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[FR++] A night in Paris (Gunwitch / DynamicSexLife Method)

Posté : 05.04.07
par Sébastien Night
J'allais poster ce FR dans le thread unique du Lair Atlantique, mais comme c'est un de mes rares FR en Gunwitch Method, j'ai préféré le développer de façon plus précise et le poster à part.

A lire donc :
  • Première partie (intro)
    Comment une après-midi de pick-up qui partait très bas a fini en cours de salsa dans un Starbucks,
  • Deuxième partie (a Night in Paris)
    • Comment je me suis fait psychanalyser sur un divan à l'insu de mon plein gré,
    • Pourquoi c'est pratique de discuter des techniques de drague qui se déroulent à quelques mètres de là,
    • Pourquoi, en fait, ça peut coûter cher,
    • Et comment un DJ haïtien m'a empêché de placer mon tour de magie favori.
Disclaimer :
La Gunwitch Method c'est pas forcément n'importe quoi, ça suit une structure (RAP²) et comme je venais de la réviser j'en ai profité pour essayer d'y coller. Happy reading.

GWM ép. 1
“R-elaxation of mind pace and body through familiarity with female interactions and realizing others care more what I think of them than they even think of me”


On arrive, avec Urashimakun (UKFP), au rendez-vous fixé par deux membres du Lair Atlantique dans un grand centre commercial parisien. Après avoir ingéré l'apport calorique indispensable à tout bon sargeur (un McKebab et un sundae), on part en chasse dans la FNAC locale.

Une fille dans le rayon "pédagogie" en train de feuilleter un bouquin du style "Nouvelles approches scolaires de l'éducation" :
SBN : Ah... j'adore ce bouquin, beaucoup de suspense, dommage que le héros meure à la fin.
HB : :lol:
Deux étrangères un peu plus loin :
SBN : Salut, on cherche le rayon pâtisserie...
Une d'elles : La pâtisserie ? mais... on n'en trouve pas ici...
Urashimakun : Le rayon des RECETTES de pâtisserie. C'est pour un cadeau...
Il y a eu aussi une grande blonde qui fan de funk (qu'on a voulu approcher en deux temps, mais on n'a pas fait le 2ieme temps parce qu'on était trop longtemps dans les autres sets), il y a eu aussi une livreuse de pizzas qui avait le fun en elle...

On va se poser dans le Starbucks du coin, et on tchatche 2 minutes la caissière et son manager, ce qui nous rapporte un numclose-éclair auquel on n'a toujours rien compris et deux pièces en chocolat offertes par la maison.

Pas de places pour notre groupe de 5, on finit par se poser sur deux fauteuils.
A ma gauche (de l'autre côté du mec assis sur mon fauteuil !) une 6.5 avec à ses pieds une jolie flaque de ce qui ressemble à un sorbet à la mangue.
Je teste la température.
SBN : Ah c'est joli ça... c'est toi qui as fait ça ? (à mon voisin) fais gaffe à ton verre, elle a l'air dangereuse.
Mec1, en rigolant : Ouaip c'est bien elle !
B : Eeeeeeh ! C'était pas ma faute ! (réaction normale au C&F, crois-moi tu vas en entendre reparler de cette boisson renversée)
Note à Checkout : jusqu'ici à chaque fois que je suis entré dans un Starbucks le set d'à côté a renversé sa boisson, c'est une tradition locale ?

Bon, on va faire un coup de pAI/mAI.
SBN : Franchement julien, le tour de magie que tu m'as montré, c'est de la balle.
UKFP, à julien9144 : C'est toi le magicien ? Tu pourrais faire un tour là ?
Je vois que les deux du groupe d'à côté tendent l'oreille.
Julien9144 sort son deck de sa poche, se lève, et fait un tour de magie qui scotche la B et son voisin.
Pour éviter tout cockblock de la part du reste du set, je pars en rapport avec le mec en face de moi (mec3). Et bien sûr :
SBN : Vous vous connaissez comment ?
Je ne comprends pas tout mais visiblement les filles ne sont maquées avec aucun des mecs. Evaluation de la situation : Mec1 et la B sont à fond dans la tchatche de notre magicien, Mec2 (le plus beta male des trois) est le plus susceptible de cockblocker, la A n'est pas encore hookée, et Mec3 est hooké.

