bonjour,
je voulais vous partager un texte que j'ai trouvé sur le net..
ce texte m'a permis de voir a quel point nous nous attachons a des choses inutiles !
Nous avons pris comme constat de départ que la vie consistait à la fois à être et à agir ; et aussi que la manière d'agir la plus favorable consistait à agir en accord avec ce que nous sommes au plus profond de nous-même, avec notre Etre.
Etre, agir : sur quelles bases faire se rejoindre ces deux aspects complémentaires de notre existence ?
Que peut bien impliquer d’agir en accord avec notre être profond ? A mesure que nous faisons l’expérience de l’Etre, nous pouvons ressentir une sorte de sérénité, de stabilité, comme si les fondements de notre existence se révélaient infiniment plus larges et plus solides que nous n’osions l’imaginer. Alors, nous pouvons réaliser l’utilité toute relative de l’action : nous sommes là pour agir, certes, mais l’action a pour objet avant tout de nous enrichir intérieurement. Les résultats de l’action ne prennent de l’importance qu’au niveau de notre identité apparente, de notre ego. Notre identité réelle, le Soi, cueille les fruits de l’action quels qu’en soient les résultats apparents.
Avec cette conscience, nous pouvons nous alléger de bon nombre de soucis pour ce qui est d’agir ; nous pouvons faire ce que nous avons à faire avec plus de sérénité : nous pouvons lâcher prise.
Cette expression de « lâcher prise » peut à plus d’un titre intriguer, voire rebuter pour peu qu’elle laisse penser qu’il s’agit de baisser les bras. Or, il n’en est rien !
Voyons plutôt en quoi cela consiste…
· Lâcher prise pour mieux vivre
Qu’est-ce donc au juste que lâcher prise ? Cette attitude comporte plusieurs facettes, dont celles-ci en particulier : se laisser porter par une énergie plus forte que nous, ne rien attendre, vouloir ni désirer, savoir aller au-delà de l’attachement...
Prenons un exemple de lâcher prise pour en illustrer les effets.
Avez-vous remarqué que bien des difficultés s’effacent lorsque nous cessons de nous en préoccuper ?
Ainsi, il vous est probablement arrivé d’attendre une personne, et, celle-ci étant en retard, de commencer à perdre patience, voire à vous inquiéter. Et c’est lorsque vous avez cessé d’être obnubilé par cette attente que la personne est enfin arrivée. Comme s’il avait suffi que vous renonciez à attendre pour que ce que vous souhaitiez se produise…
Il peut paraître hasardeux de généraliser à partir d’un exemple comme celui-ci, et pourtant il est bel et bien significatif d’une loi naturelle que nous avons grand bénéfice à connaître et à utiliser : tout fonctionne mieux pour nous lorsque nous faisons confiance à l’ordre des choses et que nous lâchons prise.
Le principe est donc de savoir abandonner une attente, un désir, une volonté farouche d’obtenir ou de réaliser, ceci lorsque les circonstances font que la réalisation de notre désir est manifestement hors du champ de nos possibilités. En somme, lorsque l’ordre des choses commande et non pas notre volonté, le mieux que nous puissions faire est de nous en remettre en confiance à lui.
Lâcher prise n’est donc pas baisser définitivement les bras : il nous appartient de remettre en œuvre notre détermination dès que les circonstances s’y prêtent. Tout est question de jugement : à nous de savoir quand nous devons agir et quand il vaut mieux cesser de nous battre contre des moulins à vent.
· Savoir ne pas désirer
Penchons-nous sur l’une des facettes du lâcher prise : être exempt de désir.
Lorsque nous nous plaçons aux niveaux de conscience essentiels, au niveau de l’Etre, nous pouvons observer combien nos désirs sont un tonneau des Danaïdes : ils n’apportent jamais de satisfaction durable, de plénitude, mais un manque permanent. En effet, tout désir une fois satisfait donne aussitôt naissance à un autre désir, en une chaîne sans fin. Il ne s’agit cependant pas d’éliminer les désirs : le désir est un mouvement vital, indissociable de l’existence humaine. Le désir est énergie. Il ne servirait donc à rien de refouler nos désirs : cela reviendrait à accumuler une énergie redoutable, tout comme dans une cocotte à pression dont la soupape serait bloquée… jusqu’à l’explosion.
La question est de vivre bien avec cette énergie du désir qui nous anime naturellement.
Comment faire ? Il convient d’appliquer ce principe de base concernant toute énergie, qu’elle soit physique ou psychique : ne pas empêcher l’énergie de circuler. Il s’agira donc de vivre avec nos désirs, de les laisser s’exprimer et aussi de les réaliser, sans toutefois en être le jouet. Nous pouvons appliquer ce même principe de circulation de l’énergie à nos émotions en les laissant s’exprimer sans pour autant qu’elles nous débordent.
Nous pouvons aussi faire en sorte, vis à vis de nos émotions, de savoir revenir à une position d’équilibre, un état centré, de plénitude : nous pouvons appliquer exactement le même principe à nos désirs.
Il s’agit pour nous de savoir retrouver à volonté une situation d’équilibre dans laquelle nous pouvons ressentir la plénitude propre à faire disparaître la sensation de manque liée au désir.
La notion d’équilibre évoque naturellement le principe de la complémentarité fondamentale de la vie. Nous savons que le mouvement vital est toujours fait de Yin et de Yang, qui se succèdent et se complètent. En considérant cette loi fondamentale, nous pouvons constater que le désir est Yang, et l’accalmie Yin.
