En relisant ça, je me dis: Pourquoi? Pourquoi tu t'es éjecté, bordel? Elle allait pas te bouffer, la mère de cette meuf.Allandrightnow a écrit :Puis une femme plus âgée est arrivée, sans doute la mère de la fille, et j'ai dû m'éjecter.
Depuis, j’ai dû arrêter un moment mes sessions SPU systématiquement (manque de temps, mauvaise météo…), mais maintenant il m’arrive d’opener des inconnues dans la rue, comme ça, en me rendant aux halles ou au bureau de tabac. Je n’ai plus besoin de me mettre en mode drague.
Vendredi, je suis enfin reparti à l’assaut des femmes de la galaxie. De découverte en découverte.
vendredi 3 juin 2016
J’open deux inconnues dans la rue, pour la première fois de ma vie. Ça fait drôle. Évidemment, je fais n’importe quoi, et me prends un direct cockblock. Mais bon, la fille que je trouve mignonne, des deux, me regarde fixement avec ses yeux immenses et a l’air de penser pareil de moi. Ça fait toujours plaisir. Le cockblock, c’est qu’elles ont un rdv (faudra que je trouve une phrase en parade : les filles qui ont un rdv, ça m’arrive de plus en plus souvent). J’enrage d’avoir été aussi mauvais, puis me dis qu’il faut un début à tout.
Un peu plus tard, une milf. Elle est d’accord pour faire connaissance. Je lui propose un instant date, mais elle n’a pas trop le temps parce qu’elle va devoir aller chercher son fils. Je m’enfuis.
Puis une Antillaise. Elle trouve que c’est “bien” que j’aie envie de faire sa connaissance, mais est “pressée”. Le genre de femme, assez imposante par la présence qu’elle dégage, que je n’aurais jamais osé aborder auparavant.
Je finis à la terrasse d’un café, stratégiquement assis à une table à côté de deux filles. Je reste 10 minutes et suis incapable de leur décocher un mot. Ce n’est pas grave, elles ne me plaisent pas tant que ça. Ça m’embête quand même.
samedi 4 juin 2016
J’arrive dans un de mes QG, et vois deux filles attablées en terrasse. Le truc de la veille, ça me travaille. Il faut que je dise quelque chose, mais quoi ? Un mot traverse mon esprit : “Chaussures”.
“Vous avez de jolies chaussures. Où c’est que vous les avez achetées?”
Elle répond très poliment, avec le sourire et en rougissant. Encore une découverte. Si on m’avait dit la veille que bientôt, je ferais rougir des filles… Comme elle ne m’intéresse pas vraiment, je me pose à une autre table. J'ai oublié de parler à sa collègue, tant pis: j'ai découvert qu'on peut opener des filles assises à la terrasse d’un café. Ça devrait être enseigné à la fac. Pourquoi me l’a-t-on caché si longtemps?
Après un si bon début et avoir quitté cette terrasse, je réédite le coup des chaussures (là, c’est des bottines) sur une rousse à taches de rousseur qui passe par là avec une amie. Elle me répond avec son plus beau sourire et là, je réalise que c’est une HB 9. Mince. J’ai abordé une HB 9 inconnue. Mon OI aussi est une HB 9, mais je l’ai pas connue dans la rue. Et là, il se produit une fracture dans le continnum spatio-temporel: je ne sais plus quoi dire, je rougis (c’est mon tour), je n’ose même plus la regarder.
Ça me fout le mojo down. Pour me remonter, je décide de proposer à la prochaine fille d’être l’étoile de ma vie. Ce que je fais. Quand elle me demande pourquoi, je ne sais pas quoi répondre, vu que je n’en pense pas un mot (ben non: elle me plaît pas vraiment). Mais mission accomplie, pu… naise je fais des trucs déments aujourd’hui, jusqu’alors je pensais qu’en faisant ça c’était la claque assurée .Le mojo repart à la hausse.
Quelques râteaux plus tard, et alors que je viens d’aborder deux filles très trendy dans une rue commerçante, je remarque qu’un gars me regarde d’un œil noir. Il doit vaguement penser que ce que je fais n’est pas correct, avoir presque été prêt à s’interposer. Pfff… Ils sont terribles, ces AFC.
Je décide de me payer une glace. Pendant que je suis avec la glacière, deux superbes Anglaises passent. M…
Debriefing: Je n’avais qu’à dire à la glacière: “Excusez-moi, je reviens” et aller leur parler. Je la connais, je suis un de ses bons clients, la glace n’aurait pas fondu, quoi. Je ne sais pas m’adapter à chaque situation. C'est un vrai problème chez moi.
Alors qu’assis sur un banc, je déguste ma glace, une fille m’aborde en disant: “Hey, le monsieur aux piercings!” Elle distribue le journal gratuit du centre-ville. Je l’ai déjà pris l’autre jour. Je le prends toujours à cause de son horoscope amusant.
