[A] Il n'y a pas d'eau dans les mirages.
Posté : 18.01.08
« Eske tu mèm ? »
« Nan ».
Si elle m’avait dit oui, je serais devenu naturel.
Les skills sociaux, tels qu’on les voit, ces pouvoirs magiques , sont en grande majorité des mirages, des fantômes, des ombres fuyantes, de la fumée, à cause de la nette différence entre la façon dont on les assimile, l’image qu’on s’en fait dans notre tête, et ce qu’ils sont réellement.
Dans l’antiquité, les mirages étaient source de nombreuses légendes. Ces flaques d’eau qui apparaissaient dans le désert et qui pourtant s’éloignaient au fur et à mesure qu’on les approche. On parlait de punitions des dieux, de sortilège, ou de piège. Les mirages étaient considérés comme de l’eau.
De même, des skills tels que la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, sont considérés sur la base de ce qu’on voit : la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, et on se dit que pour avoir le succès de ceux qui ont ces qualités, il faut faker ces qualités comme un porc .Logique…apparemment.
Parce que la vérité c’est que comme les mirages, si vous chassez directement ces choses, elles vont vous échapper. Si vous chassez directement le pouvoir, vous apparaissez faibles, vous chassez la valeur sociale, vous êtes low value, vous chassez la congruence, et votre vibe est bizarre, vous essayez d’être confiant, et ça passe pour de l’arrogance.
Vous courez après les femmes, les femmes vous fuient.
Pourtant si vous regardez de près un homme naturellement doué avec les femmes, il réunit toutes ces qualités. Où est le problème ?
Le problème, c’est que dans toute analyse du comportement humain, les symptômes ne sont qu’une facette. Mystery pourrait y passer sa vie entière, il n’arriverait pas à déterminer précisément ce qui rend un homme attirant, parce que la liste serait infinie, et varierait non seulement d’un homme à l’autre, mais aussi en fonction des goûts et des perspectives des femmes avec qui un tel homme interagit. Sans parler des humeurs variables, et même du temps qu’il fait.
Ce que je veux dire, c’est que ce sont des symptômes de quelque chose de plus profond, mais aussi plus subtil. Il est possible de faker ces choses, mais en réalité, ça fait de vous juste des fakes, et vous êtes moins efficace, en faisant plus d’efforts. Pour devenir cette personne et démontrer naturellement ces qualités est un autre tour de manches. Parce que contrairement à une idée répandue, l’évolution n’est pas en faveur des meilleurs manipulateurs, mais des meilleurs Hommes.
C’est ça.
Etre un Homme.
De temps en temps vous avez dû vivre ce phénomène bizarre. Peut être vous étiez saoul. Peut être vous étiez avec de bons amis, ou en face de quelqu’un qui savait vous mettre à l’aise, et quelque chose s’est passé à l’intérieur de vous, comme un déclic. Les gens se sont mis à vous apprécier. Les gens se sont mis à rechercher votre approbation, à vous aider comme ils pouvaient. Vous vous êtes senti détendu, et fort sans routines, vos blagues les plus nulles faisaient rire, vous vous contentez de vivre pleinement la situation, sans rien attendre. Mais vous n’arrivez pas à reproduire ces moments là à les manufacturer, à les fabriquer de toutes pièces, quelle que soit l’efficacité de vos routines.
Je suis sûr que vous savez de quoi je parle. Vous n’avez jamais remarqué que les femmes qui vous désirent, celles qui font le premier pas, très souvent ne sont pas celles que vous voulez ?Je commençais à saisir une certaine logique. Quand je parlais à une fille que j’appréciais, quelque chose en moi transformait toutes mes meilleures qualités en défauts. Mon humilité devenait de la couardise, mon éloquence de la prétention, mon courage de l’arrogance, quand je voyais d’autres personnes réussir en utilisant la même « stratégie » que moi.
« Eske tu mèm ? »
« Nan ».
