[D] Les Mythes du SPU

Note : 10

le 04.07.2009 par Malcor

9 réponses / Dernière par Megoy le 05.07.2009, 20h23

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Voici un article dont je souhaiterais en discuter avec vous :

Les mythes de la drague de rue

Après avoir beaucoup pratiqué la drague de rue, après avoir vu beaucoup de types pratiquer la drague de rue, après avoir discuté avec d’autres types qui ont pratiqué la drague de rue. Voici mes conclusions. Beaucoup de conneries sont racontées sur la drague de rue !

Pour comprendre où je veux en venir il faut savoir que j’accorde une grande importance à ce qu’on pourrait appeler le ratio « filles branchées » / « filles allongées ».

Si cela ne vous gêne pas d’en aborder 50 pour coucher avec une, ne lisez pas la suite, elle ne va pas vous intéresser. Par contre si vous ne voulez pas passer vos journées à vous prendre des râteaux ou que tout simplement vous avez une vie avec des activités et autre chose à faire que de passer des heures dans la rue à brancher je pense pouvoir vous faire gagner du temps.

1) C’est le field le plus difficile. 99,99% des mecs n’osent pas brancher dans la rue. La plus part du temps, ceux qui le font sont ceux qui n’ont pas accès aux endroits traditionnel pour brancher (les bars et les boites). Ce sont donc les jeunes ides banlieux qui ne rentrent pas en boites et les lycéens qui n’ont pas assez d’argent pour aller dans les pubs. Si se sont seulement les mecs qui n’ont pas le choix qui branchent dans la rue c’est qu’il y a un problème (en règle générale si tout le monde adopte le même comportement, et inversement, c’est qu’il y a une bonne raison).

Pourquoi aller à la difficulté, surtout si on est débutant ? Pour combattre l’anxiété de l’approche. Mouais… Ok pour le faire un petit peu mais cela ne marche pas vraiment et à moins de pratiquer très réguliairement elle revient très vite. Franchement lorsqu’on débute il y a mieux à faire (genre savoir parler naturellement à une inconnu).

2) La démocratisation de la drague de rue vient surtout des regroupements de dragueurs. En effet lorsqu’on rencontre un nouveau membre il est largement plus aisé de la voir le samedi après-midi dans l’anonymat de la rue que dans un bar. On ne le connait pas et on n’a pas forcément envie de passer la soirée avec un type qui est peut-être weird (surtout qu’on sort souvent dans son bar où on a ses habitudes).

Aussi on se retrouve avec des newbies qui commencent par la drague de rue, le terrain le plus difficile et de loin…

3) Il faut être physiquement attirant pour brancher dans la rue. Je ne dis pas que si vous ne l’êtes pas vous n’allez jamais choper mais votre ratio de râteau va être énorme. Il faut être réaliste, la fille va rester à discuter avec vous surtout si vous lui plaisez physiquement.

4) Le ratio pour tout le monde est assez faible avec les Françaises. Aussi il faut surtout brancher les étrangères. Vraiment j’insiste sur ce point. Avec les Erasmus et autres j’arrive à rencarder plus de la moité de celles que je branche dans la rue. C’est infiniment plus facile à la fois pour les brancher (elles ne sont pas dans leur pays et le temps qu’elles comprennent ce qu’on attend d’elle on est déjà en plein milieux de la conversation), pour prendre leur numéro (elles rencontrent souvent assez peu de français, veulent pratiquer la langue, n’ont pas le soucis de préserver leur réputation comme chez elles) et pour coucher (elles sont jeunes et veulent s’amuser pour un an).

Voici le compte-rendu de trois ans de drague de rue plus ou moins poussé selon les moments. Je parle de mythes car tout le monde est très enthousiaste avec mais très peu de personnes baisent sans y passer des heures par semaine.

