Alcool et sport, n'aillez crainte.
J'ai farfouillé sur le forum Forme & Santé et je n'ai rien trouvé de très concret et structuré en ce qui concerne l'alcool et ses effets sur la prise de gras, la perte de poids, pour nous les sportifs.
J'ai pensé à en parler ici parce que c'est un sujet important en cette période de l'année où les beaux jours reviennent et que les fiestas se font plus courantes.
Vous pouvez donc rester secs même en picolant car :
Effet de thermogénie :
L'alcool augmente de façon très importante la thermogénie, c'est à dire qu'il augmente la chaleur du corps et ce de 20% => "Thermic Effect of Food" : donc 20% des calories apportées par l'alcool sont directement dépensées par le corps sous forme de chaleur.
Aussi, la perte de poids est accélérée si un taux de calories du à l'alcool est ingéré à la place d'un taux de glucides et de lipides. Autrement dit, si vous avez 200 calories d'alcool (un gros verre de Whisky je crois, par exemple) elles seront plus vite brûlées que 200 calories de glucides et gras.
L'alcool n'est pas le responsable d'une prise de poids :
D'après Hellerstein, le foie ne synthétise presque pas la graisse due à l'alcool. Le corps converti difficilement l'alcool en acide gras, c'est qui est un atout pour les sportifs et ceux qui tiennent à devenir secs ou à le rester. Tout ça c'est une histoire de noms compliqués que je retiens jamais. En gros, notre métabolisme n'a pas les capacités pour faire du gras avec de l'alcool. L'alcool ingéré bloque son oxydation, et est transformé en acétate qui lui ne se synthétise pas en graisse.
=> La nourriture est plus facilement transformée en gras
=> L'alcool bloque le mécanisme, se transforme, et devient de ce fait impossible quasiment à devenir du gras.
Cependant, si vous ingérez une dose importante d'alcool en période post-exam ou autre il vous sera facile d'ingérer énormément de calories (tout n'étant pas cramé) et donc de prendre du poids. Pour anticiper celà, durant vos moments de folies intenses, réduisez votre taux de glucides pour compenser les effets -limités- de l'alcool.
Les cognac, gin, rhum, scotch, tequila, vodka et whisky avoisinent les 0 glucides. Sachez le ;)
La bière quant à elle est beaucoup plus riche en glucides. Maintenant on comprend tous pourquoi Jacky, notre voisin chasseur à ses heures perdues et amateur de bières, à un gros bide !
Les protéines :
L'alcool n'empêche pas les effets des protéines sur votre corps, vous pouvez donc avoir votre dose quotidienne sans vous souciez de l'impact de l'alcool. Il n'y en a pas.
Pour résumer :
- Une partie des calories est directement supprimée grâce à la thermogénie.
- L'alcool se transforme difficilement et presque pas en masse grâce
- Limitez les glucides dans les périodes de grosses beuveries
- Il n'y a aucune influence sur les protéines.
Mes sources : toutes mes lectures, livres, internet. Mon entourage, et mon expérience personnelle.
J'ai passé tout une année au lycée à picoler comme un salop et je faisais du sport à côté. Je suis resté sec même si c'était que de la bière. (Je faisais BEAUCOUP de sport et je faisais tout pour sécher)
J'ai passé un festival de quatre jours à siroter des bières dès le matin, à glander sur des chaises de camping et à me lever juste pour aller faire caca et aller voir les groupes : j'ai pris du bide.
En espérant avoir aidé certains d'entre vous ;) Vos retours sont les bienvenus.
J'ai pensé à en parler ici parce que c'est un sujet important en cette période de l'année où les beaux jours reviennent et que les fiestas se font plus courantes.
Vous pouvez donc rester secs même en picolant car :
Effet de thermogénie :
L'alcool augmente de façon très importante la thermogénie, c'est à dire qu'il augmente la chaleur du corps et ce de 20% => "Thermic Effect of Food" : donc 20% des calories apportées par l'alcool sont directement dépensées par le corps sous forme de chaleur.
Aussi, la perte de poids est accélérée si un taux de calories du à l'alcool est ingéré à la place d'un taux de glucides et de lipides. Autrement dit, si vous avez 200 calories d'alcool (un gros verre de Whisky je crois, par exemple) elles seront plus vite brûlées que 200 calories de glucides et gras.
