Peur d'être libre?
[Message supprimé par l'auteur : Ces propos ne reflètent pas, ou plus ma pensée actuelle. J'ai beaucoup évolué dans mon approche de la séduction et des rapports hommes / femmes et je ne souhaite pas que des anciens messages puissent être lus aujourd'hui, par crainte qu'ils soient décontextualisés où qu'ils ne me ressemblent pas.]
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- [0] Intéressant par San.A
Sois libre, et tais-toi !Owen a écrit :Peut-on échapper à la peur d'être libre?
Nan mais !
C'était la parenthèse philosophique. Plus sérieusement, cette question est très intéressante... La Liberté fait peur, c'est bien connu.
On dit parfois que la la seule liberté, c'est de choisir sa prison... Mais putain, qu'il est doux d'avoir le choix ! Dis-moi donc...
Le jour ou ton game sera plus développé, tu seras le sélectionneur, tu auras le choix parmi tout plein de frangines. Tu auras peur de choisir ? Tu n'en choisira aucune et repartira bredouille ?
Ok, "je repartirai avec plusieurs pour faire un multi-some" est une réponse valable, mais hors-sujet
!Alors, toujours peur ? Ne sens-tu pas cette excitation qu'apporte l'inconnu, ce rush d'adrénaline quand on prend la route sans trop savoir quoi trouver au bout ? Comment même une galère devient un bon souvenir, quand elle t'a permis de te sortir de ta routine, de te prouver à toi-même ta capacité d'adaptation, cette force que tu as pour te sortir de situations imprévues...? S'être enrichi humainement est le meilleur salaire pour qui a su conquérir sa liberté et en jouir à bras-le-corps.
Ce n'est pas de la Liberté dont tu as peur, mais de toi-même. Fonce, et devient TOI.
C'est normal. Cela me fait pareil quand, par exemple, je pars en vacances en terrain inconnu et/ou à l'étranger. Une fois en route ou sur place, cette sensation disparait vite. On arrive vite à être à la hauteur des sensations que procure la Liberté du voyageurle voyage approchant, je me retrouve dans une situation d'angoisse.
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- [+2] 100% d'accord par Daz
Si je peux me permettre un petit coup de 3615 MYLIFE, j'ajouterais que parfois, avoir le choix - à moins d'être un grand queutard systématiquement polygame - peut faire reculer; non seulement on ne sait plus ou donner de la b... pardon, de la tête, mais en plus, et là je ne parle qu'en mon nom mais ça doit en toucher plus d'un, on se dit que si on en choisit une, on a le risque de se retrouver piégé dans une relation alors que se présentera à notre porte encore mieux.
Je m'explique: on a prendre le cas d'un mec heureux dans son couple, sa RLT se porte bien, ils sont amoureux tout ça tout ça. Mais un jour, une poupoune ENCORE MIEUX que sa nana actuelle se présente. Bah tout amoureux, le mec va se retrouver pris dans un dilemme: doit-il lâcher son actuelle RLT pour une nana plus prometteuse (au risque de se planter?) ou bien rester avec celle qu'il aime et qui l'aime, au risque de finir par s'emmerder?
Devant cette alternative qui ne se présente pas encore, l'attentisme apparaît comme une solution de facilité (comprendre: "un piège"), sous la forme d'une excuse bidon: "Je bougerai mon cul que quand il y en aura une qui me plaît vraiment", c'est-à-dire la nana parfaite dont on est certain - et c'est qui en est l'aspect le plus rassurant - qu'on ne la rencontrera jamais.
Et du coup, on ne bouge jamais.
Et là on rejoint le problème d'Owen; la peur de faire un choix. No girl, no problem! On se complaît dans sa médiocrité en se contentant de l'éventail des possibles sans chercher à concrétiser.
Le réflexe du frustré de base, en somme.
Je m'explique: on a prendre le cas d'un mec heureux dans son couple, sa RLT se porte bien, ils sont amoureux tout ça tout ça. Mais un jour, une poupoune ENCORE MIEUX que sa nana actuelle se présente. Bah tout amoureux, le mec va se retrouver pris dans un dilemme: doit-il lâcher son actuelle RLT pour une nana plus prometteuse (au risque de se planter?) ou bien rester avec celle qu'il aime et qui l'aime, au risque de finir par s'emmerder?