Notre objectif est alors clair : il s’agit de savoir passer souplement de l’un à l’autre.
Etre libre implique de pouvoir choisir : pour ne pas être esclaves de nos désirs, nous devons pouvoir choisir de désirer ou de ne pas désirer.
Vivons donc nos désirs – Yang - et sachons également lâcher prise –Yin.
L’état de plénitude, quant à lui, résulte de l’intégration réussie du Yang et du Yin : lorsque nous savons à volonté passer de l’un à l’autre, nous ne souffrons plus de manque ; notre capacité de rétablir l’équilibre permet à un sentiment de plénitude de se manifester.
La vie est respiration : nous pouvons comparer nos désirs, en tant qu’aspirations à l’inspir ; l’absence de désir à l’expir. N’est-il pas naturel de pratiquer l’un et l’autre en les équilibrant ?
· Etre moins attaché pour mieux lâcher prise
Etre attaché réduit par définition notre liberté, donc notre possibilité d’épanouissement. C’est aussi une source potentielle de souffrance.
Lâcher prise implique de pouvoir aller au-delà des attachements.
Cette formulation a de quoi inquiéter les occidentaux que nous sommes : s’agit-il de cultiver une sorte de froideur, voire d’indifférence envers les êtres et les choses ?
Il n’en est rien : pouvoir aller au-delà de l’attachement n’empêche aucunement d’être aimant, ni de vivre avec contentement toutes les bonnes choses de la vie.
Plutôt que de détachement, il est plus adapté de parler de non-attachement.
Le non-attachement n’a rien d’austère ou de morose : il ne s’agit nullement de se retirer du champ de l’action et des relations pour vivre en ascète. Nous pouvons fort bien vivre une vie ordinaire en apparence tout en réduisant nos attachements. Nous y gagnons une légèreté et une sérénité d’esprit qui donnent justement sa véritable saveur à la vie.
Nous pouvons être attachés de multiples manières : à des biens matériels, à des idées, à des personnes, à une certaine image de nous même, à des situations passées ou présentes, au résultat de nos actions…
L’attachement à des biens matériels
Nous sommes tous plus ou moins attachés à des biens matériels : ce peut être pour leur valeur, par la somme de travail et d’argent qu’ils nous ont coûté, le prestige qu’ils procurent, ou plus subtilement, en raison de la valeur sentimentale, symbolique, que nous leur accordons.
Pourtant, les biens matériels sont par nature temporaires : un jour ou l’autre il nous faudra nous en séparer.
Cette notion d’impermanence est la clé du non-attachement : la conscience du caractère périssable des choses et des êtres peut – paradoxalement peut-être - nous aider à moins nous y attacher.
En effet, si nous savons garder à l’esprit que rien ne saurait durer toujours, nous pouvons accepter par avance l’inéluctable séparation. Il s’agit de considérer celle-ci comme naturelle, et non pas de la redouter.
Vis à vis des biens matériels, mieux vaut donc nous considérer comme de simples dépositaires plutôt que comme propriétaires.
Sachons user des biens, en assurer la possession avec sérénité, plutôt qu’être possédés par eux et craindre à tout moment de les perdre.
Posséder beaucoup ne représente pas en soi un problème : il est possible d’avoir des biens en quantité sans pour autant s’y attacher outre mesure. La question est de ne pas se prendre au jeu de la possession.
Dans le choix de nos objectifs, il y a parfois lieu de choisir entre l'Etre et l'avoir. Non d’ailleurs qu’ils soient totalement incompatibles : simple question de priorité.
Nous pouvons nous passer sans souffrance de bien plus de choses que nous ne le croyons généralement. Aussi, tout comme il est favorable de savoir désirer ou ne pas désirer, sachons garder la possibilité d’user ou non d’un bien matériel, de posséder ou de ne pas posséder. Nous devrions pouvoir aussi bien vivre de peu que vivre dans l’aisance. Nous retrouvons ici encore le principe de complémentarité, selon lequel il est bon de savoir faire une chose et son contraire.
Nous avons grand bénéfice à savoir considérer la vie comme un jeu plein d’aléas, au cours duquel nous pouvons aussi bien gagner que perdre au plan matériel. La question, lorsque nous perdons est de savoir perdre sans souffrir exagérément… Tout tient alors à la place que nous accordons aux choses. Il nous est utile de nous rappeler que la seule richesse dont les événements ne peuvent nous priver est notre richesse intérieure : ce que nous construisons en nous nous reste acquis, quoiqu’il arrive…
On ne saurait parler de l’attachement aux biens sans évoquer celui à l’argent. Il va de soi que ce qui vaut pour l’attrait envers les biens matériels vaut pour l’argent qui en est le corollaire.
L’argent peut être considéré comme une énergie : en tant que tel, il est fait pour circuler. Le gagner et le dépenser est donc dans l’ordre naturel des choses. C’est l’avidité envers l’argent, et non l’argent lui-même, qui peut nous poser problème, en occupant une trop grande part de notre conscience, en détériorant nos relations.
Ici aussi, il est préférable de savoir aussi bien perdre que gagner.
Tout comme pour les biens, il est possible d’avoir de l’argent, voire même une certaine détermination à en gagner, sans pour autant développer une avidité qui nous ferait perdre de vue des aspects plus essentiels de la vie : évoluer au plan de l’Etre, entretenir des relations aussi harmonieuses que possible avec notre entourage.
