lorsque j'aborde alors que j'avais pas du tout prévu de rencontrer une inconnue mais que j'aborde parce qu'il fallait vraiment pas que je laisse passer cette fille que je viens de croiser.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] +1 le 06.11.13, 14h30 par tibdeconne
  • [+1] Absolument le 06.11.13, 22h53 par Axelos
Je ne sais pas si ça a vraiment à voir avec le sujet initial, mais:

Avez vous embrassé/couché avec une inconnue le jour même ou après plusieurs rendez-vous ?

Oui pour tous les milieux. Souvent après un ou deux rendez-vous, parfois le jour même.


Avez vous eu une relation amoureuse ou amicale avec une femme abordée dans la rue (ou boite, ou transports en commun, etc...) ?

Oui. J'ai gardé de bonnes amies issues de tous mes milieux de drague, et j'ai des ex avec qui j'ai eu des relations de plusieurs mois dans toutes les situations (net/npu/street/cercle social). Mais en majorité, la rue m'a apporté les relations de la meilleure qualité, le npu m'a amené des contacts plus superficiels, à quelques rares exceptions, des gens que je vois régulièrement mais seulement dans le cadre des soirées.
Mais je remarque que grâce à mes approches à froid, j'ai eu quasiment que des relations prolongées, assez peu d'ONS, et encore assez peu d'amies sans relation amoureuse avant.
En clair, celles que je close sont quasiment les seules avec qui je garde contact.
Je ne sais pas si c'est ma personnalité ou ma manière de faire, mais c'est très différent par rapport à certains amis qui sortent pas mal et qui se créent vraiment un réseau par leurs rencontres, avec beaucoup d'amies et quelques relations.


Si oui, quel est selon vous le rapport réussites/femmes abordées ?
Avec le net, quasiment dans 100% des dates organisées chez la fille, 1/3 pour un rendez-vous ailleurs (pour embrasser, coucher, 1/10 au final). Mais avec 2 heures de conversation sur le net, j'avais 80% de dates chez la fille à un moment.

En dehors, c'est difficile de compter, j'aborde souvent sans vraiment vouloir draguer, souvent plus par sympathie ou pour rire. Je pense que ça influe vraiment sur mes stats, parce que j'aborde beaucoup plus en situationnel qu'en direct, et je laisse libre cours à la situation, je ne cherche pas le close, même si elles me plaisent physiquement, pour voir si j'ai envie de dater et si ça se fait naturellement.


Dans la rue, peut être un numéro/date sur 10. 2 filles /5 dates, comme en cercle social (avec les filles qui m'intéressent pas vraiment) 1/25 au final
En NPU, avant je prenais beaucoup de numéros, mais j'avais beaucoup de flakes, je datais plus pour essayer, même si j'avais pas l'intention. Maintenant, comme en cercle social je prends très peu de numéros, et je cherche pas de contact sur facebook. On vient me chercher souvent, mais je passe beaucoup de temps que si c'était de bons moments avant (ça surprend souvent certaines personnes qu'après 3 ans à se connaitre je ne les ai pas sur facebook, twitter et autres). En période de sortie faible, je dois mettre deux mois pour faire 10 opens , en période forte en 1 soir ou une semaine, dans les deux cas il y a 1 numéro solide mais je ne les date pas toutes parce que je filtre encore, et le ratio date/close varie beaucoup dans ce cas (de mon ratio habituel à beaucoup moins quand je date beaucoup).


Sinon, je communique aussi beaucoup avec les contacts solides, sms et mails. Pas autant que NewStart, mais qualitativement c'est un peu le même principe, je pose ma frame, elle rentre dedans et la température monte. Comme sur le net. Je pense que c'est ce qui me donne un bon succès entre les numéros et les dates. Je remarque que les situations où je close direct sont les mêmes, alors que pour le reste je ne contrôle pas du tout l'interaction, et superficiellement je suis surement moins séduisant.


