Jour 2, une semaine plus tard : sortie dans un bar avec une amie. Fugojapon mode bourrin, nafout. Faut que j'évacue la pression : recherche de boulot qui me pèse, envie de la femme. J'ai besoin de contacts humains, même sans aboutir aux closes. L'important : déconner !
J'apperçois un groupe de deux meufs mignonnes et un gars. Je sympathise avec eux et parle bien avec. Le mec est sympa et me laisse entrer dans le cercle. Mon amie avec qui je suis venue est complétement bourrée et rentre chez elle. Tellement en mode bourrin que ma peur pour elle sur le chemin du retour s'efface contre mon appétit sexuel. Je me suis promis de plus jamais le refaire parce que quand même, ma pote, quand elle est bourrée, elle est bourrée ! Et 15 minutes de marche jusque chez elle, bourrée, c'est 15 minutes de trop. Cette fois-là, elle n'a rien eu mais bon.
Enfin soit. Je le répète : je suis en mode bourrin, rinafout. "Japonaises, et alors ? Mon cul"
Je fais exactement n'importe quoi, je touche, je demande des bisous, ABSOLUMENT à proscrire... normalement (bof), je ris, fais mon bourrin, je drague. Je prends le numéro de la meuf la plus mignonne. T'as un pti ami ? Alleeeeeeeeeeeez pas grave, oublie-le quoi. Je suis là !
Ils rentrent chez eux, j'accompagne sur le pas de la porte. Alleeeeeeeeeez bisouuuuuuus. Veulent pas, bon bah les deux filles, bises alors... Gros bourrin tactile en plus. Ok, tite bise mignonne ohlàlà.
Le lendemain, la pression et retombée. J'envoie un mail. De t'manière, je les reverrai plus alors... Bof, ch'uis sympa. "Désolé hier, j'ai fait le con. Bonne continuation et oubliez moi hein". La meuf (à qui j'ai proposé de lacher son mec pour moi) de me répondre dans la journée :"meeeeuh non, c'était sympa ! T'inquiète pas hier, c'était cool alors relax. A la revoyure ;)!".
Gné ?
Je commence à comprendre de plus en plus
(A ce propos, je me suis fait enguirlander par le personnel du bar, je crois que j'y remettrai plus les pieds. LOL)