Si vous voulez vraiment vous y mettre, au moins sachez commencer, entretenir, relancer une conversation. C’est le minimum. Vraiment. Et gardez la drague de rue pour les étrangères.

http://malcorlegrand.wordpress.com/2009 ... ue-de-rue/
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Carrément OK pour les Erasmus; je dirai même plus, il faut rechercher ces cibles là. Quand tu branches en SPU il faut être sur que la nana à un appart sinon pas moyen de baiser. Avec une Erasmus c'est sur et certain de pouvoir s'introduire et baiser; il faut se rencarder dans les premières minutes de l'échange à savoir si la nana habite seul car si le player est dans une ville ou il n'a pas d'appart (moi quand je monte à Paris) pas moyen de conclure.

Par contre pour ton truc sur l'approach anxiety bof; attends les filles en boite c'est du gros bitchshield, c'est de la préparation. Dans la rue tu joues sur un autre terrain, elle s'attend pas à se faire brancher de un, si elle se fait brancher, c'est souvent pas un lascard (sauf si la pauvre fille traverse St Michel 10x par jour, là elle en a vu des loustics bizarres..).

Le mieux reste le SPU quand tu as les couilles d'aborder seul pendant tes activités normales (niveau avancé).
QFR a écrit :Le mieux reste le SPU quand tu as les couilles d'aborder seul pendant tes activités normales
Tout à fait d'accord, tu ne perds pas de temps à trainer dans la rue rien que pour ça. Au pire tu fais un petit détour.
malcor a écrit :Si cela ne vous gêne pas d’en aborder 50 pour coucher avec une, ne lisez pas la suite, elle ne va pas vous intéresser. Par contre si vous ne voulez pas passer vos journées à vous prendre des râteaux ou que tout simplement vous avez une vie avec des activités et autre chose à faire que de passer des heures dans la rue à brancher je pense pouvoir vous faire gagner du temps.
De ce que je sais du SPU, c'est "rateaux, beaucoup rateaux". Quand je lis Soral qui dit qu'il arrivait à une baisée pour 3 branchées, j'ai de gros doutes. Où alors, il faut vraiment aborder les filles les plus disponibles.
Je pense que les gens qui ont un ratio intéressant dans la rue sont des gars qui choisissent leurs cibles avec attention. Ca demande un gros travail d'observation, pas mal de temps aussi et il faut laisser passer pas mal de cibles. Outre le fait qu'il faut maitriser son AA, je pense que cela biaise les chiffres.
N'aborder que sur "apporche invitation" c'est de la "triche" (mais on s'en fout si on baise).
1) C’est le field le plus difficile. 99,99% des mecs n’osent pas brancher dans la rue. La plus part du temps, ceux qui le font sont ceux qui n’ont pas accès aux endroits traditionnel pour brancher (les bars et les boites). Ce sont donc les jeunes ides banlieux qui ne rentrent pas en boites et les lycéens qui n’ont pas assez d’argent pour aller dans les pubs. Si se sont seulement les mecs qui n’ont pas le choix qui branchent dans la rue c’est qu’il y a un problème (en règle générale si tout le monde adopte le même comportement, et inversement, c’est qu’il y a une bonne raison).
Tu parles hors communauté ?
Je pense qu'il y a un soucis culturel aussi. Regarde tous les poèmes et les chansons qui parlent des inconnues croisées et disparues.
Aborder dans la rue "ça ne se fait pas". Pas mal de filles m'ont dit ne jamais s'être fait abordées avant moi.

Après pour la difficulté je pense que ça dépend des gens. J'ai plus de closes (tous types confondus) dans la rue qu'ailleurs. Mais mon exemple n'est peut être pas judicieux, car je n'ai jamais trop aimé les bars/boites, et j'ai fini par passer plus de temps en SPU (encore un biais).

très peu de personnes baisent sans y passer des heures par semaine.
Je crois que c'est la plus grande vérité jamais dites sur FTS.
Si vous voulez vraiment vous y mettre, au moins sachez commencer, entretenir, relancer une conversation. C’est le minimum. Vraiment.
C'est la deuxième plus grande vérité. :D
Quand je lis Soral qui dit qu'il arrivait à une baisée pour 3 branchées, j'ai de gros doutes.
Nan quand on maitrise son game, c'est tout à fait possible. En sélectionnant judicieusement les HBs que je croise, je fais dans mes bonnes périodes 100% et pareil pour un pote, et je pense qu'on est pas les seuls. Mais avec pas plus d'une abordée par semaine me concernant. Mais la bonne. A force on apprend à sélectionner et reconnaitre les nanas qui nous correspondent et avec lesquelles ça va coller...