L'alcool n'est pas le responsable d'une prise de poids :
D'après Hellerstein, le foie ne synthétise presque pas la graisse due à l'alcool. Le corps converti difficilement l'alcool en acide gras, c'est qui est un atout pour les sportifs et ceux qui tiennent à devenir secs ou à le rester. Tout ça c'est une histoire de noms compliqués que je retiens jamais. En gros, notre métabolisme n'a pas les capacités pour faire du gras avec de l'alcool. L'alcool ingéré bloque son oxydation, et est transformé en acétate qui lui ne se synthétise pas en graisse.
=> La nourriture est plus facilement transformée en gras
=> L'alcool bloque le mécanisme, se transforme, et devient de ce fait impossible quasiment à devenir du gras.
Cependant, si vous ingérez une dose importante d'alcool en période post-exam ou autre il vous sera facile d'ingérer énormément de calories (tout n'étant pas cramé) et donc de prendre du poids. Pour anticiper celà, durant vos moments de folies intenses, réduisez votre taux de glucides pour compenser les effets -limités- de l'alcool.
Les cognac, gin, rhum, scotch, tequila, vodka et whisky avoisinent les 0 glucides. Sachez le ;)
La bière quant à elle est beaucoup plus riche en glucides. Maintenant on comprend tous pourquoi Jacky, notre voisin chasseur à ses heures perdues et amateur de bières, à un gros bide !
Les protéines :
L'alcool n'empêche pas les effets des protéines sur votre corps, vous pouvez donc avoir votre dose quotidienne sans vous souciez de l'impact de l'alcool. Il n'y en a pas.
Pour résumer :
- Une partie des calories est directement supprimée grâce à la thermogénie.
- L'alcool se transforme difficilement et presque pas en masse grâce
- Limitez les glucides dans les périodes de grosses beuveries
- Il n'y a aucune influence sur les protéines.
Mes sources : toutes mes lectures, livres, internet. Mon entourage, et mon expérience personnelle.
J'ai passé tout une année au lycée à picoler comme un salop et je faisais du sport à côté. Je suis resté sec même si c'était que de la bière. (Je faisais BEAUCOUP de sport et je faisais tout pour sécher)
J'ai passé un festival de quatre jours à siroter des bières dès le matin, à glander sur des chaises de camping et à me lever juste pour aller faire caca et aller voir les groupes : j'ai pris du bide.
En espérant avoir aidé certains d'entre vous ;) Vos retours sont les bienvenus.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Pas convaincu le 02.06.11, 19h06 par Dams007
- [0] le 23.07.11, 01h27 par FK
L'alcool te baise le foie a vitesse grand V.
C'est mieux de vivre sans.
Parole de bio.
C'est mieux de vivre sans.
Parole de bio.
Oui, mais ça c'est un autre sujet !
Je ne parle pas de l'impact de l'alcool sur ta santé et sur les problèmes qu'il peut engendrer, mais si tu prends du gras ou non à cause de lui.
Pour résumer mon post de manière grossière : c'est pas le verre qui fait grossir, c'est les gâteaux apéros à côté.
Je ne parle pas de l'impact de l'alcool sur ta santé et sur les problèmes qu'il peut engendrer, mais si tu prends du gras ou non à cause de lui.
Pour résumer mon post de manière grossière : c'est pas le verre qui fait grossir, c'est les gâteaux apéros à côté.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas faux le 02.06.11, 11h52 par Mr.Smooth
- [0] Pas convaincu le 23.07.11, 01h27 par FK
Dans l'absolu, si tu ne buvais que de l'alcool tu ne grossirais pas, mais le problème c'est que l'énergie que te fournit l'alcool fait que ton corps n'a plus besoin d'absorber autant de nourriture et que par conséquent, la graisse qu'il ne peut pas stocker avec l'alcool, il va la chercher dans le trop plein d'énergie que ta nourriture lui apporte.
Donc indirectement l'alcool te fait quand même grossir.