Nous n’avons abordé ici l’attachement aux biens que sous l’angle de l’avidité, de la recherche de possession. La valeur sentimentale que nous pouvons accorder aux choses est une variante de l’attachement à des êtres ou à des situations. Quant à l’idée de prestige que nous plaçons souvent dans des biens coûteux, il s’agit d’un attachement à une image de nous-même, c’est à dire une manifestation de notre ego.
L’attachement à des idées
L’attachement à une idée n’est autre qu’une croyance. Et s’agripper à nos croyances est à l’opposé du lâcher prise : toute conviction correspond à l’appropriation d’une idée, et entraîne une certaine crispation sur cette idée. Pourtant, nos croyances ont bel et bien leur aspect utile : nous avons vu combien elles pouvaient nous être précieuses pour avancer, et aussi combien nos valeurs avaient d’importance pour constituer des repères intérieurs.
Que faire alors ? Il nous appartient d’utiliser nos croyances positives pour ce qu’elles sont : avant tout des moyens de progrès. Et d’abandonner, au fur et à mesure que nous les rendons conscientes, les croyances qui constituent des freins à notre évolution.
L’objectif global est surtout de savoir aller au-delà de nos croyances, de les rendre conscientes et de les voir pour ce qu’elles sont : de simples constructions de l’esprit.
Nos croyances nous servent (ou nous desservent) lorsque nous nous situons à l’un de nos niveaux fonctionnels ; en revanche elles n’ont plus cours lorsque nous nous trouvons au niveau essentiel de l’identité profonde, ou au-delà de l’identité.
En sachant nous placer aux niveaux de conscience les plus élevés, nous pouvons considérer nos croyances sous un jour nouveau, sans être leur jouet. Ce qui ne nous empêche nullement de les utiliser selon nos besoins : vivre, c’est savoir se situer à tous les niveaux logiques, en fonction des circonstances, et surtout de manière consciente.
En choisissant le niveau de conscience auquel nous désirons nous trouver - fonctionnel ou essentiel - nous pouvons aussi bien utiliser nos convictions pour avancer que les laisser à leur place lorsqu’elles ne nous sont plus utiles. Aux niveaux logiques les plus élevés, le lâcher prise émerge de lui-même : nous gagnons en liberté intérieure. Nous pouvons être nous-même, au-delà de toute croyance acquise.
Mieux nous savons abandonner – ne serait-ce que momentanément - nos croyances, plus nous sommes dans le lâcher prise, et plus nous sommes nous-même.
Lâcher prise, c'est croire de moins en moins pour Être de plus en plus
L’attachement à une image de nous-même
Nous savons que l’ego est une composante de notre personne ayant entre autres pour caractéristique de nous dissimuler notre identité réelle, notre nature profonde et véritable. Il est aussi le siège de notre fierté, de notre vanité, de notre orgueil.
Nous avons souligné combien l’ego tend à résister à toute remise en question, et à réagir vigoureusement à toute contrariété.
L’attachement que nous pouvons avoir envers toute image flatteuse de nous-même est à l’évidence une production de l’ego. Et cet attachement, s’il peut servir de moteur pour atteindre des objectifs - vouloir réussir est nécessaire pour réussir – peut se transformer rapidement en piège si nous n’y prenons garde.
Si nous tenons trop à être estimés, admirés d’autrui – ce qui à dose modérée est un besoin parfaitement naturel - , nous nous trouvons pris au jeu illusoire de la gloriole.
Il est préférable de trouver en nous-même les raisons profondes de nous aimer et de nous estimer, plutôt que nous attacher à obtenir d’autrui, coûte que coûte, une admiration qui ne ferait que gonfler la baudruche de l’ego.
En conscience de notre véritable nature, cette estime que nous recherchons tous plus ou moins nous apparaît comme superflue, quelque peu enfantine. Dans l’attachement à l’image de soi, il convient de distinguer la préservation du respect de soi de la recherche des honneurs, de la renommée. Cette dernière ne va pas dans le sens de la découverte du vrai Soi : elle se limite à l’identité apparente de l’ego ; aussi nous est-il nécessaire de savoir aller au-delà.
L’attachement à une certaine image de nous-même peut aussi s’appuyer sur la conscience du corps, c’est à dire de notre apparence physique.
Nous pouvons considérer notre corps comme un partenaire, un ami précieux auquel nous portons naturellement une attention bienveillante. Il serait néfaste d'en faire une idole, un objet de vanité ; il n'est pas non plus souhaitable qu'il soit cause de gêne ou de honte. Veillons donc à son développement harmonieux, à son bien-être, tout en nous souvenant que sa nature est essentiellement temporaire. Appartenant à la matière, le corps est amené à disparaître. Aussi, sachons ne pas être attristés par son vieillissement, contrariés par ses faiblesses ou ses imperfections.
Nous pouvons nous estimer, être estimés et connaître le bonheur du fait nos qualités intrinsèques, au-delà de notre apparence physique.
Cette conscience « au-delà du corps » est applicable avec bénéfice à autrui : sachons voir chaque personne en entier, non seulement sous son apparence physique, mais aussi et surtout comme un être incorporel. Prenons l’habitude, une fois que nous savons nous placer en conscience de notre propre identité profonde, de percevoir dans chaque être le Soi qui en est l'essence.
Il serait dangereux de se laisser fasciner par l'enveloppe physique d’une personne, par son pouvoir, sa célébrité, et dommage d’être au contraire dissuadé d’établir toute relation du fait de son apparence ou de la modestie de sa condition sociale.
