C'est peut être de la redite, mais une question me taraude actuellement.
Je suis en Mtr depuis 6 mois, avec pas mal de pression chacun de son côté ( j'ai passé un concours national que j'ai réussi, elle est dans une école de management assez prenante, surtout ces dernières semaines )... et avec tout ça, on se retrouve à n'avoir fait l'amour qu'une fois ces trois dernières semaines... voyez le tableau.
Le problème c'est que malgré les séparations forcées de plusieurs jours, dûes à nos obligations respectives, ma nana semble de plus en plus imperméable à sa libido (et du même coup à la mienne). Elle ne l'écoute plus, est souvent fatiguée après sa journée de taf, voire, limite, évite le contact sexuel, surtout ces derniers temps. Bien entendu, rajouté à cela, une éducation assez tradi (sans religion pourtant) où le sexe semble être limite sale ( mère omnipotente qui a du lui faire comprendre ça ). Au début, je me disais que ça ne serait que passager... et j'essayais de faire le nécessaire (attitude macho pour rompre avec l'habitude, sms coquins auxquels elle répondait et qui faisaient monter la température etc.). Mais l'envie m'est passée petit à petit, les efforts ne venant que du même côté. Le pire étant l'achat de lingerie fine qui l'émoustille et qui au final, voit l'excitation chez elle retomber aussi vite qu'elle était montée.
Si j'étais dans l'optique dans laquelle je me situais il y a encore un an, je l'aurais envoyé chier, ne voulant pas me prendre la tête avec des conneries pareil: mauvais sexe, mauvais coup: next. Mais là, comble de l'ironie pour un misogyne comme moi, je suis tombé amoureux. Et ma copine l'est tout autant que moi, elle est vraiment mordue. Donc, pleurs de son côté lorsque je lui ai dit que je voulais prendre un peu de recul (alors que je ne veux pas rompre, du moins, pour le moment...). J'en arrive à me demander si elle n'est pas plutôt amoureuse du sentiment amoureux que de ma pomme.
J'ai l'impression que je vais devoir encore prendre les choses en main pour que ça avance, trop de patience tuerait donc la patience ?
Lorsqu'elle me dit qu'au bout de 6 mois, il y a sûrement le poids des habitudes, ça me fait froid dans le dos...
Et pour terminer, comble de l'ironie, alors que le lien est très fort entre nous: moi, 2 ans du côté de Paris pour cette école nationale qui a nécessité deux années de ma vie niveau boulot perso, et elle 9 mois à Prague puis une petite année pour terminer son école, dans une autre ville que Paris... niveau conditions d'épanouissement et retrouvailles au pieu, on a fait mieux. Même si mes moyens financiers me permettront de la voir une fois par mois durant son séjour à Prague.
Je sais, c'est un cas très perso, je ne venais plus sur le forum depuis très longtemps...mais il me semble à l'époque des "historiques" en avoir aidé plus d'un pour qu'on m'envoie balader d'un seul revers de main ou d'un seul clic. Là, sérieusement, j'ai besoin de vous, en tous les cas, de vos avis.
( si on pouvait les "next" sans autres argumentaires, ce serait cool

Bien à vous.
Lechat.