Je laisse soin à julien9144 d'inclure Mec2 dans son public, et je fais en sorte que l'autre fille s'y intéresse aussi. A base de :
SBN : Toi, t'as l'air trop blasée, mais en fait t'as juste peur de rien comprendre ;-)
Elle finit par regarder un tour, et elle reste scotchée. Just too easy. Pendant un applaudissement général (et plusieurs sets autour applaudissent aussi, trop fort) je me lève pour changer la configuration, regarder s'il y a des sets à merger, et prendre une cuillère pour manger ma pièce au chocolat fondue (j'suis trop chaud, baby).

Pendant ce temps urashimakun se déplace pour faire un tour, je lui prends l'autre fauteuil (pour pouvoir parler à l'autre fille).
Après le tour d'UKFP, je fais B venir d'un signe de la main (compliance test anyone?), pour lui faire le seul et unique tour que je connaisse :). Effet maximal garanti...
B : Trop fort ! Tu peux le refaire ?
SBN : Non. Tu vois, s'il y a un truc que j'ai retenu de mon expérience en tant que prof de salsa (le but était de finir la phrase par "c'est de ne pas refaire plusieurs fois la même chose sous peine de lasser")
B : TufaisdelasalsaOhmoiaussi,'deouf!
SBN : Wow. Tu fais de la salsa "de ouf" ? C'est pas très modeste.
B : Non, je voulais dire...
SBN, à son groupe : Eh c'est vrai que c'est une danseuse professionnelle de salsa votre amie ?
Le pote de julien9144 : Tiens justement, tu nous devais une démo.
SBN, à urashimakun : t'as de la musique sur ton portable ?
UKFP : Oui, pourquoi ?
SBN : T'as de la salsa ?
UKFP (il comprend) : Bien sûr.
Je tends mon manteau à l'autre fille qui le prend docilement (compliance test anyone ?).
Bon, alors l'acoustique d'un starbucks, la qualité du sol et le passage intempestif de clients venus pour prendre un café (on aura tout vu) ne sont pas très propices aux danses de salon, mais ça ne va pas m'arrêter.
Je la repose très vite, et profite de la nouvelle disposition du set pour engager sa copine.
SBN : Alors, elle n'a pas essayé de t'y mettre aussi ?
A : Si, mais en fait...
Mec1 : Elle est agoraphobe !
A : non ! Mais c'est dans un gymnase, et il y a plein de gens...
SBN : Oui, c'est ça, t'es agoraphobe.
A : Mais non !
SBN : Et comment tu le vis d'être dans ce starbucks ? pas trop dur ? (à mec1) ah je vois, ses lunettes... vous lui avez filé des lunettes spéciales agoraphobe, qui rendent tout flou au-delà de 2 mètres ? Il paraît que ça marche bien ce truc.
Mec1 rentre dans le délire et la fille hallucine.
Après avoir calibré que pour ce soir, c'est mort pour timebridger, je numclose le set sur un timebridge soirée salsa dans quelques semaines, en mettant bien sûr sur chacun la responsabilité de la venue d'un autre (ça marche plutôt pas mal).
SBN : j'entre comme prénom dans mon portable : "Paris Salsa, Adore la magie" et lui tends pour qu'elle note son numéro
Elle : Eh ! C'est pas plus simple si je dis que je m'appelle [prénom] ?
SBN : Ah non c'est pas terrible ton prénom, je vais garder le surnom.
Elle : :o
Je finis mon chocolat viennois qui est maintenant glacé, et on quitte le starbucks sur ce numclose.