Le mieux que nous puissions faire dans nos relations – avec nous même et avec autrui - est de percevoir les êtres au niveau essentiel du Soi : au-delà des apparences, des rôles, des illusions liées à l’ego.
L’attachement à des situations passées
Notre passé représente une part importante de notre conscience ; il n’est pas rare qu’il soit aussi un poids et une cause de regrets, voire de souffrances.
Lorsque le passé est douloureux, nous gagnons à savoir tourner la page, à laisser le passé au passé.
Mais ce principe de laisser le passé au passé peut aussi s’appliquer aux situations positives, lorsque le souvenir que nous avons de celles-ci nous cause une nostalgie ou même une souffrance qui nous empêche d’apprécier le présent et d’avancer sans soucis.
Il arrive en effet que nous ressentions une certaine tristesse lorsque nous évoquons des moments heureux du passé. Or, à quoi bon souffrir ? Nous avons tous entendu des personnes – âgées ou non – parler avec regrets du « bon vieux temps ». Et qui d’entre nous ne l’a fait un jour sous une forme ou une autre ?
Nos mémoires emmagasinent quoi que nous fassions tous les moments de notre vie. Il ne peut être question d’effacer nos mémoires, quand bien même elles nous causeraient parfois des tracas. Nous avons à vivre avec nos souvenirs : vivons donc bien.
S’il apparaît que nos souvenirs, heureux ou éprouvants, nous alourdissent dans notre marche, nous pouvons changer cet état de fait en changeant notre regard sur notre passé.
Il arrive aussi parfois que nous ayons une sorte de nostalgie au présent, la crainte de voir l’agrément du moment vécu s’éteindre trop rapidement à notre goût. Nous trouvons généralement que les bons moments meurent trop vite. Nous ressentons alors vivement l’impermanence des choses, la nature contraignante du changement, la disparition impitoyable des moments et des êtres. Face à cette imparable fuite du temps, à cette toute puissance du changement, ce que nous pouvons faire de mieux est d’accepter l’impermanence.
Pour nous libérer du poids du passé, l’attitude la plus adaptée est de vivre pleinement l’instant présent, d’en apprécier toute la saveur.
Le lâcher prise tient essentiellement à ce positionnement de la conscience « au-dessus » de l’écoulement du temps, comme lorsque nous regardons couler la rivière du haut d’un pont. Le flot défile sous nos pieds, nous constatons le mouvement, mais nous ne sommes pas entraînés par le flot.
L’attachement au résultat de nos actions
Nous avons souligné qu’il nous est possible d’avoir des objectifs, des projets, et d’agir avec détermination tout en restant détaché du résultat de l’action. Et que le résultat obtenu soit celui escompté ou non, l’attitude qui nous est le plus favorable est de savoir accepter ce résultat.
Sur ce plan de l’attachement aux résultats de nos actions comme sur celui de l’attachement aux biens, il nous est utile de savoir considérer la vie comme un jeu auquel nous pouvons gagner ou non, c’est à dire obtenir ou non ce que nous souhaitons. Mais dans tous les cas, le fait d’avoir agi nous enrichit d’expérience.
En réalité, la vie nous apporte toujours ce qui nous est utile, même si nous ne le réalisons pas d’emblée : en quelque sorte, nous sommes toujours gagnants. Avec cette conscience, nous pouvons ne pas être perturbés par un revers apparent ou par le fait qu’un résultat tarde à se manifester.
Nous pouvons agir avec efficacité et assumer nos responsabilités sans pour autant nous prendre au jeu.
Il nous appartient également de ne pas tomber, en cas de succès, dans les pièges de l’ego. Sachons nous réjouir de nos succès, apprécier les qualités qui nous ont permis de les obtenir... et garder conscience du chemin qui reste toujours à parcourir.
Toutes nos actions ont leurs conséquences : il s’agit là d’une loi naturelle incontournable. Ces conséquences, que l’on peut par simplification classifier en « agréables » ou « désagréables » (plutôt que positives ou négatives, car elles ont toutes leur côté positif), se manifestent avec plus ou moins de retard, de décalage par rapport à l’action qui en est à l’origine.
Il nous est utile de savoir discerner le lien entre nos actions et leurs conséquences : cela nous permet de faire par la suite nos choix sur la base de l’expérience.
Il est également important de savoir cultiver le désintéressement, c’est à dire de ne pas avoir d’attente particulière par rapport à des actions que nous estimons positives, tel un geste élégant, généreux ou simplement bienveillant. La reconnaissance d’autrui ne nous est pas nécessairement due ni acquise, et cela importe peu : l’action peut se suffire à elle-même et nous procurer des satisfactions simples, directes, sans délai. Il nous suffit pour cela d’agir avec l’esprit léger, sans attente de retour.
Le lâcher prise dans l’action se développe avec cette conviction : Nul ne me doit rien.
En sachant pratiquer l’action véritablement désintéressée, nous pouvons ressentir, plutôt que l’inflation précaire de l’ego, la félicité inaltérable du Soi.
L’attachement à des personnes
Nous abordons ici l’aspect le plus difficile d’accès concernant le lâcher prise. En effet, l’idée de surmonter l’attachement envers d’autres personnes peut paraître parfaitement inconcevable pour beaucoup d’entre nous.
La difficulté sur ce point est de réaliser profondément que l’amour véritable est au-delà de l’attachement.
