L'AFG du club

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le 06.01.2010 par Fugojapon

0 réponses / Dernière par Fugojapon le 06.01.2010, 03h03

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Le 25 décembre, pour se changer les idées, sortie en club.

Je suis chez moi et m'apprête à ne rien faire quand mon meilleur pote du coin, Hirokazu, me contacte à 21h30 :"Ca te dirait d'aller au club". Brève hésitation puis ok ! Je suis partant. On se retrouve à 23h à la station de métro la plus proche du club.

Là, je suis en mode relaché. On y va, je repère les demoiselles du lieu. A ma convenance. Je danse, je m'amuse. Mon pote ne fait rien pour l'instant. C'est un diesel et a besoin de remplir son réservoir (en plus boissons à volonté ! Aïe :lol:). Je fais des tentatives d'approches de la gente féminine, pour l'instant, sans succès. Car tout seul ?

Je repère un set de 3 filles dont une qui m'intéresse particulièrement. Opener : elles veulent faire une photo, je me propose de la leur prendre avec elles trois dessus. Elles sont contentes.

Mon pote arrive enfin. Il s'avère être un excellent wingman ! Je parle avec la fille qui m'intéresse, il arrive, cause et isole peu à peu les deux autres.

Un élément d'analyse : donc il faut (tout au moins, pour moi) l'aide d'un wingman japonais. Double caution social proof : fait que je sois inséré à la société locale (pote japonais, si l'on avait été deux étrangers, le résultat aurait été différent) et fait en lui-même de sociabilité. En tout cas, j'ai bien saisi ici l'importance du wing.

Je discute donc avec la fille, on danse aussi. Je la kinote progressivement. Pour mieux parler, on va dans un coin du club moins bruyant et moins fréquenté. Je lui tiens la main, elle ne lâche pas voire la tient d'elle même. On arrive dans l'endroit moins fréquenté et on fluffe. "Que fais-tu dans la vie ? Pourquoi ? Et toi, le Japon ?", etc.

De minuit à 5h, on fait l'aller-retour plusieurs fois entre la piste de danse et cet endroit. On est assez, voire très proches. Mon ami et les amies d'Aki (la fille) sont en pleine discussion et on se recroise de temps en temps.

Lors des danses, on est très proche, très bon kino, des IOI aussi. J'essaye à plusieurs reprises (insister sans violer, n'est-ce pas) de la kcloser mais comme d'hab :? ... J'opte donc pour des bises lentes et rapprochées et en même temps, grosses léchouilles sur la joue (pour lui montrer ce que ce serait si c'était sa bouche). Elle me répond de temps en temps par une bise timide.

En même temps, je fais mon regard qui fait fondre (pas du tout calculé, hein). Le regard que je fais quand je suis content d'être là et que j'apprécie quelqu'un. On dirait presque un amoureux transi. Elle aime bien ce regard mais le monde, ça la gène un peu.

Quand on retrouve mon pote et ses deux amies, je trouve que ces deux jeunes filles ont l'air de me soutenir. Elles m'aiment bien. La soirée finit peu à peu. On se numclose et on promet de se revoir. On se quitte à la station, toujours avec ma bise sensuelle et sa bise timide. A la prochaine !

Suite à un mail game, on décide de se voir le 29, à 7h du soir. C'est même elle qui me propose directement la date.

Résultat du 29 : je crois être tomber sur une fille qui je crois voulait me tester. J'ai employé le kino, mon body langage, je croyais que ça marchait bien (on était côte à côte au resto, ce soir, j'ai reconstaté) : retour du kino, ioi. En ayant compris (pensant avoir compris) que ce qui bloquait, c'était la populace environnante, j'ai voulu l'isoler. Une chtite ballade puis arrivée devant un Love hotel. Elle veut pas (j'y suis ptêt aller un peu fort). Karaoké pour au moins être isolé et avoir un kclose ? Non plus. Tel n'es pas son but.

Elle me dit qu'elle ne sait pas encore. Oh, elle ne me déteste pas, elle ne ferme pas la possibilité mais elle ne sait pas encore. Alors moi, j'arrive avec ma manière : je t'embrasse puis je réfléchis. Ce n'est visiblement pas sa méthode. Le kino, ça aura été normal pour elle, sans signification. C'est toute la différence de penser. Quand je kclose une demoiselle, je ne pense pas qu'il faut en faire la femme de ma vie. Mais elle a l'air de penser ça (version masculine bien-sûr). Après tu peux croire au Prince Charmant (AFG ?). Ca ne sera pas moi.

Mon mode de pensée : tu m'intéresses plutôt, je t'intéresse plutôt? Fonçons !
Le sien : je t'intéresse, tu as l'air plutôt intéressant, mignon patati patata mais il faut encore que je réfléchisse...

Laisser du temps ? Combien, 107 ans ? Bof... Elle m'a sorti un truc. Je ne sais pas si c'est vrai, tellement c'est gros (ou bien, c'est tellement gros que ça ne peut être que vrai :mrgreen: ). Les choses aurait trainé pendant un an avec son précédent petit-ami avant qu'ils ne sortent ensemble et elle trouverait cela normal :shock: . Je ne suis pas là pour déceler le vrai du faux mais bon.

Qu'on me dise :"tu n'as rien à espérer de moi", c'est ok. Au moins c'est clair. Mais là, de me dire :"il me faut autant de temps"... Mam'zelle, tu ne serais pas en train de te mega-pricer ?

Ensuite, elle me renvoie des mail, en disant que c'était sympa et qu'il faudrait se refaire une sortie, tout en connaissant mes intentions.

Bref, next ? Ou je me triture encore un peu le cerveau ?
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