Posté : 02.06.09
Très sérieusement les gars, quand vous voyez un gars qui danse "comme un homo" parce qu'il danse avec une barre, une table de billard, une table, un tabouret, ou que sais je encore, ne vous amusez pas à l'AMOGer, c'est mauvais pour la santé.
Un jeune premier s'avance vers moi. Il a du me voir danser sur la piste (je précise, c'est une boite de l'ile de Ré, donc le ratio boulets/hommes reste élevé). Il me prend par la taille en rigolant, et commence à danser un espèce de collé serré. OK.
Je sens qu'il n'est pas clean. A la fin de la chanson, il se tourne vers les filles de la table d'à côté, et lance quelque chose comme
Blanc.
Il part.
Vive le reframing.
Le sens de l'empathie
"J'arrive pas à augmenter mon social"
"Pourquoi les gens ne me parlent pas ?"
Déjà, il y a tout ce qui touche à votre état d'esprit.
Positif, toujours positif. Comment voulez vous que les gens s'intéressent à vous dans le cas contraire ?
On a tous nos problèmes, pas besoin d'aller chercher ceux des autres.
Ensuite, sachez qu'une discussion aujourd'hui, très souvent (et encore plus souvent avec les filles il faut le reconnaitre, parce qu'on filtre beaucoup moins au départ, mais ça j'en parlerai plus tard), est fondée sur ce modèle :
Avoir le sens de l'empathie, c'est savoir ne pas dire moi je, mais toi tu. Savoir comprendre l'autre, le pousser dans la conversation, pour le comprendre. C'est comme cela que se crée la connection, la complicité.
Arretez de dire moi je à longueur de journée. Bien sûr, on a tous besoin de se confier. Mais pas avec le premier inconnu qui passe. Arretons avec ces conneries.
Je pourrais continuer comme cela pendant des heures. C'était mon coup de gueule du jour.
Un jeune premier s'avance vers moi. Il a du me voir danser sur la piste (je précise, c'est une boite de l'ile de Ré, donc le ratio boulets/hommes reste élevé). Il me prend par la taille en rigolant, et commence à danser un espèce de collé serré. OK.
Je sens qu'il n'est pas clean. A la fin de la chanson, il se tourne vers les filles de la table d'à côté, et lance quelque chose comme
Je lui mets la main aux fesses.Je suis homosexuel
Il me regarde.Ah ?![]()
Je suis bi



Blanc.
Il part.
Vive le reframing.
Le sens de l'empathie
"J'ai pas d'amis"Wikipedia a écrit :grec ancien εν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qu'on éprouve) est une notion complexe désignant le mécanisme par lequel un individu peut comprendre les sentiments et les émotions d'une autre personne voire, dans un sens plus général, ses états mentaux non-émotionnels comme ses croyances (on parle alors plus spécifiquement d'empathie cognitive). Dans l'étude des relations interindividuelles, on distingue l'empathie de la sympathie, de la compassion ou de la contagion émotionnelle. (La notion d'empathie n'impliquant pas en elle-même l'idée du partage des mêmes sentiments et émotions, ni d'une position particulière vis à vis de ces derniers)
"J'arrive pas à augmenter mon social"
"Pourquoi les gens ne me parlent pas ?"
Déjà, il y a tout ce qui touche à votre état d'esprit.
Positif, toujours positif. Comment voulez vous que les gens s'intéressent à vous dans le cas contraire ?
On a tous nos problèmes, pas besoin d'aller chercher ceux des autres.
Ensuite, sachez qu'une discussion aujourd'hui, très souvent (et encore plus souvent avec les filles il faut le reconnaitre, parce qu'on filtre beaucoup moins au départ, mais ça j'en parlerai plus tard), est fondée sur ce modèle :
C'est carricatural mais ça se rapproche de la réalité. On note (et pour tout le monde) la mise en évidence de l'égo : moi, je (bizzarre d'avoir besoin de répéter cette première personne, quand on y pense). On note également que les trois types ne parlent que d'eux.Type1 Moi je crois qu'hier j'ai failli me casser la gueule à vélo.
Type2 A ouai ? Moi ça m'ai déjà arrivé également, c'était sur l'ile de Ré, yavait des touristes et bam.
Type3 A ouai ? Moi ça ne m'ais jamais arrivé, je roule très bien et je fais gaffe, et j'ai eu mon code il y a peu
Avoir le sens de l'empathie, c'est savoir ne pas dire moi je, mais toi tu. Savoir comprendre l'autre, le pousser dans la conversation, pour le comprendre. C'est comme cela que se crée la connection, la complicité.
Arretez de dire moi je à longueur de journée. Bien sûr, on a tous besoin de se confier. Mais pas avec le premier inconnu qui passe. Arretons avec ces conneries.
Je pourrais continuer comme cela pendant des heures. C'était mon coup de gueule du jour.