Posté : 05.04.07
par Sébastien Night
Gunwitch Method ep.2
“A: Assumption of rapport”


J'arrive chez mon beau-frère pour prendre l'apéro.
Un mec de ma promo nous rejoint avec une HB8 sur qui il a sans doute des vues. Il est prévu qu'on sorte en boite salsa en fin de soirée, mais elle n'a pas prévu de venir avec nous.

Un peu plus tard :
SBN : Tu as fait quoi comme études ?
Elle : En fait en général je préfère ne pas le dire...
SBN : Vas-y on t'écoute.
Elle : Psychologue.
SBN : Ah. C'est la dernière phrase que je prononce ce soir !
(c) Alex Hitchens

Bien sûr, en bon AFC, l'autre mec saisit toutes les perches qui sont tendues et commence à partir dans une discussion hyper-logique sur les études en psycho, et blablabla. Pendant ce temps, je lâche une vanne de temps en temps et j'ai droit aux rires et au kino.

On en vient à parler des tests psy avec les taches d'encre à interpréter.
AFC : Moi je dirais tout simplement que ce que je vois, c'est une tache d'encre. (trop fier de lui)
SBN : Moi aussi je penserais à cette réponse, mais j'éviterais de dire ça parce que les psy doivent entendre cette même blague plusieurs fois par jour, à la longue c'est profondément ennuyeux... (je la regarde dans les yeux, elle sourit) Enfin, les VRAIS psy, quoi !
Elle : Eeeeh !
A ce moment, le mec est debout à faire je ne sais quoi, mon beau-frère est dans la salle de bains. La fille est seule sur le canapé et moi assis à côté.
SBN : Oula, je suis dans un canapé avec une psy, je devrais me méfier.
Elle : Non non, ce sont les psychanalystes qui se servent du canapé, en fait...
SBN : Je ne parlais pas de ça...
Elle : :lol: attends, allonge-toi sur le canapé, on va en savoir plus sur toi (elle s'assied hors de vue sur le fauteuil à côté) Dans une psychanalyse le psy est hors de vue, pour que le "patient" n'ait pas l'impression d'être jugé.
SBN : Je m'en fous d'être jugé, j'ai pas envie de parler dans le vide, il me faut un public !
L'AFC revient à la charge et part dans une conversation hyper-logique/aseptisée sur le ça, le moi, et le surmoi.

“P: Persistence: Never eject from the conversation, get her to sit and talk with you someplace nearby.”
Elle : En fait, on dit le "ça" parce que les gens disent ça quand ils ne veulent pas parler de "CA".
SBN : Wow. Je peux te poser une question indiscrète ?
Elle : Euh... non !
SBN : t'as fait combien d'années d'études ?
Elle : Cinq.
SBN : Cinq années pour finir par nous sortir "En fait, on dit le ça parce que les gens disent ça quand ils ne veulent pas parler de CA", à mon avis t'as dû sécher plus d'un amphi !
AFC : et le surmoi, c'est la morale, c'est la norme...
SBN : Le surmoi, c'est surtout féminin.
Elle : Comment ?
SBN : Je t'explique. (Lui prends la main, l'amène sur moi dans le canapé, sympa le compliance test). Voilà.
Elle : :lol:
Je veille à garder la conversation légère et à rester sur du feeling, pas de factuel ni d'interrogatoire.
Un peu plus tard... la miss se demande s'il n'est pas temps de partir prendre son dernier métro de 0h30 pour rentrer chez elle. Le réveil-matin qui est à ma droite indique 0h05, mais j'ai vite fait de le convaincre d'afficher 0h28. Bien sûr, elle a clairement vu la manoeuvre, bien sûr, elle a son téléphone portable dans la main qui affiche 0h05, et pourtant :
Elle : Il est DEJA minuit et demie ?
SBN : Ah c'est pas malin, t'aurais dû surveiller l'heure. (je note mentalement de remettre le réveil à l'heure en partant)
Elle : Bon ben j'ai l'impression que je vais devoir rester avec vous...
Mon beau-frère met de la musique (de la salsa bien sûr, si vous aviez deviné je suis fier de vous) et l'AFC entreprend un interminable cours de salsa avec la fille. Je laisse faire. Après tout,
Un salsero nantais a écrit :Le truc traître avec la salsa, c'est que si tu fais que danser, ben pendant ce temps, tu baises pas.
On se met en route pour la boîte latino. J'aime bien cette boîte, elle me rappelle de bons souvenirs, et puis la dernière fois que j'y suis allé j'y avais croisé Phénix.