J’étais au ce1.
J’avais encore toute ma candeur, la naiveté dans sa fleur de l’âge. Un sourire constant, de la joie, des jeux, des friandises, et Belinda. Je me souviens qu’à l’époque, j’avais l’habitude de demander aux fillettes de me montrer leur sexe derrière l’école, et elles s’y prêtaient plutôt bien. Ca marchait comme sur des roulettes, et puis je me suis mis à observer Belinda de près. J’avais vu un film à la télévision qui parlai d’amour, de mariage, et de bonheur éternel, et j’envisageais « d’épouser » Belinda, que je trouvais plutôt jolie, mais vu qu’elle ne m’avait jamais montré son sexe, je lui ai demandé si elle m’aimait.
Sur un emballage de caramabar.
« Nan ».
Je pense que c’est là que mes problèmes ont commencé avec les femmes.
J’aurais dû m’en douter en observant Charlie. On faisait nos explorations des filles ensemble, et tandis que je devenais de plus en plus timide , Charlie embrassait une fille différente chaque jour dans la cour arrière de l’école. En sixième, Charlie recevait des lettres d’admiratrices secrètes, deux minimum dans la semaine. En seconde, il se tapait des femmes mariées de 25 ans.
Avec le recul, je pense que durant une période cruciale de sa construction, Charlie ne s’est pas pris de « nan » avec les filles.
En fait, je pense que Charlie a développé le courage d’être lui-même, quand en grandissant sans rencontrer de résistance auprès de la gent féminine, il a été le premier a avoir des relations sexuelles.
Quand il a été le premier à recevoir des lettres d’admiratrices.
Le premier à « sortir avec une fille » parmi ses potes.
Le premier de son groupe d’amis à se taper une femme mariée.
Je pense que le faire aussi tôt a donné à Charlie la confirmation qu’il avait le droit d’être lui-même.
Honnêteté, ouverture, authenticité, expression.
Quand je regarde Charlie aujourd’hui, je vois mon camarade du CE1. Il a le même sourire, les mêmes gestes…en plus complexe, en plus élaboré, en plus développé. Charlie a développé ses propres goûts, Charlie a pris soin de lui quand il a vu qu’il plaisait, Charlie s’est senti le droit de développer son style à lui, d’avoir des loisirs qu’il aimait, pendant que je passais mon temps à essayer de trouver ce qui plairait aux filles.
Charlie est lui-même aujourd ‘hui.
Il n’a pas changé, il est confiant, il est congruent, il a de la valeur sociale, et il se fait aborder par des bombes sexuelles.
Je vois que vous saisissez ou je veux en venir.
Toujours pas ?
Lisez.
Charlie a développé l’authenticité.
Je peux créer une façade. Pour plaire aux filles, je peux prétendre que je suis quelque chose que je ne suis pas. Tout le monde peut, et si jamais en étant fake, on est pas apprécié, on peut toujours considérer que les gens ont rejeté notre masque, et le changer, c’est facile. On a pas mal, ça n’a rien à voir avec nous.
Mais si vous mettez votre personnalité à nu, si vous vous jetez à découvert dans la société, si vous montrez réellement qui vous êtes, vous risquez d’être jeté en pâture aux lions. Les gens vont vous tester. Ils vont vous attaquer. Et ils ne vont pas attaquer un masque, ils vont attaquer qui vous êtes vraiment, votre identité, votre noyau. Si vous êtes prêt à vous mettre ainsi à nu, si vous pouvez résister, et même répondre aux attaques, si vous les faites taire, vous montrez aux gens que vous avez l’habitude de faire ça. Vous le démontrez. Des gens vous ont apprécié dans le passé. C’est indéniable.
Vous ne dites pas aux gens que vous êtes courageux.
Vous montrez votre valeur.
Vous êtes un Homme.
Vous êtes un Naturel.
C’est ça avoir de la valeur : être authentique.