L'autre partie du raisonnement : l'alcool augmente la thermogénie c'est dans une proportion ridicule. D'ailleurs tu l'expliques, 20% de l'énergie apportée par l'alcool sert à augmenter la température du corps. Oui enfin ça fait quand même 80% d'énergie qui reste à utiliser ou à stocker.
Autant penser que parce que tu manges de la glace à -20° tu ne grossiras pas parce que ton corps aura besoin de réchauffer les aliments et utilisera l'énergie de la glace pour ça.
Dans ce cas manger des glaçons devrait te faire maigrir ... mais là j'ai un doute
Donc indirectement l'alcool te fait quand même grossir.
L'autre partie du raisonnement : l'alcool augmente la thermogénie c'est dans une proportion ridicule. D'ailleurs tu l'expliques, 20% de l'énergie apportée par l'alcool sert à augmenter la température du corps. Oui enfin ça fait quand même 80% d'énergie qui reste à utiliser ou à stocker.
Autant penser que parce que tu manges de la glace à -20° tu ne grossiras pas parce que ton corps aura besoin de réchauffer les aliments et utilisera l'énergie de la glace pour ça.
Dans ce cas manger des glaçons devrait te faire maigrir ... mais là j'ai un doute

L'alcool, c'est comme tout, une fois de temps en temps ça fait du bien, en boire au quotidien ça n'apporte rien de bon.
Je ne pense pas trop extrapoler si je dis que faire du sport régulièrement permet de pouvoir plus se lacher à coté que ce soit au niveau de la bouffe, de l'alcool voir même du tabac. (sans rentrer dans l'excès)
Disons que dans notre monde où l'on nous pousse toujours à consommer de la malbouffe, ou se mettre une mine est devenue une norme pour la jeunesse dont je fais partie, faire du sport permet quand même de compenser les effets néfastes de ce qu'on propose les marques au quotidien ou encore les effets de nos soirées.
Mais il ne faut pas voir le sport comme un remède, juste comme un plaisir, le sport ce n'est pas quelque chose de miraculeux, juste une activité qui permet d'apprendre à se connaitre et se controler... juste...
Je ne pense pas trop extrapoler si je dis que faire du sport régulièrement permet de pouvoir plus se lacher à coté que ce soit au niveau de la bouffe, de l'alcool voir même du tabac. (sans rentrer dans l'excès)
Disons que dans notre monde où l'on nous pousse toujours à consommer de la malbouffe, ou se mettre une mine est devenue une norme pour la jeunesse dont je fais partie, faire du sport permet quand même de compenser les effets néfastes de ce qu'on propose les marques au quotidien ou encore les effets de nos soirées.
Mais il ne faut pas voir le sport comme un remède, juste comme un plaisir, le sport ce n'est pas quelque chose de miraculeux, juste une activité qui permet d'apprendre à se connaitre et se controler... juste...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas faux le 07.06.11, 11h31 par Djudj
Je ne mettrais pas tout ça au même niveau.Vinsanity a écrit :
Je ne pense pas trop extrapoler si je dis que faire du sport régulièrement permet de pouvoir plus se lacher à coté que ce soit au niveau de la bouffe, de l'alcool voir même du tabac. (sans rentrer dans l'excès)
Les effets de la bouffe sont presque toujours réversibles. Même sur les aspects cardiaques et artériels (tant que vous êtes jeune). Seuls les cancers sur du très long terme sont irréversibles (ces cancers surviennent après 50-60 ans). Même après un régime alimentaire dégueulasse, du sport peut vous ramener à la normale
Les effets de l'alcool sont réversibles tant qu'on n'excède pas une certaine dose, irréversibles au-delà (atteintes au foie). Le sport peut contrer les atteintes réversibles mais ne pourra rien faire contre les effets chroniques
Les effets du tabac sont irréversibles. Chaque bouffée réduit votre capacité pulmonaire par une destruction agressive des cellules, que vous ne pourrez recouvrir que sur des dizaines d'années. Le fait d'être entraîné vous donne l'impression qu'il n'y a pas de problème, mais il y a bien dégradation. Vous risquez également de très graves asthmes d'effort (même et surtout sur un sujet bien entraîné).