Prenons l’exemple de l’amour d’un parent pour ses enfants. Tout parent est naturellement attaché à ses enfants ; cependant, le rôle d’un parent est bien de permettre à ses enfants de devenir entièrement autonomes, indépendants. Un jour l’enfant s’éloignera de ses parents ; ceux-ci pourront alors ressentir de la souffrance à la mesure de leur attachement, et aussi sans doute une certaine fierté d’avoir favorisé la liberté d’êtres qui leurs sont chers.
Là est le point crucial de cet exemple : aimer véritablement une personne, c’est favoriser sa liberté ou à tout le moins la lui laisser ; c’est aussi rester soi-même libre. L’amour véritable ne peut générer aucune souffrance : c’est à cela même qu’on le reconnaît.
L’attachement va à l’encontre de ce principe : si nous sommes attachés, nous ne sommes pas libres, non plus que les personnes auxquelles nous sommes attachés. L’attachement génère tôt ou tard de la souffrance : sensation d’étouffement d’un côté ou de l’autre – plus probablement des deux - , crainte de perdre, douleur de la séparation qui finit inéluctablement par se produire.
Cette notion de non-attachement envers les êtres peut faire frémir… Entendons-nous bien cependant : le non-attachement n’est pas de l’indifférence. Il est possible d’avoir une affection réelle et profonde, d’apporter à autrui, d’échanger, d’aimer vraiment sans être dépendant.
Aimer n’est pas s’attacher, encore moins attacher autrui. L’amour donne et ne demande rien en retour.
Avant de savoir aimer véritablement, l’être humain a naturellement tendance à s’attacher : nous avons tous besoin d’affection, de sécurité, de chaleur, et nous cherchons automatiquement à les préserver – voire à les accaparer – lorsque nous les recevons d’autrui.
Ceci évoque une autre tendance naturelle : celle qui consiste à posséder, à se sentir propriétaire. En ce sens, il en est des êtres comme des objets : nous tendons à considérer comme nôtre ce avec quoi nous nous gratifions, ce dont nous tirons satisfaction.
En bonne logique, si nous préférons aller dans le sens de la liberté de chacun, nous pouvons raisonner comme nous l’avons fait pour les biens matériels : ne pas nous considérer comme propriétaire. Une différence fondamentale par rapport aux biens est bien sûr que nous échangeons de l’affection avec les êtres vivants ; et tout en échangeant cette affection, il nous revient de veiller à ne pas user de notre tendance à posséder, ou simplement à disposer d’autrui.
Nous pouvons pour cela utiliser les propositions suivantes :
Nul ne m’appartient
Je laisse à ceux que j’aime leur liberté de rester ou non près de moi
Je donne mon affection et n’exige rien en retour
Le non-attachement aux êtres ne se réalise assurément pas du jour au lendemain : il est la résultante d’une progression patiente, et de la pratique – encore et toujours – des niveaux de conscience essentiels. En effet, notre besoin naturel de recevoir de l’affection sera d’autant plus facilement comblé que nous saurons ressentir la plénitude liée à la conscience du Soi : cette plénitude ramène tous nos désirs à leur plus simple expression, à un niveau serein, exempt d’avidité, de crainte et de crispation.
Aller au-delà des attachements demande donc une certaine constance, une attention soutenue envers notre état de conscience. Mais même si nous parvenons à dépasser progressivement l’attachement, il n’en est pas nécessairement de même pour les personnes qui nous sont proches, et qui peuvent quant à elles nous rester attachées. Chacun a son propre cheminement, sa personnalité ; nous ne pouvons attendre d’autrui qu’il réagisse comme nous et sache ne pas s’attacher lorsque nous sommes nous même en mesure de ne pas le faire.
Il se peut donc que des êtres s’attachent à nous plus que nous ne nous attachons à eux. La situation se trouve à l’évidence déséquilibrée : que faire ?
En matière de relations humaines, il n’y a guère de recette miracle ; une fois connue la loi naturelle d’action et de réaction, il appartient à chacun d’agir au mieux dans le respect de l’autre.
Nous avons dit que l’amour véritable ne saurait générer de souffrance : utilisons donc le plus possible cet amour vrai. Cela ne présume en rien de ce que nous répondrons ou non à l’attachement de l’autre : nous pouvons estimer que nous pouvons y répondre en nous engageant dans une relation, ou bien au contraire qu’il est préférable de nous en protéger si cet attachement place les deux parties dans une situation intenable, génératrice de souffrances. En tout état de cause, sachons comprendre le besoin d’affection d’autrui et garder envers chacun une bienveillance entière.
· Quelques convictions pour mieux lâcher prise
Tentons de résumer en quelques propositions les bases du lâcher prise :
Tout est temporaire : situations, relations, biens...
La vie est un jeu auquel je ne gagne pas toujours ce que je désire
Que je paraisse gagner ou non, la vie m’apporte toujours ce qui m’est nécessaire
Je peux aller au-delà des attachements tout en étant contenté
· Vivre ici et maintenant
La conscience la plus favorable au lâcher prise est celle d’être entièrement dans l’instant présent, ce qui peut également se traduire par la formule « Vivre ici et maintenant ».
Soulignons donc cette phrase simple, mais essentielle :
C’est avant tout maintenant qu’il faut vivre
Cette présence nous permet de laisser émerger notre Etre profond. N’être préoccupé ni du passé, ni de l’avenir donne toute sa densité au moment présent, et nous procure ce sentiment de plénitude qui nous permet de lâcher prise, de dire « Oui » à ce qui est.