De ça dérivent toutes les qualités visibles de l’extérieur.
Parmi les naturels, il y a des faux, mais il y a aussi des individus d’exception.
Un Homme de vraie valeur se sent validé. Il subcommunique qu’il est dégoûté des femmes. Il a mieux à faire dans sa vie. Il a un but suprême, et il y consacre toute son énergie. Il a rencontré tellement de succès par le passé qu’il ne sent aucun besoin d’avoir l’approbation de qui que ce soit. Les bonnes expériences qu’il a eu ont fait de lui quelqu’un de positif. Il se respecte, il a des valeurs, une éthique, des standards, une réalité. Il est de venu « cool » en faisant ce qu’il aime faire, en développant sa personnalité sans aucune peur de la réaction des autres. Le plus important pour lui c’est de s’amuser. Il met les autres de bonne humeur par sa seule présence, sa valeur c’est l’authenticité qu’il a développé, les choses exceptionnelles qu’il sait faire, sa personnalité unique, les valeurs qu’il impose dans sa réalité et les bonnes émotions qu’il apporte.
Les émotions sont sa plus grande force.
Parce que les dynamiques sociales fonctionnent comme une boule de neige : on vous apporte ce que vous avez déjà. Les gens vous donnent si ils pensent que d’autres personnes avant eux vous ont donné. L’authenticité est un social proof implicite. Elle montre que vous êtes resté vous-même malgré la pression et les standards sociaux. Votre positivité montre que les gens vous ont bien traité dans le passé. En bref, celui qui réagit le moins à la pression sociale montre que la société a l’habitude de réagir face à lui, du coup, il a un pouvoir illimité. Il a de la valeur, il brise les règles, et les gens sont contents de lui rendre service.
Et le fait qu’il est des ongles noirs ou gris n’y change pas grand-chose.
C’est là ou on me pose la fameuse question :
Comment appliquer ce concept de valeur à un player ?
C’est un tout autre article, mon cerveau bouillonne là.
En espérant que cet article aie de la valeur.
TauruS.
« Nan ».
Si elle m’avait dit oui, je serais devenu naturel.
Les skills sociaux, tels qu’on les voit, ces pouvoirs magiques , sont en grande majorité des mirages, des fantômes, des ombres fuyantes, de la fumée, à cause de la nette différence entre la façon dont on les assimile, l’image qu’on s’en fait dans notre tête, et ce qu’ils sont réellement.
Dans l’antiquité, les mirages étaient source de nombreuses légendes. Ces flaques d’eau qui apparaissaient dans le désert et qui pourtant s’éloignaient au fur et à mesure qu’on les approche. On parlait de punitions des dieux, de sortilège, ou de piège. Les mirages étaient considérés comme de l’eau.
De même, des skills tels que la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, sont considérés sur la base de ce qu’on voit : la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, et on se dit que pour avoir le succès de ceux qui ont ces qualités, il faut faker ces qualités comme un porc .Logique…apparemment.
Parce que la vérité c’est que comme les mirages, si vous chassez directement ces choses, elles vont vous échapper. Si vous chassez directement le pouvoir, vous apparaissez faibles, vous chassez la valeur sociale, vous êtes low value, vous chassez la congruence, et votre vibe est bizarre, vous essayez d’être confiant, et ça passe pour de l’arrogance.
Vous courez après les femmes, les femmes vous fuient.
Pourtant si vous regardez de près un homme naturellement doué avec les femmes, il réunit toutes ces qualités. Où est le problème ?
Le problème, c’est que dans toute analyse du comportement humain, les symptômes ne sont qu’une facette. Mystery pourrait y passer sa vie entière, il n’arriverait pas à déterminer précisément ce qui rend un homme attirant, parce que la liste serait infinie, et varierait non seulement d’un homme à l’autre, mais aussi en fonction des goûts et des perspectives des femmes avec qui un tel homme interagit. Sans parler des humeurs variables, et même du temps qu’il fait.