Cependant ceci est vrai ...
De ce que je sais du SPU, c'est "rateaux, beaucoup rateaux".
...dès lors qu'on décide de faire bcp de SPU, du genre "cet apreme session sarge!". Si tu abordes de tout et n'importe quoi, donc en comptant les nanas qu'ont pas le temps, les fiancés, celles qui ne sont pas ton genre mais que t'abordes qd même parce qu'elles ont un bon cul, forcément ton ratio chute à mort. Je considère que ce type de sarge est de la perte de temps, sauf quand on débute pour se faire de l'expérience. Ou à la limite pour se marrer. Du genre aborder une pure biatch vulgaire style pornstar, pas mon genre, mais que tout le monde mate en allant de son ptit commentaire, j'aime y aller de manière bien bourrine :lol:

Bref je m'accorde avec vous pour conclure que le SPU c'est surtout cool dans cette condition :
QFR a écrit :Le mieux reste le SPU quand tu as les couilles d'aborder seul pendant tes activités normales

malcor a écrit :1) C’est le field le plus difficile.
Je suis moyennement d'accord. Une fois passée la croyance collective de l'anormalité de brancher dans la rue, je dirais au contraire que c'est le plus facile.
La majorité des bonnasses seront plus open un après midi à un arrêt de tram ou à flanner dans un parc un dimanche que dans leur groupe au fond d'une boite à 2h du matin. En tout cas c'est le cas dans mes villes du nord est. Le BS n'existe pas dans la rue (bcp d'étudiante venues de leur campagne tranquille, peu de ouech mamzelle, aucun dragueur, aucune méfiance donc), alors qu'en boite... la horde de gros nazes bourrés qui enchainent ça met pas mes ptites HBs dans le meilleur état d'esprit pour me recevoir...
Je précise à ce niveau qu'il serait idiot que la discussion dérive en débat drague de rue VS en boite, ou alors il faut savoir précisément sur quel critère et dans quelle condition. Parce que finalement "le SPU c'est le plus dur" est une assertion aussi vraie que "le SPU c'est le plus simple"... (par rapport à quoi, comment, qui, ou ?). Sans compter que ça dépend aussi bcp des sensibilités des players.
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  • [+1] Merci ! :) par Professor_X
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Je suis heureux que ton expérience se rapproche de mes pensées :
megoy a écrit :En sélectionnant judicieusement les HBs que je croise, je fais dans mes bonnes périodes 100% et pareil pour un pote, et je pense qu'on est pas les seuls. Mais avec pas plus d'une abordée par semaine me concernant.
pr_x a écrit :Je pense que les gens qui ont un ratio intéressant dans la rue sont des gars qui choisissent leurs cibles avec attention. Ca demande un gros travail d'observation, pas mal de temps aussi et il faut laisser passer pas mal de cibles
Je ne sais pas si c'est bien le sujet ici, mais je serais ravi de savoir comment tu sélectionnes.
(Au pire tu peux poster , c'est dans le sujet).
malkor a écrit :Si cela ne vous gêne pas d’en aborder 50 pour coucher avec une, ne lisez pas la suite, elle ne va pas vous intéresser.
Ah quel teasing digne d'Omar Sharif :lol:.
malkor a écrit :1) C’est le field le plus difficile. 99,99% des mecs n’osent pas brancher dans la rue. La plus part du temps, ceux qui le font sont ceux qui n’ont pas accès aux endroits traditionnel pour brancher (les bars et les boites). Ce sont donc les jeunes ides banlieux qui ne rentrent pas en boites et les lycéens qui n’ont pas assez d’argent pour aller dans les pubs. Si se sont seulement les mecs qui n’ont pas le choix qui branchent dans la rue c’est qu’il y a un problème (en règle générale si tout le monde adopte le même comportement, et inversement, c’est qu’il y a une bonne raison).
Sur quoi te bases-tu pour dire que c'est le field le plus difficile? Expérience vécue ou recherche de gloire personnelle?