Il peut paraître paradoxal de préconiser de « Vivre ici et maintenant » tout en maintenant une détermination suffisante pour atteindre les objectifs que l’on s’est choisi, ce qui revient à être tourné vers le futur !
Ce paradoxe n’est autre que celui de la Vie. Nous retrouvons simplement ici notre principe de complémentarité du Yin et du Yang : lorsque nous sommes dans l’action et la détermination, nous vivons le Yang ; lorsque nous sommes en état de réceptivité, d’observation, de lâcher prise, nous vivons le Yin.
Intégrer nos complémentarités, c’est en arriver à savoir aussi bien vouloir que ne pas vouloir, désirer que ne pas désirer, être aussi à l’aise dans l’action que dans la non-action.
Il nous appartient d’accepter cette complémentarité naturelle, et de cultiver ce savoir-faire qui consiste à pouvoir vivre l’un ou l’autre mouvement, sans tiraillements, mais au contraire en plénitude.
edit: car le lien du site ne fonctionne plus.
http://frd.evolutif.free.fr/Evolutif/Te ... -prise.htm
prennez le temps de lire et discutons !
ps: texte non conseillé aux personnes qui ont des problemes d'estimes de Soi ou un manque d'affirmation de la personnalité.
Lacher prise
- Notes et commentaires reçus par ce post :
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Lâcher prise, c'est comme regarder un coucher de soleil en
ressentant simplement ce que cela éveil en nous.
Se placer en observateur sans commentaires intérieures ni analyses.
Se laisser totalement envahir par l'image qui vient à nous.
Accueillir l'émotion ou la sensation sans faire intervenir le mental.
Laisser cela être et l'accueillir en silence.
Ressentir sans nourrir de pensées, laisser les pensées s'envoler
d'elles mêmes sans essayer de les chasser.
Lâcher prise, c'est comme ce merveilleux instant lorsqu'on arrive dans la
chambre d'hôtel pour les vacances et que l'on pose enfin les valises.
On goûte simplement la joie de l'instant et on est totalement
disponible à la nouveauté et à la découverte.
Alors posons à chaque instant nos valises que l'on porte depuis
si longtemps et apprécions cet instant.
Si on a des choses à régler, prenons un moment pour réfléchir à la
meilleure façon d'agir et passons à l'action lorsque le moment est venu.
La vie se charge de nous mettre en situation lorsque
le moment opportun d'agir se présente.
En dehors du moment de la réflexion et de l'action laissons
cela de côté et n'y pensons plus.
Sinon, on ne fait qu'entretenir et nourrir une activité mentale
qui nous éloigne du moment présent et cela peut créer en
nous un climat d'anxiété, de nervosité ou d'impatience.
Lâcher prise c'est permettre à tout ce qui est présent
à l'instant, d'être là, sans résistance aucune.
C'est accepter la réalité de l'instant présent en état
intérieur de non-résistance.
C'est aller avec le mouvement de la vie, comme dans certains
arts martiaux où l'on utilise la force de l'autre pour
ne pas se laisser déstabiliser.
Cela n'empêche en aucun cas d'entreprendre une action
lorsque cela s'avère nécessaire.
Simplement cette action ne sera pas menée en réaction à
quelque chose ou à quelqu'un et sera dénuée de toute négativité.
A travers le lâcher prise, la paix intérieure émerge du plus
profond de nous même, rayonne à travers nous et c'est tout
notre environnement qui entre en résonance avec cette paix.
Lâcher prise face à la souffrance
Tout ce que fait l'être humain est fait dans le but d'être heureux.
Directement ou indirectement.
Même si votre travail ne vous plaît pas, vous le faites dans le but de gagner de
l'argent et ainsi pouvoir entre autre vous payer des choses qui vous font plaisir.
L'humain recherche par tous les moyens le bonheur et tente par tous les
moyens d'échapper à la souffrance. C'est bien normal, qui aime souffrir ?
A part ceux qui y trouvent du plaisir et dans ce cas ils ressentent le bonheur
dans cette souffrance. C'est pour cette raison que c'est très difficile
d'accepter la souffrance. Même si vous cherchez à la fuire ou à l'étouffer,
vous n'y arrivez pas, elle est toujours présente même si vous la masquez.
Si vous souhaitez la dépasser, il vous faut y faire face en acceptant de la ressentir.
Ressentez là et observez ce que vous ressentez sans analyser, sans vous laisser
entraîner par le mental vers les circonstances qui ont déclenché cette souffrance.
Si des pensées viennent, laissez-les être là sans les nourrir,
sans vous attacher à elles et reportez votre attention sur le corps.
Restez présent à tout ce que vous ressentez.
Le fait d'observer, va vous permettre d'être détaché.
Lorsqu'on est observateur, il se crée automatiquement une
distance entre l'observateur et le sujet observé ( la souffrance ).
On n'est plus à ce moment là identifié à cette souffrance et on perçoit cela
comme une création que l'on crée soi-même à chaque instant et que l'on
maintient en vie par l'énergie qu'on lui insuffle au moyen de la pensée.
Autorisez-vous maintenant à lâcher prise, ne la nourrissez plus de vos pensées,
ne lui insuffler plus d'énergie, laissez cela se dissoudre en étant simplement
une présence témoin. L'obscurité ne résiste pas longtemps à la lumière de la présence.
Ce qu'il convient également d'accepter lorsque l'on souffre
c'est la réalité de l'instant présent.