Sur le chemin :
SBN : Tu as des gants roses... arg.
Elle : Quoi ? Ils sont plus beaux que les tiens mes gants !
SBN : Oui, tu as raison... Mais la couleur de mes gants ne fait pas faute de goût avec le reste.
Elle : C'est méchant !
SBN : Donne-moi le bras.
Elle : :) tu aimes bien te balader comme ça ?
SBN : Oui, c'est l'habitude. Nos amis anglo-saxons appellent ça "french promenade style".
Une fois arrivé dans la boîte, l'AFC ne perd pas une minute et part direct en isolation avec la nana dans un coin du bar, et recommence à la faire danser. Sur ce coup-là j'ai été bluffé, je ne les ai même pas vus disparaître.

“R: relaxation of outcome orientation, she will not sprint away”

Je m'accoude au bar un instant et je réfléchis.
Flashback.
2 ans plus tôt.
En assistant mon professeur de salsa dans un cours donné en école de commerce (qui manque de garçons), je rencontre une HB marocaine et je prends son numéro. Tout content, je l'invite à m'accompagner en tonus (soirée étudiante en discothèque) et je lui offre sa place.
10 minutes après être entré dans la boîte, je me fais rejoindre par mon beau-frère et ce même "pote". 20 minutes après je stalle et il isole la fille. 30 minutes après je les cherche partout sans les trouver. 2h après je quitte la boîte de nuit seul, pendant que lui la ramène chez lui.

C'est le genre de situation qui m'a fait rejoindre la communauté.
Aujourd'hui.
C'est maintenant que le jeu va se jouer. Jusqu'ici j'ai été tight, les IOI sont présents et je n'ai aucune crainte qu'il la close avant la fin de la soirée. Je repense à un article de Steve P. sur le principe d'Intention/Manifestation : une occasion de continuer mon game va forcément se produire à nouveau. Il faut que je soie attentif.

J'analyse un peu la situation.
Il fait monter la Buying Temperature, et je vais pouvoir la récupérer. Danser avec une fille pendant plus d'une demi-heure a toujours cet effet : augmenter sa BT, puis la lasser. Donc il va la lasser. Ils vont revenir.

Ils reviennent.
Je fais mine de me diriger vers le bar.

“A: Assume sexual state through Speech,Eye Contact, Closeness, Touching”

On va s'installer dans les canapés près du bar.
L'AFC est pressé de s'installer sur le canapé qui n'a que 3 places pour que je soie out. Mais il se place au milieu, ce qui n'est pas le mieux.
La position optimale pour lui aurait été :
Mon beau-frère - La HB - Lui
La j'aurais été piégé.
Mais je m'installe dans un fauteuil accolé au canapé, ce qui donne :
[Mon beau frère - L'AFC - La HB][Moi]

Shift Expectations - Nissan

Très vite, je m'aperçois que la situation est plus avantageuse qu'on ne pourrait croire. Une fois que j'ai captivé l'attention de la HB, le double accoudoir formé par les deux fauteuils fait qu'on est physiquement proches sans être gênés et qu'elle doit se tourner totalement vers moi pour me parler, du coup l'AFC est coincé avec mon beau-frère. Je ne pourrai sans doute pas tenir cette position très longtemps car il va finir par craquer, mais ils ont beaucoup à se raconter donc je pense avoir une dizaine de minutes au bas mot.
Elle : t'as vu le mec au bar, tout seul avec sa bouteille de champagne ?
SBN : Oui... C'est une tactique.
Elle : Une tactique pour quoi ?
SBN : Tu vois, dans les bar salsa, il y a souvent des ingénieurs ou des ingénieurs commerciaux (c'est le job de l'AFC, by the way) qui viennent essayer de profiter de l'ambiance... et des filles.
Elle : Non...
SBN : Si. Souvent quand j'arrive dans les bars où je suis habitué, les filles n'hésitent pas à m'offrir des verres parce qu'elles ont fait des économies sur le début de soirée : ces mecs-là viennent, offrent le champagne à toutes les nanas, se font rembarrer et s'en vont.
Elle rit.