Ce que je veux dire, c’est que ce sont des symptômes de quelque chose de plus profond, mais aussi plus subtil. Il est possible de faker ces choses, mais en réalité, ça fait de vous juste des fakes, et vous êtes moins efficace, en faisant plus d’efforts. Pour devenir cette personne et démontrer naturellement ces qualités est un autre tour de manches. Parce que contrairement à une idée répandue, l’évolution n’est pas en faveur des meilleurs manipulateurs, mais des meilleurs Hommes.
C’est ça.
Etre un Homme.
De temps en temps vous avez dû vivre ce phénomène bizarre. Peut être vous étiez saoul. Peut être vous étiez avec de bons amis, ou en face de quelqu’un qui savait vous mettre à l’aise, et quelque chose s’est passé à l’intérieur de vous, comme un déclic. Les gens se sont mis à vous apprécier. Les gens se sont mis à rechercher votre approbation, à vous aider comme ils pouvaient. Vous vous êtes senti détendu, et fort sans routines, vos blagues les plus nulles faisaient rire, vous vous contentez de vivre pleinement la situation, sans rien attendre. Mais vous n’arrivez pas à reproduire ces moments là à les manufacturer, à les fabriquer de toutes pièces, quelle que soit l’efficacité de vos routines.
Je suis sûr que vous savez de quoi je parle. Vous n’avez jamais remarqué que les femmes qui vous désirent, celles qui font le premier pas, très souvent ne sont pas celles que vous voulez ?Je commençais à saisir une certaine logique. Quand je parlais à une fille que j’appréciais, quelque chose en moi transformait toutes mes meilleures qualités en défauts. Mon humilité devenait de la couardise, mon éloquence de la prétention, mon courage de l’arrogance, quand je voyais d’autres personnes réussir en utilisant la même « stratégie » que moi.
« Eske tu mèm ? »
« Nan ».
J’étais au ce1.
J’avais encore toute ma candeur, la naiveté dans sa fleur de l’âge. Un sourire constant, de la joie, des jeux, des friandises, et Belinda. Je me souviens qu’à l’époque, j’avais l’habitude de demander aux fillettes de me montrer leur sexe derrière l’école, et elles s’y prêtaient plutôt bien. Ca marchait comme sur des roulettes, et puis je me suis mis à observer Belinda de près. J’avais vu un film à la télévision qui parlai d’amour, de mariage, et de bonheur éternel, et j’envisageais « d’épouser » Belinda, que je trouvais plutôt jolie, mais vu qu’elle ne m’avait jamais montré son sexe, je lui ai demandé si elle m’aimait.
Sur un emballage de caramabar.
« Nan ».
Je pense que c’est là que mes problèmes ont commencé avec les femmes.
J’aurais dû m’en douter en observant Charlie. On faisait nos explorations des filles ensemble, et tandis que je devenais de plus en plus timide , Charlie embrassait une fille différente chaque jour dans la cour arrière de l’école. En sixième, Charlie recevait des lettres d’admiratrices secrètes, deux minimum dans la semaine. En seconde, il se tapait des femmes mariées de 25 ans.
Avec le recul, je pense que durant une période cruciale de sa construction, Charlie ne s’est pas pris de « nan » avec les filles.
En fait, je pense que Charlie a développé le courage d’être lui-même, quand en grandissant sans rencontrer de résistance auprès de la gent féminine, il a été le premier a avoir des relations sexuelles.
Quand il a été le premier à recevoir des lettres d’admiratrices.
Le premier à « sortir avec une fille » parmi ses potes.
Le premier de son groupe d’amis à se taper une femme mariée.
Je pense que le faire aussi tôt a donné à Charlie la confirmation qu’il avait le droit d’être lui-même.
Honnêteté, ouverture, authenticité, expression.