Pourquoi est-ce que l'on souffre la plupart du temps ?
Parce que la réalité de ce que l'on vit a changé et qu'on a du mal à accepter
cette réalité, on s'accroche au passé et aux souvenirs.
Ou alors notre réalité ne change pas et on voudrait tellement
que cela change en se projetant dans le futur.
Accepter la réalité, c'est accepter les changements qui se sont produits ou pas
dans notre vie et ensuite regarder si l'on peut améliorer la situation.
Lâcher prise c'est accepter la réalité de l'instant présent
afin d'être et d'agir sans le poids du passé et du futur.
A ce moment là, la vie coule librement à travers nous pour
permettre d'exprimer au mieux notre véritable nature.
Accepter est le premier pas vers le lâcher prise.
Alors si on remplaçait « Lâcher-Prise » par :
- « Arrêter de croire que ce que l’on pense est vrai »,
- « Arriver à imaginer qu’il puisse en être autrement »
- "Accepter de remettre en question ses principes du moment."
- "Ne pas s’impatienter de la non-réalisation immédiate des choses qu’on a envie de voir se réaliser le plus tôt possible...."
Ou
- « Accepter de faire confiance aux autres ou à la situation présente »…
ressentant simplement ce que cela éveil en nous.
Se placer en observateur sans commentaires intérieures ni analyses.
Se laisser totalement envahir par l'image qui vient à nous.
Accueillir l'émotion ou la sensation sans faire intervenir le mental.
Laisser cela être et l'accueillir en silence.
Ressentir sans nourrir de pensées, laisser les pensées s'envoler
d'elles mêmes sans essayer de les chasser.
Lâcher prise, c'est comme ce merveilleux instant lorsqu'on arrive dans la
chambre d'hôtel pour les vacances et que l'on pose enfin les valises.
On goûte simplement la joie de l'instant et on est totalement
disponible à la nouveauté et à la découverte.
Alors posons à chaque instant nos valises que l'on porte depuis
si longtemps et apprécions cet instant.
Si on a des choses à régler, prenons un moment pour réfléchir à la
meilleure façon d'agir et passons à l'action lorsque le moment est venu.
La vie se charge de nous mettre en situation lorsque
le moment opportun d'agir se présente.
En dehors du moment de la réflexion et de l'action laissons
cela de côté et n'y pensons plus.
Sinon, on ne fait qu'entretenir et nourrir une activité mentale
qui nous éloigne du moment présent et cela peut créer en
nous un climat d'anxiété, de nervosité ou d'impatience.
Lâcher prise c'est permettre à tout ce qui est présent
à l'instant, d'être là, sans résistance aucune.
C'est accepter la réalité de l'instant présent en état
intérieur de non-résistance.
C'est aller avec le mouvement de la vie, comme dans certains
arts martiaux où l'on utilise la force de l'autre pour
ne pas se laisser déstabiliser.
Cela n'empêche en aucun cas d'entreprendre une action
lorsque cela s'avère nécessaire.
Simplement cette action ne sera pas menée en réaction à
quelque chose ou à quelqu'un et sera dénuée de toute négativité.
A travers le lâcher prise, la paix intérieure émerge du plus
profond de nous même, rayonne à travers nous et c'est tout
notre environnement qui entre en résonance avec cette paix.
Lâcher prise face à la souffrance
Tout ce que fait l'être humain est fait dans le but d'être heureux.
Directement ou indirectement.
Même si votre travail ne vous plaît pas, vous le faites dans le but de gagner de
l'argent et ainsi pouvoir entre autre vous payer des choses qui vous font plaisir.
L'humain recherche par tous les moyens le bonheur et tente par tous les
moyens d'échapper à la souffrance. C'est bien normal, qui aime souffrir ?
A part ceux qui y trouvent du plaisir et dans ce cas ils ressentent le bonheur
dans cette souffrance. C'est pour cette raison que c'est très difficile
d'accepter la souffrance. Même si vous cherchez à la fuire ou à l'étouffer,
vous n'y arrivez pas, elle est toujours présente même si vous la masquez.
Si vous souhaitez la dépasser, il vous faut y faire face en acceptant de la ressentir.
Ressentez là et observez ce que vous ressentez sans analyser, sans vous laisser
entraîner par le mental vers les circonstances qui ont déclenché cette souffrance.
Si des pensées viennent, laissez-les être là sans les nourrir,
sans vous attacher à elles et reportez votre attention sur le corps.
Restez présent à tout ce que vous ressentez.
Le fait d'observer, va vous permettre d'être détaché.
Lorsqu'on est observateur, il se crée automatiquement une
distance entre l'observateur et le sujet observé ( la souffrance ).
On n'est plus à ce moment là identifié à cette souffrance et on perçoit cela
comme une création que l'on crée soi-même à chaque instant et que l'on
maintient en vie par l'énergie qu'on lui insuffle au moyen de la pensée.
Autorisez-vous maintenant à lâcher prise, ne la nourrissez plus de vos pensées,
ne lui insuffler plus d'énergie, laissez cela se dissoudre en étant simplement
une présence témoin. L'obscurité ne résiste pas longtemps à la lumière de la présence.
Ce qu'il convient également d'accepter lorsque l'on souffre
c'est la réalité de l'instant présent.
Pourquoi est-ce que l'on souffre la plupart du temps ?
Parce que la réalité de ce que l'on vit a changé et qu'on a du mal à accepter
cette réalité, on s'accroche au passé et aux souvenirs.