J'ai envie de placer mon tour de magie, et ma routine de kissclose (c) TylerDurden, alors j'embraie sur :
SBN : Mais tu vois c'est un des avantages de la salsa, c'est qu'on croise des gens de tous horizons. Par exemple un de mes élèves est magicien, et vraiment impressionnant à voir...
La conversation dévie sur autre chose, j'ai oublié quoi exactement.
Je sens que c'est le moment d'isoler, il me faut un prétexte.

Et là, le deejay passe du compas. Le compas c'est l'ancêtre du zouk, c'est en créole haïtien, c'est plus rythmé et surtout : au lieu des 4 minutes standard, le morceau moyen de compas dure au moins 12 minutes.
SBN : Trop fort ! Allez viens, je te ramène avant que les glaçons de ton cocktail aient fondu. (aux autres : ) on revient !
“P: Persistence to isolation together”

Les mecs, si vous voulez absolument apprendre à une fille à danser un truc, ne perdez pas votre temps avec la salsa. Choisissez une vraie danse de chope, comme la Merengue Seduction (c) Urashimakun, le zouk,ou... le compas haïtien.

It's on.
Je fais une mini-couche de confort. Je qualifie en Milton-modèle juste histoire que ça soit fait. Et je passe aux choses sérieuses.

Tout en dansant :
SBN : En tant que danseuse de zouk et de compas, combien tu te mettrais comme note, de 1 à 10 ?
Elle : Euh... 1...
SBN : Ah... C'était un test pour évaluer ta confiance en toi, je suis vachement déçu.
Elle : :lol: mais non, ça n'a rien à voir !
SBN : Si si. Plus sérieusement, je pense que tu vaux bien un 6.5 voire 7.
Elle : Merci ! Je suis flattée :)
SBN : 6.5 - 7 en danse, selon une échelle maintes fois éprouvée, ça fait que tu dois être une 5 en embrassant, et une 4 au pieu.
Elle : Comment ?
SBN : Oui, c'est une échelle exponentielle. Si tu étais par exemple une 8 en danse, tu serais 8 partout. Mais en-dessous, ça dégringole vite. Bref t'es pas trop un bon coup et tu embrasses pas terrible.
Elle : C'est pas vrai du tout !
SBN : Qui peut le certifier pour toi ?
Elle : Personne.
SBN : Voyons voir.
Elle : Non. C'est une tactique comme le champagne ?
Salut, pour la livraison de shit-test,c'est bien ici ?
Relaxation from outcome orientation, c'est l'ami Gun qui l'a dit... du tac au tac :
SBN : Oui. Mais ça coûte beaucoup moins cher que le champagne.
Elle : :lol:
SBN : Mais ne crois pas que je t'offrirai un verre juste parce que tu as dit non maintenant, tu perds ton temps si tu penses y gagner en repoussant l'échéance
.

Persister
"Demeurer ferme dans sa manière de penser, d'agir, s'obstiner, persévérer."

On continue de danser. Le deejay annonce "le dernier compas" et prévient qu'il va durer douze minutes. On n'est pas pressés. C'est de plus en plus chaud. La sueur perle sur mon front collé au sien.
Ki...

Posté : 05.04.07
par Deepvertigo
Je vois que tu ne rouilles pas :mrgreen:
SBN : Oui, c'est l'habitude. Nos amis anglo-saxons appellent ça "french promenade style".
Tu vois que projet-dublin ca t'a ete utile aussi :P

Posté : 11.04.07
par Arsène Lupin
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