Quant à l'alcool, pour poursuivre dans l'idée de Lieutenant, l'ennui apparaît quand des jeunes picolent quasiment tous les jours à l'univ et continuent après celle-ci.
Quand on est jeune le foie se régénère, mais avec l'âge les capacités de régénération diminuent et, à partir d'un certain âge ( je ne sais pas lequel, mais aux alentours de 20-25 ans ), picoler à stock produit des dégâts irréversibles.
Cependant, quel que soit l'âge, observer une dizaine de jours sans alcool de temps en temps, ne peut être que bénéfique ( traitement de la stéatose alcoolique, qui est l'accumulation anormale de lipides dans les cellules hépatiques ).
Quand on est jeune le foie se régénère, mais avec l'âge les capacités de régénération diminuent et, à partir d'un certain âge ( je ne sais pas lequel, mais aux alentours de 20-25 ans ), picoler à stock produit des dégâts irréversibles.
Cependant, quel que soit l'âge, observer une dizaine de jours sans alcool de temps en temps, ne peut être que bénéfique ( traitement de la stéatose alcoolique, qui est l'accumulation anormale de lipides dans les cellules hépatiques ).
Et il n'y a pas que le foie qui "trinque" , le système nerveux aussi !
L'alcool perturbe les connexions entre les neurones, ce qui provoque aussi les sensations agréables liées à l'ivresse. Si l'ingestion est raisonnable, ces connexions retrouvent leur efficacité quelques heures plus tard.
Si la personne boit trop et/ou régulièrement, ces connexions, ainsi que les neurones eux-mêmes, se trouvent endommagés, provoquant des symptômes plus ou moins graves.
NB : Une consommation est jugée excessive,si elle est supérieure à trois verres par jour pour un homme, deux verres pour une femme. Eh, oui, pas d'égalité, n'en déplaise aux féministes ! Ces dames sont deux fois plus sensibles aux toxiques que ces messieurs
Attention, les jeunes adolescents sont encore plus exposés, car les dégâts occasionnés par des alcoolisations trop massives (« binge drinking » notamment) vont significativement perturber la croissance et le développement de leur cerveau. Il n'est pas rare de voir arriver aux urgences des hôpitaux des (très) jeunes (10/12 ans voire moins !), filles ou garçons, en état de coma éthylique.
Le coma éthylique est dangereux, et l'issue peut être fatale !.... et que dire de parents qui donnaient du vin dans le biberon de bébé pour l'aider à dormir et se calmer (source médicale) !
L'alcool a également une répercussion sur le sommeil qui est de moins bonne qualité (diminution du sommeil paradoxal), les capacités intellectuelles sont aussi touchées avec une persistance de plusieurs heures après une ingestion d'alcool même sans symptômes d'ivresse (jusqu'à 24 h environ selon une étude récente, donc attention en période d'examens !)
Pour son bon fonctionnement, le système nerveux a besoin de vitamines B1 et PP.
Or, l’alcoolisation chronique entraîne des carences dans ces deux vitamines.
Leur absence ou carence provoque une dégénérescence du neurone qui va finir par être détruit et à l'origine par exemple de polynévrites (surtout des membres inférieurs avec sensations de fourmillements, troubles de la sensibilité et de la marche), atteinte du cervelet qui commande l'équilibre (classique "démarche du marin par gros temps" ), détérioration intellectuelle etc....
S'il y a une atteinte cérébrale, elle peut être irréversible. Les capacités intellectuelles seront définitivement amoindries....
Beaucoup épilepsies tardives de l'adulte sont d'origine alcoolique par exemple....
A+, en espérant ne pas vous avoir trop saoulé
....
L'alcool perturbe les connexions entre les neurones, ce qui provoque aussi les sensations agréables liées à l'ivresse. Si l'ingestion est raisonnable, ces connexions retrouvent leur efficacité quelques heures plus tard.
Si la personne boit trop et/ou régulièrement, ces connexions, ainsi que les neurones eux-mêmes, se trouvent endommagés, provoquant des symptômes plus ou moins graves.