Quand je regarde Charlie aujourd’hui, je vois mon camarade du CE1. Il a le même sourire, les mêmes gestes…en plus complexe, en plus élaboré, en plus développé. Charlie a développé ses propres goûts, Charlie a pris soin de lui quand il a vu qu’il plaisait, Charlie s’est senti le droit de développer son style à lui, d’avoir des loisirs qu’il aimait, pendant que je passais mon temps à essayer de trouver ce qui plairait aux filles.
Charlie est lui-même aujourd ‘hui.
Il n’a pas changé, il est confiant, il est congruent, il a de la valeur sociale, et il se fait aborder par des bombes sexuelles.
Je vois que vous saisissez ou je veux en venir.
Toujours pas ?
Lisez.
Charlie a développé l’authenticité.
Je peux créer une façade. Pour plaire aux filles, je peux prétendre que je suis quelque chose que je ne suis pas. Tout le monde peut, et si jamais en étant fake, on est pas apprécié, on peut toujours considérer que les gens ont rejeté notre masque, et le changer, c’est facile. On a pas mal, ça n’a rien à voir avec nous.
Mais si vous mettez votre personnalité à nu, si vous vous jetez à découvert dans la société, si vous montrez réellement qui vous êtes, vous risquez d’être jeté en pâture aux lions. Les gens vont vous tester. Ils vont vous attaquer. Et ils ne vont pas attaquer un masque, ils vont attaquer qui vous êtes vraiment, votre identité, votre noyau. Si vous êtes prêt à vous mettre ainsi à nu, si vous pouvez résister, et même répondre aux attaques, si vous les faites taire, vous montrez aux gens que vous avez l’habitude de faire ça. Vous le démontrez. Des gens vous ont apprécié dans le passé. C’est indéniable.
Vous ne dites pas aux gens que vous êtes courageux.
Vous montrez votre valeur.
Vous êtes un Homme.
Vous êtes un Naturel.
C’est ça avoir de la valeur : être authentique.
De ça dérivent toutes les qualités visibles de l’extérieur.
Parmi les naturels, il y a des faux, mais il y a aussi des individus d’exception.
Un Homme de vraie valeur se sent validé. Il subcommunique qu’il est dégoûté des femmes. Il a mieux à faire dans sa vie. Il a un but suprême, et il y consacre toute son énergie. Il a rencontré tellement de succès par le passé qu’il ne sent aucun besoin d’avoir l’approbation de qui que ce soit. Les bonnes expériences qu’il a eu ont fait de lui quelqu’un de positif. Il se respecte, il a des valeurs, une éthique, des standards, une réalité. Il est de venu « cool » en faisant ce qu’il aime faire, en développant sa personnalité sans aucune peur de la réaction des autres. Le plus important pour lui c’est de s’amuser. Il met les autres de bonne humeur par sa seule présence, sa valeur c’est l’authenticité qu’il a développé, les choses exceptionnelles qu’il sait faire, sa personnalité unique, les valeurs qu’il impose dans sa réalité et les bonnes émotions qu’il apporte.
Les émotions sont sa plus grande force.
Parce que les dynamiques sociales fonctionnent comme une boule de neige : on vous apporte ce que vous avez déjà. Les gens vous donnent si ils pensent que d’autres personnes avant eux vous ont donné. L’authenticité est un social proof implicite. Elle montre que vous êtes resté vous-même malgré la pression et les standards sociaux. Votre positivité montre que les gens vous ont bien traité dans le passé. En bref, celui qui réagit le moins à la pression sociale montre que la société a l’habitude de réagir face à lui, du coup, il a un pouvoir illimité. Il a de la valeur, il brise les règles, et les gens sont contents de lui rendre service.
Et le fait qu’il est des ongles noirs ou gris n’y change pas grand-chose.
C’est là ou on me pose la fameuse question :
Comment appliquer ce concept de valeur à un player ?
C’est un tout autre article, mon cerveau bouillonne là.
En espérant que cet article aie de la valeur.
TauruS.