Devant cette alternative qui ne se présente pas encore, l'attentisme apparaît comme une solution de facilité (comprendre: "un piège"), sous la forme d'une excuse bidon: "Je bougerai mon cul que quand il y en aura une qui me plaît vraiment", c'est-à-dire la nana parfaite dont on est certain - et c'est qui en est l'aspect le plus rassurant - qu'on ne la rencontrera jamais.
Et du coup, on ne bouge jamais.
Et là on rejoint le problème d'Owen; la peur de faire un choix. No girl, no problem! On se complaît dans sa médiocrité en se contentant de l'éventail des possibles sans chercher à concrétiser.
Le réflexe du frustré de base, en somme.
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- [0] Hors sujet par Daz
3615My Life : Une relation longue distance, même pour une durée limitée, c'est chaud. Très chaud. Entre toutes les opportunités que tu auras, et la frustration qui va avec, et elle, avec sa sollitude, c'est vraiment pas un de mes meilleurs souvenirs. En fait, c'est les retrouvailles qui ont été horribles.
Regardes les poupées russes. C'est la stricte vérité ce film. Si tu as des doutes, quitte là avant de partir. Tu pourras mieux profiter de ton séjour, et elle pourra se remettre sur le marché.
Une relation longue distance, c'est tous les inconvénients (exclusivité, remords, temps et pognon pour le téléphone) sans les avantages (sexe, proximité, trendresse).
Regardes les poupées russes. C'est la stricte vérité ce film. Si tu as des doutes, quitte là avant de partir. Tu pourras mieux profiter de ton séjour, et elle pourra se remettre sur le marché.
Une relation longue distance, c'est tous les inconvénients (exclusivité, remords, temps et pognon pour le téléphone) sans les avantages (sexe, proximité, trendresse).
Figure toi que ça m'est arrivé. Je suis resté fidèle. Si j'avais su... Il est où le smiley qui se tape la tête contre le mur ?Mais un jour, une poupoune ENCORE MIEUX que sa nana actuelle se présente. Bah tout amoureux, le mec va se retrouver pris dans un dilemme: doit-il lâcher son actuelle RLT pour une nana plus prometteuse (au risque de se planter?) ou bien rester avec celle qu'il aime et qui l'aime, au risque de finir par s'emmerder?
Bonjour Owen. C'est 100% de l'aide perso que tu fais là mais vu que le forum est super bien modéré on peut se permettre de petits écarts.
Ce n'est pas seulement la peur d'être libre que tu décris mais aussi de tout ce qu'implique ton voyage.
Je sais de quoi je parle car je l'ai vécu il y a 3 semaines quand j'ai déménagé à Toulouse alors que j'ai vécu toute ma vie sur la région Bordelaise dans la maison familiale. Les premiers jours avant et après un voyage on ressent de l'appréhension mais ça le fait à tout l'monde : changement de repères, liberté, autonomie totale ce qui implique d'être livré à soi même : le meilleur n'arrive que si on se bouge le cul (personne n'est là pour le faire à ta place de toute manière) et il faut gérer les merdes tout seul car y a personnes pour te soutenir. Tout cela tu le sais à un niveau plus ou moins conscient et quand l'échéance du départ arrive, cela t'effraie.
Maintenant est-ce que ça mérite un topic? Non car ce n'est pas un sujet de réflexion, c'est une expérience à vivre : normalement ton appréhension partira rapidement après les premiers jours de ton voyage.
Ce n'est pas seulement la peur d'être libre que tu décris mais aussi de tout ce qu'implique ton voyage.
Je sais de quoi je parle car je l'ai vécu il y a 3 semaines quand j'ai déménagé à Toulouse alors que j'ai vécu toute ma vie sur la région Bordelaise dans la maison familiale. Les premiers jours avant et après un voyage on ressent de l'appréhension mais ça le fait à tout l'monde : changement de repères, liberté, autonomie totale ce qui implique d'être livré à soi même : le meilleur n'arrive que si on se bouge le cul (personne n'est là pour le faire à ta place de toute manière) et il faut gérer les merdes tout seul car y a personnes pour te soutenir. Tout cela tu le sais à un niveau plus ou moins conscient et quand l'échéance du départ arrive, cela t'effraie.
Maintenant est-ce que ça mérite un topic? Non car ce n'est pas un sujet de réflexion, c'est une expérience à vivre : normalement ton appréhension partira rapidement après les premiers jours de ton voyage.