NB : Une consommation est jugée excessive,si elle est supérieure à trois verres par jour pour un homme, deux verres pour une femme. Eh, oui, pas d'égalité, n'en déplaise aux féministes ! Ces dames sont deux fois plus sensibles aux toxiques que ces messieurs

Attention, les jeunes adolescents sont encore plus exposés, car les dégâts occasionnés par des alcoolisations trop massives (« binge drinking » notamment) vont significativement perturber la croissance et le développement de leur cerveau. Il n'est pas rare de voir arriver aux urgences des hôpitaux des (très) jeunes (10/12 ans voire moins !), filles ou garçons, en état de coma éthylique.
Le coma éthylique est dangereux, et l'issue peut être fatale !.... et que dire de parents qui donnaient du vin dans le biberon de bébé pour l'aider à dormir et se calmer (source médicale) !
L'alcool a également une répercussion sur le sommeil qui est de moins bonne qualité (diminution du sommeil paradoxal), les capacités intellectuelles sont aussi touchées avec une persistance de plusieurs heures après une ingestion d'alcool même sans symptômes d'ivresse (jusqu'à 24 h environ selon une étude récente, donc attention en période d'examens !)
Pour son bon fonctionnement, le système nerveux a besoin de vitamines B1 et PP.
Or, l’alcoolisation chronique entraîne des carences dans ces deux vitamines.
Leur absence ou carence provoque une dégénérescence du neurone qui va finir par être détruit et à l'origine par exemple de polynévrites (surtout des membres inférieurs avec sensations de fourmillements, troubles de la sensibilité et de la marche), atteinte du cervelet qui commande l'équilibre (classique "démarche du marin par gros temps" ), détérioration intellectuelle etc....
S'il y a une atteinte cérébrale, elle peut être irréversible. Les capacités intellectuelles seront définitivement amoindries....
Beaucoup épilepsies tardives de l'adulte sont d'origine alcoolique par exemple....
A+, en espérant ne pas vous avoir trop saoulé

Euh... c'est surtout une question de taille moyenne, cette histoire. Un mec qui fait 1m60 devrait prendre les recommandations féminines, et vice-versa pour une femme d'1m80.pastelle a écrit : NB : Une consommation est jugée excessive,si elle est supérieure à trois verres par jour pour un homme, deux verres pour une femme. Eh, oui, pas d'égalité, n'en déplaise aux féministes ! Ces dames sont deux fois plus sensibles aux toxiques que ces messieurs![]()
Oui, tout à fait, ces quantités sont définies pour des consommations régulières, par rapport à des hommes et des femmes moyens, pour des quantités d'alcool par verres standards (doses/verre utilisées dans les cafés) et par 24h, mais permettent de situer les idées de grandeur....
Si on veut un petit peu plus de précisions :
"....à dose consommée et poids égaux, les femmes ont des alcoolémies plus fortes que celles des hommes. Ce phénomène s’explique notamment par une différence de quantité d'eau dans l’organisme : morphologiquement, l'homme a une masse musculaire plus importante que la femme, tandis que celle-ci a plus de tissu adipeux. La masse musculaire étant plus riche en eau que le tissu adipeux, l'organisme de l'homme est composé d'environ 60 à 65% d'eau, et celui de la femme d'environ 55 à 60%. Comme l'alcool se dissout dans l'eau de l'organisme, à poids égal et à consommation égale, l'alcool sera plus concentré dans le sang de la femme, lui donnant une alcoolémie plus élevée..."
Source : Association d’Aide et de Prévention Alcoolisme et Toxicomanies
Si on veut un petit peu plus de précisions :
"....à dose consommée et poids égaux, les femmes ont des alcoolémies plus fortes que celles des hommes. Ce phénomène s’explique notamment par une différence de quantité d'eau dans l’organisme : morphologiquement, l'homme a une masse musculaire plus importante que la femme, tandis que celle-ci a plus de tissu adipeux. La masse musculaire étant plus riche en eau que le tissu adipeux, l'organisme de l'homme est composé d'environ 60 à 65% d'eau, et celui de la femme d'environ 55 à 60%. Comme l'alcool se dissout dans l'eau de l'organisme, à poids égal et à consommation égale, l'alcool sera plus concentré dans le sang de la femme, lui donnant une alcoolémie plus élevée..."
Source : Association d’Aide et de Prévention Alcoolisme et Toxicomanies