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Je note que ceux d'entre vous qui ont des très bons retours abordent au final assez peu,
et qu'ils abordent pour une vraie envie. Mais je me demande si vous abordez toujours avec pour objectif de closer (pas seulement de rentrer en contact "pour voir"), et si dans ce que vous dites, vous comptez que vous cherchez à closer pour 100% des dates (et que le ratio final dépend de l'envie de la fille), car je filtre beaucoup pendant la date, beaucoup de filles ne me donnent pas envie, alors j'essaie meme pas (sinon, je serais peut être un peu meilleur en date)?

Je ne crois pas que le milieu soit important, Blusher est très fort (sans doute partout), NewStart ne drague pas en Spu, mais d'autres ne font que ça. Ce n'est pas ce qui va créer la rencontre de qualité, parce que ce qui compte c'est la relation avec la fille, elle ne dépend pas de l'open et de ses circonstances...

Booster ses chances? Vu mes stats, je suis pas le mieux placé,
mais s'impliquer en donnant de l'énergie et du temps une fois qu'on a un contact solide ça me parait une composante essentielle, ça prend différentes formes suivant les gens mais la fille le rend souvent si l'on a une bonne connexion. C'est l'escalade mutuelle. Plus tu reçois, plus tu as envie de donner, si c'est quelqu'un qui te plait.
On dit aussi souvent de ne pas faire le psy, mais anticiper ses appréhensions et lui montrer qu'on est pas l'un de ces cas qu'elle craint, de l'abordage au close.
On en revient à la base, mais de la connexion et du confort. souvent on ne cherche qu'à attirer la fille, mais la séduire c'est un peu plus que ça.
Dans la rue, à l'abordage, se calibrer à la situation et à elle, se démarquer de manière évidente des gens qu'elle éviterait systématiquement (donc dépend du look, de l'accoste, de l'attitude et des mots, de la dynamique) et de ceux qu'elle ne considèrerait que comme des connaissances ou des amis (attitude, dynamique, émotions partagées).
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  • [+2] Constructif le 07.11.13, 09h40 par Axelos
Perso je filtre au taquet pendant les rendez vous. Mais pas vraiment avec "objectif" de filtrer.

La qualification a la base c'est un phenomene naturel, c'est " j'aime, j'aime moins, j'aime pas" telle attitude ou tel aspect de la personnalité de l'autre.

Blusher parlait a un moment de l’inhabilité a ne pas communiquer.

C'est un peu ça, ton comportement, ton savoir-etre, quel qu'il soit et les attentes qu'il communique, constituent deja un filtre.

Rester integre face a ses gouts et valeurs propres ça reste le meilleur de filtres a mon avis.
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  • [0] Il y'a du vrai... le 09.11.13, 17h12 par Onmyoji
Outkast a écrit :Je ne sais pas si ça a vraiment à voir avec le sujet initial, mais:
Pour moi ça a à voir avec le sujet initial dans le sens où ça met en lumière certaines dynamiques qui ont peu de risques de conduire à ce qu'on passe pour des lourds.

Après si un modérateur souhaite forker pas de problèmes

Je vais répondre à mes propres questions.

Avez vous embrassé/couché avec une inconnue le jour même ou après plusieurs rendez-vous ?

Jamais le jour même. Mais souvent le lendemain, suite au premier rencard.

Par contre, ces inconnues là, je ne les ai pas rencontrées dans la rue, mais dans des évènements type OVS.

Avez vous eu une relation amoureuse ou amicale avec une femme abordée dans la rue (ou boite, ou transports en commun, etc...) ?

Non pas à ce jour. Je n'aborde pas dans la rue. Non pas que je sois contre. J’interagis avec les passantes quand la situation s'y prête, mais je ne suis pas dans l'optique de faire une rencontre.

Si oui, quel est selon vous le rapport réussites/femmes abordées ?

Je n'aborde pas en masse (enfin ça dépend à qui on compare, parce que finalement, j'aborde plus que la moyenne des gens hors FTS).

