Après plusieurs jours épuisants, j'ai eu la première panne de ma vie, j'avais envie d'elle mais pas moyen, c'est comme si mon penis était en mode veille.
Pas de problème, c'est la fatigue, ça ira mieux demain.... ou pas, rebelote ! Sur le moment je ne m'en suis pas inquiété mais plus les jours sont passés, plus j'y ai repensé... Jusqu'à vraiment beaucoup y penser, et m'inquiéter. Cette semaine s'est donc déroulée sous le signe de l'angoisse (bon le terme est peut-être un peu exagéré).
Probablement lié à cette histoire, je n'ai depuis cet incident plus ou très peu de libido, toutes les petites choses du quotidien qui suffisaient à me donner une érection (me bécoter avec ma copine dans la rue, bien collé l'un contre l'autre par exemple) ne me font presque plus rien.
Parallèlement, j'ai traîné une grosse fatigue toute cette semaine (du genre se coucher plus tôt et toujours être crevé) et même les érections matinales se sont faites rares.
Bref, j'ai revu ma copine en privé pour la première fois depuis le WE dernier ce soir, bilan : une demi-molle terminée en éjaculation super rapide (ce qui ne m'arrive d'habitude pas) puis un second essai où j'ai débandé au moment de chercher une capote.
Je sais pertinemment que tout est dans ma tête, que plus j'y pense plus ça va merder. Même de son côté, elle remarque que j'y pense d'un coup pendant l'acte et vlan juste après je débande (elle l'a vu à ma tête tout à l'heure). Je m'attends à des réponses type "n'y pense plus, keep cool, etc..." mais c'est plus facile à dire qu'à faire, on ne choisit pas vraiment ce qui va nous passer par la tête.
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