Je ne suis pas d'accord; pour certains ce sera les bars/boîtes, d'autres la rue (le cas présent), d'autres les maisons de retraite, etc. J'aime bien aussi l'exemple "des jeunes des banlieue", ça fait un poil réducteur.

Quand aux lycéens qui n'ont pas assez d'argent... As-tu besoin d'argent pour aller dans les pubs? Et la théorie de se faire payer des verres? :)
malkor a écrit :3) Il faut être physiquement attirant pour brancher dans la rue. Je ne dis pas que si vous ne l’êtes pas vous n’allez jamais choper mais votre ratio de râteau va être énorme. Il faut être réaliste, la fille va rester à discuter avec vous surtout si vous lui plaisez physiquement.
Ça va jouer en effet, tout comme le style vestimentaire. Mais de là à dire que le taux de ratio va être énorme, c'est vite dit. Au début, peut-être.
malkor a écrit :4) Le ratio pour tout le monde est assez faible avec les Françaises.
Peux-tu développer s'il te plaît? C'est amusant cette affirmation! Moins grand peut-être mais assez faible heu...
malkor a écrit :Aussi il faut surtout brancher les étrangères.
Pour que ce soit un grand conseil que tu donnes comme ça, il semblerait que tu sois beaucoup porté sur les étrangères. C'est peut-être une confort-zone pour toi :D.
QFR a écrit :Le mieux reste le SPU quand tu as les couilles d'aborder seul pendant tes activités normales (niveau avancé).
500% +1.

HarryZona
3) Il faut être physiquement attirant pour brancher dans la rue. Je ne dis pas que si vous ne l’êtes pas vous n’allez jamais choper mais votre ratio de râteau va être énorme. Il faut être réaliste, la fille va rester à discuter avec vous surtout si vous lui plaisez physiquement.
Cruel mais vrai.
Et gardez la drague de rue pour les étrangères.
C'est un peu définitif ça non ?

Je n'ai jamais choppé d'étrangères, que des françaises, tout simplement parce que je suis une merde en anglais et que je ne les draguent tout simplement pas, ou par erreur, et la discussion ne dure pas longtemps :).

Je ne suis pas le seul à arriver à chopper des françaises dans la rue ! Loin de là...
Le mieux reste le SPU quand tu as les couilles d'aborder seul pendant tes activités normales (niveau avancé).
Pas plus avancé qu'aborder seul en sortant pour draguer...
Quand je lis Soral qui dit qu'il arrivait à une baisée pour 3 branchées, j'ai de gros doutes.
C'est tout à fait possible si.
Tout à fait d'accord, tu ne perds pas de temps à trainer dans la rue rien que pour ça. Au pire tu fais un petit détour.
Si draguer est synonyme de perdre du temps, pourquoi le fais tu :) ?
Citation:
très peu de personnes baisent sans y passer des heures par semaine.