Mon terrain c'est les soirées latino, les sorties OVS (ou autres sites de concepts similaires), le cercle social. Et dans une moindre mesure, le travail (mais après avoir quitté l'entreprise).

Parfois je me fais aborder, et parfois j'aborde, c'est du 50-50. Dans tous les cas, toute action de ma part, je l'entreprends à partir du moment où je suis persuadé que ça va réussir : en partie parce que j'observe quelque chose qui me fait penser que la femme est intéressée, ou encore par une sorte de foi qu'avec elle, ça va marcher, sans justification spécifique.



Sur les numéros : On va dire 95%. Ca arrive parfois qu'on refuse de me donner un numéro. Par contre, quand on me l'a donné, c'est un vrai numéro, et je reçois des réponses à mes textos derrière. Tout simplement parce que je laisse la possibilité à la nana de ne pas me donner son numéro si elle n'a pas envie. J'insiste pas.

Sur les rencards : 75%. Les échecs, c'est généralement dû au fait que je n'ai plus envie, ou que je ne suis pas dans un bon état émotionnel à ce moment là... Embrasser et coucher, ça arrive souvent dans la foulée du premier RDV, ou au max au 2e...

Le SMS game, je l'utilise en cours de relation. Avant cela, l'utilisation que j'en fais est réduite à son pur aspect utilitaire : proposer un rencard. C'est sans doute un tort, parce que finalement, je sous-utilise le fait d'avoir les textos illimités.

Pour l'aspect cercle social, j'ajoute les gens sur mon Facebook quand je les aime bien. Facebook m'a permis de créer certaines amitiés, qui ne se seraient pas construites sinon.

Ca me sert aussi à faire du "Facebook Game", ou à rameuter les troupes sur les sorties latino. Ca m'a permis aussi qu'on me propose du boulot. Ca permet aussi un formidable effet de levier, en plaisant à certaines femmes qui sont un peu "vecteur d'opinion" vis à vis d'autres femmes, en ce qui concerne les hommes.

La base de ma manière de faire, c'est mon état émotionnel. Si l'état émotionnel est bon, alors je vais avoir les bonnes idées et entreprendre les bonnes actions. Dans le cas contraire, c'est tout l'inverse. C'est donc à double tranchant !
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  • [0] Intéressant le 09.11.13, 01h07 par Blusher
Olfff a écrit :Perso je filtre au taquet pendant les rendez vous. Mais pas vraiment avec "objectif" de filtrer.

La qualification a la base c'est un phenomene naturel, c'est " j'aime, j'aime moins, j'aime pas" telle attitude ou tel aspect de la personnalité de l'autre.

Blusher parlait a un moment de l’inhabilité a ne pas communiquer.

C'est un peu ça, ton comportement, ton savoir-etre, quel qu'il soit et les attentes qu'il communique, constituent deja un filtre.

Rester integre face a ses gouts et valeurs propres ça reste le meilleur de filtres a mon avis.
C'est vrai.
Mais c'est aussi un piège. Si tu communiques que tu attends d'une fille X ou Y, mais que la fille en face ne peut te le donner; et que tu as quand même envie d'elle et qu'elle le voit (parce que tu la dragues de manière évidente justement parce que tu veux baiser), soit tu communiques que ce que tu dis sur X et Y n'est pas vrai, soit que tu n'es pas cohérent avec toi même, soit mort de faim, soit que tu ne la mets pas dans la catégorie des filles dont tu attends des choses mais dans celles des plans culs.
Ou si ton approche est moins directe, la fille peut croire que tu n'as pas envie de la baiser.

alors il faut peut être être souple avec ses attentes? Je me demande, j'ai pas l'impression d'avoir des attentes trop fortes mais on me dit souvent que je suis exigeant, alors que j'ai juste l'impression de savoir ce qu'il me faut.

C'est drôle parce que je commençais à draguer j'avais trouvé qu'affirmer mes exigences m'avait aidé à m'améliorer. Maintenant, je suis plus équilibré, et je ressens ça comme une barrière.
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