Oui c'est ça. Je crains que les mecs ne fassent qu'adapater l'offre à la demande, qu'ils se considèrent ni plus ni moins que comme des produits marketing, et qu'ils finissent par être stéréotypés. Mais c'est pas mon problème.As-tu peur que les techniques apprises sur FTS fassent que l'on se ressemblent tous à court terme?
Alors là je suis d'accord.la théorie nietschéenne du sur-homme : s'affirmer dans nos particularités, faire ressortir notre moi véritable que l'on contiens en temps normal sous la pression de la société, des "faibles"(afc) qui nous entourent, et d'accepter nos passions et notre inconscient, d'apprendre à les gérer et non à les réprimer (le f d'afc).
Non, avoir une seule copine à côté de la machine à laver, c'est la morale judéo-chrétienne. La société de consommation, par contre, elle montre l'image de pseudos-PUA qui se tapent toutes les meufs qu'ils veulent, elle montre que c'est classe d'être jerk, d'écouter du rap, de rouler comme un con, et que c'est grâce à une bonne bagnole que tu vas chopper les meufs, et que c'est d'avoir un gros compte bancaire qui fait de toi un homme (la pub de la société générale dont il est question sur un autre post). Mais comment dire, il y a contradiction entre ces deux visions du monde, et l'AFC a le cul entre deux chaises. Il aimerait bien se taper pleins de nanas, mais en même temps, ça fait pas bien dans notre société qui est marquée par des siècles de morale judéo chrétienne. Alors en fait, il essaye de se conformer à la morale judéo chrétienne (être gentil avec LA femme) pour obtenir ce que lui promet la société de consommation (se taper une super belle nana grâce à sa carte de la société générale par exemple).Mais j'ai plutôt l'impression inverse, que la société de consommation, c'est d'avoir une seule copine, à côté de la machine à laver (ou dans la cuisine si on n'aime pas cuisiner), comme certain se contentent d'une seule marque de camembert. Pour moi le problème de la société de consommation, c'est plus l'uniformisation que la consommation proprement dite.
Bon maintenant on va esssayer de recadrer au débat, qui parle de l'enneagramme et des personnalités.
La différence pour moi c'est qu'il n'y a pas le même déterminisme. En physique une situation A, avec les paramètres B, C, D donnera toujours la même conséquence E, qui est mesurable. En psychologie, les mêmes causes n'ont pas toujours les mêmes effets. Par contre, la chimie du cerveau joue également sur l'état psychique, donc ça on peut le mesurer, mais on peut pas par exemple traiter une dépression uniquement avec des médicaments (on annule les symptomes, ce qui aide à la cure, mais il faut aussi régler le problème pour être vraiment soigné).Quelles différence entre un phénomène physique et la psychologie?
Ce n'est pas un test, c'est un modèle théorique.Pourquoi proposes-tu celui-ci alors?