Ou alors notre réalité ne change pas et on voudrait tellement
que cela change en se projetant dans le futur.
Accepter la réalité, c'est accepter les changements qui se sont produits ou pas
dans notre vie et ensuite regarder si l'on peut améliorer la situation.
Lâcher prise c'est accepter la réalité de l'instant présent
afin d'être et d'agir sans le poids du passé et du futur.
A ce moment là, la vie coule librement à travers nous pour
permettre d'exprimer au mieux notre véritable nature.
Accepter est le premier pas vers le lâcher prise.
Alors si on remplaçait « Lâcher-Prise » par :
- « Arrêter de croire que ce que l’on pense est vrai »,
- « Arriver à imaginer qu’il puisse en être autrement »
- "Accepter de remettre en question ses principes du moment."
- "Ne pas s’impatienter de la non-réalisation immédiate des choses qu’on a envie de voir se réaliser le plus tôt possible...."
Ou
- « Accepter de faire confiance aux autres ou à la situation présente »…
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] 100% d'accord par Daz
plus concret afin de mieux comprendre le lacher prise.. merci a Marie !
Lâcher prise, c'est comprendre que rien n'est permanent ou solide et que tout est en perpétuel changement.
Lâcher prise, c'est accepter le processus naturel et inévitable du changement.
Lâcher prise, c'est accepter tout ce qui se présente, sans rejeter le négatif et sans trop s'attacher au positif.
Lâcher prise, c'est prendre chaque jour comme il vient sans trop essayer d'adapter les choses à ses propres désirs.
Lâcher prise, c'est considérer toute difficulté et tout ennemi comme notre meilleur ami qui nous aide à progresser et à grandir.
Lâcher prise, c'est avoir du recul face à tout ce que l'on expérimente.
Lâcher prise, c'est rester serein, détendu et d'humeur égale, quelles que soient les circonstances, agréables, désagréables ou neutres.
Lâcher prise, c'est utiliser le moyen de l'humour pour dédramatiser une situation.
Lâcher prise c'est comprendre que les choses ont l'importance qu'on leur donne.
Lâcher prise, c'est ne pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l'avenir.
Lâcher prise, c'est ne pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c'est vivre dans le présent.
Lâcher prise, c'est ne pas s'attacher au résultat de nos efforts.
Lâcher prise, c'est s'efforcer de faire de son mieux sans vouloir tout contrôler en comprenant que le résultat final n'est pas entre nos mains.
Lâcher prise, c'est ne pas couper les liens, mais prendre conscience que l'on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, c'est ne pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un.
Lâcher prise, c'est ne pas s'occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, c'est ne pas materner les autres, mais leur permettre d'affronter la réalité.
Lâcher prise, c'est ne pas assister, mais encourager.
Lâcher prise, c'est ne pas critiquer ou vouloir changer autrui, mais tenter de déceler ses propres défauts.
Lâcher prise, c'est ne pas juger, mais accorder à autrui le droit d'être humain.
Lâcher prise, c'est se mettre à la place de l'autre en essayant de comprendre ses motivations.
Lâcher prise c'est donner le meilleur de soi-même et devenir ce que l'on rêve de devenir.
Lâcher prise c'est craindre moins et aimer davantage.
http://www.outre-vie.com/edito/lacher%20prise.htm
Lâcher prise, c'est comprendre que rien n'est permanent ou solide et que tout est en perpétuel changement.
Lâcher prise, c'est accepter le processus naturel et inévitable du changement.
Lâcher prise, c'est accepter tout ce qui se présente, sans rejeter le négatif et sans trop s'attacher au positif.
Lâcher prise, c'est prendre chaque jour comme il vient sans trop essayer d'adapter les choses à ses propres désirs.
Lâcher prise, c'est considérer toute difficulté et tout ennemi comme notre meilleur ami qui nous aide à progresser et à grandir.
Lâcher prise, c'est avoir du recul face à tout ce que l'on expérimente.
Lâcher prise, c'est rester serein, détendu et d'humeur égale, quelles que soient les circonstances, agréables, désagréables ou neutres.
Lâcher prise, c'est utiliser le moyen de l'humour pour dédramatiser une situation.
Lâcher prise c'est comprendre que les choses ont l'importance qu'on leur donne.
Lâcher prise, c'est ne pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l'avenir.
Lâcher prise, c'est ne pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c'est vivre dans le présent.
Lâcher prise, c'est ne pas s'attacher au résultat de nos efforts.
Lâcher prise, c'est s'efforcer de faire de son mieux sans vouloir tout contrôler en comprenant que le résultat final n'est pas entre nos mains.
Lâcher prise, c'est ne pas couper les liens, mais prendre conscience que l'on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, c'est ne pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un.
Lâcher prise, c'est ne pas s'occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, c'est ne pas materner les autres, mais leur permettre d'affronter la réalité.
Lâcher prise, c'est ne pas assister, mais encourager.
Lâcher prise, c'est ne pas critiquer ou vouloir changer autrui, mais tenter de déceler ses propres défauts.
Lâcher prise, c'est ne pas juger, mais accorder à autrui le droit d'être humain.
Lâcher prise, c'est se mettre à la place de l'autre en essayant de comprendre ses motivations.
Lâcher prise c'est donner le meilleur de soi-même et devenir ce que l'on rêve de devenir.
Lâcher prise c'est craindre moins et aimer davantage.
http://www.outre-vie.com/edito/lacher%20prise.htm