Je crois que c'est la plus grande vérité jamais dites sur FTS.
Oui, en même temps très peu de personnes deviennent riches sans travailler, très peu de personnes arrivent à avoir le permis sans conduire, et très peu deviennent forts dans un sport sans beaucoup s'entrainer :lol:.
Mais avec pas plus d'une abordée par semaine me concernant. Mais la bonne. A force on apprend à sélectionner et reconnaitre les nanas qui nous correspondent et avec lesquelles ça va coller...
C'est sur.. J'aurai tendance à être comme toi, élitiste et sélectif, dans une moindre mesure, mais tu tomberas quand même toujours sur des filles en couple depuis 10 ans, des fiancées etc etc.. Celle que tu pensais "la bonne" pourra se révéler indisponible. Je veut bien croire qu'on puisse affiner énormément ses résultats avec de l'observation et de l'expérience d'observation, mais de là à lire dans le mar de café... :)
Je suis moyennement d'accord. Une fois passée la croyance collective de l'anormalité de brancher dans la rue, je dirais au contraire que c'est le plus facile.
La majorité des bonnasses seront plus open un après midi à un arrêt de tram ou à flanner dans un parc un dimanche que dans leur groupe au fond d'une boite à 2h du matin.
Très juste. :)
J'aime bien aussi l'exemple "des jeunes des banlieue", ça fait un poil réducteur.
Je le rejoins. C'est une constatation... Réductrice ou pas. Je drague pas mal dans la rue, et j'ai jamais vu un mec qui ne marchait pas de travers, ou qui ne se donner pas le genre "bad boy" aborder une inconnue. Mais c'est peut être différent chez toi...
Pareil, pas mal de street, et...
Malcor a écrit :
1) C’est le field le plus difficile. 99,99% des mecs n’osent pas brancher dans la rue.
Je suis daccord avec Harryzona, c'est pas forcément le plus dur, c'est la ou j'ai le moins de gène pour draguer, et ou je choppe donc généralement plus facilement...
De plus, faut arrèter, ya du monde qui approche dans la rue, c'est une illusion de croire le contraire.
Une fille mignonne se fait beaucoupa aborder dans la rue, et on connait tous (j'imagine) pas mal de monde qui aborde dans la rue et qui ne conaissent pas fts et cie...
Je pense que 20 à 40% des gens osent...
Malcor a écrit :
La plus part du temps, ceux qui le font sont ceux qui n’ont pas accès aux endroits traditionnel pour brancher (les bars et les boites).
De mon expérience, et de mon entourage, l'endroit ou ca choppe le plus (genre LTR) c'est surtout en soirée d'amis, pas tellement en bars/boites.
Il y a des cas comme tu les décris, mais c'est pas parsque ils auraient pas accès à ces endroits, que c'est eux qui font du street...
Malcor a écrit : Ce sont donc les jeunes ides banlieux qui ne rentrent pas en boites et les lycéens qui n’ont pas assez d’argent pour aller dans les pubs. Si se sont seulement les mecs qui n’ont pas le choix qui branchent dans la rue c’est qu’il y a un problème (en règle générale si tout le monde adopte le même comportement, et inversement, c’est qu’il y a une bonne raison).
Les gens qui se mettent à la rue, c'est pas car ils ont pas de thune, c'est par ce qu'ils sont pas entièrement satisfaits des meufs de leur entourage, ou il leur en faut plus...
Il y a des gens qui ont de la thune et sont du SPU comme des mecs qui conaissent un bon nombre de filles et font du SPU. Dialleur un ami (hors communauté) drague dans la rue pour son cercle social, et commait plein de bombes, qu'il apelle en soirée etc...
Malcor a écrit : Pourquoi aller à la difficulté, surtout si on est débutant ? Pour combattre l’anxiété de l’approche. Mouais… Ok pour le faire un petit peu mais cela ne marche pas vraiment et à moins de pratiquer très réguliairement elle revient très vite. Franchement lorsqu’on débute il y a mieux à faire (genre savoir parler naturellement à une inconnu).
Par frustration: quand tu vois des bombes passer (ou du moins elles sont des bombes jusqu'à ce que la valeur que tu leur donne baisse...), t'as envie de les chopper, et comme t'es frustré ou courageux, plus tu as de chences de te lancer dans le SPU...
Malcor a écrit : 2) La démocratisation de la drague de rue vient surtout des regroupements de dragueurs. En effet lorsqu’on rencontre un nouveau membre il est largement plus aisé de la voir le samedi après-midi dans l’anonymat de la rue que dans un bar. On ne le connait pas et on n’a pas forcément envie de passer la soirée avec un type qui est peut-être weird (surtout qu’on sort souvent dans son bar où on a ses habitudes).