Sinon, la fille, pourquoi elle m'a parlé de mes piercings? J'imagine qu'elle m'a donné ce journal dans un passé récent, et a apprécié que je le prenne poliment. Dommage qu’elle ne me plaise que médiocrement.TAUREAU: Amour: Vous êtes à la drague, ce que Maître Gims est à la musique.
Gloire: Roux ou relou, il faut choisir.
Beauté: Baladez-vous quand il pleut. Personne ne verra vos auréoles aux bras. #astuce
Un peu plus tard, à force de tourner et d’aborder, je finis par trouver un coin où rester à attendre les filles qui passent. FK ne le recommande pas dans son article http://www.frenchtouchseduction.com/com ... a-rue.html, mais il s’agit d’un guichet de banque, je peux venir de retirer de l’argent. Et puis, en plein centre-ville, les sets passent, et ne me remarquent même pas, avant que je les aborde. Je continue la série des râteaux, mais avec de très belles filles quand même, qui rougissent d’avoir vu le mâle en moi, ouaiiiiis!
À un moment donné, je me dis: “Bon, c’est bien gentil tout ça, mais il faut que je fasse un numclose, sinon je n’aurai rien d’intéressant à raconter sur FTS”. J’essaie de me motiver : “Aujourd’hui, objectif numclose, aujourd’hui…” Puis j’arrête, car sinon, je vais dire à ma prochaine cible : “Aujourd’hui, objectif numclose”
J’arrête un groupe de trois femmes, deux de mon âge avec au milieu une… HB 3 d’une quarantaine d’années. C’est elle qui prend la parole, d’office. C’est la cousine de la cible. Alors que ma cible est prête à tout moment à se transformer en pivoine (et ne me regarde pas, ceci dit), elle me cuisine, faisant monter l'espoir en moi:
“Mais vous n’allez rien lui faire de spécial?
— Non, moi je fais rien de spécial.
— Je veux dire, vous n’allez pas la draguer?”
Pour une fois, je fais preuve de sens de la répartie:
“Je drague pas. Je fais connaissance.”
La sentence tombe quand même, telle un couperet:
“Non. Elle n’est pas pour vous.”
Et exit toutes les trois avant que je n’aie pu répondre.
Je décide de rentrer chez moi, quand sur le chemin du retour j’aperçois une fille qui distribue des prospectus. Expérience: peut-on draguer une fille qui distribue des prospectus? Réponse: oui. Je lui parle de ses chaussures, puis on parle du contenu du prospectus: le Monoprix qui vient d’ouvrir au centre-ville. Je finis par la numcloser, tellement ému que je dois en avoir les doigts qui tremblenten entrant son numéro (et puis, j’ai un portable avec un fichu écran Azerty et des touches toutes petites). Alors que je m’approche de chez moi, je regarde mon trophée: il y a 12 chiffres. Je me suis fait avoir. Pourtant, je ne l’ai pas gavée, je ne suis pas resté longtemps. Mais cette fille n’a pas envie de me revoir. Moi non plus, remarquez, je n’ai pas envie de la revoir, c’était juste pour dire que j’ai fait un numclose dans la rue. Je suis quand même tellement content que je repars au centre-ville, par un autre chemin (pas envie de la revoir). Mince, on peut même numcloser une inconnue abordée dans la rue. Je croyais que ça existait que sur mon écran d’ordi.
Je suis près de mon endroit stratégique (le guichet de banque) lorsque je tombe sur P***, une pote. On décide de prendre un café. Le SP, c’est important. J’arrive à me faire remarquer d’une belle petite brune aux yeux noirs (mon type de femme préféré, genre Dua Lipa, mais en moins grand) qui passe par là, alors que quand je suis attablé seul les filles qui passent ne me regardent presque jamais (et surtout pas quand je les regarde).
Debriefing: je constate encore mon manque d’adaptabilité, ou de réflexes. J’aurais dû me lever et aborder cette splendide créature et son amie. P*** n’aurait rien dit. Ça l’aurait bien fait rire. Sur ce coup-là, je m'en veux vraiment. C'était la petite brune de mes rêves, peut-être même qu'elle aurait effacé mon OI.
Si vous avez des lectures à me conseiller sur ce sujet (adaptabilité), je suis preneur.
Bon, c’était quand même une belle session de SPU. À bientôt pour de nouvelles aventures!!!
Elle me dit qu'elle veut la boire dehors. Je la précède en terrasse, mais dès que je m'assieds, il se fout à flotter ! Elle reste debout sous la bâche. Je vais m'asseoir à la table qui est sous la bâche, mais assez loin d'elle. Là, comme elle me calcule plus, je n'ose plus rien lui dire de peur de paraître lourd 
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