Aussi on se retrouve avec des newbies qui commencent par la drague de rue, le terrain le plus difficile et de loin…
so?
Malcor a écrit : 3) Il faut être physiquement attirant pour brancher dans la rue. Je ne dis pas que si vous ne l’êtes pas vous n’allez jamais choper mais votre ratio de râteau va être énorme. Il faut être réaliste, la fille va rester à discuter avec vous surtout si vous lui plaisez physiquement.
Tout l'attract n'est pas dans la plastique du corps. J'ai pu voir des PUA avec un peu de bide, pas trop grand, s'habillant moyennement, pas forcément charismatiques, et pourtant chopper comme un goret: l'attract se bosse, c'est pas uniquement physique. Et puis c'est pas très important.
Tu peux très bien attirer plein de filles et en baiser aucune.
Malcor a écrit : 4) Le ratio pour tout le monde est assez faible avec les Françaises. Aussi il faut surtout brancher les étrangères. Vraiment j’insiste sur ce point. Avec les Erasmus et autres j’arrive à rencarder plus de la moité de celles que je branche dans la rue. C’est infiniment plus facile à la fois pour les brancher (elles ne sont pas dans leur pays et le temps qu’elles comprennent ce qu’on attend d’elle on est déjà en plein milieux de la conversation), pour prendre leur numéro (elles rencontrent souvent assez peu de français, veulent pratiquer la langue, n’ont pas le soucis de préserver leur réputation comme chez elles) et pour coucher (elles sont jeunes et veulent s’amuser pour un an).
Un pote m'avais dit que quand il était en Angleterre, ses copines de là bas lui disanent que quand elles étaint passées à Paris, elle recherchaient des mecs pour la soirée, comme un peu histoire de dire qu'elle s'être tapée un français.
Jamais fait mais intéressant et à approfondir.
Un autre très bon player ne choppe presque que des étrangères...
Malcor a écrit : Voici le compte-rendu de trois ans de drague de rue plus ou moins poussé selon les moments. Je parle de mythes car tout le monde est très enthousiaste avec mais très peu de personnes baisent sans y passer des heures par semaine.
+1
Malcor a écrit : Si vous voulez vraiment vous y mettre, au moins sachez commencer, entretenir, relancer une conversation. C’est le minimum. Vraiment. Et gardez la drague de rue pour les étrangères.
Ca, tu l'apprends sur le tas. Quand tu commences t'assumes pas le fait de draguer ouvertement dans la rue, ca te bloque mentalement, mais petit à petit, ca vient tout seul pour le peu que tu t'y mettes vraimant...

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L'idée que les Françaises sont dures à closer est intéressante. Elles ont la réputation mondiale de maîtriser la séduction par rapport à la plupart des femmes des autres pays, et de se rendre H2G - ce qui agace les étrangers et énerve davantage les étrangères :lol: .

Vérité culturelle ou stéréotype ?

Le mythe des Français dans le domaine de la séduction est tout de même là, et contribue à un certain prestige aux yeux des étrangères...

Encore un article très intéressant Malcor !
okapi a écrit :L'idée que les Françaises sont dures à closer est intéressante. Elles ont la réputation mondiale de maîtriser la séduction par rapport à la plupart des femmes des autres pays, et de se rendre H2G - ce qui agace les étrangers et énerve davantage les étrangères :lol: .

Vérité culturelle ou stéréotype ?
Vérité culturelle ;) j'ai aussi la même constatation que Malcor sur les étrangères, plus facile que les françaises, c'est sûr.
Encore aujourd'hui un australien m'a dit avoir été frappé à Paris avant tout par les parisiennes qu'il trouve abusement H2G. Par contre elles sont aussi plus élégantes que nul par ailleur, donc faut savoir ce qu'on veut, l'emballage ça compte! Y a qu'en Italie que vous verrez des rivales aux parisiennes question élégance.

pr_x a écrit :Je ne sais pas si c'est bien le sujet ici, mais je serais ravi de savoir comment tu sélectionnes.
Je connais précisement mes standarts féminins, les profils qui vraiment m'attirent. Ca m'a pris des années... Connaitre ses goûts c'est avant tout chercher qui on est ;)
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